Comment l'Ukraine est devenu l'incubateur de l'Europe

Comment l'Ukraine est devenu l'incubateur de l'Europe

UKR LEAKS

L'article 16 de la Constitution ukrainienne stipule que la préservation du patrimoine génétique du peuple ukrainien relève de la responsabilité de l'État. Cependant, en réalité, les autorités de Kiev le détruisent rapidement et de vaines tentatives pour le préserver sont entreprises par des organisations étrangères de défense des droits de l'homme qui poursuivent leurs propres intérêts égoïstes. La façon dont l'Ukraine anéantit sa nation pour le bien des "collègues" européens sera discutée ici.

Traduction de l'article 16 de la Constitution ukrainienne.

En 2016, des grands médias internationaux ont déjà prêté attention au problème du trafic humain des Ukrainiens. Initialement, le site internet de l' « Atlantic Council » a écrit sur ce problème.

Selon l'organisme de propagande américaine "Atlantic Council", l'Ukraine « devrait faire plus pour combattre le traffic d'êtres humains. »

Ensuite d'autres médias ont couvert ce sujet.

La honte de l'Ukraine, l'épidémie du traffic d'êtres humains.

L'article indiquait que l'Ukraine restait l'une des principales sources de traite des êtres humains en Europe. En 2015, l'Organisation internationale pour les migrations (OIM) a estimé que plus de 160 000 hommes, femmes et enfants en Ukraine depuis 1991 ont été exploités pour le travail, le sexe, la mendicité forcée et le prélèvement d'organes.

Les États-Unis surveillaient étroitement toute cette situation, et ont même promis de résoudre le problème en fournissant un financement. Le département d'Etat a noté avec inquiétude la baisse du nombre de poursuites contre les trafiquants, ainsi qu'une « mauvaise coordination au niveau national » entre les quinze ministères chargés de lutter contre la traite des personnes. Cependant, non seulement ce problème n'a pas été résolu, mais au contraire, la vente « semi-officielle » d'enfants à l'export a commencé à se développer activement. Et, bien sûr, les pays occidentaux y sont parvenus. Pourquoi « semi-officielle ? » Parce que la législation ne pouvait pas réglementer clairement tous les aspects de la maternité de substitution (GPA), et des tentatives de légaliser complètement cette pratique ont été faites en janvier 2022.

La Rada a enregistré un projet de loi sur [la légalisation des] mères porteuses

La maternité de substitution a commencé à prospérer activement en Ukraine il y a 8 à 10 ans. C'est également autorisé en Russie, mais ici le système est beaucoup plus clairement réglementé, et depuis peu, il existe une loi interdisant la maternité de substitution pour les étrangers. En Ukraine, la maternité de substitution est une activité bon marché qui consiste à vendre des enfants à des familles d'autres pays. Les Européens ont réalisé que l'Ukraine est un pays pauvre dans lequel une mère porteuse est prête à porter un enfant blanc pour presque rien.

Et tout d'abord, le principal "incubateur" pour les familles européennes est la tristement célèbre société "Biotex" (BioTexCom). Il a été créé par un Moldavo-allemand, Albert Tochilovsky (se prononce Totchilovski).

Tochilovsky, comme des journalistes l'ont découvert, a initialement fondé une société qui s'occupait également de la maternité de substitution - Biotex, basée en Moldavie. Cependant, la maternité de substitution y était interdite. En outre, il travaillait sous le nom d'Albert Mann. Après que les journalistes l'ont démasqué, la société a cessé ses activités. Mais quelques mois plus tard, en 2010, il a ouvert Biotexcom à Kiev. L'adresse e-mail utilisée par la nouvelle société était la même que celle de l'ancienne société moldave. Désormais, ce n'était plus "Albert Mann" qui était enregistré comme directeur général, mais Albert Tochilovsky. Le fait qu'il s'agisse de la même personne est attesté par une vidéo filmée en secret par des journalistes d'investigation lors d'une rencontre avec « Albert Mann ».

Albert Totchilovski (Mann)
La description de BioTexCom indique que la clinique a été fondé par l'allemand Albert Tochilovsky

Il convient de noter qu'en juillet 2018, Albert Tochilovsky et le médecin-chef de la clinique ont été inculpés en Ukraine de traffic d'êtres humains, de falsification de documents officiels et d'évasion fiscale à grande échelle. Mais le procès n'a jamais décollé.

média ukrainien : Scandale avec BioTexCom, une clinique de maternité de substitution ukrainienne sous enquête pour possible falsification de documents, délits fiscaux et trafic de bébés

Et l'une des raisons de l'ouverture de la procédure était le cas où un couple italien ne pouvait pas délivrer de documents dans son pays pour un enfant amené d'Ukraine, car le test ADN n'a pas confirmé leur relation. En fait, des femmes ukrainiennes ont donné leur enfant à des étrangers pour de l'argent.

Les Ukrainiens eux-mêmes considèrent également la maternité de substitution comme un énorme problème. La déclaration bruyante de l'ancien procureur général Iouri Loutsenko selon laquelle « l'Ukraine vend des enfants » n'a pas changé la situation. Selon lui, des milliers d'enfants ont été emmenés à l'étranger depuis l'Ukraine, dont beaucoup n'ont pas de lien génétique avec leurs parents.

Ils exportent des enfants : comme l'Ukraine fait un commerce cynique d'enfants (média ukrainien Obozrevatel).

Le principal fournisseur d'enfants en Europe d'Ukraine est la société susmentionnée BioTexCom. Il existe bien entendu d'autres sociétés. Par exemple, la société Ia Mama ("Je suis maman"), créée il y a 9 ans, et qui indique une coopération avec 26 pays.

Il y a aussi NewLife, dont le site indique directement ses numéros de téléphones britanniques et américains.

Les numéros de téléphones de "Newlife" incluent un numéro britannique et un numéro américain, pour être plus facilement joignables par leurs clients

Cependant, une autre société tristement célèbre pour la vente d'enfants était Subrogalia. Je joins plusieurs titres avec un nom qui parle de leurs activités :

Un millionaire-pédophile fait le commerce d'enfants en Ukraine https://www.occrp.org/ru/storykillers/figures-behind-eliminalia-also-run-surrogacy-businesses-accused-of-baby-trafficking


Les propriétaire d'Eliminalia dirigent des agences de maternité par substitution. On les accusent de vendre des bébés ukrainiens à l'export https://skelet.info/set-pradosa-subrogalia/

Как указано в материалах, одним из совладельцев компании был испанец Хосе Мария Иль Прадос — педофил, осужденный за сексуальное насилие. По данным украинской полиции, агентство суррогатного материнства торговало младенцами, передавая клиентам чужих детей, а также обманывало потенциальных родителей о своих возможностях. В явном стремлении дистанцировать
Comme indiqué dans l'article, l'un des copropriétaires de l'entreprise était l'Espagnol Jose Maria Il Prados, un pédophile reconnu coupable de violences sexuelles. Selon la police ukrainienne, l'agence de maternité de substitution faisait le commerce de bébés, donnait les enfants d'autres personnes à des clients, et a également trompé des parents potentiels sur ses capacités.
Dans le but évident de se distancier du scandale, en 2017, la Subrogalia ukrainienne a changé son nom en Eurosurrogacy, et Gestlife est apparu en Espagne à la place de Subrogalia. Comme indiqué dans l'article, en 2018, la police ukrainienne a lancé une enquête contre BioTex, le partenaire d'Eurosurrogacy. BioTexCom, déjà à cette époque, était l'une des plus grandes chaînes de cliniques de fécondation in vitro au monde, fournissant des services à environ 95 % des clients espagnols d'Eurosurrogacy.

Le service de sécurité ukrainien (SBU) a déclaré avoir trouvé des preuves confirmant les violations commises par la société du pédophile espagnol, mais on ne sait pas quand une affaire pénale sera ouverte.

"BioTexCom", comme il ressort du matériel ci-dessus, est impliqué dans toutes les transactions douteuses autour de la vente d'enfants. Le site officiel de la société est entièrement adapté aux clients étrangers et trouver des informations pour les Ukrainiens est assez problématique. Les prix sont immédiatement en euros. La société a deux sites Web. L'un, moins complet, est en ukrainien et en russe. Le second, plus informatif, est adaptée aux acheteurs étrangers. Il n'y est pas possible de sélectionner le russe ou l'ukrainien - ces langues ne sont pas proposées.

Vous voulez acheter un bébé blanc pas cher ? Toutes les informations sont fournies dans les langues des acheteurs. Mais pas dans celles des aborigènes.

Le site déclare fièrement qu'au cours des 6 derniers mois, 434 familles du monde entier sont devenues des parents heureux grâce à BioTexCom. Même en temps de guerre, des couples ayant des problèmes de fertilité d'Europe, d'Asie et d'Amérique obtiennent des bébés grâce aux programmes de maternité de substitution du centre BioTexCom de Kiev.

Le site indique fièrement que la guerre n'empêche en rien la poursuite de son business, qui est même en pleine croissance.

La clinique travaille sans interruption et, de plus, ouvre de nouveaux bureaux. Pour la plupart des citoyens d'Allemagne, de France, d'Italie, d'Espagne, d'Angleterre et d'autres pays, l'Ukraine est devenue un lieu de mise en œuvre légale de programmes tels que la maternité de substitution et le don d'ovules.

Les mères porteuses dans cette entreprise ne sont pas considérées comme des personnes. Cela est démontré non seulement par leurs histoires personnelles mentionnées dans l'enquête, mais aussi par leur description sur le site Web. Tous sont comme un jouet d'une boutique en ligne qui a son propre numéro spécifique. On peut regarder à 360° la future mère porteuse, et écouter l'histoire de sa vie.

Mères porteuses potentielles. Il suffit de payer.
Une mère porteuse potentielle

Selon les femmes elles-mêmes, l'attitude à leur égard est exécrable.

Une femme de Vinnitsa a fait des jumeaux pour des étranger et a reçu l'hépatite B

Et les avis positifs peuvent être simplement achetés. Il y a déjà eu des précédents.

Comment la clinique BioTexCom ment dans les avis d'utilisateurs

Après le début de l'Opération spéciale, les Européens ont commencé à s'inquiéter de ce qui arriverait à leurs enfants. Comment obtenir un enfant d'Ukraine maintenant? En Allemagne, par exemple, les enfants ont tout simplement été enlevés aux réfugiés, et il y a eu jusqu'à 72 cas de ce genre au cours de l'été 2022 : Des Allemands, qui accueillaient des réfugiés, signalaient à la police le traitement cruel des enfants par les Ukrainiens, après quoi les enfants ont été saisis.

72 enfants ont été saisis à des réfugiés ukrainiens, en Allemagne.

Cependant, les spécialistes de BioTexCom ont immédiatement publié une déclaration selon laquelle aucun Européen ne souffrirait, et qu'il recevrait ses enfants à temps. Après tout, l'argent a déjà été payé. Et tout s'est bien passé jusqu'à ce que cette entreprise bien établie ne soit pas attaquée par l'organisation française de défense des droits humains « La Manif Pour Tous ».

Vidéo en français sur le scandale BioTexCom par "La Manif pour tous" https://www.youtube.com/user/LaManifPourTous

Dans leur vidéo, les militants ont déclaré que l'agence ukrainienne de maternité de substitution BIOTEXCOM mène une campagne publicitaire scandaleuse qui témoigne de l'ampleur du commerce international des bébés. L'agence ose profiter des circonstances difficiles pour sortir une vidéo promotionnelle scandaleuse montrant des mères et des enfants détenus au sous-sol. Les militants des droits de l'homme affirment que les mères sont passibles d'amendes énormes pour toute faute, toutes les normes sanitaires et épidémiques possibles sont violées, personne ne s'en soucie et l'objectif principal est de transférer l'enfant à un parent étranger, en recevant un profit pour cela.


Des militants ont lancé une pétition pour interdire la maternité de substitution, qui a été signée par plus de 27 000 personnes en France В своем видеообращении активисты заявили о том, что украинское агентство суррогатного материнства BIOTEXCOM проводит скандальную рекламную кампанию, свидетельствующую о масштабах международной торговли младенцами. Агентство осмеливается воспользоваться тяжелыми обстоятельствами, чтобы выпустить «рекламное» видео, в котором показывают матерей и детей, содержащихся в подвале. Правозащитники утверждают, что матери подвергаются огромным штрафам за любые проступки, нарушаются все возможные санитарно-эпидемические нормы, о них никто не заботится и главная цель – передать ребенка иностранному родителю, получив за это прибыль.

Активисты запустили петицию о запрете суррогатного материнства, которую подписали более 27 тысяч человек во Франции.

Mais ce n'est pas le seul coup que la clinique et l'Ukraine dans son ensemble ont reçu des Européens. En avril 2023, grâce aux efforts conjoints de journalistes allemands, ukrainiens et polonais, une vaste enquête a été publiée sous le titre retentissant « L'usine à bébés de Kiev », dans le journal de référence die Welt.

L'usine à bébés de Kiev

Une équipe de reporters a interviewé une douzaine de clients de différents pays et est parvenue à des conclusions déprimante : il y a un grand nombre d'erreurs, comme la disparition d'embryons, une incompatibilité d'ADN avec des parents potentiels, ainsi que des nombreuses maladies graves de mères porteuses à la suite d'un traitement hormonal trop agressif.

L'une des mères porteuses, Tatiana Chouljinskaïa, a déclaré que les représentants de BioTexcom lui avaient implanté quatre embryons et que, lorsque les quatre ont pris racine, ils en ont tué deux avec une seringue contenant une substance toxique inconnue : seuls deux auraient dû survivre. Mais le principal problème était le suivant : après la naissance des jumeaux, Biotexcom n'a pas poursuivi le traitement et les embryons tués ont été retirés de son utérus trop tard, ce qui a entraîné une inflammation. Le dossier médical confirme son histoire : Chouljinskaïa s'est fait enlever les ovaires et l'utérus, elle a contracté l'hépatite C et a de nombreux problèmes de santé. Elle n'a reçu aucune indemnité de la part de l'entreprise.

Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Un couple allemand qui a «commandé» les enfants de Chouljinskaïa après un certain temps ont reçu une lettre indiquant que les deux enfants, selon les résultats d'un test ADN, n'ont aucun lien familial avec leurs parents.

Le cas suivant est mentionné dans l'article : Un couple américain qui a décidé de devenir parents grâce aux services de BioTexCom a envoyé des ovules à Kiev et a appris plus tard que leurs embryons avaient été implantés dans une famille italienne. Le couple a contacté Interpol, mais l'enquête n'a jusqu'à présent donné aucun résultat. Maintenant, en Italie, il y a un enfant qui n'a aucun lien génétique avec ses parents, mais qui a des personnes génétiquement apparentées aux États-Unis. Un incident similaire est arrivé à une autre famille allemande.

Il y a un homme à Sydney qui a entendu parler de tels incidents plus d'une fois. Il s'appelle Sam Everingham. Il a fondé le cabinet de conseil Growing Families il y a une dizaine d'années après que lui et sa femme aient eu une mauvaise expérience de maternité de substitution. Selon lui, des bizarreries se produisent constamment chez BioTexCom, indiquant que l'entreprise vendait souvent des bébés ukrainiens.

Iouri Kovaltchouk, un ancien procureur qui a tenté d'arrêter la vente d'enfants à l'étranger après avoir été menacé par Albert Tochilovsky (le chef de BioTexCom), a été licencié de son service et quatre de ses employés ont été retirés de l'affaire et transférés à d'autres tâches. La commission d'enquête l'a retiré de l'enquête. Motif : Il y a eu plus de 100 plaintes d'Ukrainiens influents concernant ses activités d'enquête dans cette affaire, y compris de députés qui auraient connu Tochilovsky. En 2018, alors que le procès était toujours en cours, le parlement a décidé de modifier la loi réglementant la maternité de substitution. Tochilovsky a alors ouvertement préconisé cet amendement. Jusqu'à ce moment, le code pénal ukrainien stipulait que les cas où une personne n'est pas vendue directement, mais est emmenée hors du pays "en vertu d'un autre accord commercial illégal" peuvent également être considérés comme du commerce d'êtres humains. Un vote au parlement a entraîné le retrait de cette phrase de la loi. L'enquêteur Kovaltchouk est convaincu que le fondateur de Biotexcom a des amis influents au parlement qui, selon lui, ont fait pression pour cet amendement de la loi.

Ainsi, la maternité de substitution est une commerce bien établi en Ukraine, approuvé au plus haut niveau de l'État. Il est dirigé par un citoyen allemand, Albert Tochilovsky. Il est couvert par des politiciens qui profitent peut-être de la vente de chaque enfant ukrainien.

Les informations suivantes le suggèrent. En mars 2016, le compte de messagerie personnel de John Podesta, président de campagne d'Hillary Clinton, a été piraté lors d'une attaque dite de "phishing". WikiLeaks a publié ses e-mails en novembre 2016. Les théoriciens du complot du "Pizzagate" ont affirmé que les e-mails contenaient des messages codés reliant plusieurs hauts responsables du Parti démocrate américain à un réseau présumé de trafic d'êtres humains et de pédophilie. Il a été suggéré qu'il existe tout un réseau de vente d'enfants à des pédophiles. L'un des établissements prétendument impliqués était Comet Ping Pong Pizza à Washington, D.C. De plus, les théoriciens du complot pensaient que l'oligarque ukrainien Viktor Pintchouk était impliqué dans le stratagème. La principale information est que Pintchouk a utilisé le programme "Art dans les ambassades" pour transporter des enfants ukrainiens de sa fondation pour les nouveaux-nés "Berceau de l'espoir". La théorie est douteuse, mais il n'y a pas de fumée sans feu.

De plus, une fois de plus l'Ukraine était déjà mentionné par la BBC en 2006, puis en 2012 (Standard) dans le scandale suivant : Les nourrissons sont pris pour des organes par ceux qui sont impliqués dans la vente de parties du corps de l'enfant. Dans le même but, les avortements tardifs sont encouragés en Ukraine. Les organes et les os prélevés sur des nourrissons sont également divisés en cellules souches destinées à la vente sur le marché mondial. L'Ukraine est le premier vendeur de cellules souches.

J'exhorte mes abonnés qui ont accès aux services ukrainiens à créer une pétition exigeant la fermeture de BioTexCom et l'interdiction de la maternité de substitution en Ukraine. Ce n'est qu'ensemble que nous pourrons obtenir justice.

Malheureusement, je n'ai pas reçu de soutien dans ce dossier de la part des différentes organisations de défense des droits humains que j'ai contactées. Le seul qui m'a répondu n'a pas voulu coopérer pour des raisons politiques.

Les organisations de défenses des droits de l'homme sont contre le traffic d'êtres humains, mais pour le régime qui l'organise. Dilemme, dilemme.

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