Cocufié en boîte

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Cocufié en boîte
     Il y a quelques années, ma femme et moi étions en vacances au Maroc. Un jour après une soirée arrosée à la discothèque de l'hôtel, nous étions rentrés dans notre chambre une demi-heure avant la fermeture de la discothèque et, assez émoustillés, nous avions commencé à nous exciter ensemble.     Vous devez savoir que j'adore me masturber lorsque ma femme me raconte des histoires érotiques et ce soir là, alors que j'étais nu sur le lit, elle me dit : « Imagine que si tu n'étais pas là, j'aurais trouvé mon bonheur ce soir avec un des clients de la disco ! »     - Mais non tu t'imagines des choses dis-je.     - Pas du tout, il y avait un mec qui ne m'a pas quittée des yeux et je suis persuadée qu'il me trouvait à son goût     - Je suis sûr que tu te fais des idées et d'ailleurs, tu peux retourner en boîte pour vérifier; il ne te regardera même plus !     - Chiche dit-elle!     - Chiche lui répondis-je! Tu peux y aller, c'est ton anniversaire, mais à une condition : tu me racontes tout !     - OK dit-elle. Et elle prit son sac pour repartir.     - Attends dis-je ! Change-toi afin de mettre toutes les chances de ton côté !     Elle enfila alors un string noir, une robe moulante noire et des escarpins de la même couleur et elle me dit " A tout à l'heure".     J'étais persuadé qu'elle reviendrait vite puisque la discothèque devait fermer ses portes, je restais donc sur notre lit à me caresser et le temps passa... et Martine ne rentrait pas.     2 heures passèrent, puis 3 et 4 et je m'endormis.     Vers 8h et demi, la porte de notre chambre s'ouvrit et ma femme rentra. J'étais à moitié réveillé et je l'aperçus qui se déshabillai avant de venir se coucher... elle retira ses escarpins, sa robe mais elle n'avait plus de string ! Où avait-il bien pu passer? Je voulus en savoir plus mais Martine me dit : "Attends, pitié, je suis crevée, laisse-moi dormir et je te raconterai tout plus tard; tu ne le regretteras pas !     Vers 14h, ma femme se réveilla et me dit : « Comme promis voici le récit de ma nuit » :     « Je suis donc retournée en boîte, je me suis dirigé vers le bar et j'avais à peine posé mon sac sur le bar que le Français, enfin Thierry, me faisait un grand sourire. Il s'approcha de moi et m'offrit un verre, un Cointrau-tonic bien sûr !     - Je ne pensais pas te revoir si vite me dit-il.     - Moi non plus dis-je.     Et, sur ce, il m'invita à danser. Comme on approchait de l'heure de la fermeture, le DJ passait des slows et Thierry m'attira contre lui.     - Où est ton homme, demanda t'il ?     - Il dort     - Quelle idée avec une nana comme toi ! Et tout en parlant il me caressait le dos et le bas des reins, en fait il s'amusait à longer les coutures de mon string avec ses doigts.     Après 3 slows, j'étais certaine de pouvoir rentrer te raconter l'effet que je lui faisais mais il me dit :     - Ils ferment et nos verres sont encore pleins; viens prends ton verre et suis-moi.     J'ai obéi, nous avons pris nos verres et nous sommes sortis et nous nous sommes dirigés vers notre bungalow mais, avant d'arriver, Thierry m'a emmené vers la gauche et nous sommes arrivés à sa chambre. Il a ouvert la porte, m'a laissé passer et ensuite nous avons posé nos verres.     Et à partir de ce moment-là nous n'avons pas arrêté de baiser ! Mon chéri, c'était incroyable, en 2 minutes, je me suis retrouvée en string et escarpins, ma robe avait volé sur une chaise. Du coup, je lui ai retiré sa chemise et son pantalon et je lui caressais le sexe par dessus son slip. Quant à lui, il passait ses mains sur tout mon corps et j'étais toute chose. On n'arrêtait pas de s'embrasser et tout à coup; alors qu'il caressait mon ventre, il glissa sa main dans mon string, ses doigts passèrent sur mes poils et glissèrent entre mes cuisses que j'écartais pour lui faciliter le passage. J'étais trempée et il trouva mon clito sans problème.     Pendant qu'il me masturbait, je mis la main dans son slip et lui sortit son sexe. Ensuite je me mis à glisser sur lui pour arriver en 69 et je commençai à lui sucer la bite pendant qu'il écartait mon string pour me sucer la chatte. Après un bon moment de ce traitement, je me levai et enlevai mon string. Je me couchai sur le dos et l'attirai en moi. Aucun souci, il rentrait comme dans du beurre et il commença à me baiser de plus en plus vite et avant de pouvoir en dire plus, nous avons joui de concert.     Thierry ne voulait pas en rester là et continua à me caresser et à m'émoustiller en me faisant parler de sexe et nos fantasmes. Je sentais qu'il recommençait à bander lorsqu'il me fit me mettre en levrette en me disant :     - Viens ici et tourne-toi, je vais te donner des choses à raconter à ton mari.     Et il commença à me prendre en levrette. Pendant qu'il me baisait, il me caressait les fesses et son pouce passait aux alentours de mon anus quand à un certain moment, il cracha sur la rosette de mon cul et son pouce se mit à me masser l'anus; toujours en me baisant la chatte. Son pouce me massait et s'introduisait lentement dans mon derrière; lentement et de plus en plus vite, et après son pouce il passa à 2 puis 3 doigts et toujours en me limant et comme je m'y attendais, il sortit ses doigts de mon cul et passa sa bite de ma chatte à mon cul. Comme il m'avait lubrifiée et bien dilatée le trou de cul, il m'encula sans problème et pendant qu'il me pistonnait le cul, sa main se glissa, par devant entre mes cuisses pour me branler le clito. Même toi chéri tu ne m'as jamais baisée comme ça ! J'ai joui comme une folle et il a juté sur mes fesses et moi, sans gêne, je lui ai sucé la bite qui sortait juste de mon cul.     Ensuite, le vicieux, il a pris son appareil photo et il s'est mis à me photographier dans toute une série de poses, des plus sexy aux plus vicieuses et il m'a promis de te les envoyer pour que tu voies quelle chienne je peux être.     Ensuite, nous nous sommes habillés et il m'a ramenée à notre chambre mais une fois arrivés devant la porte, il m'a enlevé le string qu'il a gardé comme souvenir, il m'a retournée et m'a baisée debout contre la porte. C'est certainement ce bruit qui t'a réveillé.          - Et maintenant, fini les histoires, branle-toi en me léchant la chatte et le cul pour nettoyer le jus de Thierry qui doit me sortir par tous les trous; et plus vite que cela 
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Après quatre ans d’amour sans nuages, Louise et Eric envisagent d’emménager ensemble. Mais un soir de fête trop arrosée bouleverse leurs plans.
J’ai rencontré Louise sur les bancs de la fac d’histoire de Strasbourg, et on est vite devenus inséparables. On se complétait parfaitement. Elle était déjantée et rock’n’roll, moi plus posé. Une histoire familiale un peu chaotique –mère artiste volage, père dépressif – en avait fait un être à vif. Je crois qu’elle avait besoin de quelqu’un comme moi, dont le passif familial était on ne peut plus équilibré. On adorait tous les deux le cinéma et on passait des journées entières à regarder des films et à faire l’amour.
Louise a fini par passer son Capes et est devenue prof en lycée. Moi, après de nombreuses hésitations, et bien qu’elle m’ait fortement encouragé à choisir une voie plus «prestigieuse», j’ai fini par devenir instit. J’aurais pu intégrer une école de cinéma (mon rêve) ou même tenter l’agrégation, scénarios plus excitants aux yeux de Louise… Mais la peur de l’échec, le désir d’un confort immédiat et de réelles aspirations à enseigner à des petits m’ont fait renoncer. Je me disais que ce cadre rassurant me laisserait toujours, si je le voulais vraiment, le loisir de me lancer dans la réalisation d’un court-métrage. J’ai senti que ce qu’elle qualifiait de «manque d’ambition» avait un peu peiné Louise mais, avec le temps, j’ai eu l’impression que cette déception s’effaçait. Nos postes respectifs nous plaisaient, la vie active et l’indépendance financière étaient bien agréables, nous sortions beaucoup, faisions la fête avec nos collègues devenus des amis. Une petite vie épanouie… Au bout de quatre ans passés ensemble, on se paye le voyage de nos rêves: un mois au Japon. Notre couple marque des signes d’essoufflement, je sens que Louise commence à se lasser de notre train-train et je me dis que ce voyage serait salutaire. Sans se l’être dit clairement, ce mois passé ensemble 24 heures sur 24 constitue aussi une sorte de test avant d’emménager ensemble. Le voyage se passe à merveille, les soupirs d’ennui de Louise semblent loin et dès notre retour, nous commençons à chercher un appartement. Seule ombre au tableau: je dois me faire opérer du genou en rentrant du Japon. Une intervention bénigne, mais qui nécessite pas mal de repos. Le jour de ma sortie de l’hôpital, Louise me propose de venir à une fête qu’elle organise avec ses colocs. Je suis encore un peu fatigué de l’opération mais je me dis que cela me changerait les idées. Je ne croyais pas si bien dire…
Il y a beaucoup de monde chez Louise , pas mal d’inconnus, notamment ce mec au look de baby rocker qui ne me revient pas. Apparemment, il suit des cours de théâtre. Une bière à la main, entouré de trois nanas qui boivent ses paroles, il pérore sur «le kif suprême de se mettre en danger dans un rôle». Insupportable. Le pire est sa façon de regarder Louise, à la fois provocante et libidineuse, comme s’il la possédait déjà. Il est vrai qu’elle est particulièrement en beauté ce soir-là, avec sa petite robe de geisha rapportée du Japon. Je bois quelques verres, discute avec les gens que je connais. Vers 1 heure, alors que la fête bat son plein, je me sens très fatigué. Sans doute le contrecoup de l’opération. Je décide donc d’aller me coucher dans la chambre de Louise. D’habitude, je ne suis vraiment pas jaloux, mais là, j’ai un mauvais pressentiment. Le petit ballet de regards continue, et je surprends même Louise en train d’y répondre. Je ne peux donc pas m’empêcher de la mettre en garde. Pas habituée à ce genre de sermon, un peu saoule, elle préfère en rire, avant de m’assurer que je n’ai aucune raison de m’inquiéter. Assommé par la fatigue et les médicaments, je m’endors très vite, malgré le brouhaha. Avant de me réveiller en sursaut à 6 heures… Louise ne m’a pas rejoint dans le lit. Bizarre. La soirée semble terminée, mais j’entends un bruit étrange venant d’en bas. Comme si quelqu’un frappait contre le mur à une cadence irrégulière. Des travaux, à cette heure? Encore tout ensommeillé, comme dans un rêve, je descends l’escalier. Les bruits de coups, auxquels se mélangent d’autres encore plus insolites, semblent venir de la salle de bains. Je suis tellement dans le coltard que l’origine évidente de ces petits cris essoufflés ne s’impose pas à moi.
En poussant la porte de la salle de bains, vision d’horreur… Louise, sa robe de geisha remontée jusqu’à la taille, la culotte sur les chevilles, les yeux bandés par la fine cravate noire du petit crâneur, est en train de se faire prendre contre le lavabo. Ne réalisant pas tout de suite qui j’étais, ou peut-être si, justement, le gars me jette un regard aviné et goguenard sans interrompre la manœuvre. Sentant quelque chose d’anormal, Louise retire son bandeau et sursaute. C’est ridicule, mais par réflexe, comme si j’avais surpris un couple inconnu, je referme la porte. Sans doute aussi que mon inconscient ne pouvait pas supporter une minute de plus ce spectacle. Je m’effondre sur le canapé, abasourdi. Louise et son amant sortent quelques instants plus tard, continuant sous mes yeux à se resaper. Le type se fait le plus petit possible et, presque sur la pointe des pieds, se dirige vers la sortie. J’ai quand même l’impression qu’il se marre à moitié. Il parvient même à lâcher un «Bonne journée!» en fermant la porte. Complètement bourrée, tout ce que Louise trouve à me dire, entre deux hoquets, est: «Viens chéri, on va se coucher… J’ai un peu perdu le contrôle, mais ce n’est pas grave». Elle s’affale sur un pouf et ferme les yeux. Je me lève, rassemble mes affaires. Au moment où je passe la porte, Louise se met à ronfler.
Le lendemain, elle essaye de m’appeler une bonne trentaine de fois , me laissant des messages éplorés. Je finis par répondre. Elle m’explique que l’alcool lui a fait perdre la tête. Quand je lui dis que ce n’est pas une raison suffisante, elle avoue à contrecœur que le côté flamboyant du gars l’a fait flasher et me reproche à demi-mot d’être mou, sans ambition… Et surtout d’être allé me coucher alors que je sentais qu’il se passait quelque chose, ce qui prouvait à ses yeux que je ne l’aimais pas assez. Je lui raccroche au nez. Par la suite, elle a tout fait pour se faire pardonner, et j’ai tenté d’oublier. Mais impossible de lui parler sans revoir cette image infernale. Mon amour pour elle s’est éteint quand je l’ai croisée peu après main dans la main avec le type de la salle de bains. Elle avait l’air épanouie. Lui portait la même cravate que ce soir-là.
Propos recueillis par Sébastien Bardos

C'est avec deux mains que
j'ai pris le courage de vous écrire tellement je suis dépassé
par les événements du mois dernier. Je me présente: Félix,
je suis africain, j'ai vingt huit ans, 1m70, teint clair, joli garçon.
Je suis marié à une blanche, Suzanne, plus âgée et
plus grande que moi, trente-deux ans et 1m75, blonde et belle comme une déesse.
Après cinq années d'aventures estudiantines en France, c'est la
"rose" monégasque que j'ai pu décrocher avant de retourner
dans ma Côte d'Ivoire natale à Abidjan où j'exerce la fonction
de grand comptable dans une banque de la place. Avec ma "rose", nous
avons fait deux superbes enfants: une fille de cinq ans et un gospillon de trois
ans. Ma femme est professeur dans un lycée. Après les cours, automatiquement
elle vient à la maison.
Avec
ces Noirs, je ne fais confiance à personne; même pas le plus petit
des gamins de sa classe. Ces salauds qui passent leur temps à mater les
cuisses de votre femme, qu'elle soit institutrice ou prof, ils ont toujours
cette idée de lui défoncer le cul. La mienne enseigne en Terminale;
alors il y a de quoi vraiment se méfier. Ma femme est si belle, je la
surveille toujours de près, au risque qu'un autre ne la croque. Il m'arrive
parfois de sortir avec des amis pour nous éclater en ville. Nous nous
rendons visite mutuellement. Mais ma femme ne s'y est jamais mêlée.
Samedi dernier, c'était l'anniversaire de la femme d'un ami. J'ai voulu
y aller seul mais mes amis m'ont reproché de toujours ignorer ma femme.
Et Suzanne en a profité pour me reprocher d'avoir une maîtresse
dehors. Pour lui prouver mon amour, j'ai décidé ce soir-là
de sortir avec elle. A cette occasion, je lui ai fait porter une mini flottante,
une jupette de salope qui lui arrive à mi-cuisses. Le haut est un caraco
largement échancré avec un décolleté vaporeux, ce
qui permet d'exposer ses gros seins fermes dont les bouts pointent comme de
véritables radars. C'est surtout à cause de cette richesse sexuelle
de ma nana que je ne veux pas que l'on s'approche. Je vous jure, je suis le
seul à profiter de ce merveilleux corps précieux, potelé,
évasé au niveau du bassin. Un derrière africano-occidental,
c'est à dire que les fesses sont bien développées. Ses
jambes sont bien fuselées. Elle est très souple avec des seins
à faire bander un mort. Ce que j'aime le plus en elle, c'est sa façon
de faire l'amour. Elle a une chatte vibratoire, des lèvres ourlées,
développées, et qui vous serrent bien la bite en mouvement. Un
con qui lubrifie abondamment. Elle peut baiser comme moi plus de deux heures
sans repos. C'est une nymphomane que j'adore. Vous comprenez pourquoi je suis
jaloux.
Il y a six couples au total
à l'anniversaire. J'ai été l'unique cavalier de ma belle
Suzanne. De temps à autre je passais ma main par dessous le coton de
sa jupette pour pétrir les fesses de ma douce, surtout au cours des slows.
Tout le monde s'est dispersé, mais François, un ami du quartier,
sa femme Brigitte, tous deux la trentaine, Bernard, un collègue de ma
boîte et sa femme Laurence, trente sept et trente trois ans, tous les
six nous avons décidé de finir la soirée dans un night-club,
" L'Image" . Il faisait une telle chaleur alcoolisée que nous
sommes restés en petite tenue.
Ma femme a ôté
son veston pour ne garder que sa jupette et son caraco dont l'échancrure
attirait les petits loubards du coin. Moi je n'avais encore rien remarqué.
La boisson aidant, chacun des trois couples a continué à danser
sans gêne. Sous la lumière tamisée de la boîte j'ai
pressé, caressé, pétri, et même doigté Suzanne
qui a commencé à fondre dans mes bras. J'ai même sorti ma
pochette pour lui essuyer discrètement la mouille que le perméable
string n'a pu éponger, lorsque l'on a regagné nos places respectives.
Du coup, une charmante demoiselle m'a invité à danser. Pendant
que je m'éclipsais dans un slow, son mec, que j'avais remarqué
avant, s'est approché de ma femme: "Jolie dame, vous voyez que votre
mec m'a piqué ma coc
Vue spectaculaire baise magique super moment
Adultère amateur sur le canapé avec une jeune épouse
On était profondément amoureux

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