Chantage belle soeur

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Chantage belle soeur
Ceci est l'histoire de
Claire honnête bourgeoise quadragénaire, divorcée, qui vient de marier
sa fille de 23 ans à un jeune homme spécialisé dans la culture du poil
dans la main. Après de hautes études agronomiques ce dilettante du savoir
est devenu un expert en savoir faire travailler les autres pour faire
savoir qu'il en vit très bien. Ceci dit il a 27 ans, s'appelle Jérôme
et cherche à vendre ses deux poils dans les mains à tout gogo désireux
de vouloir sauver l'humanité. Car Jérôme a une qualité énorme. En effet
c'est un beau gosse sachant très bien parler. Il vous embobine n'importe
quel crédule l'approchant à moins de cinq mètres. Toujours est-il qu'après
avoir séduit Sophie la fille de Claire il a réussit à convaincre le père
de Sophie de leur acheter un appartement à coté de celui de Claire. Ensuite
il a réussit à vendre à un éditeur l'idée de parution d'un livre qu'il
est censé écrire. Dans les faits il glande toute la journée. Après le
mariage, l'emménagement dans leur nouvel appartement, eut lieu. Jérôme,
faisant semblant d'aider, cherchait dans la cave de Claire quelques vieux
cartons de souvenirs de Sophie, du temps de la vie commune avec ses parents.
Mais il tomba sur une boîte contenant des photos coquines de Claire. En
effet Claire et son ex-mari avaient eu quelques expériences d'échangismes.
Il se plut a contempler ces photos ; pour certaines vraiment cochonnes.
Lui très porté sur le sexe se mit à réfléchir à savoir comment se servir
de cette découverte. Et il ne mit pas longtemps à se dire qu'un petit
chantage sur Claire pourrait être fort agréable. Donc dès le lundi suivant,
Sophie partie au travail, Jérôme va frapper à la porte de sa belle-mère
sachant que le lundi est pour elle jour de repos. En effet Claire travaille
dans une boutique. Inconsciente de ce qui l'attend, elle ouvre à son gendre.
Ils s'embrassent. Claire propose du café. Il accepte en allant s'installer
dans le salon le temps que Claire parte à la cuisine. Il étale plusieurs
photos sur la table basse. Elle faillit renverser le café en voyant ces
photos. D'une voix étranglée elle lui demande d'où sortait-il cela ? Sans
sourciller il lui explique. Elle, très gênée, veut récupérer les photos.
Tout cela était de vielles histoires, oubliées aujourd'hui. Mais son gendre
lui fait comprendre que pour lui cela est tout nouveau. Et qu'il compte
bien profiter de cette agréable découverte. Mais que veux-tu donc Jérôme
? Toi lui répond-il sans vergogne. Choquée Claire lui fait remarquer qu'il
est son gendre et qu'il ne peut pas faire ça à Sophie. Donc tu ne veux
pas être gentille avec moi belle-maman clame-t-il de manière théâtrale.
C'est pas grave les voisins vont être contents d'avoir de belles photos
dans leur boîte aux lettres. Et il sort. Claire éberluée et assommée par
cette situation mets quelques minutes à comprendre. Très inquiète à son
tour elle descend au RDC. En arrivant elle voit son gendre mettre des
photos dans les boites aux lettres de l'immeuble. Arrête Jérôme, je t'en
prie ne fais pas ça. Elle supplie mais il continue. Elle lâche vaincue,
arrête je ferai ce que tu veux. Un sourire en coin Jérôme suspend sa distribution.
- C'est vrai ?
- Oui - Vraiment tout ?
- Oui mais arrêtes je t'en prie,
- tout, tout ce que je veux ?
- oui dit-elle un sanglot dans la gorge,
- Bien….. Alors déboutonnes ton chemisier…
- quoi ? Pas ici ? Pas dans le hall ….
- si belle-maman, c'est une punition………
- non je ne peux pas ici !
- comme tu veux. Et il met une autre photo dans une boîte………
-Non, non arrête, d'accord….
Elle défait un à un, tremblante, affolée, apeurée, priant pour que personne
n'arrive, les boutons de son chemisier. Son soutien-gorge apparait. Il
approche une photo d'une boîte en disant :
- sorts tes loloches des bonnets,
- Hooo fit-elle, Mais vaincue elle dégage ses seins, les offrants ainsi
comme sur un plateau, au regard de son gendre. Tétanisée, elle ne sait
plus quoi faire. La trouille au ventre d'être ainsi surprise. Il lui fait
retirer sa culotte devant la porte vitrée du hall. Elle doit la laisser
sur le paillasson. Puis il l'emmene dans les caves. Dans l'escalier elle
doit retirer son chemisier et sa jupe.
- Tu es à moi maintenant Claire.
Il se fait sucer par sa belle-mère à genoux, quasiment nue devant l'ascenseur
du 3ième sous-sol. Il l'a besogne, forçant sa bouche, .pour finir en déversant
tout son sperme au fond de la gorge.
- Tu as aimé Claire ?
Elle fait non de la tête avec une forte envie de vomir d'avoir dû avaler
la semence de son gendre.
- Bon alors je vais aller distribuer de nouvelles photos !
- non , non non
- Alors tu as aimé ?
Elle comprend le piège et répond oui, timidement, écœurée.
- Alors tu l'aimes la queue de ton gendre ?
-oui,
- tu la veux la bite de ton gendre ?
- oui,
- dis le,
- je veux la bite de mon gendre
- où ça ?
- je, je, ne sais pas
- Comment Claire tu ne sais pas ?
-non, dit-elle en sanglotant
- Dis-moi ce que tu viens de faire ?
-snif, une fellation
- oui, bien, et comment peut-on dire cela différemment ?
-une ….
- Oui ?
- une pi……pe
- Bien Claire, et qui s'est qui taille des pipes ?
- je ne sais pas, snif,
- si Claire tu sais qui taille des pipes au fond des caves,
- dis le moi ou je recommence la distribution des photos !!!!
- non , non, les pu…. Putes,
- Ouuui, bien belle-maman, j'apprends donc que tu es ????
- NOOOON,
- si belle-maman ou je remonte distribuer te laissant nue seule ici !!!!!

- Hoooo, snif : je suis une pute,
- et aussi dis-moi d'autres qualificatifs de ce genre de femme, tiens
disons trois !!!!
- sa salo ..salope,
- C'est presque ça mais tu dois dire je suis tu comprends belle-maman
?
- snif oui : je suis une sa….lope
- Et bien quelle révélation ! Et encore ?
- je suis une co ..chonne….
- Ah bon ? Vous m'en direz tant ? Et ?
- je suis une ch…chienne snif, snif,
- si tes voisins savaient ça, tu caches bien ton jeu, sous tes airs de
sainte nitouche……….
Il éclata de rire. Elle est anéantie.
- Maintenant tu vas me dire crûment ce que tu es et viens de me faire
et ce qu'avec mon engin tu aimerais que je te fasse, réfléchis bien, n'oublies
rien, sois vulgaire. Tu n'as pas droit à l'erreur. Si tu ne me convaincs
pas, c'est la distribution dans le quartier !!!!
- Oh non, non pas ça ..
- Alors tu as compris…
- Je crois oui….
- Alors réfléchis bien, prends ton temps mais n'oublie rien !!!!
Elle avale de travers. Toussant, elle réalise qu'il veut l'humilier en
lui faisant reconnaître des abjections. Elle prend son souffle et se lance
dans un monologue d'horreur. - je suis une pute, qui vient de piper la
queue de son gendre. J'aimerai que la salope que je suis puisse se faire
défoncer la chatte par sa bite et que sa pine … encule….. la chienne que
je suis ….
Effondrée, atterrée, Claire explose en gros sanglots. Jérôme tout souriant
laisse passer la crise. Et puis affirme facétieux, l'air moqueur :
- Ne t'inquiète pas belle-maman ton Jérôme et ses amis saurons calmer
tes envies.
Cela tétanise Claire. Lui continuant :
- vu tes besoins je ne pourrai pas, bien sur, tout seul, assurer. Mais,
promis je trouverai des copains pour que tu sois comblée.
Elle est paralysée par ces mots, complètement abasourdie, se sentant plongée
dans un abîme de turpitude, incapable de réagir.
- Les choses sont claires, n'est-ce pas, à partir de maintenant tu deviens
ma chose, mon esclave hein ?
- Oui répond-elle hagarde,
- suces-moi à nouveau.
Elle reprend son engin flasque dans la bouche et sous la pression psychologique
de son gendre elle s'active, sentant la chose grossir.
- viens que je te baise. Elle écarte les jambes à même le sol dur et il
la prend ainsi pour finir par s'épandre en jets blanchâtres sur son ventre.
Malgré elle Claire n'est pas complètement insensible à ce coït. Sa tête
refuse, mais son corps s'abandonne.
- tu remontes nue par l'ascenseur.
Et il la laisse là, abattue, le ventre en feu au bord de la jouissance.


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Avant toutes chose, je voulais me présenter en trois mots puisque ce n'est pas la priorité absolue. Moi c'est olivier, j'ai 26 ans et je suis marié. Je suis ravi de mon mariage à l'exception de l'aspect sexuel car de ce coté c'est inexistant. Je travail en foret ce qui me donne la possibilité de rester en forme et de parfois rencontrer du monde en position surprenante ! ! L'histoire que je vais vous raconter est sur un fond véridique.

Un matin, alors que nous étions chez ma belle famille, ma belle sour, est descendu de sa chambre pour prendre son petit déjeuné. Une légende familiale prétend qu'elle dors nue sans qu'il soit possible de vérifier l'information, ce détail provoque chez moi un sentiment de curiosité et d'excitation. Ce matin là, donc elle descendit en peignoir de bain et s'installa en face de moi pour prendre son café. Une seul question trottait en ma tête : la légende était elle véridique ? ?

Son peignoir était légèrement entre ouvert ce qui me permettait de voir le haut de sa poitrine sans pour autant répondre avec certitude à ma réponse. Prétextant un manque de sucre, je me suis levé pour voir si la vision s'améliorait. tout en me levant je fixais cette ouverture de peignoir. Ma surprise fut grande lorsque je me suis aperçu qu'elle me regardait dans les yeux avec un large sourire amusé. Passant derrière elle pour le sucre je décida de mieux regarder au retour étant de dos elle ne pourra pas me surprendre.

En revenant a ma place je découvris qu'elle avait étirer son peignoir et m'offrais une vu plongeante sur ses seins claires et magnifiques. La légende était vraie. Elle avait un sourire des plus radieux avec une pointe de malice. Puis nous avons débuter une discussion sur nos programmes respectifs. Puis soudain, elle sourit à nouveau et croisa les jambes m'offrant probablement un spectacle torride. Je sentais en moi le désir durcir sans pour autant trouver le courage de tenter quoi que ce soit. Et je resta de longues minutes immobile. Son café finit elle se leva et un passant près de moi regarda avec insistance mon membre en érection. Puis passa un coup d'éponge sur la table. Ce faisant elle éfflora mon membre de sa main, je cru mourir tant mon pénis me faisait mal a force de bander de la sorte.

En sortant de la cuisine elle glissa une petite phrase anodine qui mit le feu en moi : je vais prendre une douche. Apres quelques minutes d'hésitation je suis aller pour me laver les dents, en passant devant la douche j'entendit l'eau coulé et la porte entrebâillé. Poussé par un élan de voyeurisme, je pousse la porte doucement esperant ainsi la surprendre a son insu. Qu'elle surprise lorsque je la vie nue face a moi et me regardant. Au bout de quelques secondes qui me parût interminable elle ouvrit la bouche et dit : si tu viens te laver les dents viens, cela ne me dérange pas..

A ce moment, mon corps s'est mit a réagir sans que je le veuille, je rentre, je ferme la porte et je rentre habillé dans la douche. Nous nous sommes embrassé pendant de long instant avec une intensité quasi bestiale. En même temps elle réussit a me déshabillé intégralement en un temps records.
Nous sommes nus, elle passe délicatement ses mains dans mon dos puis descends vers mes reins. Sa main gauche contourne ma hanche et me malaxe la bourse. D'une main hésitante, je lui caresse les fesses et descends autant que possible. Je m'attarde quelque instant sur son petit trou. Ma main droite caresse sa poitrine, lentement je commence par le dessous de la poitrine comme pour la soupesé elle est lourde et douce. Je la retourne délicatement pour appuyer son dos cotre moi et ainsi m'ouvrir tous les chemin vers sa chatte, je fais des va-et-vient sur son ventre entre ces nichons et son intimité.

Je me consacre maintenant à son minou. Il est doux, je glisse un doigt dans sa fente, je la sent réagir, bouger se tortiller, je presse de l'autre main sa fesse. Que c'est bon. Elle glisse alors s'est deux mains dans le dos, me carresse et commence a me branler. Mes doigt s'enerve et ouvre sa chatte, je n'en peux plus. Elle se retourne vers moi, se met a genoux et s'amuse avec albert (c'est le petit surnom de ma bite). Elle commence par faire des longueur sur albert, puis joue avec mes couilles. Maintenant elle me titille le tour du gland et finit par le prendre entièrement dans la bouche. Elle me suce, j'ai l'impression de rêver, et elle fait cela si bien.. La prenant par les épaules je la redresse et à mon tour je descends vers sa chatte en léchant son cou, ses seins puis son ventre pour finir entre ses cuisses. Je lui titille son clito du bout de la langue, allant de la plus simple caresse à la fouille minutieuse de son corps. je sentait sa jouissance se mélanger a l'eau, un délicat parfum. Elle souffle, écarte davantage les jambes.

Elle me demande de me relever, ce que je fait. Empoignant c'est seins et elle albert elle écarte les cuisses et plonge albert dans son intimité. Je commence alors des petits va et vient parsemer de coup de rein plus franc lui décrochant des petits râles magnifiques. Puis elle me demande de la prendre de dos mais pas de la sodomisé, je m'exécute. je la plaque coutre les carreaux de la douches. Le contact froid la fait sursauter, elle se dandine, ses siens se durcis. Alors que je sentait en moi l'explosion de sperme arrivé je suis sortie elle se précipite sur ma bite pour achever le travail. En un instant, ma bite se contracte, mon gland augmente, je sent une boule parcourir albert et la délivrance jaillit sur ces seins. Ce fut un pur moment de plaisir. Elle me propose de me laver, pendant qu'elle me frotte le dos, elle voit albert, toujours présent, toujours droit comme un i, elle me sourit et me confesse : - Des bites comme celles là je les mate et les masturbe.
La seconde giclé arrive, je n'en peux plus, mes jambes flageolent et elle sourit. Cette fois albert est vaincu.

Il n'est plus question de se laver, la longue douche peut être suspect nous nous depechons et sourtons de la douche. Depuis nous n'avons plus jamais fait l'amour ensemble mais je suis sure qu'elle y pense encore.

Posté par Olivier sur l'ancienne version du site (http://histoires.intimes.free.fr)


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Résumé : Le petit ami de Claire est détenu par des hommes à qui il doit de l’argent. Si elle veut le sortir de là, Claire va devoir accepter leur offre.
Depuis plusieurs semaines maintenant, Claire était aux anges avec son copain. Elle ne lui avait jamais avoué ce qu’il s’était réellement passé le soir où il l’avait trouvée nue attachée à son lit. Elle n’avait pas le courage de le faire et préférait faire comme si tout cela n’avait été qu’un rêve ; un merveilleux et inoubliable rêve. Toujours est il que depuis cette nuit, Claire prenait un pied d’enfer avec son copain à chaque fois qu’ils faisaient l’amour. Ce dernier n’avait jamais posé de questions concernant son brusque changement de comportement, mais il était ravi des conséquences qu’il avait eu. Mais le copain de Claire avait une fâcheuse habitude ; à chaque fois qu’elle prétendait devoir bosser et qu’il ne pouvait se voir, ce qui, à une certaine époque, arrivait couramment, il se rendait dans des endroits peu fréquentables pour jouer au poker. Et bien que sa fréquence se soit fortement raréfiée depuis la fameuse nuit, cette habitude n’avait pas totalement disparue. Mais un jour, ce qui devait arriver arriva. Claire connaissait bien ses habitudes et avait tenté à de multiples reprises de la lui faire abandonner, mais sans succès. Un soir il arriva chez elle, blême, la mine complètement déconfite. Claire commença à l’interroger sur ce qui l’avait mis dans cet état, mais avant même qu’il ait commencé son explication, elle remarqua que sa montre n’était plus à son poignet et devina d’où il venait.
– J’ai tout perdu. Tout ! Je suis mort !
– Qu’est ce que tu veux dire Xavier ? Qu’as-tu fais ?
– Tu comprends pas ? Je leur dois un paquet de fric et si je leur file pas, il vont me faire la peau !
Le silence se fit. Claire n’avait qu’une envie, le sermonner, lui rappeler qu’elle l’avait prévenu à de nombreuses reprises et qu’il ne pouvait s’en prendre qu’à lui même, mais elle comprit en voyant son regard que cette fois c’était bien plus grave que les fois précédentes. Sans même prendre la peine de se déshabiller, il s’était mis sous les draps et tremblait comme une feuille. Il était clairement en état de choc. Claire vint s’installer à côté de lui.
– Combien leur dois-tu ?
– 5000.
Claire avait préparé une phrase pour le rassurer, mais à l’annonce de cette somme, elle comprit qu’elle était désormais hors de propos. Aucun d’eux ne dormit cette nuit là, mais ils n’échangèrent cependant pas un mot. Toute la nuit, Claire se demanda ce qu’elle pouvait bien faire pour l’aider, puis elle finit par se décider. Dès le lendemain matin, elle irait retirer tout ce qu’elle pourrait puis se rendrait elle même à l’endroit où Xavier jouait pour remettre l’argent et essayer de convaincre l’homme de renoncer à ce qui manquait et de les oublier. Peut-être serait-il raisonnable et qu’il aurait pitié en voyant Claire, les yeux humides, le suppliant d’oublier jusqu’à l’existence de son copain. Du moins c’est ce qu’elle espérait…
Un contrat pour Claire Le lendemain matin, comme prévu, Claire réunit tout ce qu’elle pu, c’est à dire à peu près 3000€, puis se rendit au club fréquenté par son copain. Un gros balèze l’accueillit froidement à l’entrée :
– Tu veux quoi toi ?
– Je viens de la part de Xavier, remettre ce qu’il vous doit.
– Ah fallait le dire tout de suite. Entre.
Claire suivit alors le colosse qui la fit monter deux étages. Puis il stoppa, lui dit d’attendre et frappa à une porte. De l’autre côté, un homme l’invita à entrer, ce qu’il fit. Claire comprit que c’est à cet homme qu’elle aurait affaire. Quelques instants plus tard, le balèze reparut et lui fit signe d’entrer. Elle était nerveuse mais faisait tout pour ne rien laisser paraître. Elle devait être aussi ferme et déterminée que possible. Elle franchit do
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