Clea Gaultier ne refuse pas de baiser analement son collègue de ballet
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Clea Gaultier ne refuse pas de baiser analement son collègue de ballet
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Bon, il ne s’agit pas tant ici d’une fausse nouvelle que d’une exagération d’internet (quoi? l’internet exagère?? Noooon!).
La twittosphère a explosée en début de semaine, alors qu’on alléguait qu’un café Starbucks à Riyad, en Arabie Saoudite, refusait de servir des femmes:
https://twitter.com/manarn8/status/694184934441930752/
«Un café #Starbucks à Riyad a refusé de me servir parce que je suis un FEMME et m’a demandé d’envoyer un homme pour commander», écrivait une internaute, avec une photo où on peut clairement voir un écriteau en anglais qui déclare: «Désolé, défense d’entrer pour les femmes, envoyez votre chauffeur pour commander».
S’en est suivi toute une panoplie d’articles, menant jusqu’à une campagne de boycott de Starbucks:
— Les effronté·es (@efFRONTees) February 7, 2016
Oui, c’est scandaleux. Sauf que la réalité est un peu plus nuancée que ça.
Paris Match a décidé de contacter Clarence Rodriguez, une journaliste française établie à Riyad, qui est allée vérifier les faits sur le terrain.
Ça devrait être l’étape #1 pour tout journaliste qui pense écrire un article à ce sujet.
Son constat? Oui, l’écriteau est vrai, et oui, on interdisait aux femmes d’entrer. Sauf que c’était une mesure temporaire.
Vous voyez, il est interdit pour les hommes et les femmes de partager un espace public en Arabie Saoudite. Le Starbucks en question avait justement construit une zone réservée aux femmes pour pouvoir les accueillir. Au moment où la photo a été prise, le café se voyait obligé de rénover le mur qui sépare cette zone du reste du café, à la demande de la police religieuse. D’où l’écriteau défendant aux femmes d’entrer. La zone est maintenant rouverte, et le café accueille de nouveau les femmes, selon Mme Rodriguez.
On peut dénoncer lois très strictes et très sexistes en Arabie saoudite, mais on ne peut pas s’attendre à ce que Starbucks ne respecte pas les lois du pays, quand même. L’entreprise, comme toute entreprise qui fait affaires dans ce pays, n’a pas vraiment le choix d’appliquer les lois en vigueur (l’entreprise est loin d’être la seule compagnie américaine établie dans ce pays). Surtout quand on sait que l’Arabie saoudite n’est pas le genre de pays qui tolère les écarts de conduite en matière de «moralité» et de relations hommes-femmes.
On parle d’un pays qui ne permet même pas aux femmes de conduire (d’où la suggestion de demander à son chauffeur de venir commander à la place des femmes).
Mme Rodriguez a d’ailleurs dénoncé cet intox médiatique sur sa page Facebook personnelle:
«J’avoue que je suis écoeurée par tant de mauvaise foi de la part de certains de mes confrères ou consœurs qui traitent le sujet “Starbucks“ à Riyad comme une Info alors qu’il s’agit d’intox», lance-t-elle d’entrée de jeu. Ouch.
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Bon, il ne s’agit pas tant ici d’une fausse nouvelle que d’une exagération d’internet (quoi? l’internet exagère?? Noooon!).
La twittosphère a explosée en début de semaine, alors qu’on alléguait qu’un café Starbucks à Riyad, en Arabie Saoudite, refusait de servir des femmes:
https://twitter.com/manarn8/status/694184934441930752/
«Un café #Starbucks à Riyad a refusé de me servir parce que je suis un FEMME et m’a demandé d’envoyer un homme pour commander», écrivait une internaute, avec une photo où on peut clairement voir un écriteau en anglais qui déclare: «Désolé, défense d’entrer pour les femmes, envoyez votre chauffeur pour commander».
S’en est suivi toute une panoplie d’articles, menant jusqu’à une campagne de boycott de Starbucks:
— Les effronté·es (@efFRONTees) February 7, 2016
Oui, c’est scandaleux. Sauf que la réalité est un peu plus nuancée que ça.
Paris Match a décidé de contacter Clarence Rodriguez, une journaliste française établie à Riyad, qui est allée vérifier les faits sur le terrain.
Ça devrait être l’étape #1 pour tout journaliste qui pense écrire un article à ce sujet.
Son constat? Oui, l’écriteau est vrai, et oui, on interdisait aux femmes d’entrer. Sauf que c’était une mesure temporaire.
Vous voyez, il est interdit pour les hommes et les femmes de partager un espace public en Arabie Saoudite. Le Starbucks en question avait justement construit une zone réservée aux femmes pour pouvoir les accueillir. Au moment où la photo a été prise, le café se voyait obligé de rénover le mur qui sépare cette zone du reste du café, à la demande de la police religieuse. D’où l’écriteau défendant aux femmes d’entrer. La zone est maintenant rouverte, et le café accueille de nouveau les femmes, selon Mme Rodriguez.
On peut dénoncer lois très strictes et très sexistes en Arabie saoudite, mais on ne peut pas s’attendre à ce que Starbucks ne respecte pas les lois du pays, quand même. L’entreprise, comme toute entreprise qui fait affaires dans ce pays, n’a pas vraiment le choix d’appliquer les lois en vigueur (l’entreprise est loin d’être la seule compagnie américaine établie dans ce pays). Surtout quand on sait que l’Arabie saoudite n’est pas le genre de pays qui tolère les écarts de conduite en matière de «moralité» et de relations hommes-femmes.
On parle d’un pays qui ne permet même pas aux femmes de conduire (d’où la suggestion de demander à son chauffeur de venir commander à la place des femmes).
Mme Rodriguez a d’ailleurs dénoncé cet intox médiatique sur sa page Facebook personnelle:
«J’avoue que je suis écoeurée par tant de mauvaise foi de la part de certains de mes confrères ou consœurs qui traitent le sujet “Starbucks“ à Riyad comme une Info alors qu’il s’agit d’intox», lance-t-elle d’entrée de jeu. Ouch.
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AU STADE DU RAY cet après-midi, où son équipe avait souffert
pour arracher un nul la saison dernière (1-1), l'entraîneur de l'OL s'attend encore à un gros
combat. Gérard Houllier a préparé ce déplacement sans sa dernière recrue, Alou Diarra, dont
le nouveau contrat n'était toujours pas homologué hier : « Je suis un grand entraîneur, pas
un grand administratif », ironise-t-il en s'agaçant de ce couac.
et dernier déplacement du mois d'août ?
Comme tous les matchs à l'extérieur,
cela s'annonce dur, musclé, et il faudra être costaud. Physiquement et mentalement ! Même le
(NDLR : allusion aux incidents à Bordeaux dimanche où le bus de
Pourtant, on joue plutôt bien, on est des gars sympathiques,
mais, que voulez-vous, pour certains, « la guerre, c'est la guerre »...
particulières de ces matchs à l'extérieur plutôt bien maîtrisés par l'OL (victoires à Nantes
Nos adversaires n'ont rien à perdre quand ils affrontent l'OL. Pour eux, c'est
un vrai match de Ligue des champions. Par conséquent, cela nécessite une discipline de jeu sans
faille, une solidarité et un esprit du sacrifice accrus. Mais ce n'est pas toujours évident
car août reste un mois difficile. A Nice en tout cas, on devrait assister à une belle partie
de manivelles, avec sans doute encore plus d'engagement qu'à Bordeaux. Cette perspective ne
me déplaît pas : mon équipe ne refuse pas le combat.
va-t-il proposer encore plus de jeu que face à Bordeaux la semaine dernière ?
sera mieux, et dans tous les secteurs. Mes joueurs sont conscients de la difficulté du championnat
et, chaque semaine, ils rehaussent leur niveau de professionnalisme, de préparation. On a là
de vrais compétiteurs qui ont déjà laissé derrière eux le succès à Bordeaux.
sur Nice, qui n'a toujours pas empoché la moindre victoire ?
Je ne regarde pas que le classement
; je vois les matchs également et Nice est une bonne équipe, supérieure à sa position actuelle,
avec des joueurs vifs, techniques, agressifs. Elle me fait penser au Nancy de la saison dernière
qui avait quitté Gerland avec une quatrième défaite après quatre journées, avant de finir la
saison dans la première partie de tableau. La preuve que les débuts de saison difficiles ne
veulent pas forcément dire grand-chose.
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