Comme un gavage d'oie 12

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Comme un gavage d'oie 12











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Accueil du site > ActualitĂ©s > SociĂ©tĂ© > Le Gavage des oies : n’y a-t-il pas d’autres problĂšmes bien (...)


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84 réactions à cet article  

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Sachant comment elles sont gavĂ©es, comment peut-on encore dĂ©guster ce foie gras au 21 iĂšme siĂšcle ? N'est-il pas vrai que ce sont des ĂȘtres sensibles ?
POURQUOI CE CONSTAT A PRIORI SI RAISONNABLE EST-IL SI IRRITANT ?
En fait, d ’un cĂŽtĂ© nous soutenons financiĂšrement (ou nous ne faisons rien contre) tous ceux qui font souffrir inutilement des millions de bĂȘtes dont nous achetons la viande et, de l’autre cĂŽtĂ© , nous nous donnons le beau rĂŽle moralisateur en dĂ©nonçant (chez les autres) telle ou telle pratique a priori choquante, mais bien plus rare et bien moins grave que ce que nous faisons (ou laissons faire) tous les jours Ă  des millions d'animaux.
TOUT ACTE D'ACHAT EST UN ACTE POLITIQUE,
Pour obtenir, en France, de la viande (bovine, ovine, porcine, de volailles,
) Ă  bas prix, il faut dĂ©jĂ , Ă  la base, nourrir les animaux Ă  bas prix. Avec par exemple du soja importĂ© d’AmĂ©rique Latine, ou les cultures sont faites sur des millions d’hectares pris sur la forĂȘt et volĂ©s (lĂ©galement) Ă  des populations indigĂšnes qui, elles, crĂšvent de faim car elles n’ont plus de terres et sont repoussĂ©es plus loin dans ce qui reste de la forĂȘt, ou bien dans des bidonvilles.
La vie des truies dans nos « usines de production de porcelets »
Rappelons tout d'abord que les porcs font partie des rares espÚces chez qui la conscience de soi est clairement avérée

Dans ces « usines », on rentabilise la production en rĂ©duisant les truies Ă  ĂȘtre des outils utĂ©rus-mamelles de production de porcelets.
Ces truies vivent confinĂ©es dans un espace tellement rĂ©duit qu’elles ne peuvent mĂȘme pas y faire demi-tour. Cela ne nous gĂšne guĂšre ! L'important est le prix au kilo de viande...
La mise à mort des cochons dans nos usines d’abattage.
Les porcs sont aussi des ĂȘtres intelligents, qui souvent comprennent ce qui va se passer alors qu’ils sont dans la queue pour l’abattage
 leurs cris d’effroi et leurs tentatives pour s’échapper n’y feront rien

La vie et la mort de nos volailles bon marché.
La promiscuitĂ© et les conditions de vie sont Ă©pouvantables. Souvent, les volailles n’auront jamais vu la lumiĂšre du jour, de toute leur vie !
Quand on achĂšte une volaille plumĂ©e (mĂȘme avec ''labels''), souvent, on voit des taches de sang sous la peau : cela signifie que la blessure a Ă©tĂ© faite du vivant de l’animal. On s’en moque
 et, par habitude, on rachĂštera les poulets du mĂȘme producteur !
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Et, tandis que nous militons contre le gavage des oies, que faisons-nous pour que les conditions de vie et de mise à mort de la masse énorme (de dizaines de millions d'animaux chaque année) soient effectuées de maniÚres cohérentes avec les Valeurs auxquelles nous prétendons adhérer ?
La mise Ă  mort des bovins dans nos abattoirs.
Nous le savons, n'est-ce pas, que beaucoup des viandes que nous achetons proviennent d'animaux qui ont Ă©tĂ© Ă©gorgĂ©s sans Ă©tourdissement prĂ©alable, comme l'exige pourtant la Directive EuropĂ©enne de 1993 : «  l'animal doit ĂȘtre Ă©tourdi avant abattage ou mis Ă  mort instantanĂ©ment. » (Note : en France, on lĂ©gifĂšre lĂ -dessus depuis 1974... avec quelle rĂ©elle volontĂ© d'aboutir ?)
La rentabilité est en effet bien meilleure si l'on fait l'économie de la phase préliminaire de mise hors conscience. Et en outre, cela simplifie le processus en abattoir. On produit donc une viande à coût moindre.
Que je sache, il n'existe aucun texte religieux fondamental qui prescrirait le non-étourdissement préalable à la mise à mort. Exigence qui ne serait normalement d'ailleurs pas recevable en France.
Sans doute y a-t-il de bienveillantes tolĂ©rances... Tout cela avec quelle Éthique ? avec quelle transparence ? Avec quelles statistiques ? Quel suivi ? Quelle information du public ?
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Une bonne partie de la viande que nous consommons est donc issue d’une bĂȘte qui a Ă©tĂ© Ă©gorgĂ©e sans Ă©tourdissement prĂ©alable. Et ce n'est pas indiquĂ© sur l'emballage ! Mais pourquoi donc ? N'est-ce pourtant pas une pratique immorale ? honteuse ? malhonnĂȘte ? criminelle ?
Ne conviendrait-il pas d'éclairer le consommateur par une pastille sur l'emballage qui précise les conditions de vie et de mise à mort de l'animal dont on achÚte la chair ?
N'est-il pas légitime de pouvoir choisir de ne PAS se nourrir de la chair d'un animal qui a été maltraité ?
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Pour affronter un problĂšme, il convient donc de s’occuper d’abord des choses importantes, avant de s’occuper des choses de moindre importance, qui devront bien sĂ»r ĂȘtre aussi affrontĂ©s en leur temps, avec une juste priorité  :
Le foie gras sans gavage, cela existe (en Espagne). Il est excellent me dit-on, bien que cher. Les espagnols l'exportent néanmoins sans difficulté. Il y a sûrement moyen de trouver et d'encourager une voie pour produire du foie gras en évitant le gavage, en traitant humainement les animaux, et en permettant aux agriculteurs de vivre dignement de leur travail.
Répétons que tout acte d'Achat est un acte Politique et un acte Moral.
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« Il y a sĂ»rement moyen de trouver et d’encourager une voie pour produire du foie gras en Ă©vitant le gavage, en traitant humainement les animaux,  »
c’est un peu comme un silence Ă©loquent , u ne douce violence, u n illustre inconnu , se hĂąter lentement ou l a voix du silence ...
On appelle ça de la dissonance cognitive !
Être humain, c’est basiquement, respecter les droits de l’homme. Traiter humainement des animaux revient donc Ă  traiter Ă©quitablement (et non Ă©galement) ceux ci, tels qu’on se le devrait (c’est dĂ©jĂ  pas encore gagnĂ©) d’humain Ă  humain.
Hors, ĂȘtre humain avec les autres ne consiste pas Ă  faire des autres des esclaves quel que soit le prĂ©texte, de les Ă©lever en vue de les manger durant l’adolescence alors que ce n’est pas indispensable, et surtout pas se dire qu’on va Ă©viter le gavage tout en essayant quand mĂȘme de continuer Ă  rendre leur foie malade, gras...
Mais voilĂ , de la mĂȘme façon qu’il y a des gens qui n’agissent pas avec humanitĂ© envers leur semblable et qui se foutent des consĂ©quences de leurs choix en dĂ©pit de ce qu’ils savent oĂč qu’on leur a dit (et ne s’efforcent mĂȘme pas de faire « au mieux »), il existe des gens qui trouvent toujours une excuse pour justifier du droit de jouir de leur plaisir gustatif de quelques instants, au dĂ©triment d’autres vies.
Voilà qui est clairement expliqué ! Merci
Le fois gras sans gavage, ce n’est pas du foie gras, par dĂ©finition. Et non dĂ©solĂ© ce n’est pas terrible. Je dirai mĂȘme que cela n’a pas grand intĂ©rĂȘt gustatif.
Le pb n’est pas le gavage, mais les conditions d’élevage, et si les oies (et surtout les canards) sont Ă©levĂ©es en cages, elles peuvent tout de mĂȘme sortir dehors plusieurs fois par jour, mĂȘme si depuis les Ă©pisodes de grippes aviaires, les temps de clostration sont malheureusement plus long, notamment pendant les migrations pour Ă©viter les contaminations externes.
En bref, oies et canards ont des conditions d’elevage bien moins dĂ©gradĂ©es que les poulets et porcs en batteries, ou mĂȘme les vaches laitiĂšres qui ne voient jamais un brins d’herbe.
< Le fois gras sans gavage, ce n’est pas du foie gras, par dĂ©finition .>
De Sousa en fait pourtant : http://lapateria.eu/
Le bĂ»cheron dĂ©bardeur d’antan pratiquait parfois sur son cheval de trait une saignĂ©e, entaillait une veine oĂč du « raisinė » de couleur presque noire jaillissait. Cette veine il la cauterisait ensuite et tout rentrait dans l’ordre. Couper une artĂšre, au cou par exemple, les litres de sang affluent, l’ĂȘtre ou l’animal va s’endormir trĂšs rapidement pour toujours Ă©videmment, sans souffrance aucune. ..tout juste peut-ĂȘtre mais cela personne pour le dire,une sensation diffuse de froid. Les convulsions et spasmes difficilement soutenables...un rĂ©flexe « mĂ©canique »je pense.
Le gavage de l’oie. ..une « obesification » forcĂ©e, je vois celle de genre sans effort,chez des semblables...et de tous pays,pour clore. Ah ,tant pis. ...mais la photo de votre Feuille, c’est une peluche non 
Avec une flĂšche, les MasaĂŻ prĂ©lĂšvent un peu du sang d’une veine du cou d’un veau, pour s’en nourrir. Et le veau est bientĂŽt relĂąchĂ©.
De la maniĂšre dont les animaux sont Ă©gorgĂ©s conscients dans les abattoirs, le sang gicle partout, et il est aussi aspirĂ© dans les poumons. Ça ressort aussi partiellement avec des bruits qu’on peut imaginer... 
La ’peluche’ , quant Ă  elle, ne se laissait pas approcher. J’ai dĂ» la photographier au zoom !
ComplĂ©ment. Vue « flash »tĂ©lĂ©visuelle, la mise a mort,trĂšs probablement maladroite, d’un chameau ou ressemblant ( la mise a mort a forcĂ©ment de bonnes raisons, du genre que l’animal ne sert plus dĂ» a son Ăąge. .) Cela se passe en pays arabes visiblement. L’homme prend la posture du bourreau mais plutĂŽt que la hache ou la barre de fer ( carrĂ©e la barre,pour que le supplice ne prenne pas fin trop vite en sectionnant ) il brandi ce qui pourrait ressembler a une serpe dite italienne,monumentale, mais insuffisante pour guillotiner au premier coup,la lame immense se stoppe sur des vertĂšbres decouvrant une effrayante Ă©paisseur de graisse blanchĂątre. ....il lui reste encore pas mal de turbin a faire au mec. LĂ , des souffrances,indubitablement.
< Là, des souffrances,indubitablement. >
Sans parler des cas oĂč l’animal reste Ă  demi-Ă©gorgĂ©...
J’ai vu la mĂȘme chose a propos des Masaī ! SacrĂ©s gaillards, une sagai leur suffit pour Ă©carter le lion prĂ©dateur. ...Moi l’occidentale faiblard,une 12,7 m’irait !
Je persiste. .plus de pression sanguine alimentant le cerveau,le cortex meurt.
Un homme sensible...me semble ĂȘtre la plus « implacable »nouvelle que Mirbeau Octave eut Ă©crit, a Ă©couter de prĂ©fĂ©rence sur littĂ©ratureaudio, un excellent donneur de voix, dĂ©funt, a grand plaisir a la lire de toute Ă©vidence.
C’est les bonhommes qui sont sensibles. ..les bĂȘtes. ..Octave en parle ailleurs. ..je crois qu’il dit simplement « leurs regards que l’on ne comprend pas »
< plus de pression sanguine alimentant le cerveau,le cortex meurt. >
mort par Ă©touffement >> plus d’air dans les poumons ... le cortex meurt.
Il y a aussi un petit appareil que l’on pose sur l’os du cortex, qui permet de tuer instantanĂ©ment l’animal, sans le stresser , et sans s’éclabousser de sang.
Mais ça prend un peu de temps. Et le temps, c’est de l’argent....
< les bonshommes qui sont sensibles. ..les bĂȘtes.... >
« Un chien qui meurt, et qui sait qu’il meurt comme un chien, et qui peut dire qu’il sait qu’il meurt comme un chien est un homme . » (Erich Fried)
La diffĂ©rence est mince entre le chien et l’homme ...
J’avais,au hasard des Ă©coutes sur littĂ©ratureaudio eu connaissance d’une intĂ©ressante nouvelle,Ă©mouvante au point que le donneur de voix en avait la voix Ă©raillĂ©e. ..peut-ĂȘtre Ă©tait-ce l’auteur que vous citer,il y avait cette phrase oĂč c’était le cheval dont il etait question « il ne sait pas qu’il peut ( ou va ) mourir demain » ( peut-on en dĂ©duire que toute bĂȘte ignore la notion de temps, vie l’instant prĂ©sent ? Une rĂ©plique,au cinĂ©ma cela devait ĂȘtre, un primitif a un occidentale « tu as a ton poignet une montre,moi j’ai le soleil » )
L’homme, un peu plus qu’un arbre, un peu moins qu’un chien. Flaubert. Gustave Ă©crira qu’il aimerait que plutĂŽt que ceremonies aprĂšs sa mort,il souhaite que son corps soit posĂ© sur un lit de feuilles au milieu des bois,ses restes,les petits oiseaux picoreront ( faut-il comme le conseille un trĂšs petit animal a Mirbeau Octave « vois-tu dans la vie il faut manger ou ĂȘtre manger » )
< peut-on en dĂ©duire que toute bĂȘte ignore la notion de temps, vit l’instant prĂ©sent ? > 
La croyance selon laquelle l’homme est par nature diffĂ©rent de l’animal dĂ©rive des religions du Livre. Cela ne tient pas la route.
Et ce point de vue est une absurditĂ© pour beaucoup d’autres religions. Et cela blesse aussi le bon sens.
L’homme est un animal parmi les autres. Entre l’homme et les autres animaux, il y a des diffĂ©rences de degrĂ©s .
Tous les animaux, humains ou non vivent l’instant prĂ©sent.
Beaucoup ont conscience de soi, et un bien plus grand nombre planifient les actes de la vie, s’organisent en groupes pour chasser ou se protĂ©ger ou vivre en communautĂ©. C’est vrai pour les Ă©lĂ©phants, dauphins, porcins, canins, etc etc et aussi des oiseaux, en particulier (mais pas seulement) de la famille des corvidĂ©s. Pour s’en convaincre, il suffit de les regarder vivre. On peut aussi rechercher des recherches scientifiques qui ont pris la peine de dĂ©montrer la chose.
... Faire bouger les consciences, dissonance cognitive... Sans aucun doute !
N’est-ce pas tout le systĂšme Ă©conomique qui est Ă  revoir, et les mentalitĂ©s qui vont avec ??...
[ Je pense que, pour nous, c’est foutu. Peut-ĂȘtre les prochaines gĂ©nĂ©rations..].
Nous autres vieux tromblons avons contribuĂ© Ă  tout cela, par nos actions ou inactions. Mais se pose aussi le problĂšme du poids rĂ©el du ’libre-arbitre’ pour nous autres, et pour tout le monde.
En Occident, je vois les Valeurs que vĂ©hicule le SystĂšme Ă©conomique comme une excroissance affadie du SystĂšme de pensĂ©e religieux. Le systĂšme Ă©conomique reprend la foi inĂ©branlable dans un futur meilleur (la croissance Ă  l’infini) et le principe de l’individu libre et indĂ©pendant dans l’Univers (l’individualisme effrĂ©nĂ©). La diffĂ©rence entre le SystĂšme religieux et le SystĂšme Ă©conomique, c’est que ce dernier n’a aucune morale. Et on vit ainsi sur deux pieds dont un est dĂ©pourvu de chaussure.
Sans doute faudra-t-il aller globalement dans le mur avant que ça bouge.
« en traitant humainement les animaux, »
Commençons par traiter humainement les hommes.
566 morts de froid et de faim dans la rue.
Ils ne mangeaient pas de foie gras...
< Commençons par traiter humainement les hommes. >
Avec l’augmentation du nombre de malheureux, il est effrayant de constater l’augmentation de l’indiffĂ©rence et de l’égoĂŻsme.
Ceci en contradiction avec les Valeurs morales auxquelles nous prétendons adhérer.
Dans la haute vallée de la Garonne, ma grand-mÚre était obligée de repousser les canards quand elle les gavait !... Ils en redemandaient tous !...
C’était fait manuellement et avec toute la dĂ©licatesse possible... Une vingtaine de canards chaque annĂ©e et seulement pour la famille...
C’était un produit rare et trĂšs cher pour la majoritĂ© des Français. Aujourd’hui, tout le monde en veut et tout le monde dĂ©plore l’industrialisation des Ă©levages et du gavage !
Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes !
<  tout le monde en veut et tout le monde dĂ©plore l’industrialisation des Ă©levages et du gavage >
« 
(...) toute solution technique que les sciences prétendent
apporter sera incapable de résoudre les graves problÚmes du monde
si l’humanitĂ© perd le cap, si l’on oublie les grandes
motivations qui rendent possibles la cohabitation, le sacrifice,
la bontĂ©. De toute façon, il faudra inviter les croyants Ă  ĂȘtre
cohérents avec leur propre foi et à ne pas la contredire par leurs
actions (
). »
« 
Il ne sert à rien de décrire les symptÎmes de la crise écologique,
si nous n’en reconnaissons pas la racine humaine. Il y a une
maniĂšre de comprendre la vie et l’activitĂ© humaine qui a dĂ©viĂ©
et qui contredit la rĂ©alitĂ© jusqu’à lui nuire. »
« 
Personne ne prétend vouloir
retourner Ă  l’époque des cavernes, cependant il est
indispensable de ralentir la
marche pour regarder la rĂ©alitĂ© d’une autre maniĂšre, recueillir
les avancĂ©es positives et durables, et en mĂȘme temps
récupérer les valeurs et les grandes finalités qui ont été
détruites par une frénésie mégalomane. »
Mais l’ignorance des gens n’est pas toujours volontaire et dans ce monde de marchands et de publicistes qui savent flatter les Ă©goĂŻsmes jusqu’à en faire des normes, il faut, certes, secouer les consciences mais Ă©galement discerner et dĂ©noncer les mĂ©canismes qui conduisent Ă  cette ignorance et Ă  ces faiblesses...
« Il nous faut refaire des hommes libres ! » disait Bernanos...
"Dans la haute vallée de la Garonne, ma grand-mÚre était obligée de
repousser les canards quand elle les gavait !... Ils en redemandaient
tous !...
je confirme. Pareille mĂȘme chose avec des oies Ă  Barcelonne du Gers en 1968. Elles attendaient leur tour pour venir entre nos jambes se faire gaver...
À Lectoure, oĂč vivaient mes autres grands-parents, j’ai plusieurs fois accompagnĂ© une tante qui achetait ses volailles et ses canards gras dans une ferme voisine : on entendait les mouches voler pendant le gavage ! Aucun stress...
Ce genre de polĂ©mique est Ă  la mesure de la dĂ©connexion des Français d’avec les rĂ©alitĂ©s de la production agricole...
Dommage qu’ils ne dĂ©noncent pas plutĂŽt le gavage mĂ©diatique tous azimuts dont ils sont victimes !
< Dommage qu’ils ne dĂ©noncent pas plutĂŽt le gavage mĂ©diatique tous azimuts dont ils sont victimes ! >
C’est un gros problĂšme. Qui est aggravĂ© par le fait que ledit gavage prĂ©sente une trĂšs faible diversitĂ© de vues sur certains sujets, une quasi homogĂ©nĂ©itĂ© trĂšs ’comme il faut’.
Pour le connard de citadin industrialisé qui à moinsé mon précédant com :
Et encore, il s’agit-lĂ  d’une ferme oĂč l’on Ă©lĂšve plusieurs centaines de canards pour la vente... En Ă©levage familial, c’est encore p
Plan Ă  trois d'Italiens chauds
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Ma soeur se masturbait et je l'ai prise par surprise

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