Championne de la pipe veut sa faciale

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Publié le
12/09/2015 à 18:41







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"L'excitation naît souvent des images pornographiques qu'on a pris le temps de fantasmer dans un scénario personnel", explique la sexothérapeute Nathalie Giraud Desforges à propos de l'éjaculation faciale.
L'éjaculation faciale est longtemps restée discrète, selon Nathalie Giraud Desforges , sexothérapeute. "Cette pratique est absente du Kâma-Sûtra alors qu'on y trouve des conseils pour se régaler de l'éjaculation féminine", précise l'experte. De même, "l'éjaculation faciale était peu invitée dans les bordels de Pompéi et totalement déserte des premiers films pornos dans lesquels on voyait pourtant des godemichés." [ndlr: les premiers films pornos ont fait leur apparition dans les années 1890]. En revanche, le Marquis de Sade ne s'en privait pas dans ses écrits. Dans La Philosophie dans le boudoir , qui date de 1795, on lit: "Il faut que le sein et le visage de votre ami soient inondés des preuves de la virilité de votre frère." 

L'éjaculation faciale ne connaît toutefois une réelle médiatisation qu'à partir des années 1980, à travers les films pornographiques. "S'ils ne l'ont pas inventée, ils l'ont normalisée", avance Ovidie , ancienne actrice du X et aujourd'hui réalisatrice. L'éjaculation faciale a fait son apparition dans les films pornos par souci de montrer du sperme, nous explique Nathalie Giraud Desforges. "On cherchait à crédibiliser les hardeurs en prouvant leur éjaculation, même s'ils sont dotés d'une pompe pour doubler de volume." Aujourd'hui, les vidéos X n'échappent pas à ce bouquet final. Anthony, 30 ans, qui visionne beaucoup de pornos en streaming sur Internet, le constate: "C'est toujours la même histoire. Fellation , missionnaire, levrette, sodomie , éjaculation faciale." Une pratique devenue phare des films pornos. 

Révélée via les films pornographiques, l'éjaculation faciale leur est désormais associée. Et c'est ce qui bloque Mélanie, 30 ans, qui n'a pas envie de tester "parce que ça fait trop film de cul", contrairement à Nathalie, 50 ans, qui adore ça et part du principe "qu'à la maison, entre nous, nous ne sommes pas dans un film X". 

Le rapport dominé-dominant est également pointé du doigt. Marion, 31 ans, témoigne: "J'adore qu'un homme prenne le dessus, mais l'éjaculation faciale, c'est le pas que je ne peux pas franchir." Mélanie est d'accord: "A ce stade, ce n'est plus de la domination, c'est de l'humiliation." Ce rapport dominé-dominant ne dérange d'ailleurs pas seulement les femmes. Les hommes aussi sont touchés. "Certains ont le sentiment de salir leur conjointe", nous explique Alexandra Hubin, sexologue et fondatrice de la Sexologie Positive . "Et quand ils sont pères, c'est pire. Ils voient la mère de leurs enfants et craignent de lui manquer de respect." 

Pourtant, le fantasme de domination, selon une étude réalisée par le Journal of Sexual Medicine en 2014, est très courant, que l'on soit homme ou femme, et n'a rien de répréhensible. Alors pourquoi l'éjaculation faciale semble-t-elle hors jeu? Parce que l'endroit qui reçoit le sperme n'a rien d'anodin. "C'est lourd de sens, le visage", analyse Ovidie. "Quand l'éjaculation est buccale, elle est un prolongement du plaisir en duo. Le visage, c'est autre chose. Il rappelle le crachat, la gifle. C'est avilissant." La réalisatrice poursuit et nous dévoile les coulisses d'un tournage: "L'homme se touche hors caméra pour assurer son éjaculation puis seul le visage de la fille -présenté comme réceptacle- est filmé. Voilà pourquoi on trouve cela dégradant." 

Pour Nathalie Giraud Desforges, sexothérapeute, le rapport dominé-dominant est inévitable. Mais ce n'est pas négatif. "Quand les deux partenaires sont d'accord et disposent de leur libre arbitre, le rapport dominé-dominant est choisi plutôt que subi. Il peut même s'inverser." Pour Alexandra Hubin, le rapport dominé-dominant s'estompe quand le plaisir est partagé, bien qu'il existe visuellement. 

Les deux expertes se rejoignent: dès lors que nous sommes consentants, on entre dans un cadre, celui du jeu. Sarah, 35 ans, pratique l'éjaculation faciale. Le rapport dominé-dominant, elle l'oublie: "Nous sommes simplement deux amoureux dans un jeu de rôles." Cathy, 30 ans, ne voit pas non plus de rapport dominé-dominant : "Recevoir son sperme, c'est comme être maîtresse de son éjaculation. Je nous trouve à l'équilibre, mon homme dépend aussi de moi." 

>>> Lire aussi notre dossier SM et bondage 

"Le plaisir est purement cérébral, pour les deux sexes" souligne Nathalie Giraud Desforges. Certes l'homme trouve un plaisir physique dans le fait d'éjaculer, mais aucune zone érogène en dehors du sexe masculin n'est invitée dans cette pratique, bien que la bouche reste sensible et que le visage soit le lieu des cinq sens. "L'excitation naît souvent des images pornographiques qu'on a pris le temps de fantasmer dans un scénario personnel", ajoute la sexothérapeute. 

Matthias, 31 ans, n'a jamais pratiqué l'éjaculation faciale et n'en ressent pas le besoin, mais cette pratique l'excite par la simple pensée: "J'aime le côté inaccessible de l'éjaculation faciale. Elle fait partie de mes fantasmes, ça me suffit." En effet, ce qui attire souvent les hommes dans cette pratique, c'est généralement le côté peu conventionnel. "L'éjaculation faciale peut être perçue comme indécente. Son caractère transgressif apporte à certains du piment à la relation", commente Alexandra Hubin. 

Anthony, lui, ressent une toute puissance et rougit presque en l'avouant. Nathalie Giraud Desforges décrypte: "Les hommes sont fiers de leur sperme. Il s'agit de leur semence reproductrice." "Ils aiment le voir", ajoute Alexandra Hubin. Mais ce n'est pas toujours le cas. Thibaut, 30 ans, a essayé une fois l'éjaculation faciale et en garde un mauvais souvenir: "Je me sentais obligé de gérer. Je n'ai pas supporté de voir cette fille, qui pourtant semblait aimer ça, dépendre de mes capacités à lui éjaculer dessus." Une réaction courante, selon Alexandra Hubin. "Il est difficile d'être spectateur de sa sexualité, commente la sexologue. Un homme timide, qui n'a pas confiance en lui, préfèrera éjaculer dans un vagin." 

Du côté des femmes, le plaisir peut naître de ce que l'on provoque chez l'autre. Cathy, 30 ans, commente: "Procurer du plaisir à mon partenaire, ça m'excite en retour. On est dans le partage, comme dans toute autre pratique." Nathalie, 50 ans, trouve du plaisir dans la soumission choisie et voulue. Elle aime que son homme prenne le dessus. "J'aime être dominée, obéir, dès lors que nous sommes dans un jeu sexuel." 

Nous disposons de peu de chiffres. Cependant, comme le souligne Alexandra Hubin, sexologue, les films pornos nous influencent et certaines mises en images peuvent amener les couples à les reproduire. "On cherche de plus en plus à varier nos pratiques, à trouver de nouveaux plaisirs et le porno répond, à sa façon, à cette envie d'échapper à la routine. Les couples répètent ce qu'ils voient à l'écran pour casser le quotidien." Quand on demande à Alexandra si ses patients sont bavards à ce sujet, elle est catégorique: "Non, très peu. Il faut dire que les couples qui consultent ont d'autres soucis sexo. L'éjaculation faciale est loin de leurs préoccupations." 

Du côté des plus jeunes, il semble que l'éjaculation faciale soit moins rare. Ovidie le souligne, à la suite de la réalisation de son documentaire A quoi rêvent les jeunes filles ? . "Les digitales natives voient l'éjaculation faciale comme une pratique courante, qu'il vaut mieux inviter dans son lit pour ne pas passer pour des prudes." 

Si on regarde de plus près les chiffres du sondage Génération Youporn: mythe ou réalité? réalisé en octobre 2013 par l'Ifop sur un panel de 1000 adolescents de 15 à 24 ans, on découvre que 24% des sondés répondent avoir déjà terminé un rapport par éjaculation faciale. "Une pratique reproduite sans vraiment réfléchir", estime Alexandra Hubin. "Les jeunes ne considèrent pas l'éjaculation faciale comme un nouveau plaisir à découvrir mais comme une pratique qui fait désormais partie intégrante de la sexualité et qu'il faut faire." Quand on demande à Agathe, 20 ans, ce qu'elle en pense, elle affiche de gros yeux: "Je trouve ça sale. Et je n'ai pas l'impression que les jeunes courent après. Ou alors je suis un peu déconnectée." 

On s'interroge quant aux résultats: les ados pratiquent-ils réellement l'éjaculation faciale ou l'affirment-ils simplement pour prétendre faire "comme tout le monde"? Le doute est permis. "L'important reste le plaisir, conclut Nathalie Giraud Desforges. Accumuler les pratiques sexuelles, cocher les cases ne garantit ni plaisir mutuel, ni meilleure connaissance personnelle." 

Caroline Michel est journaliste. Elle a co-écrit avec Alexandra Hubin, sexologue, le guide pratique Je SexoPositive! aux éditions Eyrolles (sortie 8 octobre 2015). Elle est également l'auteure du blog Ovary . 

>>> Lire aussi: Taille du pénis , six questions angoissantes et nos réponses 

Caroline Michel est journaliste. Elle a co-écrit avec Alexandra Hubin, sexologue, le guide pratique Je SexoPositive! aux éditions Eyrolles (sortie 8 octobre 2015). Elle est également l'auteure du blog Ovary . 





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Le directeur général de la Poste Roberto Cirillo a conduit la visite du centre de cryptographie implanté à Neuchâtel en 2019.
La Poste Suisse peaufine son image d'entreprise championne de la numérisation, tout en restant attachée à sa mission de service universel. Son directeur général, Roberto Cirillo, veut continuer d'en faire un acteur majeur du paysage économique helvétique.
Le Tessinois a choisi mercredi la Poste principale de Neuchâtel, un édifice datant de 1874, pour sa présentation des enjeux numériques auxquels est confronté le géant jaune. 'Construire du nouveau sur d'anciennes fondations', a-t-il résumé depuis le lieu qui accueille aussi un centre informatique interne d'envergure nationale.
Fort d'une cinquantaine d'employés, ce dernier comprend la cellule de 10 ingénieurs en informatique chargés d'améliorer le système de vote électronique que la Poste a suspendu en 2019. En raison de 'bugs et non de failles', a tenu à préciser Roberto Cirillo. Le directeur général a confirmé une remise en exploitation courant 2023.
Le centre de compétences est présent à Neuchâtel depuis 1989. Mais l'apport de son activité dans la cryptographie remonte à 2019 seulement. 'Dans un environnement neuchâtelois favorable à la technologie' (ndlr, en particulier la fintech), a indiqué le Tessinois, content de passer la journée en terre latine.
'La récompense de 250'000 francs promise à celle ou celui qui découvrirait une faille critique du système demeure disponible', a relevé Baptiste Lanoix, responsable du centre informatique de la Poste à Neuchâtel. Avec la numérisation, le géant jaune entend poursuivre la mission qui lui a été confiée il y a 173 ans.
Au lieu d'acheminer des lettres en toute sécurité, l'entreprise veut devenir un transmetteur fiable de données. D'où la priorité accordée à la cybersécurité, dans un monde où les dangers accompagnant la numérisation vont croissant. 'La Poste de demain devra toujours répondre au besoin de sphère privée', a dit Roberto Cirillo.
Le géant jaune doit affronter quelque 10 millions de phishings et spams ainsi que 100 attaques de 'hackers' par mois. Sans oublier le blocage à 100% d'environ 10'000 virus. Pour y parvenir, pas moins de 70 experts et 40 'champions' du domaine informatique veillent au grain, eux qui pratiquent également des auto-attaques.
Au total, 1250 personnes travaillent dans l'informatique de la Poste, réparties sur huit sites à travers la Suisse. Ce qui permet à l'entité en mains de la Confédération, à qui elle verse 50 millions de francs de dividende par an, de figurer dans le top 3 des entreprises du secteur, a souligné le directeur général.
Au-delà, Roberto Cirillo, en place depuis trois ans, veut allier le physique et le numérique, en rappelant que 300'000 à 400'000 personnes fréquentent encore quotidiennement un guichet. Simultanément, entre 140'000 et 150'000 'logins' sont enregistrés. La Poste doit s'adapter à l'évolution de la demande, a-t-il ajouté.
Quatre attentes majeures sont posées par le client: des délais de livraison toujours plus courts, des services 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 (le site informatique de Neuchâtel développe aussi les automates de distribution des colis), des offres numériques conviviales et une offre pour pouvoir voter et élire en ligne.
Le directeur général a encore mis en exergue le rôle économique joué par le géant jaune. Rien que dans le canton de Neuchâtel, il emploie 500 personnes (pour 450 postes en équivalents plein temps), avec une création directe de valeurs de 60 millions de francs par an ainsi que de 55 millions pour les prestataires situés en amont.

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