Cloué par Sanson
🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻
Cloué par Sanson
Le marteau brise la faïence en esquilles concassées, explose les assiettes en éclats de porcelaine fracassés. La lourde masse fait craquer la céramique, la broie en miettes. La poussière acre monte, les gravats fument.
Tout est éparpillé par petits bouts, façon puzzle.
Il faut s'armer de patience et de colle.
L'esprit doit se rendre, s'éteindre et laisser faire l'œil. C'est l'œil qui navigue dans les vestiges, les débris. Insatiable, il explore les fragments : il compose, écarte, marie. Alors la main soumise et précise agrège, enchâsse, ajuste et scelle.
Bientôt tout n'est qu'harmonie. L’œil repus se ferme, l'esprit s'éveille et s'ouvre.
— Paul Sanson
L'été, le Château de la Rochefoucauld revit dans la cohue des touristes. Moi Le Photographe, ça m'énerve et ça me saoule. J'en suis sorti en mode zombie. Mon fidèle Leica à la main, j'ai dû errer dans la lumière calcaire des rues du bourg avant de me souvenir que je cherchais ma bagnole (une Simca 1000 de 63, celle avec les sièges en skaï rouge sang).
J'ai enfilé une courte venelle et soudain me voilà cloué, sidéré.
A mes pieds, l'ombre de la vieille ville déverse son goudron sur la plage. A l'horizon, le ciel a la couleur de la mer. Au zénith, le soleil brûle tout. Est-ce un tanker arrimé au lampadaire ? Est-ce un bunker échoué à la côte ? Que fait ce vaisseau spatial scotché dans la lumière ? Pas âme qui vive sur l'esplanade desséchée, pas un chat, pas une Simca.
Le silence est éternel, le temps est réfuté.
— Paul Sanson
Darling
I tried to say good-bye last night, but you wouldn't listen. I'm not a coward, really I'm not.
If it weren't for the doors I wouldn't tell you a thing―that would be the best way. You may see one, perhaps more than one, at least a little while. It will be closed all around. (They must be closed on all sides.) It may be a real door, or just something like a guy-wire supporting a phone pole, or an arch in a garden. Whatever it is, it will look significant .
Please read carefully. Please remember everything I'm saying. You must not go through .
If you go through before you realize it, don't turn around. If you do, it will be gone. Walk backward at once.
— Lara
PS: You always put these on, don't you? At the end. At the end, I loved you. I really did. (Do.)
Vos données personnelles sur Orange
Tout accepter Personnaliser vos choix
Orange, Sosh et leurs partenaires avec votre consentement peuvent utiliser des cookies ou équivalent pour stocker et/ou accéder à des informations sur votre terminal afin notamment de collecter ou traiter des données personnelles telles que : données de navigation (comme les pages et applications consultées), identifiants (comme l’adresse IP, identifiants de contrats, identifiants mobiles publicitaires ou l’IMEI)... Les traitements de certains partenaires reposent sur leurs intérêts légitimes, vous pouvez vous y opposer en cliquant sur le lien « Personnaliser vos choix ».
Ces données sont traitées par Orange et/ou ses partenaires aux fins suivantes : - Contenus et publicités personnalisés sur supports digitaux (services, offres et publicités adaptées à vos centres d’intérêt sur internet, application mobile ou interface TV) ou par communication directe (e-mail, SMS, téléphone, point de vente…), mesure de performance du contenu et des publicités, données d’audience et développement de produit. - Mesure d’audience des publicités et des contenus, y compris pour les emails et SMS qui vous sont adressés.
Si vous êtes connecté avec un compte Orange ou Sosh et sous réserve des choix exprimés par ailleurs, les informations traitées pourront être associées avec celles collectées sur vos autres appareils et enrichies des données client de vos contrats et de ceux de votre foyer. Vos données pourront également enrichir ou être enrichies avec des données collectées par nos partenaires.
Vos choix seront appliqués sur le portail Orange et sur certaines de nos applications ( consulter la liste ) ainsi que pour les emails et SMS qui vous sont adressés. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre politique « cookie ». Vous pouvez modifier votre consentement à tout moment en cliquant sur le lien « Gestion cookies » en bas de page.
La chanteur de 17 ans revient également sur les polémiques autour de sa maturité et de son franc parlé avec Véronique Sanson et Yann Moix dont elle « ne trouve pas avoir cloué le bec »
Vos réactions doivent respecter nos CGU .
Pour nous soutenir, acceptez les cookies
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Cookies de performances , Cookies strictements néccessaires , Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
En savoir plus → Refuser Accepter & Fermer
Actualité
Sport
Publié le
25/10/2018 à 23:01 , mis à jour à 23:20
Actualité
Sport
Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement
Pour suivre l’analyse et le décryptage où que vous soyez
Par Aurélien Saussay, chercheur à la London School of Economics, économiste de l'environnement spécialiste des questions de transition énergétique
Offrez gratuitement la lecture de cet article à un proche :
« Ligue Europa: Marseille dit - presque - au revoir à la C3 »
L’article sera disponible à la lecture pour votre bénéficiaire durant les 72h suivant l’envoi de ce formulaire, en cliquant sur le lien reçu par e-mail.
Assurez-vous que la personne à laquelle vous offrez l’article concerné accepte de communiquer son adresse e-mail à L’Express.
Les informations renseignées dans ce formulaire sont destinées au Groupe L’Express pour l’envoi de l’article sélectionné à votre proche, lequel sera informé de votre identité. Pour toute information complémentaire, consulter notre Politique de protection des données .
Vous venez d’offrir à mail@mail.com l’article suivant :
« Ligue Europa: Marseille dit - presque - au revoir à la C3 »
Une erreur est survenue. Veuillez réessayer.
Profitez du 1er mois offert, sans engagement
Profitez du 1er mois offert, sans engagement
Offre Découverte
1 er mois offert
sans engagement
Le milieu de terrain de Marseille Lucas Ocampos (d) à la lutte avec le défenseur romain de la Lazio Stefan Radu, en Ligue Europa, le 25 octobre 2018 à Marseille
Avec un point en trois journées, l'OM est quasiment éliminé dès la phase de poules, à cinq longueurs de son adversaire et huit de Francfort. Triste...
Pour la première fois Rudi Garcia a perdu contre la Lazio. Invaincu en cinq rencontres en Italie, l'ancien entraîneur de la Roma a vu son OM cloué au sol par des buts de Wallace (10), Felipe Caicedo (59) et Adam Marusic (90).
Dimitri Payet a réduit le score (86) sur un coup franc direct, son seul éclat du match.
Sosie de Mario Balotelli, le déménageur équatorien Caicedo a de quoi raviver les regrets marseillais de n'avoir pas recruté de buteur cet été. Inutile d'accabler Kostas Mitroglou sur ce match, il n'a pas été bon, mais ses coéquipiers l'ont si peu servi...
C'est collectivement que l'OM a failli, trouvant peu de décalages et défendant fort mal face à la vitesse des " Laziali ".
- Sanson gâche la seule occasion -
Image symbole de ce match raté, Morgan Sanson, meilleur marseillais sur le terrain, a envoyé dans les nuages la plus belle occasion de l'OM, hormis le but, dans une position idéale sur un excellent centre d'Hiroki Sakai (56), agacé par ce gâchis.
Sanson a été le seul joueur à surnager. Il avait déjà marqué le but de la laborieuse victoire à Nice (1-0), dimanche. Mais Payet, après un début de saison brillant, est passé à côté d'un second match de rang.
Et comme Florian Thauvin est toujours en délicatesse avec son talon droit, l'OM et sa défense en emmental semble bien loin de pouvoir arrêter la série de dix victoires initiales du PSG en Ligue 1...
Le finaliste de la dernière C3, battu 3-0 par l'Atletico Madrid, n'a plus gagné dans cette compétition depuis cinq matches et la demi-finale aller contre Salzbourg (2-0), l'an dernier.
Pour corroborer cette tristesse, le Vélodrome encore sous le coup de la sanction de l'UEFA béait de ses deux virages fermés.
L'OM s'est fait surprendre dès la première incursion, sur un corner où trois " Laziali " se retrouvent au point de penalty face à deux Marseillais, Kevin Strootman et Adil Rami, malgré les grands moulinets du Néerlandais avant pour demander du soutien.
Ce surnombre conjugué à la mauvaise sortie de Steve Mandanda a entraîné l'ouverture du score de Wallace, de la tête (10).
Marseille était dominé par les mouvements collectifs romains, et Ciro Immobile aurait pu tuer le match s'il n'avait pas frappé la base du poteau (21) ou si Mandanda n'avait claqué sa reprise dans le mouvement (32).
L'OM ne répliquait que par Morgan Sanson, une frappe enveloppée de peu à côté (28), et un départ de son camp irrégulièrement arrêté par Senad Lulic alors qu'il avait le champ ouvert devant lui. Le Serbe a été averti (33).
Le public, déçu, a reporté ses encouragements sur les tacles du nouvel espoir local, Boubacar Kamara, courageux mais imprudent pour un défenseur central, et dépassé sur le 2-0.
Car au moment où l'OM retrouvait enfin le chemin de la surface adverse, un ballon perdu par Payet aboutissait au KO, une contre-attaque conduite par Ciro Immobile dans le dos de " Bouba " et conclue par Caicedo.
L'OM a cru à un renversement fou, comme la saison dernière en C3, quand Payet a réduit le score d'une lucarne, mais l'histoire s'est mal terminée. Le N.10 et Adil Rami se sont enguirlandés sur la pelouse au coup de sifflet final. Ce n'est pas le moment de perdre sa solidarité, le PSG arrive...
LE 17 août DANS L'HISTOIRE [VOIR] / NOTRE LIBRAIRIE [VOIR] / NOUS SOUTENIR [VOIR]
« Hâtons-nous de raconter les délicieuses histoires du peuple avant qu'il ne les ait oubliées » (C. Nodier, 1840)
Choisir un édito
Coronavirus : le jacobinisme démasqué
Coronavirus et crieurs des morts
Coronavirus : l'imposture politique
« L'État m'a tuée »
Sociétés « modernes » ?
Le monde renversé
Petite et Grande Histoire
Ère de la médiocratie
Faussaires de l'Histoire
Urne de la duperie
Dette inique et cyclopéenne
Scélérats omnipotents
Centralisation et banqueroute
Leurre du suffrage universel
Lobbies de l'énergie
Manoeuvres politico-sanitaires
Polluer plus, gagner plus...
Le consommateur se rebiffe
Moralisation financière ?...
L'électeur : animal irrationnel
Suicide moral d'un peuple
Politiques et impopularité
Ersatz de liberté
Arrogante gabegie étatique
Trompeurs : maîtres du jeu
Presse façonnant l'opinion
Prêt-à-penser des foules
Démocratie des saprophytes
Nihil novi sub sole...
Médias menteurs
Inepte réécriture de l'Histoire
Indigence télévisuelle
Fi des coups de semonce !
« Démagocratie » électorale
Education et Histoire
Fossoyeurs de la Langue
Apprentissage de l'Histoire
Un coquin à l'Élysée ?
Politiciens de foire
Gouvernance dévoyée
Honteuse guerre préventive
Démagogie et bien-pensance
Crime contre l'Histoire
« Panem et circenses »
Choisir un titre
- - - - Thème : Au temps jadis - - - -
Il était une France
Histoire de France
Histoire de France illustrée
Petite Histoire de France
Cris des marchands d'antan
Expressions & proverbes
Fables de Florian
Fêtes d'autrefois
Jeux de notre enfance
Légendes de France
Métiers (Histoire des)
Publicité d'antan (La)
- Thème : Questions historiques -
Bastille (La)
Féodalité (Histoire de la)
Gouverner (L'art de)
Mensonges historiques
Règne de Louis XIV (Histoire du)
Révolution française
Roi de France (Ce qu'était un)
- - - Thème : Figures de France - - -
Bonaparte
Henri IV
Jeanne d'Arc
Napoléon
- - - - - - - Hors collection - - - - - - -
Biarritz (Une saison à)
Encyclopédie du temps jadis
Magasin des enfants (Le)
Apprendre L'HISTOIRE de France en S'AMUSANT !
Vous êtes ici : Accueil > Coutumes, Traditions > Tortures et supplices au XVIe siècle
Origine, histoire des coutumes, traditions populaires et régionales, fêtes locales, jeux d’antan, moeurs, art de vivre de nos ancêtres
Tortures et supplices au XVIe siècle
(D’après « Histoire du Palais de justice de Paris et du parlement 860-1789 » paru en 1863)
Publié / Mis à jour le mercredi 3 août 2011 , par LA RÉDACTION
RECEVEZ L'INTÉGRALE La France pittoresque
Retrouvez toute L'HISTOIRE DE FRANCE avec l'Encyclopédie du temps jadis
Copyright © 1999-2022 LA FRANCE PITTORESQUE Tous droits réservés. Reproduction interdite. N° ISSN 1768-3270. N° CNIL 824 842 N° Siret 481 246619 00011. Code APE 913E La France pittoresque et Guide de la France d'hier et d'aujourd'hui sont des marques déposées Site déposé à l'INPI
17 août 1824 : mort du peintre
Anicet Lemonnier > Possédant la science du clair-obscur, entendant en maître la perspective (...) [LIRE]
Les exécutions simples consistaient dans la privation de la vie : s’il s’agissait d’une personne noble, on lui tranchait la tête ; s’il s’agissait d’une personne de roture, on employait la strangulation au moyen d’une corde attachée à une potence. On était condamné à la potence pour un très grand nombre de cas ; citons-en quelques-uns : vol avec effraction, vol domestique, pour meurtre, infanticide, incendie, viol, rapt, contrebande avec attroupement, fausse monnaie, libelles diffamatoires, coups et blessures ayant fait perdre la vie. De Pastoret a énuméré cent quinze cas où la peine de mort était prononcée tant par les tribunaux que par les conseils de guerre.
Dans l’étendue du parlement de Paris, il y avait deux sortes de questions : la question ordinaire et la question extraordinaire à l ’eau et aux brodequins. Dans d’autres parlements, il s’en donnait de plusieurs sortes, comme les mèches allumées entre les doigts, des poids aux pieds élevés en l’air, par les bras derrière le dos, etc. Concernant la question dite à l’eau, la plus ou moins grande quantité de liquide qu’on faisait avaler à l’accusé faisait la différence de la question ordinaire à l’extraordinaire. Quand on avait lu à l’accusé la sentence qui le condamnait à subir la question, on le faisait asseoir sur une espèce de tabouret de pierre ; on lui attachait les poignets à deux anneaux de fer, distants l’un de l’autre, derrière son dos ; puis les deux pieds à deux autres anneaux qui tenaient à un autre mur devant lui ; on tendait toutes les cordes avec force ; et lorsque son corps commençait à ne plus pouvoir s’étendre, on lui passait un tréteau sous les reins, ensuite on tendait encore les cordes jusqu’à ce que le corps fût bien en extension.
Le questionnaire, homme destiné par sa charge à cette triste besogne, tenait d’une main une corne de bœuf creuse, de l’autre il versait de l’eau dans la corne et en faisait avaler au criminel quatre pintes pour la question ordinaire et huit pintes pour l’extraordinaire. Un chirurgien tenait le pouls du patient et faisait arrêter pour un instant, suivant qu’il le sentait faiblir. Pendant ces intervalles, on interrogeait le patient pour obtenir de lui des révélations.
Les brodequins
La question dite des brodequins se donnait plus rarement que la question par l’eau, parce qu’elle pouvait estropier le patient. On ne donnait guère cette question qu’aux accusés de grands crimes et dont la condamnation paraissait inévitable : on cherchait, au moyen de la torture des brodequins, à en obtenir des éclaircissements ou des aveux. Voici comment on procédait :
On faisait asseoir le patient, on lui attachait les bras, on lui faisait tenir les jambes à plomb, puis on lui plaçait le long des deux côtés de chaque jambe deux planches, une en dedans et une en dehors ; on les serrait contre les jambes ; on les liait sous le genou et au-dessus de la cheville du pied ; ensuite, ayant placé les jambes près l’une de l’autre, on les liait toutes deux ensemble avec des cordes pareilles placées aux mêmes endroits ; puis on frappait des coins de bois dans les deux planches placées en dedans entre les genoux, et par en bas entre les deux pieds : ces coins serraient les planches de chaque jambe, de façon à faire craquer les os. La question ordinaire était de quatre coins, l’extraordinaire de huit. On condamnait certains criminels à être pendus et brûlés ; on les pendait d’abord, puis on les descendait de la potence pour être placés sur un bûcher et brûlés.
Enfin, dans les crimes horribles ou capitaux, on assemblait plusieurs supplices : 1° la question ordinaire et extraordinaire ; 2° l’amende honorable ; 3° quelquefois le poing coupé, ou les deux poings coupés, ou la langue coupée ou percée. Le dernier supplice consistait à être pendu, roué ou écartelé, brûlé. Le criminel condamné à être écartelé était démembré par quatre chevaux qu’on attachait à son corps au moyen de liens, et qu’on lançait en sens divers. Ce supplice était très rare. On l’appliquait pour crime de lèse-majesté au premier chef. Damiens, Ravaillac, Jean Chatel ont été écartelés. Le criminel condamné, soit à la potence, soit à avoir la tête tranchée, était conduit devant la porte de l’église où il venait faire amende honorable, ou au lieu même du supplice qu’il allait subir. Les supplices simples pouvaient avoir des aggravations de peines que nous allons indiquer.
Poing coupé
On faisait mettre le patient à genoux, puis on le forçait à mettre la main à plat sur un billot haut d’un pied ou environ, et d’un coup de hachette ou couperet, le bourreau lui faisait sauter la main et lui mettait tout de suite le moignon dans un sac rempli de son, qu’il liait à cause du sang.
Langue coupée
L’exécuteur la coupait avec un couteau.
Langue percée
Il la perçait avec un fer rouge, pointu ou à froid, suivant l’arrêt.
Les criminels condamnés au même supplice étaient conduits ensemble au lieu du supplice ; le plus coupable, ou celui qui était réputé tel, était exécuté le premier. On lisait au condamné son arrêt en sortant de la prison ; voici comment on le menait au lieu du supplice : on lui passait une corde avec un nœud coulant qui lui entourait le milieu de l’avant-bras ; on conduisait cette corde par derrière le dos, à l’autre avant-bras ; l’ayant entouré, on ramenait la corde au premier, de là au second, et on l’arrêtait. Par ce moyen elle se trouvait double derrière le dos et aux deux avant-bras ; préalablement il avait toujours les deux mains liées ensemble.
Quand il s’agissait d’un criminel qu’on allait pendre, on le faisait monter dans la charrette de l’exécuteur. Il était assis sur une planche de traverse, le dos tourné au cheval, et l’exécuteur derrière. Arrivé à la potence, où était appuyée et liée une échelle, le bourreau montait le premier à reculons, et aidait, au moyen des cordes, le criminel à monter de même
Salope mature s'exhibe et se masturbe à la maison
Bien lécher une jolie bite
Une baise française en extérieur