Chopée au boulot par le patron

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Petite honte ou carrément gros embarras, on a tous vécu des expériences plus ou moins gênantes au bureau. Florilège de témoignages recueillis par Grazia.fr.
Erreur de destinataire Harcelées depuis plusieurs mois par une nouvelle chef, ma collègue et moi n’en pouvions plus. Un jour juste avant une réunion, j’écris à ma collègue Julie un mail charmant concernant notre boss, concluant : « J’espère qu’elle ne va pas nous faire trop chier encore » (en citant son nom). Sans réponse de ma collègue, je lui demande si elle a reçu mon message. Non, forcément, je l’avais envoyé à ma chef. Vent de panique! Comment faire ? Rattraper un mail ? Est-ce possible ? Le supprimer de son poste ? Alors qu’elle est assise juste à côté de moi ! J’alerte une autre collègue, lui explique pour qu’elle fasse partir de son poste notre boss… Elle est ok mais « l’ennemie » semble hésiter à  se lever ! Je stresse à mort, elle ne semble pas lire ses mails. J’espère qu’elle n’a pas de mot de passe ! Finalement elle se lève, je me précipite sur son ordi, pas de mot de passe, ouf, en plus elle n’avait pas encore ouvert ses mails ! Quel soulagement quand j’ai supprimé le mien et vidé la corbeille de son Outlook ! J’ai bien fait rire tout le monde mais mon cœur a failli lâcher ce jour-là.
Magali, 34 ans, architecte d’intérieur. 
La conf’ call de trop Un jour, alors que j’étais clouée au lit pour cause de gastro, mon boss m’appelle pour que j’aille au bureau malgré tout. Je rassemble mes forces, je me lève, m’habille et me traîne hors de chez moi. Je me sens ultra mal et suis à deux doigts de m’évanouir dans le bus. A peine arrivée au boulot, je me retrouve coincée dans le bureau de mon chef pour une conférence téléphonique. Au milieu de la conférence, je suis prise de sueurs froides ; je vais vomir. Oh non. Mon boss me regarde, je lui dis « mets sur mute », j’attrape sa poubelle et je régurgite mon déjeuner . Il ne s’est pas démonté. A la fin de la conférence call il me dit : « Tu me fais le résumé et tu peux rentrer chez toi ». C’est seulement 4h après que je suis enfin rentrée chez moi.
Heures supplémentaires Un soir, j’ai voulu rester au bureau plus tard que prévu pour finir un truc et puis le temps a filé et à 23h j’y étais encore. Quand j’ai voulu quitter l’immeuble, la porte était fermée et mon badge ne marchait plus. Ils le déconnectent passé 21h et je n’étais pas au courant. J’ai dû appeler ma chef qui avait un badge 24h pour qu’elle vienne me sauver. C’est son mari qui l’a accompagnée au bureau en scooter à 11h du soir ! Et c’était mon premier mois dans l’entreprise. 
Fanny, 36 ans, assistante de langues étrangères.
Un beau lapsus Je travaillais dans un bureau de presse. Période de Fashion Week, beaucoup de boulot et des sollicitations de tous les côtés pour avoir des invitations aux défilés. Un journaliste m’appelle parce qu’il n’a pas reçu son carton pour un défilé à venir et me supplie de lui trouver une petite place. Je lui dis que je vais checker et que je le rappelle. Je me démène et je lui trouve un micro-siège. Je le rappelle pour lui annoncer la bonne nouvelle et au lieu de lui dire « j’ai eu une défection » ma langue a fourché et je lui ai dit « j’ai eu une défécation ». Il a eu la gentillesse (ou le dégoût) de ne jamais mentionner cette phrase. S’il se reconnaît, je l’en remercie.
Juliette, 27 ans, organisatrice évènementielle freelance.
Les fesses à l’air Lorsque j’étais à la fac, je travaillais dans un magasin pour me faire un peu de sous. Le patron avait eu l’idée de nous faire porter des tabliers (très «trendy» selon lui). Un jour, la robe que je portais s’est coincée dans mon tablier et j’ai passé l’après-midi les fesses à l’air sans me rendre compte de rien. Jusqu’à ce qu’un petit garçon me fixe le derrière avec insistance. Rotation rapide de la tête et le spectacle s’offre à moi : ma petite culotte, exposée aux yeux de tous. Donc non seulement je ressemblais à Bécassine avec mon tablier mais en plus mon arrière-train était à l’air.
Paulina, 24 ans, créatrice de bijoux.
Le SAS de la honte Une copine et moi effectuions un stage dans une banque très connue à la Défense. Pause déj, on décide d’aller explorer les environs mais au lieu de prendre l’ascenseur, on se dit qu’on va descendre les 15 étages à pied histoire de se dégourdir un peu les jambes. Sauf que nous nous sommes retrouvées coincées dans une sorte de couloir vitré qui séparaient deux parties distinctes de l’immeuble sans aucun moyen d’ouvrir la porte. Heureusement, se dit-on, comme c’est une baie vitrée, les gens vont nous voir. Alors on commence à s’agiter et à faire des signes aux badauds qui passaient par là. Pendant 2 heures et 30 minutes, tout le monde nous répondait avec un petit signe de la main, pensant qu’on leur faisait coucou. On a finalement dû faire appeler l’un des big boss, soit le père d’une autre copine qui nous avait aidées à obtenir le stage. Bonjour l’embarras.
Tatiana, 28 ans, conseillère financière.
Kilt + alcool = désastre Nouveau job, première semaine. Le patron m’invite à une soirée « black tie » soit hypra chic avec tous les collègues et clients de la boîte. En bon Ecossais que je suis, je mets mon kilt, ça change du costard-cravate. La soirée se passe bien, je danse comme un fou mais c’est open bar et je bois peut être un peu plus que de raison. A 5 heures du mat’ ,je m’endors sur une chaise dans l’entrée de la salle, dans une position peu flatteuse (en kilt = sans sous-vêtements). Mon boss, sympa, décide de me ramener et me fait grimper dans un taxi. En plein trajet, je me sens mal et vomis par la fenêtre. Incapable de coordonner mes mouvements, le chauffeur demande à mon chef de nettoyer le vomi de la portière. Groggy, je me réveille le lendemain… chez mon chef. Trop ivre pour rentrer chez moi, il m’a fait dormir sur son canapé. Malheureusement, il fait 10 centimètres de plus que moi et ne trouve pas de pantalon adéquat à me prêter pour aller au boulot. Avec mes habits sales de la veille, je pars travailler. Au boulot, tous les gens sont en train de parler de l’état dans lequel j’étais la veille. Coups de coudes, tapes dans le dos, je suis la risée de l’open space…
Frédéric, 27 ans, chargé de marketing. 
Perte de connaissance La chose la plus embarrassante qui me soit arrivée au boulot ? Sans doute le jour où je me suis évanouie devant ma boss. Je débutais un stage au sein de la rédaction d’un magazine. Pas mal de pression donc. Le 3e jour, on me demande de rédiger un article. Je me lance. Une fois fini, je l’envoie à ma boss pour l’étape « correction ». Et là, ça ne loupe pas : « Hortense, tu peux venir voir s’il te plaît ? ». Je me dirige vers son bureau les mains moites et l’allure fébrile. Elle reprend mon article de A à Z. Au fil de ses remarques, mon cœur se serre et mon rythme cardiaque s’emballe… jusqu’au trou noir. Quelques secondes après, je reprends conscience et m’aperçois que je suis par terre. L’ensemble de l’équipe me fixe d’un air inquiet. Bref, on m’appelle un taxi pour que je rentre chez moi. Heureusement, ce jour-là je souffrais d’une otite. Un alibi de fer. Car c’est bien connu, l’oreille est l’un des organes qui régit l’équilibre, non ?
Hortense, 26 ans, apprentie journaliste.
Sous le vent J’avais repéré un collègue canon et réussi, moi la petite boulotte de l’équipe, à attirer son attention. Alors que nous discutons joyeusement dans le couloir en allant prendre un café tous les deux, je pars d’un grand éclat de rire, que je veux séduisant, et qu’entends-je sortir des tréfonds de moi-même : un petit bruit bien reconnaissable… 

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UNDERCOVER BOSS – Les patrons au boulot


Par Lepetitjournal.com International | Publié le 16/11/2010 à 00:00 | Mis à jour le 14/11/2012 à 10:22
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