Cinq filles rien que pour lui
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Cinq filles rien que pour lui
Les Cinq Filles de Mrs Bennet (Pride and Prejudice) (1813)
Traduction par V. Leconte et Ch. Pressoir . Librairie Plon , 1932 ( p. 24 - 30 ).
book Les Cinq Filles de Mrs Bennet (Pride and Prejudice) (1813) Jane Austen V. Leconte et Ch. Pressoir Librairie Plon 1932 Paris T Austen - Les Cinq filles de Mrs Bennet.djvu Austen - Les Cinq filles de Mrs Bennet.djvu/1 24-30Â
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La fortune de Mr. Bennet consistait presque tout
entiĂšre en un domaine dâun revenu de 2Â 000 livres
mais qui, malheureusement pour ses filles, devait, Ă
dĂ©faut dâhĂ©ritier mĂąle, revenir Ă un cousin Ă©loignĂ©.
Lâavoir de leur mĂšre, bien quâapprĂ©ciable, ne pouvait
compenser une telle perte. Mrs. Bennet, qui Ă©tait la
fille dâun avouĂ© de Meryton, avait hĂ©ritĂ© de son pĂšre
4 000 livres ; elle avait une sĆur mariĂ©e Ă un Mr. Philips,
ancien clerc et successeur de son pĂšre, et un
frĂšre honorablement Ă©tabli Ă Londres dans le commerce.
Le village de Longbourn nâĂ©tait quâĂ un mille de
Meryton, distance commode pour les jeunes filles qui,
trois ou quatre fois par semaine, Ă©prouvaient lâenvie
dâaller prĂ©senter leurs devoirs Ă leur tante ainsi quâĂ
la modiste qui lui faisait face de lâautre cĂŽtĂ© de la rue. Les deux benjamines, dâesprit plus frivole que leurs
aßnées, mettaient à rendre ces visites un empressement
particulier. Quand il nây avait rien de mieux Ă faire,
une promenade à Meryton occupait leur matinée et
fournissait un sujet de conversation pour la soirée. Si
peu fertile que fût le pays en événements extraordinaires,
elles arrivaient toujours Ă glaner quelques nouvelles
chez leur tante.
Actuellement elles étaient comblées de joie par la
rĂ©cente arrivĂ©e dans le voisinage dâun rĂ©giment de la
milice. Il devait y cantonner tout lâhiver et Meryton
était le quartier général. Les visites à Mrs. Philips
étaient maintenant fécondes en informations du plus
haut intĂ©rĂȘt, chaque jour ajoutait quelque chose Ă ce
que lâon savait sur les officiers, leurs noms, leurs
familles, et bientĂŽt lâon fit connaissance avec les officiers
eux-mĂȘmes. Mr. Philips leur fit visite Ă tous,
ouvrant ainsi à ses niÚces une source de félicité inconnue
jusquâalors. Du coup, elles ne parlĂšrent plus
que des officiers, et la grande fortune de Mr. Bingley
dont lâidĂ©e seule faisait vibrer lâimagination de leur
mĂšre nâĂ©tait rien pour elles, comparĂ©e Ă lâuniforme
rouge dâun sous-lieutenant.
Un matin, aprÚs avoir écouté leur conversation sur
cet inépuisable sujet, Mr. Bennet observa froidement :
â Tout ce que vous me dites me fait penser que
vous ĂȘtes deux des filles les plus sottes de la rĂ©gion.
Je mâen doutais depuis quelque temps, mais aujourdâhui,
jâen suis convaincu.
Catherine déconcertée ne souffla mot, mais Lydia,
avec une parfaite indiffĂ©rence, continua dâexprimer
son admiration pour le capitaine Carter et lâespoir de
le voir le jour mĂȘme car il partait le lendemain pour
Londres.
â Je suis surprise, mon ami, intervint Mrs. Bennet,
de vous entendre déprécier vos filles aussi facilement.
Si jâĂ©tais en humeur de critique, ce nâest pas Ă mes
propres enfants que je mâattaquerais.
â Si mes filles sont sottes, jâespĂšre bien ĂȘtre capable
de mâen rendre compte.
â Oui, mais il se trouve au contraire quâelles sont
toutes fort intelligentes.
â VoilĂ le seul point, â et je mâen flatte, â sur
lequel nous sommes en désaccord. Je voulais croire
que vos sentiments et les miens coĂŻncidaient en toute
chose mais je dois reconnaĂźtre quâils diffĂšrent en ce
qui concerne nos deux plus jeunes filles que je trouve
remarquablement niaises.
â Mon cher Mr. Bennet, vous ne pouvez vous
attendre Ă trouver chez ces enfants le jugement de
leur pĂšre et de leur mĂšre. Lorsquâelles auront notre
Ăąge, jâose dire quâelles ne penseront pas plus aux militaires
que nous nây pensons nous-mĂȘmes. Je me rappelle
le temps oĂč jâavais aussi lâamour de lâuniforme ;
â Ă dire vrai je le garde toujours au fond du cĆur et si
un jeune et élégant colonel pourvu de cinq ou six
mille livres de rentes dĂ©sirait la main dâune de mes
filles, ce nâest pas moi qui le dĂ©couragerais. Lâautre
soir, chez sir William, jâai trouvĂ© que le colonel Forster
avait vraiment belle mine en uniforme.
â Maman, sâĂ©cria Lydia, ma tante dit que le colonel
Forster et le capitaine Carter ne vont plus aussi
souvent chez miss Watson et quâelle les voit maintenant
faire de fréquentes visites à la librairie Clarke.
La conversation fut interrompue par lâentrĂ©e du
valet de chambre qui apportait une lettre adressĂ©e Ă
Jane. Elle venait de Netherfield et un domestique
attendait la réponse.
Les yeux de Mrs. Bennet Ă©tincelĂšrent de plaisir et,
pendant que sa fille lisait, elle la pressait de questions :
â Eh bien ! Jane, de qui est-ce ? De quoi sâagit-il ?
Voyons, répondez vite, ma chérie.
â Câest de miss Bingley, rĂ©pondit Jane, et elle lut
tout haut : « ChĂšre amie, si vous nâavez pas la charitĂ©
de venir dĂźner aujourdâhui avec Louisa et moi, nous
courrons le risque de nous brouiller pour le reste de nos jours, car un tĂȘte-Ă -tĂȘte de toute une journĂ©e entre
deux femmes ne peut se terminer sans querelle. Venez
aussitÎt ce mot reçu. Mon frÚre et ses amis doivent
dĂźner avec les officiers. Bien Ă vous. â Caroline
Bingley . »
â Avec les officiers ! sâexclama Lydia. Je mâĂ©tonne
que ma tante ne nous en ait rien dit.
â Ils dĂźnent en ville, dit Mrs. Bennet. Pas de
chance.
â Puis-je avoir la voiture ? demanda Jane.
â Non, mon enfant, vous ferez mieux dây aller Ă
cheval car le temps est à la pluie ; vous ne pourrez
vraisemblablement pas revenir ce soir.
â Ce serait fort bien, dit Elizabeth, si vous Ă©tiez
sĂ»re que les Bingley nâoffriront pas de la faire reconduire.
â Oh ! pour aller Ă Meryton, ces messieurs ont dĂ»
prendre le cabriolet de Mr. Bingley et les Hurst nâont
pas dâĂ©quipage.
â Jâaimerais mieux y aller en voiture.
â Ma chĂšre enfant, votre pĂšre ne peut donner les
chevaux ; on en a besoin Ă la ferme, nâest-ce pas,
master Bennet ?
â On en a besoin Ă la ferme plus souvent que je ne
puis les donner.
â Alors, si vous les donnez aujourdâhui, dit Elizabeth,
vous servirez les projets de ma mĂšre.
Mr. Bennet, finalement reconnut que les chevaux
Ă©taient occupĂ©s. Jane fut donc obligĂ©e de partir Ă
cheval et sa mĂšre la conduisit jusquâĂ la porte en formulant
toutes sortes de joyeux pronostics sur le mauvais
temps.
Son espérance se réalisa : Jane était à peine partie
que la pluie se mit Ă tomber avec violence. Ses sĆurs
nâĂ©taient pas sans inquiĂ©tude Ă son sujet, mais sa mĂšre
était enchantée. La pluie continua toute la soirée sans
arrĂȘt : certainement, Jane ne pourrait pas revenir.
â Jâai eu lĂ vraiment une excellente idĂ©e, dit Mrs. Bennet Ă plusieurs reprises, comme si câĂ©tait elle-mĂȘme
qui commandait Ă la pluie.
Ce ne fut cependant que le lendemain matin quâelle
apprit tout le succĂšs de sa combinaison. Le breakfast
sâachevait lorsquâun domestique de Netherfield arriva
porteur dâune lettre pour Elizabeth :
« Ma chÚre Lizzy, je me sens trÚs souffrante ce
matin, du fait, je suppose, dâavoir Ă©tĂ© trempĂ©e jusquâaux
os hier. Mes aimables amies ne veulent pas
entendre parler de mon retour Ă la maison avant que
je sois mieux. Elles insistent pour que je voie Mr. Jones.
Aussi ne vous alarmez pas si vous entendiez dire quâil
est venu pour moi Ă Netherfield. Je nâai rien de sĂ©rieux,
simplement un mal de gorge accompagné de migraine.
Tout Ă vous⊠etcâŠÂ »
â Eh bien, ma chĂšre amie, dit Mr. Bennet quand
Elizabeth eut achevé de lire la lettre à haute voix, si
lâindisposition de votre fille sâaggravait et se terminait
mal, vous auriez la consolation de penser quâelle lâa
contractée en courant aprÚs Mr. Bingley pour vous
obéir.
â Oh ! je suis sans crainte. On ne meurt pas dâun
simple rhume. Elle est certainement bien soignée.
Tant quâelle reste lĂ -bas on peut ĂȘtre tranquille. Jâirais
la voir si la voiture Ă©tait libre.
Mais Elizabeth, vraiment anxieuse, décida de se
rendre elle-mĂȘme Ă Netherfield. Comme la voiture
nâĂ©tait pas disponible et que la jeune fille ne montait
pas Ă cheval, elle nâavait dâautre alternative que dây
aller Ă pied.
â Avec une boue pareille ? Ă quoi pensez-vous !
sâĂ©cria sa mĂšre lorsquâelle annonça son intention. Vous
ne serez pas présentable en arrivant.
â Je le serai suffisamment pour voir Jane et câest
tout ce que je veux.
â Donnez-vous Ă entendre, dit le pĂšre, que je
devrais envoyer chercher les chevaux ?
â Nullement ; je ne crains pas la marche. La distance nâest rien quand on a un motif pressant et il nây
a que trois milles ; je serai de retour avant le dßner.
â Jâadmire lâardeur de votre dĂ©vouement fraternel,
déclara Mary. Mais toute impulsion du sentiment
devrait ĂȘtre rĂ©glĂ©e par la raison, et lâeffort, Ă
mon avis, doit toujours ĂȘtre proportionnĂ© au but quâon
se propose.
â Nous vous accompagnons jusquâĂ Meryton,
dirent Catherine et Lydia.
Elizabeth accepta leur compagnie et les trois jeunes
filles partirent ensemble.
â Si nous nous dĂ©pĂȘchons, dit Lydia en cours de
route, peut-ĂȘtre apercevrons-nous le capitaine Carter
avant son départ.
à Meryton elles se séparÚrent. Les deux plus jeunes
se rendirent chez la femme dâun officier tandis quâElizabeth
poursuivait seule son chemin. On eût pu la
voir, dans son impatience dâarriver, aller Ă travers
champs, franchir les Ă©chaliers, sauter les flaques dâeau,
pour se trouver enfin devant la maison, les jambes
lasses, les bas crottés, et les joues enflammées par
lâexercice.
Elle fut introduite dans la salle Ă manger oĂč tout le
monde était réuni sauf Jane. Son apparition causa
une vive surprise. Que seule, Ă cette heure matinale,
elle eût fait trois milles dans une boue pareille,
Mrs. Hurst et miss Bingley nâen revenaient pas et,
dans leur Ă©tonnement, Elizabeth sentit nettement de
la désapprobation. Elles lui firent toutefois un accueil
trĂšs poli. Dans les maniĂšres de leur frĂšre il y avait
mieux que de la politesse, il y avait de la cordialité ;
Mr. Darcy dit peu de chose et Mr. Hurst rien du tout.
Le premier, tout en admirant le teint dâElizabeth
avivĂ© par la marche, se demandait sâil y avait rĂ©ellement
motif Ă ce quâelle eĂ»t fait seule une si longue
course ; le second ne pensait quâĂ achever son dĂ©jeuner.
Les questions dâElizabeth au sujet de sa sĆur reçurent
une rĂ©ponse peu satisfaisante. Miss Bennet avait mal dormi ; elle sâĂ©tait levĂ©e cependant, mais se
sentait fiĂ©vreuse et nâavait pas quittĂ© sa chambre. Elizabeth
se fit conduire immĂ©diatement auprĂšs dâelle et
Jane qui, par crainte dâalarmer les siens, nâavait pas
osé réclamer une visite, fut ravie de la voir entrer.
Son Ă©tat ne lui permettait pas de parler beaucoup et,
quand miss Bingley les eut laissées ensemble, elle se
borna Ă exprimer sa reconnaissance pour lâextrĂȘme
bontĂ© quâon lui tĂ©moignait.
Leur dĂ©jeuner terminĂ©, les deux sĆurs vinrent les
rejoindre et Elizabeth elle-mĂȘme se sentit touchĂ©e en
voyant lâaffection et la sollicitude dont elles entouraient
Jane. Le médecin, arrivant à ce moment, examina
la malade et dĂ©clara comme on sây attendait
quâelle avait pris un gros rhume qui demandait Ă ĂȘtre
soigné sérieusement. Il lui conseilla de se remettre au
lit et promit de lui envoyer quelques potions. Jane
obéit docilement car les symptÎmes de fiÚvre augmentaient
ainsi que les douleurs de tĂȘte.
Elizabeth ne quitta pas un instant la chambre de
sa sĆur et Mrs. Hurst et miss Bingley ne sâen Ă©loignĂšrent
pas beaucoup non plus. Les messieurs Ă©tant
sortis elles nâavaient rien de plus intĂ©ressant Ă faire.
Quand lâhorloge sonna trois heures, Elizabeth, bien
Ă contre-cĆur, annonça son intention de repartir.
Miss Bingley lui offrit de la faire reconduire en voiture,
mais Jane témoigna une telle contrariété à la pensée
de voir sa sĆur la quitter que miss Bingley se vit
obligĂ©e de transformer lâoffre du cabriolet en une invitation
Ă demeurer Ă Netherfield quâElizabeth accepta
avec beaucoup de reconnaissance. Un domestique fut
donc envoyé à Longbourn pour mettre leur famille
au courant et rapporter le supplément de linge et de
vĂȘtements dont elles avaient besoin.
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Et oui! Je suis parvenu plus d'une fois Ă avoir plusieurs copines... Des relations Ă part entiĂšre, plus ou moins sĂ©xuĂ©es Ă cause de nos ages.. Mon max, c'est 3...dur Ă gĂ©rer! J'Ă©tais Ă 2 trĂ©s rĂ©cemment.. Ce dĂ©sir de "bigamie" tacite est-il physiologique ou pas? Suis je normal de vouloir sortir avec toute les filles qui me plaisent, mĂȘme Ă©tant "occupĂ©" ailleurs? Votre avis?
Non je partage pas! Je suis trÚs jalou! Et merci de te faire du souci pr ma santé mental ms je pense etre équilibré...
en fait Ă mon avis il n'a crĂ©Ă© cette discussion que pour vanter ses "exploits". alors donnons-lui les avis qu'il veut entendre: "t'es trop fort!!! j'voudrais faire pareil!!! sauf que j'y suis jamais arrivĂ©. tu dois vraiment ĂȘtre un dieu!" voilĂ . je repars avec le sentiment du devoir accompli.đ si je lui avais parlĂ© d'amour et de respect, il n'aurait de toute façon pas compris ce que je voulais dire. ne gaspillons pas notre Ă©nergie.
sortir avec plusieurs filles en mĂȘme temps c'est typiquement mexicain. Je me le suis fait faire par un beau mexicano beau parleur, menteur et manipulateur. tout ses amis sont comme lui, et son pĂšre est comme lui, et tous les amis de ses amis sont comme lui. Finalement une bonne proportion de la population mexicaine. RĂ©sultat: des millions de mĂšres monoparentales abandonnĂ©es. Le gars qui se sauve aux USA par le premier autobus, pour ne pas ĂȘtre obligĂ© de marier la fille (question de sauver l'honneur de la famille). Ils font 5 ou 10 bĂ©bĂ©s a gauche et a droite, comme leur hĂ©ro de la rĂ©volution Pancho Villa qui avait une trentaine de femmes.En plus comme toi ils sont possessifs envers leur conquĂȘtes. Lui a le droit d'ĂȘtre "polygame" mais pas les filles, parce que la femme est un ĂȘtre infĂ©rieur au service de l'homme. Donc ton problĂšme ça porte un nom bien prĂ©cis et bien connu dans le tiers monde : machiste Mais toi tu vient d'un pays dĂ©veloppĂ© donc d'ou te viens cette mentalitĂ© rĂ©trograde?
oui des femmes machos ça existe. Il faut que vous sachiez ce que vous voulez, parce que la, je vois vraiment des incohĂ©rences. Quand on veut l'exclusivitĂ© amoureuse et sexuelle, il faut ĂȘtre prĂȘt a faire la mĂȘme chose soi-mĂȘme. Vouloir plusieurs filles ou plusieurs gars pour soi tout seul et eux, ne peuvent pas aller voir ailleurs, c'est vraiment un manque de cohĂ©rence. C'est vouloir le beurre et l'argent du beurre. Alors faut pas vous surprendre s'ils vont finir par partir en claquant la porte. Finalement vous vous retrouvez seuls parce que vous n'ĂȘtes pas capable d'ĂȘtre intĂšgre avec personne mĂȘme pas avec vous-mĂȘme.
Contacts :
La régie
La rédaction
Le groupe :
Groupe Unify
Groupe TF1
Je ne pense qu'à ça.. Aidez-moi SVP !!!
Je l'aime mais je ne pense qu'Ă une chose !!!!
Les filles, j'en veux qu'Ă votre tirelire
Au secours, je ne pense qu'Ă le tromper !
pas franchis le pas : je ne pense plus qu'à ça
je ne pense qu'à lui, je n'ose l'aborder , je suis mariée..que faire?
Et oui! Je suis parvenu plus d'une fois Ă avoir plusieurs copines... Des relations Ă part entiĂšre, plus ou moins sĂ©xuĂ©es Ă cause de nos ages.. Mon max, c'est 3...dur Ă gĂ©rer! J'Ă©tais Ă 2 trĂ©s rĂ©cemment.. Ce dĂ©sir de "bigamie" tacite est-il physiologique ou pas? Suis je normal de vouloir sortir avec toute les filles qui me plaisent, mĂȘme Ă©tant "occupĂ©" ailleurs? Votre avis?
Moi aussi, j'ai déjà eu 3 mecs à la fois. J'adore qu'on m'adule, j'adore que les mecs se battent pour moi ! C'est un fantasme, ça m'excite à mort !
sortir avec plusieurs filles en mĂȘme temps c'est typiquement mexicain. Je me le suis fait faire par un beau mexicano beau parleur, menteur et manipulateur. tout ses amis sont comme lui, et son pĂšre est comme lui, et tous les amis de ses amis sont comme lui. Finalement une bonne proportion de la population mexicaine. RĂ©sultat: des millions de mĂšres monoparentales abandonnĂ©es. Le gars qui se sauve aux USA par le premier autobus, pour ne pas ĂȘtre obligĂ© de marier la fille (question de sauver l'honneur de la famille). Ils font 5 ou 10 bĂ©bĂ©s a gauche et a droite, comme leur hĂ©ro de la rĂ©volution Pancho Villa qui avait une trentaine de femmes.En plus comme toi ils sont possessifs envers leur conquĂȘtes. Lui a le droit d'ĂȘtre "polygame" mais pas les filles, parce que la femme est un ĂȘtre infĂ©rieur au service de l'homme. Donc ton problĂšme ça porte un nom bien prĂ©cis et bien connu dans le tiers monde : machiste Mais toi tu vient d'un pays dĂ©veloppĂ© donc d'ou te viens cette mentalitĂ© rĂ©trograde?
Par contre, ça, je ne supporterais pas. je ne supporte pas de partager mes mecs. Chaque mec doit se consacrer Ă moi et ĂȘtre aux petits soins. Je dois ĂȘtre un homme macho Ă l'intĂ©rieur !
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