Chiennes dominatrices vous disent quoi faire

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Chiennes dominatrices vous disent quoi faire
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Il commence son travail en ricanant. Il finit et me tend la médaille graver en me disant « maintenant tu n’es plus qu’un chien soumis.
Dans la rue , j’ai l’impression que tout le monde me regarde. J’ai l’impression que la cage de chasteté se dévoile sous mon jean serré et que le collier se voit. Tellement j’ai honte, je marche la tête baissé . Je pense sur la manière de renter au bureau sans que mes collègues s’aperçoivent de ma tenue et surtout de mes accessoires imposés.
Je ne m’attarde pas à l’entrée de l’immeuble ; Je monte dans le premier ascenseur mais au dernier moment une femme monte. Je baisse la tête. Il s’agit d’une femme travaillant dan les bureaux à coté de mon entreprise. Je trouve une stratégie pour dissimuler mes accessoires BDSM. L’ascenseur stoppe , la femme sort en me regardant et me dit avec un sourire « très joli ce collier »Je sens mes joues rougir. Il y a l’épreuve de rentrer dans le bureau. Au pas accélérer , je rentre , dis subrepticement bonjour à l’accueil , en baissant la tête et me dirige rapidement vers mon bureau. Le tension redescend quand je m’assois car je suis seul et personne ne vient généralement. J’ai très honte de ma tenue.
J’envoie immédiatement un message pour lui indiquer que je suis arrivé au bureau .
Je passe la matinée seul ponctué par la rédaction des messages. Je ne sors pas pour boire un café ou aller manger. A 16h00 , maîtresse me demande de venir dans son bureau . Je frappe et attend son accord pour rentrer. Sitôt passe la porte , tête baissé je me met nu et à genoux. Elle est là avec monsieur MARTINET ;
« Alors steven qu’en penses tu ?
Ce dernier vient vers moi , soulève a cage et dit « Parfait au moins comme cela on est sur qu’il ne se touchera pas sa nouille . Très joli collier.
Racontes nous ton impression pour venir au travail , ainsi. ? »
Je leur indique mes sensations de honte et d »humiliation. J’ai peur que mes collègues me voient ainsi.
« Bien , mais je souhaite que tu n’ai plus honte de ton statut de soumis mais que tu le revendiques . Je souhaite que tu sois fier de me servir et de m’obéir. Ta hantise ne vient que du secret que tu as peur de dévoiler. Pourquoi avoir honte de ta condition de sous-mâle. ? Comme tu commences ton éducation , désormais tu travailleras chez moi ainsi tu pourra pleinement vivre ta soumission. Pour faire en quelques sorte ton apprentissage tu te rendras à cette adresse dés lundi matin. Jusqu’à ce jour tu resteras chez toi et attendras sagement mes instructions.
Oui Maîtresse. Merci Maîtresse.
Ce soir tu te rendras à la salle que je t’ai indiqué et je veux tu sois à la hauteur. Tu es autorisé à prendre des forces . Par contre tu as oublié de faire ta médaille , donc tu vas y aller maintenant et la faire faire. Tu prendras une photo de la médaille et tu me l’enverras. Tu la mettras sur ton collier.
Oui maîtresse.
Bien entendu cette faute vaut une punition. Que me proposes tu comme punition ?
Heu 15 coup de martinet , Maîtresse.
Oui , mais il s’agit d’un manquement grave.
30 Maîtresse
Ok mais avant je vais vérifier que ton cul se dilate bien . A 4 pattes et offres moi ton cul . »
Je mets à 4 pattes et écartes mes fesses . Maîtresse se positionne derrière moi . Elle a mis un god ceinture. Elle introduit la sexe factice dans mon cul et commence à me limer.Elle me tire les cheveux en même temps tout en me traitant de salope. Puis monsieur MARTINET se met devant moi et me présente son sexe . Je suce le DRH tandis que ma patronne m’encule. Le sperme m’inonde la bouche tandis que mon cul se dilate sous la pression du god. Mon sexe veut durcir , mais la cage l’en empêche ce qui est douloureux. Elle se retire. Je ne suis qu’un garage à bite. Je reste ainsi . Je reprend mes esprits mais pas pour longtemps car les coups pleuvent sur mon cul.
Alors
Merci Maîtresse
Tu as oublié de compter, le chien soumis, on reprend
1 , 2 …..3 ……4……5
Ainsi de suite je compte les coups . Arrivés à 29 , elle indique que j’ai oublié de la remercié à chaque coups et qu’on doit reprendre au début
1 merci maîtresse , 2 merci maîtresse,3…… merci …..maîtresse , 4….. mer…ci….. maîtresse
Mon cul me brûle. Les coups s’abattent sur mes fesses , mes couilles , mes cuisses ; Les larmes coulent de mes yeux. Quand le vingtaine coup tombe. Je la remercie , les larmes coulant le long de mes joues. Elle rie et me dit que je semble ne pas comprendre qu’il faut que j’obéisse.
Elle me demande de me rhabiller de d’effectuer immédiatement son ordre. Le cul en feu je sors de son bureau . Je prend mon blouson et me dirige rapidement vers la sortie pour aller au magasin.
Quand je rentre ‘l’employé me reconnaît et me lance « Alors on vient pour une médaille pour son collier ?
Oui monsieur .il faut inscrire S47 soumis de Maîtresse Pamela
Celle là fera l’affaire dit il en me montra une médaille de chien.
Il commence son travail en ricanant. Il finit et me tend la médaille graver en me disant « maintenant tu n’es plus qu’un chien soumis. Je prend la médaille , la prend en photo. Je demande à l’employé , tout penaud si il peut me la mettre sur mon collier . Il remarque qu’il est fermer avec un cadenas.
Tiens suis sympa , je vais te prendre en photo avec la médaille sur le collier comme cela tu pourras l’envoyer à ta maîtresse Pamela.
Il prend la photo et me rend le téléphone. Je paye et à ce moment il me regarde te me dis
Ca vaut une gâterie , viens salope , tu vas me sucer sous le comptoir. Je vais sous le comptoir et commence à sucer son sexe odorant. Un client rendre et je dois continuer à le sucer pendant qu’il discute avec le client. Il sort . Il éjacule dans ma bouche.
Tu suces pas trop mal pour un chien soumis. Allez tu peux partir.
Je sors du magasin et me rend à la salle de sport.
Même si j’aime le BDSM, je trouve cette domination un peu bizarre. Il n’y a qu’un soumis qui subit, aucune marque d’affectation même minime de sa dominatrice et en fin, elle n’a aucun sens de l’utilisation, tous en n’imprimez qui touche son soumis.
Bizarre.
Bonjour Maitresse , vos récits de soumis sont intéressants , moi j’ai toujours intéressé par les mecs (h)
A une visite médicale dermatologie , le docteur me questionne ,poids, âge , emploi ,il note tout mes réponses puis il me dit « vous venez pour quel raison » je disais au toubib , je viens soigné mes hémorroïdes ,le médecin me dit, nous allons voir ça, il me dit » déshabillez vous » je dis oui docteur ,je commençais à me dévertir ,il vient vers moi puis il me dit « je veux voir tout nu » oui docteur , il détaille tout mes vêtements que je dois quitter de mon corps ,pantalon ,chemise, chaussettes ,le docteur me regarde me déshabiller ,lorsque j’était entièrement nu , il me dit allongé vous sur la table de consultation…………….. j’avais 40 ans , j’ai été content que le docteur m’impose ma nudité de mon corps puis j’ai pratiqué du naturisme

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Elodie éteignit son téléphone portable et se tourna vers moi, satisfaite.
Le « monstre », c’était le chien de Sophie, sa meilleure amie. Un labrador dont nous avions la garde, pour l’après-midi, et qui était vautré sur la banquette arrière de la voiture d’Elodie. Celle-ci mit le contact, pressa l’accélérateur. Le V6 de la Golf se mit à vrombir. Machinalement, je voulus regarder le mouvement de ses pieds sur les pédales. Hélas, la console centrale les masquait à ma vue. De toutes les manières, elle portait des chaussures de sport, sans chaussettes comme à son habitude. Je dus donc me contenter de regarder ses jambes, parfois ses chevilles, et d’imaginer le reste.
Je n’avais guère été consulté sur le programme de la journée. Elodie est une fille extrêmement directive. Elle a vite pris un tel ascendant sur moi qu’elle estime généralement que je me dois de me conformer à ses moindres désirs et que sa volonté s’impose nécessairement à la mienne. Dans une certaine mesure, je ne devrais pas avoir d’autres volontés que les siennes. La suite des événements allait le montrer de manière plus éclatante encore.
Nous ne nous fréquentions alors que depuis quelques semaines mais nos caractères et nos envies étaient tellement complémentaires qu’il me semblait la connaître depuis bien plus longtemps. Il est vrai que je me montrais très docile avec elle, tant par désir de lui plaire qu’en raison du plaisir diffus que j’éprouvais à lui obéir. Elle n’avait pas tardé à prendre la mesure du pouvoir qu’elle avait sur moi et en jouait avec gourmandise.
Après un rapide tour de son appartement, que je visitais pour la première fois, nous nous installâmes dans le salon. Elle sur le canapé, moi sur une chaise. Ensuite, elle tendit la télécommande, alluma le téléviseur et poussa un soupir d’aise en étirant ses jambes. Elle changeait régulièrement de chaîne, au gré de sa fantaisie, ce qui nous permit de bavarder de choses et d’autres puisqu’il était inutile de prêter une grande attention aux programmes. Au bout d’un moment, Sultan, le labrador de Sophie s’approcha du canapé, flairant le sol. Puis, comme font tous les chiens, il s’affala lourdement aux pieds d’Elodie, la tête contre le sol. A ce moment précis, je me dis que j’aurais volontiers échangé ma place avec ce crétin d’animal. Je n’avais pourtant encore rien vu.
Elodie regarda le chien, leva les yeux vers moi et me sourit. Puis, à ma grande surprise, elle posa doucement son pied sur le dos du gros chien. La vue de sa petite chaussure de sport blanche et rose ainsi posée sur le pelage beige de l’animal me fit une sensation étrange. Elodie me regardait toujours avec une mine espiègle, un rien provocante. Avec son deuxième pied, elle commença à presser délicatement le museau du chien contre le sol. Celui-ci se mit à gronder sourdement. Elle posa alors son pied sur le dessus du crâne du labrador, qui me parut plus plat que jamais.
Je n’en revenais pas du spectacle qui s’offrait à mes yeux. Pour cacher mon excitation, je fis mine de m’indigner.
En effet, le chien continuait à émettre de drôles de gémissement sous la pression des pieds d’Elodie.
Elodie me regarda avec malice. Même à moi, ces arguments paraissaient idiots tant ils sonnaient faux.
Cette question-piège me prit complètement au dépourvu. La suite se passa comme dans un rêve. Elodie donna un coup de pied dans le flanc du chien, pour l’inciter à débarrasser le plancher. Plantant ses yeux dans les miens, elle m’ordonna de venir prendre sa place.
Je restai un instant ahuri, incapable de remettre de l’ordre dans mes pensées. Comme pour me sortir de ma stupéfaction, elle claqua des doigts et pointa son index vers le sol :
Comment aurais-je pu lui résister ? J’avais l’impression d’être hypnotisé par elle et qu’elle lisait dans mes pensées. L’instant d’après je n’étais plus pour elle qu’un tapis humain.
J’obéis prestement. Sans précautions particulières, elle cala l’arrière de ses semelles contre mes côtes et se débarrassa de ses chaussures. Puis elle posa fermement ses pieds nus sur mon dos. Ils étaient chauds et humides. Leur contact me fit frissonner et je me mis à gémir de plaisir tandis qu’elle les frottait sur moi.
En disant cela, elle retira son pied droit de mon dos et le glissa juste sous mon nez. Je dus faire un effort pour soulever ma tête du sol, d’autant que la pression de son pied gauche me clouait littéralement au sol, mais cet effort fut amplement récompensé. C’était la première fois que je voyais les pieds nus d’Elodie. J’avoue que je redoutais que comme trop de filles, elle attache moins d’importance à ses pieds qu’à ses mains. Que ses ongles par exemple ne soient très courts et vernis de rouge par habitude.
Au lieu de ça, j’avais sous les yeux un pied mignon comme tout. Des orteils adorables, un peu courts, un peu charnus, mais émouvants comme des pieds de bébé. Le second orteil un peu plus long que le pouce. Des ongles non vernis, certes un peu longs mais bien entretenus et très sains. Joliment bombés, mais pas trop. L’ongle du gros orteil à peu près aussi large que long, les bords saillants soigneusement arrondis pour éviter qu’ils ne blessent. Je ne pus m’empêcher de déposer un baiser plein de passion sur ce pied magnifique, ce qui la fit rire de plaisir.
Non, ça ne me dérangeait pas. Pas du tout. Mais de toutes les manières, Elodie s’en moquait complètement, parce qu’avant même que j’ai pu ouvrir la bouche pour lui répondre, elle posa lourdement ses deux pieds sur ma tête, avant de m’obliger d’une pression ferme à tourner ma joue droite vers le haut. Elle entreprit ensuite de frotter intensivement ses plantes de pied contre mon visage. C’était une sensation incroyable, étrange. Ma tête allait et venait au rythme des impulsions qu’elle lui donnait.
La peau de ma joue qui s’étirait et se déformait sous la friction, mon oeil presque écrasé par le bord de son pied. Mon visage malaxé, heurté, malmené, échauffé. L’odeur douceâtre des pieds d’Elodie qui s’infiltrait dans mes narines, la transpiration de ses pieds qui pénétrait ma peau et l’imprégnait de son parfum aigre-doux. Le piétinement se faisait plus insistant, plus douloureux. Ses talons me heurtaient le nez, les lèvres. La plante de ses pieds écrasait et déformait ma joue, abandonnait un instant le contact pour revenir frotter plus fort encore au passage suivant.
J’entendais Elodie se moquer de moi, me comparer au chien qu’elle avait pareillement maltraité. Elle s’amusa à me gifler en battant rapidement des pieds pour qu’ils viennent claquer sur mon visage.
Enfin, elle m’ordonna de me tourner sur le dos et plaqua ses deux pieds dans ma figure
Elle pressait ses pieds sur mon visage avec tant d’insistance que j’en étouffais presque. Je m’efforçais du mieux que je pouvais de la satisfaire, insérant mon nez entre ses doigts de pied, respirant leur parfum jusqu’à l’ivresse. Je finissais par perdre toute sensation du monde extérieur le visage ainsi frotté et échauffé, les yeux fermés. Seuls restaient actifs mon odorat, saturé par l’odeur puissante des pieds d’Elodie, et mon ouïe, ce qui me permettait de mesurer toute l’étendue du plaisir qu’elle prenait à me traiter ainsi.
Tous les sarcasmes dont elle m’accablait prenaient une dimension hautement érotique tant le ton de sa voix en devenait « sexy ». Je finis par me laisser entièrement submerger par ces sensations et à me laisser utiliser comme bon lui semblait, obéissant au moindre de ses ordres…
Au bout d’un temps indéterminé, Elodie se leva et m’ordonna de la rejoindre près du mur, juste derrière le canapé. Elle insista pour que je vienne vers elle en rampant, ce qui me parut plus facile que de me lever tant j’étais étourdi du piétinement qu’elle venait de m’infliger.
Je vins donc m’allonger parallèlement au mur et elle monta de nouveau sur mon dos, sans plus de considération que si elle montait sur une estrade. Appuyée contre le mur, elle se mit à me fouler aux pieds méthodiquement, sans cesser de m’humilier verbalement. Une fois encore, je perdis rapidement le sens de ce qui m’entourait. Je n’écoutais plus que sa voix captivante et lui abandonnais mon corps pour qu’elle le piétine à sa guise.
Elle m’ordonna de me tourner pour lui présenter mon ventre et j’obéis. Elle me regarda en souriant, comme pour me remercier de lui offrir les parties les plus sensibles de mon corps. Mais ce que je pris pour de la gratitude n’était peut-être que de la cruauté… Les piétinements reprirent en effet de plus belle. Bien plus douloureux aussi, mais elle ne paraissait pas s’en inquiéter. Je sentais mon ventre s’enfoncer sous ses pieds soyeux, ma poitrine écrasée, oppressée. Je ne parvenais plus à faire la distinction entre la douleur et le plaisir tant mes sens paraissaient s’affoler.
Ses moqueries me rendaient fou. J’étais hypnotisé par la joie méchante qu’elle éprouvait à m’écraser, à m’anéantir ainsi sous ses pieds. Comme si elle piétinait une bête malfaisante. Mis à mort sous ses pieds ravissants… Son pied sur ma gorge… Son regard brillant que j’entrevoyais si brièvement… La pression… étranglé… mes yeux qui se fermaient… son rire…
Elle disait qu’elle adoraient sentir mes muscles se contracter puis céder sous ses pieds, que cela l’excitait de sentir mon corps s’aplatir sous ses pieds, qu’elle se sentait toute-puissante, qu’elle pouvait faire de moi ce qu’elle voulait. Elle me compara à un serpent et affirma qu’il lui revenait, en tant que femme, de m’écraser la tête sous son talon… J’ignore d’où lui venait cette idée, mais elle la mit à exécution avec jubilation…
Je dus rester un instant prostré, éreinté, avant de me rendre compte qu’Elodie avait cessé de me piétiner. Je l’entendis aller et venir, parler au chien, mais le canapé m’empêchait de voir ce qu’elle faisait. Elle revint enfin, m’enjamba et s’assit sur ma poitrine en immobilisant mes bras avec ses genoux.
Elle tenait le collier du chien dans sa main ! J’étais tellement éprouvé par le piétinement intensif que je venais de subir que je ne parvins même pas à l’empêcher de me passer le collier. Elle s’inclina vers moi pour l’attacher, en se plaquant contre moi comme si elle cherchait à m’étouffer entre ses seins. Après avoir fixé la laisse au collier, elle se releva et me regarda avec satisfaction.
Elle a vraiment le secret des phrases mortifiantes…
La visite de son appartement reprit ainsi de manière plus approfondie, dans ces circonstances que je n’aurais jamais pu imaginer. Je dus donc me traîner misérablement à quatre pattes derrière Elodie, obéissant à chaque traction qu’elle exerçait sur la laisse, en l’écoutant se moquer des hommes en général et de moi en particulier… Elle s’arrêta un instant et me jeta un regard ironique.
Je la regardai sans comprendre. Elle eut un sourire cruel.
Mais où allait-elle chercher tout ça.? Timidement, je me mis à renifler le parquet, sans beaucoup de résultats.
Elle pointa le sol de l’index et m’ordonna
Et ici ! poursuivit-elle en désignant le sol du bout du pied. Je léchais de nouveau le parquet, tentant de déceler la moindre trace salée.
Je dus me plaquer à terre pour venir goûter du bout de la langue la trace moite que son pied venait de laisser sur le parquet. Effectivement, je sentis un goût salé très subtil, et peut-être même l’odeur de son pied, mais avant même que je puisse analyser l’origine exacte de l’effluve, elle abattit brutalement son pied nu sur ma joue, m’écrasant la tête contre le sol. Je l’entendis rire.
Elle éclata de rire, faisant tourner son pied sur ma joue comme si elle voul
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