Change ses études pour le sexe

Change ses études pour le sexe




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Change ses études pour le sexe

À poil ! Ces études où vous devrez vous déshabiller


Esthetique, kinesitherapie... Dans certaines filieres, vous n'aurez pas le choix : au moment de passer de la theorie a la pratique, il faudra vous mettre a nu (ou tout du moins en sous-vetements) devant votre promo. Si les premieres fois peuvent se reveler genantes, le temps dissipe peu a peu les malaises. Temoignages d'etudiants passes par la.
Toute l’actu de Trendy directement dans tes mails


5 bienfaits méconnus de l’huile de coco


Moiteur tropicale dans la salle de TP de l’ IFMK (Institut de formation en masso-kinésithérapie) de Rouen . « Il vaut mieux qu’il fasse chaud : on est tout le temps à poil ! », lance Marie, une K1 (étudiante en première année). Le cours de morpho-palpation du jour porte sur la cheville et le pied. Onze étudiants – huit filles et trois garçons, une proportion représentative de la promotion – ont pris possession d’une salle remplie de tables de pratique recouvertes d’alèses blanches. Les garçons sont en boxer, les filles en culotte ou en minishort. Pieds nus ou en chaussettes, ils regardent la démonstration de leur professeur sur leur camarade Chloé. Puis c’est à leur tour de manipuler, en binôme.
À moitié nus, les étudiants n’ont pourtant pas l’air mal à l’aise. « En début d’année, c’est un peu plus la panique. Certains essaient de se cacher… » , admet Sylvie Mareuil, cadre formateur à l’IFMK. « On ne les brusque pas. Ce ne sont pas les étudiants que l’on va chercher en premier pour les démonstrations », assure Valérie Martel, référente des K1 et cadre formateur. « Mais avant d’entamer ces études, il faut savoir à quoi s’attendre : toucher, être touché, se déshabiller. Il faut être prêt à soigner ensuite un corps malade, âgé », avertit toutefois Sylvie Mareuil.
Un mois après le début de la rentrée, l’évolution des mentalités est déjà… palpable. « Nous sommes des professionnels de santé qui massent des corps humains. On n’a pas de jugement de valeur à avoir sur les autres » , confirment Chloé et Marie, 20 ans. Dans le groupe, beaucoup se souviennent néanmoins de leur « première fois ». « En TP de palpation, on a commencé par le sacrum (un os du bassin). Pour une première prise de contact, cela a été efficace ! Au départ, on s’est regardé puis… plus rien. Il n’y a plus de gêne entre nous », assure Valentin. Son conseil aux garçons : « achetez des boxers ».
Thomas, 18 ans, étudiant en première année à l’ ISO (Institut supérieur d’ostéopathie) à Lognes , surapprouve. « Portez des caleçons bien ajustés à votre taille car on lève parfois la jambe. » Vision d’horreur garantie ! « C’est arrivé à un étudiant. Lui ne s’en est pas aperçu, nous oui ! Mais on ne lui a rien dit pour éviter de le mettre mal à l’aise. » Pour les filles, les shorts stretch de sport sont tout à fait appropriés.
La promo de Thomas compte 30 étudiants mais elle est divisée en deux pour les TP. Des groupes mixtes où l’on recense deux tiers de filles pour un tiers de garçons. « Selon les professeurs et la technique à apprendre, on enlève qu’une partie de nos vêtements. Quand on observe le corps dans sa globalité, on est qu’en sous-vêtements. Les premières fois, on est tous gênés. Puis, on ne s’intéresse plus « au bout de viande », mais à la technique. Ne vous posez pas de questions. C’est comme ça, et on en a pour cinq ans. Si vous commencez à penser, vous ne serez pas productifs dans les études puis dans le métier », recommande-t-il.
TP de morpho-palpation à l’IFMK de Rouen : à moitié nus, les étudiants ont _l’air plutôt à l’aise… // © Virginie Bertereau_
Même son de cloche dans les écoles de soins esthétiques. En bac pro, les étudiants découvrent les soins du visage mais aussi du corps. Ils apprennent à épiler et à prodiguer des soins relaxants, tonifiants, amincissants sur toutes les zones du corps… « Pendant les premiers cours, j’étais un peu timide. Je sortais de troisième, j’étais gênée par le regard des autres. On se regardait toutes discrètement. Le TP sur les soins du buste (pour lesquels il faut enlever son soutien-gorge) a vraiment été une étape ! On sait dès le début ce qui nous attend, mais on se bloque. C’est un vrai soulagement quand c’est fini ! », se souvient Marine, 19 ans, diplômée du CAP et bac pro esthétique de l’ EFCE (École française de coiffure et d’esthétique) , aujourd’hui étudiante en BTS (brevet de technicien supérieur) MUC (management des unités commerciales). « Au début, on rigolait nerveusement. Les professeurs nous rassuraient. Esthéticienne, il fallait s’y faire, cela allait être notre métier », raconte de son côté Océane, 19 ans, diplômée du bac pro esthétique du lycée Montbareil de Guingamp (22), elle aussi étudiante en BTS MUC .
Trois ou quatre cours plus tard, l’absence de moqueries aidant, les liens se tissent et la gêne passe. « On se dit que tout le monde est fait pareil, qu’il ne faut pas s’arrêter à regarder les autres. Aujourd’hui, on s’entend bien, on se respecte, l’ambiance est plutôt conviviale », assure Claire, 19 ans, une camarade de Marine et d’Océane. Pour les épilations, Marine conseille de porter des sous-vêtements sportswear moins récents, qui ne risquent pas d’être abîmés. Pour les soins du corps, elle recommande des sous-vêtements « plus échancrés sur le haut des fesses et les cuisses ». Claire et Océane délivrent de leur côté des conseils de bon sens : avoir une bonne hygiène, faire attention à soi. Et pas de panique : les étudiants en esthétique disposent de paréos ou de serviettes pour se couvrir pendant les TP.
Dernier cas de figure, un peu particulier : les cours de nu en école d’art. Margaux, 20 ans, étudiante en deuxième année à l ‘ECV (École de communication visuelle) Provence , en suit depuis le début de son cursus. « La première impression est assez choquante… Non pas parce que l’on a un corps nu devant nous, mais plutôt parce que le modèle pose devant 40 étudiants qui l’observent en détail. Notre œil n’est pas assez ‘dévergondé’ et habitué à voir quelqu’un de nu comme un art mais plutôt comme une personne ‘à poil’. Enfin… tout dépend aussi du modèle face à nous. Pour la petite anecdote, on a eu à plusieurs reprises un modèle masculin d’une soixantaine d’années. Imaginez notre réaction quand, à 8h30, on émerge à peine de notre lit et qu’on se retrouve face à un modèle pareil ! », témoigne-t-elle.
Par la suite, comme dans toutes les filières, le futur professionnel reprend le dessus. « Au bout d’un moment, on se dit qu’on est face à quelque chose de magnifique. On découvre chaque muscle avec les jeux d’ombres et de lumières dus aux projecteurs de la salle. On laisse parler notre créativité. » Ses conseils : « ouvrir son esprit bien ‘coincé’, s’ouvrir à l’art et changer sa perception des choses. »
ABONNE-TOI À LA NEWSLETTER TRENDY !
TOUTE L’ACTU DE TRENDY DIRECTEMENT DANS TES MAILS
TOUTE L’ACTU DE TRENDY DIRECTEMENT DANS TES MAILS !
ABONNE-TOI À LA NEWSLETTER TRENDY !




Пожалуйста, свяжитесь с владельцами веб-сайта и проинформируйте их об этой проблеме.

Страница, которую вы пытаетесь просмотреть, не может быть показана, так как она использует неверную или неподдерживаемую форму компрессии.


Отправка сообщений о подобных ошибках поможет Mozilla обнаружить и заблокировать вредоносные сайты


Сообщить
Попробовать снова
Отправка сообщения
Сообщение отправлено


использует защитную технологию, которая является устаревшей и уязвимой для атаки. Злоумышленник может легко выявить информацию, которая, как вы думали, находится в безопасности.







Se connecter


Services


ePaper/PDF


Supplément Immobilier


Newsletters


Événements


Privilèges abonnés


Annonces


Avis de décès


Archives


FAQ


Contact


Communiqués de presse


Emplois


A propos





S'abonner










Rubriques


Monde


Suisse


Économie


Opinions


Culture


Sciences


Sport


Société


Lifestyle


Hyperlien


Afrique





En continu


Blogs


Vidéos


Chappatte


Multimédia


Podcasts


Photographies


Grands formats


Dossiers


Formats spéciaux





Epaper/PDF







Plus






Fil d'Ariane



Accueil


Société


A 70 ans, ils ont fait le choix de changer de sexe





A 70 ans, ils ont fait le choix de changer de sexe








Texte et photos: Clément Bürge New York








À propos


Abonnements


Publicité


Services


Impressum


Protection des données


Archive








Aux Etats-Unis, la transition de Bruce Jenner, l’ancien champion olympique et star de la télé-réalité de 65 ans, a mis les seniors transsexuels sous les feux des projecteurs. Mais son cas est loin d’être unique: toujours plus de personnes de 50, 60 ou 70 ans changent de sexe. Portraits croisés
Phénomène Aux Etats-Unis, la transition de Bruce Jenner, l’ancien champion olympique de 65 ans, a mis les seniors transsexuels sous les feux des projecteurs
Son cas est loin d’être unique: toujours plus de personnes de 50, 60 ou 70 ans changent de sexe. Portraits croisés
Ce jour-là, le fils de Michael, 9 ans, faisait ses devoirs, lorsqu’il a levé les yeux vers son père, assis sur le canapé. Cela faisait plusieurs mois que lui et sa femme étaient en crise. «Ce que tu ressens ne va jamais s’en aller, papa, lui a-t-il dit, calmement. Ce sera toujours en toi.» C’est à ce moment que Michael, abasourdi par les propos de son fils, a compris qu’il devait faire le grand saut. Le lendemain, il annonçait à son épouse qu’à bientôt 50 ans, il allait devenir une femme.
Un choix d’autant plus difficile que, contrairement aux personnes qui changent de sexe dans la vingtaine, Michael avait déjà une vie bien établie. «Ma carrière, ma famille, mes amis, je courais le risque de perdre tout ce que j’avais accumulé jusque-là», explique Stephanie, la charmante blonde qu’il est devenu.
Née Michael Battaglino en 1958, elle a su dès l’enfance qu’elle n’était pas censée être un garçon. «J’ai grandi au sein d’une famille italienne très religieuse, raconte-t-elle. Je ne savais pas comment interpréter ce que j’éprouvais.» Michael décida alors de se débarrasser de Stephanie, en devenant le plus masculin possible. «J’ai commencé à faire du football américain. Je pesais 107 kilos.» Son diplôme universitaire en poche, Michael se marie. Une première fois, une deuxième fois, puis une troisième fois. «Chaque mariage s’est terminé en divorce après quelques années, explique Stephanie. Ma vie était un mensonge.»
Aujourd’hui, cette vice-présidente d’une compagnie d’assurances se sent mieux. Ses cheveux blonds décolorés, sa robe violette et les bracelets empilés sur son bras droit donnent à cette femme de 56 ans un air plus jeune. «Pour la première fois de ma vie, je me sens moi-même», dit-elle en broyant une salade avec sa mâchoire carrée.
Aux Etats-Unis, les transsexuels seniors se retrouvent pour la première fois sous les feux des projecteurs. Le changement de sexe de Bruce Jenner, mari de la star de télé-réalité Kris Jenner, fait la une de la presse. La série Transparent , réalisée par Amazon, qui raconte la transition d’un septuagénaire, a raflé plusieurs Golden Globe. Au total, on estime que près de 700 000 personnes aux Etats-Unis souffrent de ce que les médecins nomment une «dysphorie de genre», dont une part croissante de personnes âgées.
«La culture trans, gay ou lesbienne a toujours été orientée autour des jeunes, dit Vanessa Fabbre, une professeure assistante à l’Université de Washington qui vient de terminer un doctorat sur le sujet. Mais aujourd’hui, des personnes qui ont entre 50 et 70 ans se joignent aussi au mouvement.» Ces seniors n’ont souvent pas eu d’autre choix que d’attendre le XXIe siècle pour envisager une telle transition. Pour eux, changer de sexe plus jeune était impossible. Ayant grandi dans une société plus conservatrice qu’aujour­d’hui, leur condition n’était pas acceptée.
Depuis, Internet est arrivé et la culture populaire a changé. Les transitions sont plus faciles. Très souvent, la retraite marque le début du processus, puisque la crainte de perdre son emploi a disparu. «Parfois, un pépin de santé, comme une crise cardiaque, vient rappeler à la personne qu’elle est mortelle, souligne Vanessa Fabbre. Elle commence à compter le nombre d’années qui lui restent à vivre et décide de ne plus se voiler la face.»
Bobbi Swan, une blonde à la voix caverneuse, est née en 1930 à Buffalo, au nord de l’Etat de New York. «A l’époque, il n’existait même pas de mot pour décrire ce que j’étais», se rappelle cette femme de 84 ans.
Une fois ses études terminées, Bobbi Swan s’est enrôlée dans l’armée américaine. Elle a servi lors de la guerre de Corée, avant de trouver un emploi chez Ryan Aeronautical. Elle y a travaillé toute sa vie. «J’aurais brisé ma carrière si j’avais changé de sexe plus tôt, explique-t-elle. Notre principal client était le Département américain de la défense.» Une fois à la retraite, elle rencontre des gens qui se trouvent dans la même situation qu’elle. Et prend sa décision à l’âge de 71 ans, se rendant en Thaïlande pour y subir une opération de réattribution sexuelle.
Mais même une fois leur décision prise, les transsexuels seniors doivent affronter des défis différents que leurs homologues plus jeunes. Socialement, la pression peut être plus lourde encore. «Mes amis m’ont connu en tant que femme pendant cinquante ans, explique Dominic De Gatto, une femme de 63 ans devenue homme à la fin de la cinquantaine. Cela a été dur pour certains d’accepter mon changement après m’avoir connu autant de temps. Beaucoup de mes amies lesbiennes ne veulent plus me voir depuis que je suis devenu un homme.» Et des inconnus n’hésitent pas à faire des remarques discriminatoires dans la rue. «L’autre jour, des ados m’ont pointé du doigt en éclatant de rire, dit Dominic De Gatto, dont les bras sont recouverts de tatouages. Les gens froncent déjà des sourcils quand ils voient un jeune trans, imaginez quand ils en croisent un vieux.»
Physiquement, un homme ou une femme d’un âge avancé est aussi moins adapté à un changement de sexe. Le corps s’est habitué à habiter un genre durant des décennies. Chez un homme, les épaules auront été élargies et la voix rendue plus grave par des années d’exposition à la testostérone. «Ils perdent aussi leurs cheveux et ont plus de poils sur le reste du corps, explique Vanessa Fabbre. Il est plus difficile pour eux de se faire passer pour une femme après un certain âge.»
Monica Prata, qui est maquilleuse de formation, a fait de cette problématique son métier en devenant consultante pour les hommes souhaitant devenir femmes. «L’un des principaux défis est de leur apprendre à porter des habits conformes à leur âge, dit-elle. On ne peut pas mettre une minijupe ou trop se maquiller à 70 ans.»
Et les risques médicaux sont plus grands. «Une personne âgée mettra plus de temps à se remettre d’une opération, dit Marcie Bowers, une chirurgienne spécialiste du changement de sexe. Une fois les parties génitales modifiées, un patient senior aura plus de peine à retrouver des sensations au niveau de ses organes sexuels. Il n’est pas impossible qu’il ait des orgasmes après l’opération, mais ce sera plus compliqué.» Beaucoup de patients craignent aussi l’impact de la prise d’hormones à cet âge: «J’
Ils baisent toute la nuit et au petit matin aussi
Bénéficiant d'une baise dans la mer
Mike Adriano et Kendra Lust nous donnent une baise délicieuse

Report Page