Comment c'était au boulot bébé

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Comment c'était au boulot bébé

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Comment s'est passé votre reprise du travail?


Dernière réponse:
13 octobre 2005 à 11h42


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Bonjour, Je reprends le travail dans 4 semaines et rien que d'y penser j'en ai les larmes aux bords des yeux!!! Je sais que ça va être très très dur de me séparer de ma fille, de ne plus passer tous ces moments avec elle, de n'en profiter que le soir et le we, de rater plein de "premières fois que"!!! Je voulais savoir comment c'était passé votre retour au travail à vous? Peut-être que vos témoignages m'aideront à surmonter ce moment?!!! De plus, je me demandais comment vous vous organisiez pour gérer bb, mari et maison sachant que je ne rentrerai pas avant 19h-19h30 le soir? Si vous avez des trucs, des astuces ou des conseils, je suis preneuse! Merci d'avance Bises rayhane et jihane (3 mois)
Ben pour ma part.. pas super bien, pdt le premier mois je n'ai pas été capable de l'amener,(c'est mon mari uqui s'en est occupé) et TOUS les jours devant mes cliens, je pleurais.. une simple question sur le mode de garde de ma fille et hop... incontrolable.. on aurait dit une folle.. devant les voisins, au supermarché.... Ce qui a aussi,c'est que ça se passait moyennenement avec la nounou, mais bon, 1,5 mois plus tard,je ne pleure plus mais je speede toute la journée pour VITE la récupérer... J'en étais meme arrivéeà me dire que nous étions des égoistes avec mon mari, que si nous avions pas acjheté notre maison (avant meme la conception de Marie!!) nous pourrions vivre sur un seul salaire et donc je pourrais garder notre pucette... Pour l'organisation , ben faut que dès que vous arriviez, après avoir pris un petit moment pour vous détendre ensemble, l'un donne le bain, l'autre prépare la popote... Bon courage, tout se passera bien.. Bises fanfan et marie 5 mois
Ça c'est très bien passé les 3 fois bon, les circonstances étaient peut-être différentes, je n'ai pas lâché mes pious-pious dans la nature à 8 semaines... bb1 : congé parental de 3 ans, mais j'ai craqué au bout de 18 mois, j'en pouvais plus d'être enfermée chez moi bb2 : retour au boulot à ses 6 mois bb3 : retour au boulot à ses 8 mois ça c'est bien passé à chaque fois, il était ultra-clair dans ma tete et dans la leur que ma place était au boulot et que la leur était à la crèche iom, jamais de boule à la gorge, ni de larmes aux yeux
Ça c'est très bien passé les 3 fois bon, les circonstances étaient peut-être différentes, je n'ai pas lâché mes pious-pious dans la nature à 8 semaines... bb1 : congé parental de 3 ans, mais j'ai craqué au bout de 18 mois, j'en pouvais plus d'être enfermée chez moi bb2 : retour au boulot à ses 6 mois bb3 : retour au boulot à ses 8 mois ça c'est bien passé à chaque fois, il était ultra-clair dans ma tete et dans la leur que ma place était au boulot et que la leur était à la crèche iom, jamais de boule à la gorge, ni de larmes aux yeux
Les lacher tôt finalement je crois que d'une certaine façon,c'est mieux!Moi ça fait 7mois que je garde ma fille,alors c'est clair que je suis collée à elle,et que ça me déchire le coeur de la laisser!!! Je ne sais pas comment ça va se passer pour l'organisation car j'ai un job de ... avec des horaires de ... et une hiérarchie de ... !!En plus c'est loin de chez moi,bref...Alors avec ça,je suis mal barrée pour ma reprise dans 1mois Bon courage à celles pour qui l'échéance approche aussi. Liz' et Camille 7mois et 10jours qui commence l'adaptation en crêche le 24/10
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Les lacher tôt finalement je crois que d'une certaine façon,c'est mieux!Moi ça fait 7mois que je garde ma fille,alors c'est clair que je suis collée à elle,et que ça me déchire le coeur de la laisser!!! Je ne sais pas comment ça va se passer pour l'organisation car j'ai un job de ... avec des horaires de ... et une hiérarchie de ... !!En plus c'est loin de chez moi,bref...Alors avec ça,je suis mal barrée pour ma reprise dans 1mois Bon courage à celles pour qui l'échéance approche aussi. Liz' et Camille 7mois et 10jours qui commence l'adaptation en crêche le 24/10
Ben, je les ai "lâchés" à 7 mois, et ça m'a jamais déchiré le coeur retourner au boulot, voir d'autres têtes, ça m'aère la tete, et la sienne! ps : si y'en a qui ont l'intention de m'annoncer que je suis une mère indigne, vous fatiguez pas, JE LE SAIS!
Merci hello, je voulais vous remercier pour votre réconfort et vos conseils!! Bonne continuation rayhane et jihane (3 mois dimanche)
J'ai repris il y a trois jours Mon piou piou a 4 mois et demi et j'ai repris le boulot depuis lundi. Mais Axel est encrèche depuis le 21 septembre. J'ai volontairement choisi de reprendre plus d'une semaine après lui pour deux raisons : Avoir une période d'adaptation plus longue à la crèche pour qu'il puisse d'habituer en douceur (je lui faisais faire des petites journées puis j'ai progressivement augmenté les horaires) et ça s'est super bien passé. Deuxièmement, avoir aussi un peu de temps pour moi et en profiter pour faire des trucs sympas sans culpabiliser de laisser mon fils à la crèche pendant que j'allais faire du shopping, déjeuner avec les copines...Ainsi ma reprise au boulot s'est faite en extrême douceur. Axel se sent super bien à la crèche et le voyant serein, je suis sereine aussi. Donc un conseil, si tu peux avoir une période d'adaptation plus longue, n'hésites pas !! C'est que du bonus, comme lui comme pour toi ! Quand à l'organisation, je rentre plus tôt que toi mais je suis souvent seule à m'occuper de maon loulou puisque zhom rentre plus tard en général. Pour l'instant, je dirais que je suis encore en rodage Pas facile de tt gérer en même temps. POur le moment, Axel passe avant tout. Je joue un peu en rentrant, bain, bib et dodo vers 20h. Après j'avise selon les forces qu'il me reste... Bon courage et pas trop de stress Titiro

Publié le 4 sept. 2020 à 8:00 Mis à jour le 5 sept. 2020 à 18:19
Les astronautes de la station spatiale chinoise ont accueilli un nouveau module nommé « Wentian ». C'est le deuxième engin envoyé par l’agence spatiale chinoise. Il doit permettre à l’Empire du Milieu de mener des expériences en sciences de la vie et en biotechnologie. Un troisième module sera lancé en octobre. La station spatiale chinoise devrait être opérationnelle d’ici la fin de l’année.
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Ils ont décidé d'un gros changement dans leur vie, pour le meilleur et pour le pire. Exit les vacances, plongée dans le quotidien de jeunes cadres, entre biberons et réunions.
A 21 heures, les parents peuvent reprendre le cours de leur vie. Ils soufflent un petit peu… avant de préparer une réunion ou répondre au mail envoyé dans l'après-midi par une journaliste. Le rendez-vous est fixé le lendemain avec Sabrina, une jeune mère de 35 ans, avocate dans un cabinet d'affaires. « D'ici là, je vais essayer de dormir car mes deux bébés (2 ans et 11 mois) ne me laissent pas tranquille » , écrit-elle, par mail. Sabrina n'a en effet pas connu une nuit complète depuis deux ans. Les raisons ? Un boulot plus que prenant et deux enfants en bas âge. Avant même la galère du télétravail et du confinement ( lire notre article sur le sujet ), sa vie s'est transformée.
A peine le petit Nael arrivé, qu'une Lilia était déjà en route. « Je suis revenue de congé maternité enceinte » , confie-t-elle. Première réaction ? « Merde, pour le boulot, ça va être compliqué. » Mais vite raisonnée, Sabrina s'est lancée dans cette nouvelle aventure. « Comme je suis passionnée par mon travail, j'allais plaider les dossiers importants et je déléguais le reste » , explique-t-elle. Un rythme tout de même effréné pour cette jeune maman qui n'a jamais vraiment décroché, au point d'aller plaider la veille de son accouchement. Aujourd'hui, aidée par une nounou et son mari, directeur de projet dans une entreprise, elle se force à rentrer plus « tôt » du boulot, aux alentours de 19 h 45 pour être avec ses deux enfants. « Je privilégie la qualité du temps passé avec eux plutôt que la quantité. Ce sont des moments où je suis pleinement avec eux » . Et pour rattraper ce qu'elle manque, elle travaille désormais… le dimanche matin. Moment où son mari prend le relais, de même le soir lorsque la jeune mère doit rester au boulot. Mais la charge mentale reste très présente et les enfants ont tendance à réclamer en priorité leur mère.
Comme Sabrina, le quotidien de jeunes parents est loin d'être toujours rose. Au-delà des nuits raccourcies, des biberons et autres couches, c'est de jongler entre le boulot et la vie personnelle qui reste le plus compliqué. Chez Elise et Sébastien, tout a changé avec la naissance de leurs filles de 4 ans et 18 mois. Elle est cadre dans les ressources humaines, lui, consultant indépendant. Depuis la naissance de sa seconde fille, la maman est désormais à 80 % pour se libérer une journée avec ses enfants. « J'ai regretté de ne pas voir grandir ma première fille » , explique-t-elle. Même si son temps de travail a été officiellement réduit, ainsi que son salaire, elle ne travaille pas moins pour autant, « mes journées sont plus intenses » , reconnaît-elle. Heureusement pour le couple, une invention des temps modernes a changé la donne : le télétravail. Tous les deux travaillent de la maison le vendredi, réduisant ainsi leurs frais de garde -qui s'élèvent à environ 1.000 euros par mois en nounous- et l'un d'entre eux peut aller chercher la grande à l'école, à « l'heure des parents » à 16 h 30.
Avec le télétravail qui s'est développé à la faveur de la crise sanitaire, certains parents ont pu grappiller un peu de sommeil sur les temps de préparation et de transport du matin. Une étude anglaise a pointé que les jeunes parents dormaient en moyenne 4 h 44 par nuit, 59 % de moins que les 8 heures généralement préconisées. Chez Carlo, associé avec sa femme dans deux TPE et père d'une petite fille de deux mois, c'est encore moins. « Avec les trois biberons la nuit, on dort 3-4 heures par nuit week-end inclus. Même si avant on avait un rythme de sommeil court, autour de six heures, là c'est plus difficile à gérer. Heureusement, c'est temporaire » , veut-il se rassurer.
On arrive, on fait des réunions et le sujet, au départ, vous semble à des années-lumière de vos préoccupations quotidiennes.
Pour ces trentenaires, leurs congés parentaux s'apparentent plutôt à un « congé télétravail » . Carlo va prendre ses onze jours de congé paternité à la fin du mois, mais « je ne me voile pas la face, même si je ne serai pas du tout au bureau, je continuerai à suivre mes mails » , explique-t-il. Sauf qu'il faudra bien un jour lever le pied, reconnaissent-ils. Et c'est déjà prévu : ils vont très prochainement recruter pour se dégager du temps et s'occuper de leur petite fille.
« Avec l'ère de la digitalisation, c'est plus facile. Je ne sais pas comment faisaient nos parents avant » , poursuit Sophie*, 35 ans, cadre dans la communication, qui peut aisément répondre à ses mails à tout moment ou avoir son ordi sur les genoux dans les transports.
Peur d'être placardisées, de devoir gérer les remarques employeurs, et de perdre en efficacité, ce qui inquiète surtout ces jeunes mères, c'est le retour du congé maternité. « Le premier mois, c'est horrible : c'est comme si vous débarquiez dans un nouveau boulot , explique Mathilde, 33 ans, manager marketing dans une grande entreprise, mère d'un petit bout de 17 mois et enceinte du deuxième. On arrive, on fait des réunions et le sujet, au départ, vous semble à des années-lumière de vos préoccupations quotidiennes. »
Au cours de ses douze années de travail, plusieurs recruteurs n'ont pas hésité à demander à Sophie si elle avait prévu d'avoir des enfants… Une question discriminante et surtout illégale, passible de 45.000 euros d'amendes et trois ans de prison. Dans son ancien boulot, ses supérieurs étaient très regardants sur les horaires et finir à 18 h 30 avait tendance à être « mal vu » . Même si, en France, le temps de travail a été réduit avec la mise en place des 35 heures au début du siècle, une étude de l'Insee révèle que 40 % des cadres vont au-delà de 40 heures de travail hebdomadaires, et que 24 % dépassent les 45 heures .
Un rythme ardu à tenir « quand on doit encore faire ses preuves » , surtout à 28 ans, âge auquel Sophie a eu son premier enfant. En particulier quand il faut allaiter : « Il a fallu demander un frigo performant au travail et une salle pour tirer mon lait, se souvient-elle. Et difficile de rester discrète vis-à-vis des collègues lorsque tout le monde te voit débarquer avec ta mini-valise de matériel. »
En même temps, la pression (sociale et personnelle), encore plus avec la crise, est grande pour rester au top, sur tous les fronts. Raison pour laquelle, les femmes cadres ont tendance à retarder la maternité pour consolider leur situation professionnelle. Elles ont en moyenne leur premier enfant à 33 ans, contre 30 pour femmes ouvrières ou employées, note l'Insee . « Il faut être une bonne mère et toujours performante au bureau. On trouve des ressources qu'on n'imaginait pas. L'être humain s'habitue à tout » , remarque Sophie. Être une superwoman, en somme, avant de se rendre compte qu'on ne peut pas tout gérer. Aujourd'hui dans une autre entreprise et mère d'un deuxième enfant, elle relativise : « Si une journée, j'ai une baisse de régime au travail, tant pis. Alors qu'avant, cela me minait, et je me disais que j'allais me faire virer. »
Comme Sophie, Sabrina, l'avocate, a dû encaisser les remarques de ses confrères : « Tu as fait la grasse matinée ce matin ? » Et parfois, la pression est plus vicieuse. Alors enceinte de jumeaux, avec une grossesse difficile, Julie*, aussi avocate, a dû s'arrêter plus tôt. Elle a négocié avec ses médecins de décaler son arrêt de travail deux semaines plus tard. « J'avais un sentiment de culpabilité envers mon travail. Mais finalement, c'était une très mauvaise idée car j'ai terminé mes dossiers à la hâte. Après, le cabinet n'arrêtait pas de m'appeler pour me faire des reproches » , explique-t-elle.
« J'étais le seul papa dans une start-up d'une trentaine de personnes. Quand je partais tôt, j'étais un peu gêné, je n'avais pas de remarques, mais je sentais une pression sociale insidieuse » , se souvient Laurent, 35 ans, jeune père de quatre garçons. Pour les fondateurs, hors de question aussi, de télétravailler. Depuis quelques mois chez Payfit, une fintech française, Laurent jouit avec son dernier-né de son congé parental de quatre semaines, scindé en deux pour s'occuper des enfants durant les vacances scolaires. Payfit fait en effet partie des 334 entreprises françaises qui ont prévu un congé plus long que les 11 jours réglementaires pour le second parent. « Je sens clairement la différence , avance ce jeune cadre, qui a annoncé juste avant de rejoindre l'entreprise que sa femme attendait leur quatrième enfant. On voit vite l'ADN d'une boîte quand on fait ce genre d'annonce et je n'ai pas senti une once d'inquiétude. »
Pour gérer leurs garçons, de 6, 4, 2 ans et le dernier, deux mois, le couple s'est muni d'une nounou à temps plein. Sa femme, qui travaille chez Microsoft, est encore en congé maternité. Pour gérer leur tribu, ils déboursent environ 2.000 euros par mois en nounou et baby-sitters. La plupart des parents sont unanimes, se faire aider, tout comme dialoguer avec son conjoint pour mieux anticiper sont les clés d'une bonne organisation. « Sans mon conjoint, je n'aurai jamais réussi à gérer carrière et vie de famille. Le point saillant là-dessus, c'est le besoin de solidarité » , explique Sophie, la directrice dans la communication, qui fonctionne au quotidien avec une boucle Whatsapp, où parents, frères et amis se relaient en cas d'urgence.
Se dire que notre vie ne va pas être bouleversée est une pure croyance
Reste que tous sont catégoriques, leur vie sociale a pris un sacré coup, en particulier durant les premières années. Entre boulot, enfants, couple et amis, il faut prioriser, quitte à réajuster au fil du temps et des circonstances, constatent les jeunes parents. « Avec mon mari, on recommence tout juste à se refaire un restau , glisse Sabrina, l'avocate. Du côté des sorties le week-end en famille, c'est le branle-bas de combat : « Quand on part avec deux bébés, on vit un déménagement » , poursuit-elle. Et puis même sortir tout court ressemble au parcours du combattant. « Avec une poussette pour jumeaux, vous n'avez même pas la place pour vous asseoir en terrasse, d'avancer sur le trottoir sans se prendre des poubelles et encore moins prendre les transports en commun » , se désole Julie, l'avocate, mère de jumeaux, qui s'est déjà fait insulter par des conducteurs de bus parce qu'elle « prenait trop de place… »
Heureusement, dans le quotidien de la parentalité, difficile en particulier les premières années, quelques rayons de soleil se dessinent. « Mes enfants font mon bonheur et je suis épanouie dans mon boulot. Un gamin, c'est une joie de vivre, un pilier, cela apporte énormément d'amour et d'affection » , témoigne Sabrina, avec enthousiasme. « Se dire que notre vie ne va pas être bouleversée est une pure croyance » , poursuit Carlo, qui, en contrepartie, ne peut s'empêcher de se ravir de sa petite Tiara. « Je ne comprenais pas mes amis papa qui montraient la photo de leur enfant à tout bout de champ… » Désormais, il fait exactement pareil.
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