Chienne mature recouverte de piercings et de tatouages

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Flanquée de deux gardes du corps loués rubis sur l'ongle à une compagnie de sécurité privée vassale de Heavy Gear, Lady Syca S'Il-Vous-Plaît a rendez-vous dans un club de la ruche basse. Tout dans leurs attribut est étudié pour que ces deux hommes de constitutions solides paraissent anonymes.Armures polymères identiques aux couleurs de la compagnie, armement standardisé, casque intégral avec visière opaque et sans optique extérieures... Leur cliente ne dispose pas de leur véritable nom et on ne les distingue l'un de l'autre que grâce à leur matricule affiché distinctement sur le plastron de leur armure. Le logo de la corporation Heavy Gear est visible. Ses engrenages sont placardé sur chaque épaulières. Ils s'expriment peu et se contentent d'exécuter leur contrat dans les limites des options payées par leur cliente, bien qu'il soit possible sur une simple transaction financière dématérialisée disponible en quelques seconde, d’obtenir un certain nombre d’extensions de garantie tout au long de la mission. Aucune justification n'est nécessaire pour peu que le client puisse verser le montant exorbitant de chacune de ses extensions de contrat. Sasha Van Pelt a besoin de leur escorte pour traverser la ruche Seattletone depuis les beaux quartiers jusqu'aux districts les plus modestes. Elle espère recruter l'équipe de choc qui va accomplir avec succès la mission commandée à son alter égo Lady Sica S'Il-Vous-Plaît par le maître de la pègre de Fuji. Le choix de sélectionner son équipe sur Midway Secundus est un calcul osé. Certes, elle y a moins d'Influence que sur Osguilliam, Noubangok ou Brahma, mais il faut un terrain neutre à Sasha Van Pelt pour démarrer ses affaires avec les Yakuza de Fuji. Impliquer au minimum les factions qui peuvent lui faire de l'ombre ou la forcer à partager le gâteau est un objectif en soi. Recruter à Noubangok des gens compétents aurait été facile ; mais à n'en pas douter le Valet de Cœur et ses Cards auraient sauté sur l'occasion pour mettre les doigts, les yeux ou quelque autre appendice crochu dans ses affaires ! Sur la station les serviteurs du Valet de Cœur et des Dames sont zélés lorsqu'il s'agit des affaires avec Fuji. Il en va de même avec Samarkhand où les maisons marchandes ont les oreilles partout et s'arrangent pour être partie prenante dans toute forme de transaction commerciale ! Ne parlons pas d'Osguilliam où la corruption des institutions à la main mise sur tout ce qu'il se passe, se dit et s'échange. Les étages les plus bas de la ruche médiane de Seattletone sont idéaux. La cité a la réputation d'être une des plus grosses plaques tournantes du marché parallèle de « services » de la planète au point qu'on la surnomme dans certains milieux la cité des ombres. La V.I.P. et ses deux chaperons ont traversé par une voie d'accès sécurisée les secteurs Argent, Violet, Indigo, Bleu et Vert. Il lui a fallu pour cela montrer patte blanche à plusieurs postes frontières où la voix charmante d'une intelligent artificielle vous avertit de vos droits et vous demande un relevé complet de votre activité et de vos déplacements. La berline blindée à bord de laquelle la contrebandière voyage glisse sans chaos aucun le long d'une voie d'accès automatisée elle-aussi. Le véhicule se déplace dans un tube où s'affiche l'image hyperréaliste d'un paysage idyllique. Un ciel bleu et des arbres couvrent comme un papier peint en trois dimensions les parois qui masquent la vue sur l’intérieur des quartiers. Dans l'habitacle, une musique douce et apaisante enjoint les passagers au calme et à la détente. Tout à coup, la berline ralentit à l’approche d'un nouveau poste frontière. Le tube qui couvre la voie prend fin et le véritable paysage se révèle.

La femme pose maintenant les yeux sur un district aux dimensions industrielles, muni pour tout nom d'un numéro de codification et de repères visuels jaunes anxiogènes. Il n'y a pas de ciel et les blocs d'habitation s'alignent dans un brouhaha permanent de véhicules, d'agitation populaire et de sirènes. Ici l'atmosphère tendue se ressent pleinement. Alors que Sasha embrasse l'environnement autour d'elle du regard, son instinct perçoit la fébrilité qui couve. La voie d'accès magnétique se termine dans un goulet d'étranglement où la circulation se densifie et progresse lentement, presque à l'arrêt, en surplombant un grand espace sous contrôle armé et automatisé. En contre-bas, une gigantesque clôture d'acier rétractable se dresse, séparant le district Jaune du district Orange. Composée de plaques de métal blindé ajustées les unes aux autres, elle darde sur 30 mètres de hauteur ! De larges ouvertures -closes à l'heure actuelle- pratiquées dans ce mur de fer servent à laisser le passage aux véhicules d'intervention de répression et de sécurité militaire ! Flanquée de miradors et de portiques la massive clôture braque ses tourelles laser autonomes sur la place tranchée en deux. Les canons jumelés scrutent la foule qui se presse contre la barrière de l'autre côté. Du côté de sa destination, une masse populaire cherche à changer d'étage. Les forces de l'ordre repoussent par vagues ces assauts de civils échaudés à coup de lance à eau montées sur une paire de véhicules armurés. Au besoin, ces lances à haute pression peuvent être démontées et remplacées par une équipement laser tout à fait létal -made in Omnilas Corp.TM -. Confortablement installée dans le véhicule autonome toutes option, Sasha observe la zone de transit. Du côté Orange, une vaste zone est couverte en plus des miradors, par des projecteurs et un contingent plus imposant des forces de défense de la planète. Les bâtiments, les rues semblent tout à coup moins sûres dès lors que les marquages jaunes prennent une couleur orange sur le sol et les parois verticales. La seule constante est l'immuable et omniprésent éclat des écrans de propagande crachant leurs voix de speakerines par les hauts-parleurs publiques ! Ils diffusent des nouvelles inquiétantes prises par un drone camera des installations de forage sur Alaska. La tension ouvrière monte et la grève gronde, encore ! Depuis maintenant presque quinze ans c'est monnaie courante et les fais divers vont de massacre en répression régulièrement. Déjà, dans les couloirs des stations d'extractions et de traitement, des échanges armés ont démarré entre les ouvriers et les gardes corporatistes. Le maintient de l'ordre est assuré par les employés des corporations Heavy Gear et Prométhée-Oil qui protègent vaillamment la propriété et les investissements financiers des maisons nobles au péril de leur vie. Ils affrontent les terroristes fanatiques qui tentent de prendre en otage le matériel et les travailleurs au profit de leur opération de sabotage ! Ces terroristes, selon la voix officielle, sont des agitateurs marginaux ou des hérétiques recherchés appartenant à des groupes séparatistes, idéologiques ou dissidents traqués tantôt par les force de défenses, tantôt par l'office des Légats Impériaux ou l'Inquisition. Sasha Van Pelt se fait la réflexion que sur les images, ils ont l'air d'ouvrier en colère munis d'armes de fortune... Le bandeau de sous-titre explique que les terroristes sont infiltré dans la population et adjoint un numéro de communication d'urgence pour que le citoyen moyen puisse dénoncer au Bureau de Propagande toute activité suspecte qu'il repairerait dans le comportement de ses voisin ou collègue. Cet acte de patriotisme est bien entendu récompensé par une somme d'argent. sur al frontière du district Jaune à Orange, les hommes et femmes, représentants de l'ordre, sont attifés de lourds et efficaces équipements anti-émeute de part et d'autre de la séparation. De la même manière, leur panoplie est étudier soigneusement pour ne laisser aucune place visible à leur humanité individuelle. Ils contrôlent et régulent le flux des transits piétons, écartant vertement tout contrevenant. D'ordinaire – à ce que dit le guide consulté en ligne- « une circulation régulée et sereine s'effectue quotidiennement dans le calme et dans la sécurité de tous entre les districts. » En pratique ici, l'air sent le conflit latent. Curieusement, peu d'individus tentent de regagner le district inférieur pour ce qu'elle peut en voir. Certains groupes semblent même escortés manu militari vers la zone orange. Le véhicule de la jeune femme s'arrête enfin avec lenteur à hauteur du poste de contrôle. Les deux gardes du corps de la femme présentent un badge électronique comprenant des informations qu'elle n'est pas capable de quantifier. Un bref clignotement bleu sur l'appareil indique que la validation est effectuée. Elle s'imagine que ce bout de plastique et de circuit contient à peu près toute leur existence ! Les déplacements, activités, consommation de munitions et le relevé de leur bio-monitoring est envoyé en direct à la société qui les emploie. Le tableau de bord annonce d'une voix anthropophone et calibrée :
« - Bonjour citoyen, vous vous apprêtez à quitter le secteur Jaune, veuillez valider votre identité. » Sacha Van Pelt articule à voix haute : « Lady Sica S'Il-Vous-Plaît. » Aussitôt la machine entreprend de vérifier ses informations en ligne, affichant dans un rayons de lumière holographique bleutée tout ce dont elle dispose déjà : des mensurations physiques de la jeune femme jusqu'au contenu de son petit déjeuner du matin, en passant par la date, un portrait pris par un drone caméra à l'entrée de son hôtel et l'heure de l'expiration de son visa sur Midway Secundus. Sacha, pour la sixième fois, pince les lèvres gênées par ses intrusions autonomes répétitives, déguisées en soucis de la sécurité et du confort individuel. La voix et l'affichage proposent aussi une sélection de services payants basés sur l'étude statistique des consommations de Sasha, de ses visionnages en ligne, de l'information consultée, du vocabulaire qu'elle utilise et de ses relevés d’horaires d'usage de la domotique de sa chambre d’hôtel. Après une analyse de son emprunte vocale et d'une quantité indécente d'autres données personnelles à prélever, l'esprit numérique déclare :
« - Merci. Lady Sica S'Il-Vous-Plaît, votre identité est validée. Vous vous trouvez actuellement en transit du secteur Jaune vers le secteur Orange. Votre secteur enregistré est le secteur Argent. L'assurance comprise sur votre Visa ne couvre vos déplacements que sur une amplitude de quatre secteurs de Or à Indigo. Pour votre sécurité, nous vous invitons à rentrer au plus vite dans votre district enregistré ou l'une des zones autorisée. Les secteurs de la ruche médiane basse et inférieurs ne sont pas couverts par vos assurances. Les secteurs Orange et Rouge présentent un risque très élevé. S'affiche alors pléthore d'articles et de faits divers sordides sous ses yeux, image explicites à l'appui. La machine demande : Souhaitez-vous continuer ? Confirmez. » Patiente Sacha confirme. La machine propose alors une liste de services payants comprenant extensions d'assurance, garanties d'intervention d'extraction médicale et options supplémentaires de sécurité ainsi qu'une myriade de produits d'autodéfense. Au même instant, elle entend un «Bip» provenant de son crédisque et constate qu'elle vient d'être automatiquement débitée d'une garantie supplémentaire concernant les deux gardes du corps qu'elle s'est déjà allouée. La note est salée. Elle soupire imperceptiblement se souvenant d'une close ignorée dans le contrat souscrit au départ qui prévoit la facturation d'un surcoût immédiat en cas de déplacement dans les zones inférieures à Jaune.
« - Merci. Nous vous rappelons que vous quitter le secteur Jaune. Insiste l'esprit numérique parlant. À partir d'ici les forces de défense et de sécurité de Seattletone se déchargent de la responsabilité concernant les agressions, violences, pertes, détériorations ou vols de biens qui pourrait subvenir à l'encontre de votre personne. Nous nous soucions cependant de votre sécurité, aussi affin de vous permettre de poursuivre votre voyage sereinement, veuillez déclarer la durée de votre séjour dans le district Orange.
- Quelques heures. Affirme Sasha désormais pressée. La voix insiste pour savoir combien de temps et la femme finit par s'avouer vaincue : Quatre heures, dit-elle après avoir tenté d'ignorer cette question et répondu arbitrairement. Elle secoue la tête dépitée.
- Merci. Veuillez enregistrer maintenant le motif de votre déplacement, enchaîne la voix.
- Affaire commerciale... Crisse la brune désormais agacée encadrée par les deux monolithes en armure qui la chaperonnent.
- Merci. Nous avons enregistré que vous vous déplacez pour une affaire commerciale. Quel est le type de la tractation ?
- Non renseignée ! Assène la femme. Elle pousse un soupire excédé tapotant son genoux avec ses ongles manucurés.
- Nous vous rappelons, fait la machine toujours soucieuse pour la passagère ; qu'afin d'assurer la sécurité et le bien être de tous, que toute activité non renseignée est enregistrée et signalée au Bureau de Propagande central de Macromanhatan responsable de la Police Politique et du l'Office de censure et des Bonnes Mœurs. Confirmez.
- Va au diable ! Grogne la princesse qui manque de sortir de ses gonds ! L'un des gardes du corps tourne la tête, silencieux, à destination de son collègue qui patiente. Ce dernier hausse des épaules pour toute réponse.
- Nous n'avons pas compris votre réponse. Veuillez enregistrer à nouveau. La brune irritée clôt ses paupières et respire consciente que la lutte avec cette entité artificielle bornée n'est qu'une perte de temps.
- Oui je confirme ! Lâche t-elle. J'ai bien compris ! Bon sang qu'on en finisse !
- Merci. En confirmant vous venez d'accepter les conditions prévues par le Bureau de Régulation des Transports et du Trafics de l'Armée, qui contrôle et limite, pour la sécurité de tous, les déplacements civils. Nous allons procéder maintenant à un scanner de votre statut. Veuillez rester immobile le temps de la procédure. » Sasha Van Pelt roule des yeux et bascule la tète en arrière à bout de patience ! Un rayon bleu envahit l'habitacle et scanne tout le contenu de la voiture.
Chaque passagers est passé au peigne fin. Les vêtements, les armes et tout objet en sa possession s'affichent en temps réel en hologramme accompagné de son code R.F.I.D. enregistré. De même, l'état de santé détaillé est notifié dans l'emprunte de la machine. Par exemple, il s'inscrit au dossier de Sasha son taux d'hormones, la courbe prévisionnelle de son cycle menstruel ainsi que les statistiques des résidus de drogue et d'alcool dans son sang... « Bip, émet soudain le tableau de bord. Votre emprunte de statut complète a été transmise au bureau compétent de l'Administration centrale de Mydway Secundus. Nous vous rappelons que votre séjour en zone Orange ne doit pas excéder les quatre heures que vous avez déclaré. Au delà de ce délais un signalement sera automatiquement notifié aux forces de défense de la planète. Dans ce cas, des sanctions judiciaires peuvent être réclamées à votre encontre pour préjudice aux conditions de restriction du trafic civil. Les peines encourues pour ce délit peuvent aller jusqu'à la révocation définitive de votre visa. Nous vous remercions d'avoir patienté et nous vous souhaitons un bon séjour de la part d'Heavy Gear Trafics & Safety. À très bientôt Lady Sica S'Il-Vous-Plaît. » Là-dessus, la lumière bleutée du holo, ses publicités, polices d'assurances et propositions de facilités de paiement s'éteignent, et le véhicule reprend sa route linéaire et automatisée. La voie trace une ligne, à ciel ouvert cette fois, au milieu de bâtiments vétustes et pour certains précaires, d'un gris béton morne et monotone. Rompu par les drapeaux patriotes et les écrans de propagande qui ne meurent jamais, le défilé grisâtre tatoué de graffitis et de marquages oranges vifs offre un nouveau visage de la cité : celui non maquillé que l'on ne prend plus la peine de camoufler à coup de lifting numérique ou de discours de communication démagogue. Le visage marqué par la misère des castes corvéables à merci d'une société ploutocrate.
Qu'est-ce que la vie ? Réel, virtuel. Où est la frontière ? Quand est-ce que ce que vous appelez « la vie » est- elle remplacée par ce que vous appelez la Matrice. Le virtuel pour certains est un fléau, une peste qui nous éloigne de notre nature et de nos origines. Pour moi c'est la vie. Qui n'a jamais rêvé de tout changer, de tout décider, de tout contrôler ? Programmer... La vie est l'ensemble des paramètres qui nous constituent et font de nous des êtres qui pensent, qui se meuvent et ont un impact sur l'univers qui les entourent. C'est pareil ici. Au dehors ils sont contraints, ils sont cloisonnés, limités ; ici je suis infini, virtuellement omnipotent et immortel. Dehors, ils sont des tas de chair en mouvement qui ne font que pulluler dans leur crasse mais ici, c'est différent, c'est autre chose. Ici les choses, les gens, contrairement à ceux de l'extérieur, sont propres, nets, purs. Et l'intelligence alors ? Qu'elle soit naturelle ou artificielle, elle est, tout simplement. Certaines même sont bien plus qu'un simple simulacre, il faut savoir les comprendre, apprendre et connaître.

Il y a un point où tout se rejoint, ou tout se confond et en ce point, chaque chose de notre monde, le réel, le virtuel et même votre propre existence, se confondent en une seule pulsation de vie et d'énergie. Je crois que je viens de passer par ce point : une zone de vide, un point blanc qui semble nous aspirer. Je ne sais pas comment j'ai atteins ce point, comment j'ai quitté mon corps ni où exactement je me suis réfugié. C'est très étrange, j'ai la sensation que je suis à un endroit où je peux contempler la tot
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