Chienne soumise se fait prendre violement par son copain
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Juan Carlos et François dans le jardin de la Fistinière (Audrey Cerdan/Rue89).
François, Juan Carlos et Nelly à la Fistinière, en avril 2011 (Audrey Cerdan/Rue89).
Juan Carlos près d’une installation de fist-fucking (Audrey Cerdan/Rue89).
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Gazette a posté le 05 avril 2022 à 23h18
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gautama a posté le 15 novembre 2016 à 18h40
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navare a posté le 15 novembre 2016 à 18h40
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pandaranol a posté le 15 novembre 2016 à 18h40
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mozra a posté le 15 novembre 2016 à 18h40
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Cette chambre d’hôtes gays accueille des amateurs de fist, qui consiste à pénétrer le vagin ou l’anus avec la main. Rencontre.
(Du Cher) Ce n’est pas une maison bleue accrochée à une colline. C’est une maison d’hôtes pour passionnés du « fist », cette pratique qui consiste à introduire une main, voire un bras dans un vagin ou un anus. C’est aussi un mythe, une maison qui étonne ou fait rire par son concept. Nous avons voulu rencontrer François, Juan Carlos et Nelly, les penseurs de ce lieu original.
Au téléphone, François prévient tout de suite :
Avec Audrey , la photographe de Rue89, nous nous sommes donc rendues dans cette maison d’hôtes gays du Cher en pleine journée. Il faisait très beau. Les champs de colza coloraient d’un jaune magnifique le pays. Et puis il y avait des vaches et des moutons.
On arrive à Assigny , village de 174 habitants, où est située la Fistinière. Ici, pas de problème. La maison d’hôtes est très bien acceptée. François nous accueille. Il est imposant, souriant, porte un pantalon en cuir noir et vous regarde de ses yeux bleus aussi limpides que ceux d’un chat. Il explique :
La maison, qui date du XVIIe siècle, est tout à fait charmante.
« Je vous présente Juan Carlos, mon mari », nous dit François avant de nous inviter à nous installer dans le grand salon de la maison. Nelly, sa sœur, s’installe également à leurs côtés. Ils ont ouvert la Fistinière en 2007, et la tiennent depuis tous les trois. On boit du thé, avec quelques meringues à la noix de coco. Commence alors le récit de leur aventure.
Leurs parcours sont improbables. De ceux qui troubleraient une conseillère en orientation. Avant de créer la Fistinière, François tenait une boutique de robes de mariées, Juan Carlos faisait des prothèses orthopédiques et Nelly avait une brasserie.
D’origine colombienne, Juan Carlos arrive à Paris en 1984. Il y découvre la pratique du fist :
A la fin des années 90, il rencontre François. Les deux hommes tombent amoureux et très vite cette pratique occupe une place de choix dans leur vie sexuelle. Une vie sexuelle complètement affranchie de la gêne et des tabous qui y sont liés. François et Juan Carlos racontent tous les deux avoir un autre mari et ne jamais être jaloux.
A l’époque, ils rêvent d’un endroit convivial et hygiénique, dédié à leur activité manuelle favorite avec à disposition tout le matériel nécessaire. Des préservatifs aux gants en latex. Cette idée ne va bientôt plus les lâcher. (Voir et écouter le diaporama sonore en haut d’article)
Enthousiaste, Nelly rejoint vite son fère et Juan Carlos dans le projet. « Sa vie n’était alors pas très rose » raconte François. « Elle avait un mari avec qui ça n’allait pas très bien. » L’alliance familiale ne pose problème à aucun d’eux trois. Juan Carlos explique :
L’organisation du gite est bien rodée. Les garçons s’occupent de l’accueil des clients et de s’assurer que les soirées se passent bien. :
A Nelly revient la grande responsabilité de la faire la cuisine :
Pendant les soirées du samedi soir, à l’origine, Nelly n’était pas censée pénétrer la « chapelle fistine », située à l’étage, dans le grenier de la maison. Mais un jour, un client le lui a demandé. Après s’être assurés que cela ne posait pas de problème aux autres clients, François et Juan Carlos ont accepté que Nelly vienne assister à leur « jeux » :
François, pour sa part, explique que beaucoup de leurs clients sont bisexuels :
Le plaisir. Dans l’imaginaire collectif, mettre une main dans un anus, c’est plutôt une pratique violente. François et Juan Carlos pensent tout le contraire. Il faut être très doux, justement pour éviter un accident :
Certains candidats au fist préfèrent une fois sur place ne s’en tenir qu’à un doigt, tandis que d’autres acceptent qu’on les pénètre jusqu’à l’épaule.
François et Juan Carlos ne sont pas lassés de cette pratique. Ils parlent d’une jouissance folle. ‘C’est LA jouissance’ dit Juan Carlos en insistant sur le ‘LA’ :
Au-delà de ce plaisir charnel, ils parlent d’une philosophie de vie, d’un art de vivre :
Surprise. A la fin de l’entretien Juan Carlos confesse qu’avant de faire des prothèses orthopédiques et de tenir la Fistinière, il a failli devenir prêtre. Il a été séminariste et se dit encore croyant. :
Même si Nelly, François et Juan Carlos racontent avoir accueilli des gens du monde entier, la Fistinière ne fait pour l’instant pas de bénéfices. En hiver, ils ont une vingtaine de clients par mois, en été le chiffre s’élève à une centaine de personnes. Les garçons disent tout juste réussir à payer les factures. Ils n’en ont pas l’air moins heureux. Epanouis.
Photos et illustration : Juan Carlos et François dans le jardin de la Fistinière ; François, Juan Carlos et Nelly à la Fistinière, en avril 2011 ; Juan Carlos près d’une installation de fist-fucking (Audrey Cerdan/Rue89) ; dessin de Baudry.
Le poing dans le c.. ou dans la g......, la meuf a le choix en Bretagne, quel beau pays
D’après les médecins travaillant dans les services d’urgence des hôpitaux, il est fréquent de voir arriver des gens (hommes ou femmes) qui se sont introduits des bouteilles (d’un litre...) dans l’anus, en commençant par le goulot, et une fois qu’elle est entièrement dans leur intestin, ils n’arrivent plus à la retirer...
A mon avis, le gros problème, dès que l’on pratiqué un peu trop ce genre de sport, cela doit être la dilatation permanente avec incontinence...
Quant à l’introduction vaginale, cela doit être pire que d’être mère de quinze enfants, ou d’une prostituée qui s’est fait vingt ou trente clients dans la journée...
.... Pour ne pas passer la serpillière APRES !
C’est énorme cet article. mais est ce réel ? car il faut oser quand même surtout en famille...
A+
très courantes dans les clubs échangistes hétéros parisiens aussi vous avez oublié de préciser.
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