Chaude japonaise fait plaisir à son papa

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Chaude japonaise fait plaisir à son papa
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Valérie pensait que le plaisir n'était pas fait pour elle.
SEXE- Mariée à un homme depuis des années, Valérie n'a eu son premier orgasme qu'à 35 ans... Dans les bras de sa voisine.
Les propos de cette histoire ont été recueillis par la rédaction de Elle.fr et retranscrits à la première personne.
Les premières lueurs du jour me réveillent doucement. Le corps engourdi, mais étrangement apaisé, je flotte entre le rêve et le sommeil. J'ai mal au crâne, j'ai un peu trop bu la veille. Des images de Marie me reviennent : Marie qui pleure, puis Marie qui sourit ; Marie qui a les yeux qui brillent, Marie qui est jolie ; Marie qui joue avec mes bracelets, Marie qui vient se blottir contre moi... Toutes les deux sur le canapé du salon. Une bouteille vide sur la table basse. Des braises dans la cheminée. Je ne sais plus quelle heure il était quand ça a basculé, ni comment ça s'est passé, ni qui a commencé réellement. Je revois juste nos corps nus, fébriles, ma bouche cherchant la sienne, ses mains serrant les miennes. Marie et moi avons fait l'amour, toute la nuit. Aussi simplement et naturellement que ça. Aussi formidablement que ça.
Pour la première fois de ma vie, j'ai joui. Pourtant, je suis hétéro, je le sais. Et, même là, je n'en doute pas. En revanche, moi qui croyais que les joies du sexe étaient réservées aux autres... Ce matin-là, troublée et heureuse de l'être, j'ai su que je m'étais trompée. Moi aussi, je pouvais.
J'ai grandi dans une famille où le sexe n'était pas tabou : il n'était pas, voilà tout. Mes parents, artisans, bossaient comme des fous pour joindre les deux bouts, et seul le travail avait de la valeur à leurs yeux. Je ne les ai jamais vus se détendre, goûter le bonheur d'être à deux, encore moins s'embrasser. Pas une marque de tendresse entre eux ; pas plus pour nous, leurs enfants. D'ailleurs, ma mère ne nous lavait pas, elle nous briquait. Quand j'ai eu mes règles, elle m'a giflée : chez ses parents, paysans, c'était la tradition, paraît-il. En revanche, pas un mot sur mon corps qui change ou sur la puberté qui me tombe dessus... Ma grand-mère, catholique pratiquante, vivait chez nous. Avec le recul, je pense que c'est sa dureté qui étouffait tout ce qui aurait pu ressembler à du plaisir ou à de la sensualité.
Une première fois, ni bonne ni mauvaise
Au lycée, j'ai eu la chance de vouloir suivre une option qui me contraignait à partir en internat. Loin des miens, j'ai découvert un monde que je ne soupçonnais pas. Mes nouvelles amies se racontaient le soir, sous la couette, comment elles avaient dragué celui-ci, embrassé celui-là... Et elles ne brûlaient pas en enfer pour autant ! Alors j'ai voulu essayer. C'était la boum de fin d'année, j'étais en seconde, lui terminait son CAP, mais il était plus âgé et plus expérimenté que moi. Il m'a invitée à danser et m'a embrassée. Plus précisément, il a enfourné sans aucun préalable sa langue dans ma bouche. Une limace aurait été plus appétissante. J'ai détesté et me suis enfermée dans les toilettes pour le reste de la soirée.
Les mois passent, mon corps se transforme. Tant que je vivais chez mes parents, il se faisait, lui aussi, très discret. Mais l'internat lui fait du bien et me voilà nantie d'une belle poitrine et de fesses rebondies. Les garçons du lycée s'intéressent à moi, ça me met mal à l'aise. Le regard noir de ma grand-mère me l'a fait comprendre : j'ai raison d'avoir honte de mes formes. Mes copines, elles, me chahutent, me poussent à mettre des jupes, à me maquiller. J'envie leur légèreté, leur audace. Alors, quand elles me proposent de me joindre à elles pour fêter notre bac au bord de la mer, je fonce. À l'usure, je convaincs mes parents de me laisser partir. Officiellement, on travaille pour une association qui offre des vacances à des enfants défavorisés. Mais, quand les petits sont couchés, c'est la fête pour les animateurs.
Un soir, je décide qu'il est temps de sauter le pas. Je prends l'un de mes camarades par la main et l'entraîne vers la plage. Pas anxieuse, déterminée : il me paraît inconcevable d'entrer vierge à la fac. Ma première fois n'est ni une bonne ni une mauvaise expérience. Je ne ressens pas un gramme du plaisir promis par mes copines, mais je me dis que ça viendra. Évidemment, de retour au camping, je fais comme elles et clame que j'ai joui à pleins poumons.
Il se préoccupe seulement de son plaisir
Les années de fac, de ce point de vue-là, ne sont pas celles que j'espérais : on ne change pas une équipe qui perd. L'amour, le sexe et moi, ce n'est toujours pas ça. J'ai honte en famille de paraître trop libérée ; honte avec mes amies de paraître trop coincée. Résultat, je ne parle de mes doutes à personne. Est-ce normal de ne pas aimer telle ou telle caresse ? Le jour où j'aurai un orgasme, je le saurai ? Et comment fait-on pour en avoir un ? Mais vous, jouissez-vous vraiment à chaque fois ? Ces questions me taraudent. Faute de pouvoir les poser, j'évacue une partie du problème (la rencontre amoureuse) en me mariant avec le premier venu.
Il s'appelle Sylvain, il est flic, assez beau, et je me convaincs qu'il me plaît. Et que les hommes, les vrais, ne font pas de manières. Lui, visiblement, elles ne l'embarrassent pas. Passé les quelques mois de lune de miel, la sexualité avec Sylvain se réduit à la portion congrue... de son plaisir. Il me pénètre, il jouit. Point. Je le laisse faire, me force parfois un peu, pour avoir la paix. J'ai bien essayé de lui dire que je ne ressentais rien. Invariablement, il évacue : "Pas de ma faute si t'es frigide ! Regarde ta grand-mère, ça doit être de famille..." Je me demande comment j'ai pu supporter ça. Comment deux enfants ont pu naître de cette union boiteuse. Mais mes parents m'avaient inculqué le sens du devoir... À 35 ans, l'épouse et mère que j'étais ne pouvait pas se plaindre.
Et puis Sylvain est muté à l'autre bout de la France. Nous atterrissons dans un bled paumé, à des centaines de kilomètres de mes amies... À quelques mètres de Marie. Comme moi, elle est souvent seule le soir - son mari est commercial, toujours sur les routes. Comme moi, elle est timide et solitaire. Mais, entre elle et moi, le courant passe immédiatement. Le soir où elle frappe à ma porte, c'est parce que, sortie en trombe de chez elle pour faire une course, elle a oublié ses clés à l'intérieur... Évidemment, je lui propose de passer la nuit à la maison, en attendant que son mari rentre.
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Bref, j'ai couché avec ma meilleure amie.











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Salut les girls. Prenez juste quelques instants pour lire ce témoignage ! J’espère que vous en tirerez des leçons ! A une époque je ne pouvais pas en parler mais après avoir lu vos témoignages j'ai décidé de partager le mien avec vous. Tout a commencé en classe de 2de. Je venais d'arriver dans un tout nouveau lycée et très heureuse d'être enfin dans la cour des grands. C’était ma voisine de devant, un peu masculine avec un fort look de mec (garçon manqué) et cool très cool, aimée de tous (sauf des mauvaises langues ! les aigris...) ! Nous sommes très vite devenues amies parce que j'avais enfin trouvé une amie qui se fichait de ce qu'on pensait d'elle, différente de toutes mes autres copines qui pensaient comme moi qu'à plaire à leurs mecs LOL. En 1ere nous étions dans des classes différentes donc plus de "grande amitié" que de rares sms et appels puis pendant l'été j'ai rompu avec le mec que j'aimais de tout mon cœur, celui avec qui je venais de passer plus de 2 ans (de la 3e à la 1ere). 2 années à supporter un amour « longue distance » et lui qui ne faisait que me traitait de garce, de pute mais chaque fois qu'il venait dans ma ville, j'étais tellement heureuse, il me prenait dans ses bras et j'oubliais tout, du moins le temps où il était là, avec moi, à me chouchouter, me câliner... Puis j'ai enfin rompu, je me suis dit que je méritais mieux donc suis partie ! Triste, abattue... je supporte pas la rupture mais je tiens bon grâce à cette oreille attentive qui a commencé à m'écouter et à me raconter son histoire à elle aussi. hoo comme elle souffrait ! Moi qui croyais que j'avais tous les problèmes du monde ! Elle est devenue ma meilleure amie, ma confidente. Nous revenons à la rentrée en terminale, nous nous suivons partout et tout le temps bien que nous ne soyons pas de la même classe, à la récré... les ragots commencent à circuler au lycée "elles couchent ensemble" et nous "ils sont tous fous ! Jamais je ne pourrai coucher avec une fille de surcroit mon amie ma sœur". Des mois passent et comme j'adore le faire je ne cesse de draguer les mecs. Ma meilleure amie se met en colère parce que je sors diner, danser... avec des hommes un peu plus âgés, même des professeurs... Je ne comprends pas son attitude elle ne me parle pas pendant quelques jours puis comme excuse j'entends "c'est seulement que je m'inquiète pour toi, tu es ma sœur, la seule qui m'écoute... c'est pour cela que je veille sur toi" à moi de faire "lol t'inquiète pas, je sais me débrouiller !" et ce jusqu'à ce qu'un dimanche, après l'église, comme d’habitude elle reste quelques heures avec moi, insiste pour que je chasse ma copine qui était avec nous parce qu'elle voulait qu'on reste seules, entre copines. On se donc retrouve seules dans ma chambre, il n’y a personne à la maison, je lui fais visiter ma chambre, on se met sur le lit et on commence à blablater allongées l'une près de l'autre en regardant le plafond et là, elle s’approche, près et même très près et m'embrasse. J’essaye de la repousser, j'y arrive même mais elle revient à la charge et je la laisse continuer parce que ne pouvant plus me débattre (faut dire qu'elle a un physique très imposant. bref un mec quoi), "tu sais depuis quand j'en ai envie, depuis quelques temps, je crois que toi aussi tu le voyais et que t'en avais aussi envie". Elle s'arrête et ENFIN elle rentre chez elle. Je veux la raccompagner mais je ne peux pas. J’ai honte mais je ne veux pas qu'elle s'en rende compte, suis pressée de retourner me doucher, me débarrasser de cette odeur, de... pfff dégoutée ! Les autres avaient-ils raison ? Je la laisse juste au portail de chez moi. Je vais demander pardon à Dieu pour mon péché. Pourquoi ne l'ai-je pas repoussé encore et encore ? Pourquoi ai-je eu pitié d'elle et l'ai-je laissé se jouer de moi ? Elle m'écrit : « cc sui arrivée. dis ta aimé le baisé, disons les baisés, cmt étais-je? » Je réponds : « bien. » Je n'arrive pas à lui demander pourquoi elle a fait ça. Elle : « c'était combien sur 1 échelle de 1 à 10 ? » Moi : je dirais 8 ! Elle : « ok c'est bon alors. je voulais juste m'entraîner, ne te méprends pas. je veux juste voir comment j'évolue » Moi : (la naïve) « ok si c'est ainsi c'est pas mal » elle : « pas mal? la prochaine fois g te montrerai ce que je vaux ! » Moi : (je m'y mets aussi et je joue le jeu sans arrières pensée) ok. J’ai honte quand je la vois mais je m'efforce pour lui parler. Encore de retour dans ma chambre une deuxième fois et on s’embrasse, je le fais en pensant à mon mec et j'adore ça ! Je me laisse faire... puis elle me demande combien elle a, et j’ai dit 12/10 ! heureuse ! Mon amie qui a tjrs été triste au fond d'elle est heureuse grâce à moi. Si elle dit que ce n'est que du jeu alors j'accepte de jouer, après tout a ne fait pas de mal ! Plein de filles couchent ensemble et puis après ? En plus elle aime les homme
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