Colombienne encaisse comme une pro

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«JE SUIS fier trÚs fier d'eux. » Le 25 novembre dernier, aprÚs une honorable défaite (0-3) au 7 e tour de la Coupe de France devant Caen (Division II), Armand Bouzaglou posait un regard ému sur ses joueurs. L'avenir s'annonçait radieux. Tous, y compris l'entraßneur aux cheveux bouclés, pensaient que cette confrontation face à un club professionnel servirait les desseins de son équipe. On osait parler de montée en CFA 2, de départ vers des équipes plus huppées pour quelques éléments prometteurs. Tous ont rapidement déchanté. Un mois et demi aprÚs son 7 e tour historique, la Colombienne a tout perdu. Ou presque. Eliminée par Antony en Coupe des Hauts-de-Seine ­ dont elle était tenante du titre ­ puis par l'Entente Sannois-Saint-Gratien en Coupe de Paris, elle n'a aujourd'hui, selon Bouzaglou, d'autre ambition en championnat que le maintien (!) aprÚs trois défaites consécutives. « Armand a raison quand il dit que, pour l'instant, c'est la plus mauvaise saison de la Colombienne depuis qu'il est là (NDLR : 1990) », concÚde le milieu de terrain Frédéric Ndjikeu.
« On a été trop faciles, suffisants »
Le constat est terrible. L'Ă©quilibre collectif façonnĂ© par plusieurs annĂ©es de travail en commun n'a pas rĂ©sistĂ© aux lumiĂšres d'un bon match face Ă  une D II. « On a pris la grosse tĂȘte », lĂąche sans ambages Ndjikeu. « On a Ă©tĂ© trop faciles, suffisants », ajoute le capitaine AbdĂ© Fariad. Preuve de ce relĂąchement mental, les onze buts encaissĂ©s lors d'un cruel mois de dĂ©cembre. « DĂ©jĂ  en encaisser quatre face au Racing (4-4), j'ai trouvĂ© ça bizarre, se souvient Ndjikeu. On Ă©tait incapables de protĂ©ger le but de David Bienvenu. Le groupe s'Ă©tait dĂ©suni, personne ne tirait dans le mĂȘme sens. » Quelques tensions apparaissent alors au sein du groupe. Les leaders ­ Angebert (cheville), Blanchard (genou), Ndjikeu et bien sĂ»r Bienvenu (dĂ©part Ă  Lens) ­ quittent le navire malgrĂ© eux au moment oĂč il commence Ă  tanguer. « C'est une accumulation de choses, dit Bouzaglou pour expliquer le passage Ă  vide de son Ă©quipe. Quand j'ai vu les dĂ©gĂąts de la Coupe de France sur les joueurs, je me suis dit que ça allait ĂȘtre trĂšs dur. L'Ă©quipe Ă©tait fatiguĂ©e mentalement, physiquement et, en plus, les blessures sont arrivĂ©es. Aujourd'hui, j'ai pu le constater Ă  l'entraĂźnement mardi, oĂč pour la premiĂšre fois depuis longtemps tous Ă©taient prĂ©sents. Ã?a va mieux. On va repartir. » Le dĂ©placement Ă  l'ArmĂ©nienne dimanche apparaĂźt comme un premier test. « Je suis confiant, affirme AbdĂ© Fariad. L'an dernier, nous Ă©tions derniers Ă  la trĂȘve, mais nous n'avions pas perdu un seul match lors de la deuxiĂšme partie du championnat. »
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Doctorant Ă  l’universitĂ© Jean-Moulin-Lyon-3 et juriste en droit des affaires
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Un gouverneur indigĂšne et deux autres civils auraient perdu la vie dans une opĂ©ration prĂ©sentĂ©e par l’armĂ©e colombienne comme visant des guĂ©rilleros membres d’une faction des ex-FARC.
Au lendemain de l’annonce par l’armĂ©e colombienne d’une opĂ©ration Ă  la frontiĂšre avec le PĂ©rou qui aurait tuĂ© onze guĂ©rilleros, Oscar Daza, le porte-parole de l’Organisation nationale des peuples indigĂšnes de l’Amazonie colombienne (Opiac) a dĂ©clarĂ©, lors d’une confĂ©rence de presse, mercredi 30 mars, que « les personnes tuĂ©es par l’armĂ©e n’étaient pas des guĂ©rilleros, mais des civils, y compris des camarades indigĂšnes ».
Selon l’Opiac, parmi les onze victimes prĂ©sentĂ©es par l’armĂ©e comme Ă©tant des rebelles dissidents des ex-FARC qui ont rejetĂ© l’accord de paix de 2016 figurent un gouverneur indigĂšne local, un chef de communautĂ© et sa femme. L’organisation n’apporte pas de dĂ©tails sur les huit autres personnes supposĂ©ment tuĂ©es lors des combats.
Human Rights Watch a Ă©galement confirmĂ© que « pendant l’opĂ©ration de l’armĂ©e, le gouverneur indigĂšne, le leader communautaire et sa femme ont Ă©tĂ© tuĂ©s » . « Il y a un besoin urgent de clarifier les faits » , a dĂ©clarĂ© Juan Pappier, chercheur principal de l’ONG pour les AmĂ©riques.
Le Bureau du mĂ©diateur (Ombudsman) a reçu la plainte formulĂ©e par l’Opiac, qui rappelle qu’ « un adolescent de 16 ans » figure parmi les victimes et a Ă©galement appelĂ© les autoritĂ©s Ă  « clarifier rapidement » les faits.
Mardi, le gĂ©nĂ©ral Alberto Rodriguez avait expliquĂ© que les onze personnes tuĂ©es Ă  Puerto Leguizamo, dans le dĂ©partement du Putumayo (sud), appartenaient Ă  la Segunda Marquetalia, l’une des deux grandes factions des ex-Forces armĂ©es rĂ©volutionnaires de Colombie (marxistes).
« L’opĂ©ration n’était pas contre des paysans, mais contre les dissidents des FARC. Ce n’était pas contre des indigĂšnes innocents, mais contre des narcotrafiquants » , a certifiĂ© mercredi sur Twitter le ministre de la dĂ©fense, Diego Molano.
Sans mentionner de combats, le bureau du procureur a annoncĂ© sur Twitter une enquĂȘte sur « les Ă©vĂ©nements de Puerto Leguizamo oĂč 11 personnes sont mortes » .
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Accueil | Pro | Amanda Coneo : le retour d’une Colombienne
L’ internationale colombienne Amanda Con e o , qui a portĂ© les couleurs du RC Cannes et d’Aix-Venelles ces deux derniĂšres saisons, est la nouvelle recrue mulhousienne qui complĂštera le compartiment des attaquante s-rĂ©ceptionneuses. Elle est la 2 e Colombienne Ă  porter les couleurs de l’ASPTTM aprĂšs Maria Alejandra Marin qui a Ă©tĂ© d e l’équipe champion ne de France en 2017.
NĂ©e le 20 dĂ©cembre 1996 Ă  CarthagĂšne en Colombie, Amanda Coneo prĂ©sente un parcours Ă©tonnant pour son jeune Ăąge (24 ans). A 16 ans, elle dispute sa premiĂšre Coupe panamĂ©ricaine et participe activement Ă  la premiĂšre qualification de la Colom bie au Wordl Grand Prix en 2014. Cinq ans plus tard, elle est mĂ©daillĂ©e d’argent au Jeux panamĂ©ricains, en 2019 Ă  Lima, et prend part aux championnats du monde U23 en 2015 avec des distinctions individuelles qui lui permet tent de figurer dans le top 5 des meilleures attaquantes ou marqueuses. Cette reconnaissance internationale lui offre ses premiers contrats en Europe. Ainsi, aprĂšs avoir jouĂ© le championnat pĂ©ruvien avec Tupac Amuru (2013/14) et la compĂ©tition colombienne avec Liga Bolivarense ( 2014/15), l’Italie lui ouvre ses portes. A commencer par la Serie A2 oĂč, avec Sab Volley Legnano (de 2016 Ă  2018) elle totalise 424 points dĂšs sa premiĂšre saison. Suivent ensuite Barric alla CUS Torino (2018/2019), le RC Cannes (2019/2020) puis Aix/Venelles (2020/2021) .
Actuellement en Colombie , en proie Ă  des troubles gĂ©nĂ©rĂ©s par des manifestations massives attis Ă©es par la rĂ©pression politique qui ont fait plus de 1600 blessĂ©s depuis trois semaines, Amanda Coneo vit une situation particuliĂšre. « Avec l’équipe nationale colombienne, en ce moment, nous ne sommes pas dans la phase de prĂ©paration normale car la situation en Colombie est un peu tendu e Ă  cause de problĂšmes politiques et , malheureusement , cela affecte beaucoup le sport , explique Amanda Coneo . J e me retrouve Ă  travailler depuis chez moi, dans ma ville avec les plans de l’équipe nationale. Nous nous prĂ©parons pour le championnat sud-amĂ©ricain qui se disputer a en septembre » .
Pour avoir jouĂ© Ă  Cannes et Ă  Aix/Venelles , ces deux derniĂšres saisons , Amanda Coneo connait l’ASPTT Mulhouse dont elle en dit le plus grand bien : « L e souvenir que j’ai de s matches contre Mulhouse, c’est que cela a toujours Ă©tĂ© un grand dĂ©fi d ’ affronter l’ASPTTM. C’est une Ă©quipe tr Ăšs forte qui m’a toujours donnĂ© envie de marquer beaucoup de points , face Ă  elle , et d’essayer de bien faire les choses en gĂ©nĂ©ral. Je suis trĂšs motivĂ©e pour jouer Ă  Mulhouse car on sent que cette Ă©quipe travaille dur et que les joueuses sont trĂšs engagĂ©es ».
« Il nous fallait un e joueu se “solide”, fort e en rĂ©ception et plus particuliĂšrement en dĂ©fense , mais aussi capable de marquer de s points au filet , avoue le coach François Salvagni . Le choix s’est portĂ© sur Amanda Coneo car elle connaĂźt le Championnat de France. Et, bien qu’ elle soit encore trĂšs jeune , elle a dĂ©jĂ  jouĂ© plusieurs saisons importantes en Italie et en France. Pour moi, elle figure dans le top 4 des joueuses de sa spĂ©cialitĂ© en France . Avec la complicitĂ© et les caractĂ©ristiques de Pia Kaestner et de Megan Viggars nous allons essayer de dĂ©velopper un jeu trĂšs rapide avec de multiples solutions en attaque . C’est lĂ , qu’Amanda pourra apporter toute sa tonicitĂ© en bout de filet et aux trois mĂštres . Nous avons beaucoup parlĂ© et j’ai trouvĂ© une personne disposĂ©e Ă  travailler et dĂ©sireuse de grandir et de s’amĂ©liorer. Je pense qu’ elle est l a joueu se parfait e pour une Ă©quipe comme Mulhouse ».
Volley Mulhouse Alsace est un club de volley-ball basé en Alsace. Son équipe pro féminine évolue en ligue A depuis 1992.
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Accueil Joueurs de lĂ©gende Carlos “El Pibe” Valderrama : la lĂ©gende colombienne
La statue de Carlos Valderrama Ă  Santa Marta, sa ville natale.
Les dĂ©buts professionnels de Valderrama, sous les couleurs de l’UniĂłn Magadalena, Ă©quipe de sa ville natale. Il dispute son premier match le 15 mars 1981 alors ĂągĂ© de 20 ans.
En 1984, el “Mono” rejoint Millonarios, une des plus grandes Ă©quipes de Colombie.
En 1985, il rejoint le Deportivo Cali avec qui el “Pibe” sera deux fois vice-champion.
Le duo Valderrama – Redín qui a fait le bonheur du Deportivo Cali.
En 1987, il participe Ă  la Copa AmĂ©rica en Argentine, sous la direction de Francisco “Pacho” Maturana oĂč il est Ă©lu meilleur joueur de la compĂ©tition.
AprĂšs ses bonnes performances en Copa AmĂ©rica, el “Pibe” reçoit une belle offre pour rejoindre le “Vieux Continent”. Il signe alors Ă  Montpellier pour disputer la saison 1988-1989
En 1990, Valderrama remporte son premier trophée : la Coupe de France
El “Mono” rĂ©alise son rĂȘve de reprĂ©senter la Colombie en Coupe du Monde en 1990 en Italie
AprÚs la Coupe du Monde, Francisco Maturana fue a entraßné Valladolid et a amené avec lui Valderrama pour jouer avec René Higuita et Leonel Álvarez.
Aprùs seulement six mois à l’Independiente de Medellin, el “Mono” rejoint Junior de Barranquilla avec qui il finira champion de Colombie pour la premiùre fois de sa carriùre.
La victoire historique de la Colombie sur le score de 5-0 contre l’Argentine en 1993.
Malgré les attentes, la Coupe du Monde 94 aux Etats-Unis a été un échec pour la Colombie
En 1995, Valderrama est champion de Colombie pour la deuxiĂšme fois avec l’AtlĂ©tico Junior.
En 1996, el “Mono” dĂ©cide de rejoindre la MLS. Il jouera deux ans au Tampa Bay Mutiny.
El “Pibe” raccroche les crampons de façon dĂ©finitive en septembre 2003. Son dernier club aura donc Ă©tĂ© le Colorado Rapids.
Grand amateur de football, je me suis découvert depuis plusieurs années une passion pour le football sud-américain. La ferveur, l'ambiance, la garra, l'histoire, voilà ce que je veux partager sur ce site.
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Carlos Valderrama fait partie des joueurs qui ont le plus marquĂ© les annĂ©es 80 et 90. Il est connu dans le monde entier mĂȘme par ceux qui ne suivent pas le football.
Avec son charisme, il a gagnĂ© des supporters. Avec ses cheveux, il s’est crĂ©Ă© une facette unique. Et avec son football, il a enchantĂ© les foules et a Ă©tĂ© le plus grand symbole de la meilleure Ă©quipe colombienne de tous les temps, celle du dĂ©but des annĂ©es 90 qui a mis 5-0 en Argentine en plein Monumental.
Carlos Alberto Valderrama Palacio, plus connu sous le nom de Valderrama, est le meilleur joueur que la Colombie ait jamais produit , celui qui a le plus portĂ© le maillot jaune du pays du cafĂ© et un joueur vedette qui possĂ©dait les qualitĂ©s typiques des meilleurs joueurs sud-amĂ©ricains : passes prĂ©cises, technique, jeu long, rĂ©flexion rapide et une merveilleuse vision du jeu . VĂ©ritable chef d’orchestre, El Pibe Ă©tait le numĂ©ro 10 et capitaine d’une Ă©quipe qui aurait mĂ©ritĂ© un meilleur sort dans les compĂ©titions qu’elle a disputĂ©s, notamment lors des Coupes du monde 1990 et 1994.
MalgrĂ© le peu de titres qu’il a remportĂ©s, Valderrama est une idole partout oĂč il a jouĂ© et une lĂ©gende qui a gagnĂ© le respect de tous. Retour sur sa belle carriĂšre.
NĂ© le 02 de septembre 1961, c’est Ă  Santa Marta, l’une des destinations prĂ©fĂ©rĂ©es des touristes qui veulent connaĂźtre les CaraĂŻbes colombiennes, que Valderrama commence Ă  prendre goĂ»t au football et aux bracelets et colliers qui l’ont toujours accompagnĂ© sur le terrain.
El Pibe a grandi dans une famille de footballeurs. Son pĂšre, Carlos Valderrama, plus connu par son surnom « Jaricho » Ă©tait joueur professionnel et jouait pour l’équipe pro de Santa Marta, l’UniĂłn Magdalena. Ses frĂšres Alan et Ronald Valderrama, tout comme ses cousins DidĂ­ Alex Valderrama et Miguel GonzĂĄlez Palacio jouaient Ă©galement au football.
C’est donc tout naturellement qu’il commence Ă  jouer sur les terrains en sable du quartier de PescaĂ­to, lorsqu’il rentre de l’école. C’est lĂ  que Valderrama gagne le surnom de « Pibe » (mot qui dĂ©signe les jeunes, les enfants ou les garçons en Argentine), qui lui a Ă©tĂ© donnĂ© par un ami Argentin de son pĂšre. Certains le surnommaient Ă©galement “ Mono “, terme utilisĂ© pour dĂ©signer les blonds en Colombie.
Adolescent, Valderrama commence Ă  jouer comme attaquant dans l’équipe du Liceo de CeledĂłn , l’école oĂč il terminera ses Ă©tudes et que son pĂšre entraĂźnait. Habile et trĂšs intelligent, El Pibe marque de nombreux buts. Du fait de son talent bien supĂ©rieur Ă  celui de ses collĂšgues, il commence Ă  jouer plus bas au milieu de terrain afin d’organiser le jeu et laisser ses coĂ©quipiers en bonne position face au but.
Au dĂ©but des annĂ©es 1980, le jeune homme dĂ©cide de lancer sa carriĂšre et de poursuivre la tradition familiale en choisissant de jouer Ă  l’UniĂłn Magdalena , son Ă©quipe de cƓur, comme point de dĂ©part.
En 1981, Carlos Valderrama fait ses dĂ©buts dans la division principale du championnat colombien et fait sa premiĂšre apparition avec la sĂ©lection jeune de la Colombie . Le joueur commence alors Ă  attirer l’attention non seulement pour son football, mais aussi pour ses cheveux blonds en dĂ©sordre qui sont devenu sa marque de fabrique. Sans trop parler, mais toujours poli et charismatique, le jeune joueur fait son travail avec concentration et passion. C’
Un rendez vous secret
Une milf entourée de queues
Un plan Ă  trois et une pipe

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