Cette serveuse chienne ne veut pas perdre son job

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Cette serveuse chienne ne veut pas perdre son job
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Avec la crise économique et la pression sur l’emploi, il arrive de plus en plus souvent que l’on se retrouve devant un choix douloureux : accepter de quitter sa ville, son domicile, ses amis et déménager pour conserver son job. Ou alors prendre le risque de refuser la délocalisation et de ne pas retrouver de travail. Le marché de l’emploi demande de plus en plus de mobilité aux employés. Témoignages de Romands forcés au grand écart pour conserver leur job.
Dans ce reportage, Temps Présent revient, entre autre, sur la plus grande délocalisation depuis la Suisse romande, l’affaire Merck-Serono. Que sont devenus les 1250 employés après la fermeture du site de Genève, en juin 2013 ? Nous avons retrouvé d’anciens employés qui nous ont parlé de l’impact de cette délocalisation sur leur vie. Fabienne a accepté un poste en Allemagne, mais n’a jamais réussi à s’intégrer en dehors de la vie professionnelle. Pascale a refusé une délocalisation, et deux ans plus tard, elle est encore au chômage. Thomas a embarqué toute sa famille en Allemagne pour « recommencer une nouvelle vie », mais le déménagement a coûté sa carrière à sa femme.
Tous les délocalisés ne décident pas de déménager. Attachés à leur lieu de vie, ils acceptent souvent de passer plusieurs heures par jour dans le train ou d’être absent du lundi au vendredi. Est-ce que la vie de couple et de famille en pâtit ? Comment gèrent–ils les absences et la culpabilité ? Témoignages.
La délocalisation comporte un côté aléatoire, car on ne choisit ni le moment, ni la destination. Le marché du travail dicte les déplacements. Une tendance confirmée par le directeur des RH de Merck, Dietmar Eidens : " La mobilité est un must de nos jours. Jusque-là, cela concernait surtout des postes de cadre, mais, de plus en plus de flexibilité est également demandée au personnel de la production et du développement. "
Rediffusion le lundi 4 avril 2016 à 15h15 sur RTS Deux.
Un reportage de Béatrice Bakhti et Béatrice Mohr Image : Walter Hug Son : Philippe Combes Montage : Valérie Weyer
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Je suis née au Cap-Vert . À 10 ans, mon père m’envoie chez sa sœur au Portugal. Je pars du jour au lendemain, avec une valise. J’ai 12 ans. Je vis chez une tante à Paris. À l’école, j’ai du mal. À 16 ans, je tombe gravement malade, un an entre hôpital et convalescence. À 18 ans, j’intègre un BEP sanitaire et social mais ça ne me plaît pas. 21 ans, une annonce : demande serveuse. Je suis engagée. Cinq ans où je fais le plein d’amis. Je suis une vraie bosseuse. Je prends un F2. J’ai un copain, du Cap-Vert aussi. Où je ne veux pas retourner, même en vacances. Ma vraie famille, ce sont mes amis. Pour la première fois, je m’autorise à avoir des rêves. Je veux travailler dans la mode. Coup de chance, un habitué du restaurant me pistonne , et je suis engagée comme « chargée des ventes » chez Tsumori Chisato. Et j’atterris vendeuse sur leur corner dans un grand magasin. 26 ans, je postule pour une formation pour être acheteuse. Mais mon dossier n’aboutit pas. 28 ans, je retourne vers la restauration. Mieux payée. Côté mode, j’alterne les remplacements de vendeuse chez Fendi ou Tod’s avec la restauration. 30 ans, je suis prête : je retourne au Cap-Vert. Difficiles retrouvailles avec ma mère. Je l’aime mais je lui en veux toujours. Sur la plage, je rencontre mon amour. Il est barman, modèle aussi. Cet été, on s’est mariés au Cap-Vert. Et d’ici mes 40 ans ? Acheteuse dans une maison de couture. Je n’abandonne pas. L’exil est une force. La force de ceux qui ne baissent pas les bras.
Quatre rendez-vous hebdos pour quatre fois plus de Cosmo

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Culture







Publié le
05/07/2015 à 11:19 , mis à jour à 11:19






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Par Cécile Maisonneuve, fondatrice de DECYSIVE et conseillère auprès du centre Énergie Climat de l'IFRI.

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Des touristes visitent la Casa Battlo de Gaudi à Baercelone le 28 juin 2015
" Tourists go home ": le slogan, sans ambiguité, a fleuri sur les façades des quartiers les plus touristiques de la ville catalane de 1,6 million d'habitants, peinant à absorber cet afflux quasi inexistant avant les jeux Olympiques de 1992. 

Aujourd'hui la cité méditerranéenne est devenue la troisième ville la plus visitée d'Europe après Londres et Paris, selon une étude de la société Mastercard datant de 2013. 

Avec l'arrivée de l'été les visiteurs se multiplient, s'attroupent dans les ruelles du quartier médiéval et forment des queues interminables devant les bâtiments art nouveau de l'architecte moderniste Antoni Gaudi. 

" Barcelone est à la croisée des chemins. Si on ne fait rien, elle pourrait devenir comme Venise d'ici 30 à 40 ans: une ville complètement dédiée au tourisme ", avertit Francesc Muñoz, professeur en géographie à l'université autonome de Barcelone. 

Cette hyper-spécialisation dans le tourisme est palpable en particulier sur l'avenue emblématique de las Ramblas. Ancien point de rencontre des Barcelonais, la promenade ombragée est à présent envahie de boutiques de souvenirs, d'enseignes à la mode et de restauration rapide. 

" Nous sommes en train de perdre son essence. Là où il avait avant des fleurs, il y a aujourd'hui seulement des souvenirs ", se lamente Carolina Pallés, travaillant pour le plus ancien fleuriste de las Ramblas, fondé par son bisaïeul en 1888. En face, une pancarte accrochée à un balcon proclame: " Barcelonais, revenez à la Rambla ". 

" Les clients traditionnels ont renoncé car ils n'ont pas d'espace pour marcher ou déplacer leur chariot de courses ", se plaint Xavier Alonso, un poissonnier du marché couvert La Boqueria, dans une rue adjacente, dont le chiffre d'affaires a chuté de 50% en cinq ans. 

Ada Colau, ex-militante antiexpulsions et égérie du mouvement des indignés, veut rendre compatible la vie de ses concitoyens avec le tourisme qui génère 120.000 emplois. 

Une cohabitation parfois difficile, comme l'ont prouvé les manifestations d'habitants du quartier populaire de la Barceloneta, coincé entre la plage et le port, contre les excès des jeunes touristes. 

" Le boom touristique a été un processus très rapide, sur 25 ans, et la ville ne l'a pas bien absorbé. Ceci a généré une certaine tourismophobie ", explique l'expert du secteur Francesc Lopez, ajoutant que la réponse de la mairie a été jusqu'à présent insuffisante. 

La première mesure annoncée jeudi par Ada Colau a été le gel pour un an de l'attribution de nouvelles licences hôtelières. Elle touche une trentaine de projets, dont la transformation de la tour Agbar, un des gratte-ciel les plus connus de Barcelone, en un hôtel cinq étoiles de la chaîne américaine Hyatt. 

Le fonds d'investissement catalan Emin Capital a déjà investi 150 millions d'euros. 

" Barcelone est une référence mondiale en matière de tourisme. Tous les investisseurs veulent venir ici, mais si on crée une insécurité juridique, ils iront ailleurs ", avertit son président Jordi Badia. 

La ville compte 600 hôtels avec 74.000 chambres et près de 9.600 appartements touristiques déclarés. Mais c'est sans compter ceux loués illégalement. 

Selon une étude de la fédération patronale hôtelière Exceltur, le nombre de places proposées via des plateformes comme Airbnb dépasserait les 137.000 et beaucoup y voient la cause principale de saturation touristique. 

Le président d'Apartur, l'association d'appartements touristiques de Barcelone, Enrique Alcantara, assure au contraire qu'ils contribuent à " redistribuer les bénéfices du tourisme " en logeant des voyageurs dans des zones moins touristiques. 

Les négociations pour parvenir à soulager les quartiers saturés s'annoncent longues mais sont nécessaires. " Barcelone est actuellement une icône touristique mondiale. Mais si les problèmes persistent, ils pourraient porter atteinte à son image et finir par nuire au tourisme ", estime Francesc Lopez. 


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Publié le

05/12/2018 à 08:55
| Mis à jour le

05/12/2018 à 13:26



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© Photo NR

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Il rêvait d’être astronome mais il n’était pas assez doué en maths pour décrocher la lune. Le littéraire Cédric Germain est tombé sous le charme d’Helléne au collège. « Un prof passionné m’a fait aimer le Grec ancien en cinquième. Plus tard, lors de mes études supérieures, j’ai découvert les richesses du latin »
“ Tout cela est écœurant ” Agrégé de Lettres classiques, il a débuté sa carrière en 1990 au lycée Jean-Macé de Niort. « J’ai pris ce poste tout en habitant à Poitiers parce que je voulais enseigner les langues anciennes. » Depuis trois ans, il est de retour au bercail au lycée Victor-Hugo où le futur docteur es-grec distille sa science hellénique à une poignée d’élèves de première et de terminale. La réforme du Bac l’inquiète, Cédric Germain ne veut pas y perdre son latin.
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