Collègue de travail veut sentir un creampie sur son joli cul

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Déjà leader sur le marché des stations de travail depuis qu'il a surpassé Dell, HP veut une part encore plus importante du gâteau. Lors de sa conférence partenaires qui se déroulait à Las Vegas en février, le fabricant a présenté à ses partenaires sa nouvelle gamme de stations de travail HP Z1. Premier modèle de workstation tout-en-un au monde (tous les éléments sont logés dans un écran 27''), le produit devrait être disponible à compter du mois d'avril pour un prix de départ d'environ 1900 $. « Le marché des stations de travail progresse plus rapidement que celui des PC » , explique Jim Zafarana, le vice-président et directeur général de la division solutions professionnels de HP. D'après lui, ce rythme de croissance serait d'environ 18% par an contre 0,5% pour celui des PC en 2011 (Source : Gartner). A l'heure actuelle, la majeure partie des matériels commercialisés sont au format desktop, soit entre 74 et 75% du total des ventes de stations de travail dans le monde. Pour autant, le cadre dirigeant de HP reconnaît que la bonne santé du marché des stations de travail n'est pas une nouveauté : « Les entreprises ont commencé à investir dans les stations de travail il y a trois ou quatre ans suite à une baisse des prix et grâce à l'amélioration de la qualité des plates-formes . Elles permettent aujourd'hui d'utiliser des applications auxquelles elles ne donnaient pas accès auparavant. » Pour accroître ses ventes sur le marché des stations de travail, HP mise principalement sur les économies émergentes. Les raisons : les possibilités de croissance importantes qu'offrent des pays tels que la Chine, l'Inde ou encore l'Amérique latine. Jim Zafarana assure toutefois que HP ne va pas délaisser les pays, comme la France, où le marché est déjà consolidé. « Nous enregistrons une hausse d'activité à la fois dans les pays émergents et les pays développés », explique-t-il. Pour la première fois depuis que nous sommes présents sur ce marché de lT, nous avons dépassé les 50% (51% précisément, au quatrième trimestre 2011), de parts de marché sur un segment de produit. » Au troisième trimestre 2011, HP était crédité par Jon Peddie Research de 33% de part du marché mondial de stations de travail, devant Dell (26%) et Apple (22%).

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Coincée entre son mari et un voisin entreprenant plutôt sympa, Sophie a vécu, à dix mille mètres d’altitude, une nuit agitée.
Tout savoir sur l'orgasme, l'expert répond...
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Séduction et turbulences de l’avion ne font qu’un dans cette promiscuité amoureuse… Au retour d'un voyage à Hanoï avec son mari, Sophie tombe sous le charme de son voisin de rangée. 
"Un voyage magnifique... Hanoï et la baie d'Along. Ho Chi Minh-Ville et son quartier chinois. Et puis les gens pleins de vie. Beaucoup de bruit, une ville grouillante. Nous nous sommes bien amusés. C'est avec beaucoup de tristesse et à reculons qu'avec mon mari nous montons dans l'avion du retour. En plus, il fait une chaleur dans cet avion... Alors, un voyage de dix heures, coincée entre mon mari, à droite, assis comme d'habitude au bord du couloir pour allonger ses jambes, et, à ma gauche, un autre costaud côté hublot.
J'échange quelques paroles avec mon voisin
Deux heures après, les plateaux-repas. J'échange quelques paroles avec mon voisin. Il me demande d'où je viens, ce que nous avons fait. Lui, il voyage pour son travail. Il a juste fait l'aller-retour. Puis les lumières s'éteignent, il ne reste que les petites veilleuses, et tout l'avion s'assoupit. Le silence se fait. Je ne peux pas vivre sans musique, donc je mets les écouteurs.
Mon mari s'endort partout, ah partout ! Moi, j'ai la chance d'être menue, j'essaie de trouver ma place, dans cet espace restreint où ils débordent tous les deux : je suis privée d'accoudoirs, les mains sur les genoux, réduite à la portion congrue. Là, je m'endors. Pour récupérer un peu. Pendant dix jours, nous n'avons pas arrêté. Je m'écroule. Et fatalement, je penche vers la gauche, c'est mon habitude. Au lit, je dors à droite. Je suis un peu frileuse et je me retourne toujours sur la gauche pour attraper mon mari et me réchauffer. C'est une grosse bouillotte.
Donc je m'affale sur l'épaule de l'inconnu . J'ignore combien de temps. En tout cas, il ne bouge pas. Cela ne doit pas être très agréable pour lui. C'est lourd, une tête. Quand je dors, j'aime bien me cramponner. Je lui attrape le bras. Là, mon mari m'envoie un coup de coude dans les côtes. Je me réveille en sursaut. Il me dit : « Tiens-toi. » Je m'aperçois de mon erreur d'épaule, je me confonds en excuses. Mon voisin a un grand sourire et me dit : « Si mon épaule est confortable, je n'y vois pas d'inconvénient. » Vous pensez bien que je me suis repositionnée au milieu. Mon mari s'est déjà rendormi, mais moi, je n'y arrive plus. Je ne suis pas bien. Furieuse de la remarque de mon mari. En plus, j'ai mal au cou. J'allonge mes jambes loin de moi pour changer de position. Ça fait quand même trois heures que nous sommes assis, je suis ankylosée.
Là, ma jambe rencontre celle de mon voisin. Je me décale un peu. Sa jambe suit. Bon, il a été gentil, souriant, je ne veux pas... Je ne me dégage pas. Nous restons collés l'un à l'autre, avec, comment dire, des petites pressions, avec son genou, avec son pied, délicatement. Il a peur de mes réactions, peut-être. Et puis il y a mon mari de l'autre côté, il a vu qu'il n'était pas commode. C'est drôle : il semble impassible, il ne bouge pas la tête. Comme je n'ai pas d'accoudoir, forcément, j'ai ma main en bas, le bras le long du corps. Il quitte l'accoudoir, il vient sous le siège et il rencontre ma main. Ses doigts restent le long des miens, mais il n'ose pas trop s'aventurer à prendre ma main. Nous sommes comme deux collégiens. Je l'entends bien respirer, quand même, et soupirer.
Ce n'est pas désagréable, ces petits frottements. Je crois que j'y prends plaisir autant que lui, peut-être. On passe par plein de sentiments : c'est émouvant, et il y a des moments où j'ai envie de rire. Il ne doit pas se sentir bien, il doit souffrir. Il y a des choses qui ne vous échappent pas, quand même : il se soulève de son siège, je le sens dans un inconfort... Comment dire sans être triviale ? Trop serré dans son pantalon. 
Je me suis levée, on boit beaucoup dans un avion, on va aux toilettes. Je ne sais pas comment il a fait, il n'a pas bougé, c'est du jamais vu. Je suis revenue, je ne trouvais plus mon siège, dans la nuit on ne voit rien. Le petit jeu a continué. Un petit jeu érotique. Tour à tour on s'approche, on se décale, on change de position. Il respirait vite, et moi aussi. Je pense qu'il s'en est aperçu. Il s'est enhardi. Il a mis sa main le long de mes cuisses. J'étais en jean, ça ne pouvait pas devenir très torride. Et pourtant, ça fonctionne quand même, même en jean. Le trouble est là, le désir. On va lâcher le mot : je ressentais un violent désir. Peut-être l'attrait de l'interdit, de cette situation, ce n'est pas banal. 
Le plaisir m'a tellement envahie que j'ai oublié la présence de mon mari. J'avais les yeux fermés tout le temps, je n'avais pas envie de les ouvrir, j'oubliais le cadre, j'étais dans une bulle. Pour ne pas perdre ce bonheur, vous n'osez pas bouger. A un moment, j'ai posé la tête sur l'épaule de mon mari pour tenter de m'endormir et pour arrêter un peu, pour retrouver une respiration, c'était incandescent. Du coup, j'étais tournée, je lui présentais mes fesses, il a plaqué une main sur ma fesse, sur mon jean, je suis revenue tout de suite à ma position.
Mon mari s'est levé. Nous nous retrouvons seuls tous les deux, nous avons cinq minutes. Il a un regard interrogateur, avec un petit sourire grivois : qu'est-ce qu'on fait ? J'ai pris un air un peu sérieux, c'est très hypocrite de ma part, il sait bien que je participe complètement. Je ne sais pas, sursaut de pudeur. Cela ne m'est jamais arrivé. Je n'ai jamais trompé mon mari, en vingt ans de mariage, jamais. Je n'ai jamais cherché l'aventure. J'ai trop vu mes parents souffrir. Je l'adore, mon mari. Il m'a demandé où j'habitais, si j'avais des enfants. J'ai deux filles, lui trois garçons. Aucune allusion, ni l'un ni l'autre, à cette expérience, à cette complicité sensuelle.
Nous étions comme deux gamins pris en défaut
Mon mari est revenu. Mon voisin a remis ses écouteurs et fait semblant de dormir, moi aussi. Nous étions comme deux gamins pris en défaut. Ce sont des émois d'adolescents, quand même.
Il y a des turbulences. On nous prie de nous rattacher. Il était resté sage cinq minutes. Je me disais : « Tiens, le charme n'opère plus. » Avec les turbulences, il est revenu, encore plus assidu, plus fort et plus près. Il m'a attrapé le petit doigt, il m'a presque tenu la main. Et toujours sa cuisse bien collée à la mienne. C'est difficile de mettre des mots sur des choses qui sont seulement ressenties. On est dans une espèce de bien-être. On ne voit plus les autres. On est concentrée, obnubilée par une pression sur quelques centimètres de cuisse, on entend le cœur de l'autre battre.
Un avion c'est petit, c'est étroit, on ne peut pas bouger. Tout se passe en silence, dans l'imaginaire. Chacun des deux ressent la même chose, sans pouvoir manifester. Tout ça est très subtil. Ce sont des impressions... Des gestes furtifs, avec le plus de discrétion possible, ce qui n'est pas forcément compatible avec le plaisir. Un contact qui appelle d'autres caresses, mais elles restent dans l'imaginaire. C'est quand même du plaisir à l'état pur. Un tsunami. Pour une femme. Pour un homme, je ne sais pas, quand c'est avorté... Nous étions comme deux cocottes vapeur - tendus de plaisir, d'inassouvissement, de manque. Comme quelqu'un qui attend sa came. 
Et puis d'un seul coup, la lumière est revenue. Il est redescendu de son nuage. Comment cela avait-il pu durer une nuit ? C'est très efficace pour abréger un voyage. Les petits-déjeuners sont arrivés. Mon mari s'est réveillé. C'était immonde, le pain n'était pas décongelé. Mais comme d'habitude, il a englouti tout ce qui restait.
Là, je me suis tournée vers la gauche. Nous avons commencé à parler un peu de choses et d'autres. Il m'a dit qu'il aimait les photos aériennes. Il m'a dit : « Là, nous sommes au-dessus de telle ville. » Il m'a engagée à regarder par le hublot par-dessus son épaule. Nous étions tout proches, j'avais mes cheveux très près de lui.
Nous descendons sur Roissy dans la grisaille. La tristesse. C'est surtout lui qui est triste. La fin du petit jeu, de plaisir et de torture mêlés. Quand tout est contenu. Il est malheureux parce que tout cela se termine et qu'il n'y aura jamais d'assouvissement. Pas d'explosion, pas de bouquet final. Ça s'appelle rester sur sa faim. Il me jette un regard désespéré : « On ne peut pas se quitter comme ça. » Il a l'air d'un enfant que sa mère vient de laisser tout seul. Je me sens responsable de sa détresse. Ça a l'air tellement costaud, un homme. Mais malgré ses épaules carrées, c'est une petite chose fragile. Ça faisait partie du jeu, il ne fallait rien attendre de plus. C'était un rêve.
Quand on a vécu des sentiments aussi forts, la chute est brutale. La séparation est un déchirement , un cataclysme, qu'autour de nous, tout le monde ignore. Les gens se lèvent, prennent leurs bagages. Je lui serre la main. Il détourne les yeux et regarde par le hublot, où il n'y a rien à voir, puisque nous avons atterri depuis longtemps.
Malgré les crampes, une nuit sans dormir, à peine arrivée chez nous, j'ai lancé à mon mari : « Enlève ta veste, viens... » J'ai pris l'initiative des caresses. Il s'est laissé faire. Il était ravi. Il y avait urgence dans l'aboutissement des caresses trop longtemps contenues. Mon mari aurait pu dire merci à mon voisin. J'y repense le soir, la nuit. Mais je ne peux en parler à personne. C'est mon petit coin de fantasme à moi. Je nous imagine laissant libre cours à tout ce qui a été retenu et allant vers de vrais ébats, avec tout le corps. Bizarrement, là, je sors de l'avion et exit le mari. Tout va bien, tout se passe sans entraves. Vous savez, parfois on revoit les gens, j'ai lu ça dans des romans, et la magie n'opère plus. L'excitation vient de l'interdit, de l'impossibilité." 
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Sarah Michelle Gellar, son joli piedestal


Sarah Michelle Gellar sur le tournage de The Ringer à Los Angeles.

Sarah Michelle Gellar prépare son grand retour à la télévision. Après un petit marathon promotionnel , c'est en plein tournage que l'on retrouve l'emblématique Buffy qui semble camper dans "The Ringer" un rôle nettement plus mode.
C'est juchée sur une paire de "Bibi botta" griffée Louboutin que la belle tourne une scène. Elle l'associe à une robe noire moulante mettant en valeur sa silhouette tandis qu'elle prend soin d'illuminer son allure par quelques accessoires.
En effet, modeuse avertie, elle sait que ce sont souvent les détails qui font la différence. Aussi, enfile-t-elle un collier de chaines argentées tandis que la finition cache-coeur de la robe est dotée de clous brillants.
Un foulard coloré et un sac noir en cuir complètent cette allure plutôt prometteuse pour Sarah Michelle Gellar.
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Dérogation pour un maintien de salaire d'une collègue gravement malade



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Claire Lorente est notre collègue depuis juin 2018. Elle est la psychologue du CAARUD LA PLAGE de l'ANPAA 43. Elle a 27 ans. Elle est dynamique, enthousiaste et a fait preuve d'une reelle motivation pour venir travailler au puy en velay. En effet, originaire de Lyon, son conjoint et elle ont dû déménager afin de trouver un appartement moins grand et honereux sur lyon pour que Claire puisse louer un petit studio meublé sur le puy en Velay afin de venir travailler. Sans parlé de l'achat du véhicule qu'elle a dû faire pour honorer les termes de son contrat de travail. On ne peut nier qu'elle a tout mis en oeuvre pour être la plus disponible et répondre au mieux aux contraintes de son nouvel emploi. En février, tout bascule pour elle. Suite à des examens de santé, elle apprend qu'elle souffre d'un grave cancer stade 4 (sur 4). Son arrêt maladie sera long: 6 mois peut être davantage. Son parcours de soin va être dur. Elle commence à réaliser. Cette maladie est pour elle une injustice : 27 ans, sportive, vie saine. Cela fait 9 mois qu'elle est à l'anpaa. Comme si le sort s'acharnait, elle apprend qu'elle n'aura pas de maintien de salaire et que la prévoyance ne la couvrira pas.... Double peine! "Punie d'être malade" voilà ses mots pour dire ce qu'elle ressent. Malgré une demande de notre
Femme de ménage aux gros seins se fait enfoncer le cul par le boss
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