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Référence: sur les traces de Moloch

Jean-Claude JAYET bouleverse dans l’écriture de cette histoire fantastique peu banale, souvent drôle, les codes d’écriture de la fiction en combinant des personnages charismatiques imaginaires ou ayant existé,...
Référence: Les dernières prédictions de Nostradamus

Jean-Claude JAYET bouleverse dans l’écriture de cette histoire fantastique peu banale, souvent drôle, les codes d’écriture de la fiction en combinant des personnages charismatiques imaginaires ou ayant existé,...
Référence: Les mémoires de Félicien

Jean-Claude JAYET bouleverse dans l’écriture de cette histoire fantastique peu banale, souvent drôle, les codes d’écriture de la fiction en combinant des personnages charismatiques imaginaires ou ayant existé,...


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3) Les dernières prédictions de Nostradamus
Autre roman : Les mémoires de Félicien Agent 066
"Pour vous Jean Claude je vous souhaite la réussite que mérite votre réel talent d’écrivain.
À la relecture, en cours, du dernier tome j’estime que votre littérature est certes de la fiction fantastique, mais est bien davantage « de la fiction fantastique ++++ » enrichie d’humour, de dérision de notre société de l’exercice de pouvoir et de l’argent facile pour certains qui altèrent les comportements de l’homme et au-delà affectent gravement la santé de notre belle planète bleue. C’est notamment bien imaginé de s’exiler sur une autre aussi belle planète peuplée d’êtres intelligents méconnaissant la cupidité pour notamment les y aider à se régénérer ! Prévenez-moi pour le prochain départ de votre fusée, comme cela nous voyagerons ensemble !"
*************************************
Enfin du sérieux pour une trilogie captivante dans le monde de la science fiction. Je n'en suis pas à mon premier livre sur le sujet mais la je dois dire qu'il y a de la recherche de l'esprit pour faire vivre aux lecteurs une aventure plus que fantastique, une odyssée unique en son genre. J'ai été captivé par ces trois ouvrages. Dès la fin du premier, j'ai pensé et cela se fera j'en suis sur que cette odyssée mérite qu'un réalisateur de film s'y intéresse. Bonne chance pour la suite.
Jc jayet avec BOB DECOSTER Editeur à BRAY DUNES.
Ingénieur ex fondateur et PDG de la S.A. Européenne d’Ingénierie Mécanique spécialisée en recherche industrielle dans le domaine de l’hydromécanique maritime en mer profonde, structure aujourd’hui intégrée à la Société TECNIP d’origine française qui est un des leaders mondial de l’ingénierie en offshore parapétrolier opérant sur les 5 continents. Membre actif du Comité Scientifique et Technique Européen pour le développement de la Liaison Seine-Nord Europe à grand gabarit.
Je prends la liberté de vous contacter en votre qualité d’éditeur pour soutenir l’étonnant travail d’écriture de Monsieur Jean-Claude JAYET, que par ailleurs, en 2015, je ne connaissais que de vue, avant la découverte de son premier livre :’L’Odyssée fantastique des frères Hooneker tome 1 : ‘Sur les traces du Diable’’, anciennement dénommé : ‘Le Mystérieux passage de Noronha’, nous habitons la même commune.
Je n’ai pas de compétences avérées en matière de critique et d’analyse littéraire, sauf que j’aime lire, écrire et rédiger, jusqu’à ce jour, hormis de la littérature technique et scientifique que j’ai diffusé dans des cercles spécialisés en France et à l’étranger, principalement en Europe, (FRT 700 pages et très nombreux fascicules de cours et de conférences) je n’ai jamais écrit de livre de littérature, mais peut-être qu’un jour j’y penserai…
Concernant Monsieur Jean-Claude JAYET, le message que je voudrais vous faire passer est basé sur mon feeling profond et récurrent qui a clairement émergé dans mon esprit à la lecture de ses deux livres, surtout du second tome : ‘Á la recherche du Sceptre d’Or’, ressenti confirmé à chaque relecture de certains passages flamboyants :
Pour moi, un écrivain original autant que créatif est né, je ne saurais le classer à coup sûr tant sa versatilité est prenante et souvent érudite, certes le coté fantastique est là, mais pas que…
Il possède, à mon avis, le talent et la modestie qu’il faut pour arriver dans la lumière.
Ses ouvrages qui se voudraient être une littérature essentiellement fantastique, sont en réalité un mixte transgressif, mélangeant subtilement d’éminents personnages historiques et contemporains, d’évènements emblématiques adroitement choisis issus de toutes les époques, la politique la mythologique sont aussi de la partie, étonnamment on se cultive aussi ! le regard de J-C Jayet est très ouvert sur le monde.
Les extravagances scientifiques que l’auteur manie d’une manière débridée sans retenue, mais toujours sans prétention, servent essentiellement à articuler et dérouler avec cohérence, logique et humour son histoire ultra-transgressive de notre humanité, elle, bien terrestre !
On en ressort un peu changé sur l’idée qu’on peut avoir des origines du bien et du mal qui s’affrontent constamment en chacun de nous !
Peut-être, mais pas sûr, la seule problématique, mineure à mon avis, de cette histoire très documentée, très riche en évènements, très peuplée par de nombreux personnages originaux souvent dotés de personnalité attachante, est de rentrer dans son histoire, c’est souvent, je crois, le cas de beaucoup d’œuvres littéraires de qualité, alors après une cinquantaine de pages la récompense est au rendez-vous, on ne peut plus lâcher ses livres…
Il serait très dommage que le monde de l’édition se prive de cette littérature que je crois assez nouvelle, très originale et enrichissante.
Je vous prie de croire, chère Madame en l’expression de ma considération distinguée.
INTERVIEW DE JEAN-CLAUDE JAYET par Noëlle Arnoult
Noëlle : Bonjour, Cher Jean-Claude, je te reçois avec plaisir dans nos locaux, d’HLC Revue, et Bibliotheca Universalis, Collection de livres culturels mutilingues, toutes choses fondées par Daniel Dragomirescu, que je représente ici et qui s’estime de grand honneur de te connaître, par mon intermédiaire.
Jean-Claude : Merci Noëlle pour ton implication à m’avoir fait connaitre cette enrichissante revue internationale créée à l’initiative de Monsieur Daniel DRAGOMIRESCU que je salue de ma région de France, proche du château de Versailles. N. : Tu apportes chez nous un souffle différent, pour le moins venu d’ailleurs, qui manquait sans doute à nos investigations littéraires : le roman que l’on dit souvent d’épopée ou « fantastique », de science-fiction, imaginatif purement ; on parle aussi de l’Odyssée des Frères Hooneker, comme d’un « Space Opéra « , terme à la mode, mais il est vrai que cette Trilogie s’avère totalement « space » et même assez déjantée, ont estimé certains ! Qu’as-tu à nous déclarer à ce sujet et comment t’est venu l’idée ou les idées, plutôt, car très foisonnantes, de ce sujet de trilogie ? Le plan en était-il marqué dans ton esprit bien à l’avance, ou bien as-tu découvert, au fur-et-à-mesure que tu avançais dans ton œuvre, qu’un tome ne suffisait pas et qu’il en fallait bien trois, pour mener à bout ce grand Souffle imaginatif!...
J-C. : Parmi les auteurs interviewés sur les médias, de nombreux expliquent souvent, que leurs histoires se trouvent planifiées avec des trames bien précises. Me concernant, l’idée du BON et du MAL, thème souvent traité, me taraudait, en fait, depuis mon enfance. À tout dire, Inconsciemment, le côté injuste des choses, comme beaucoup d’entre nous d’ailleurs, m’insupportait. La mort d’un enfant, les maladies, la pauvreté, les guerres, la liste est longue, unfortunately. En fait, chère Noëlle, comme tu me le demandes, mon plan était déjà là, bien présent. Il me suffisait d’attendre le moment favorable pour le remplissage des pages blanches de cette future Odyssée. Entre nous, n’y avait-il pas tant à raconter, à retranscrire… ? Sauver l’humanité sur le papier ! te rends tu comptes Noëlle, de la tâche m’incombant ? Prenant, cependant cela avec tranquillité et avec l’humour s’imposant bien évidemment, je me suis mis à ma table de travail (un clavier ordi) un jour d’orage avec la crainte, cependant de ne pas aller plus loin, que la mouche sur mon écran, battant des ailes en me faisant les gros yeux pour ne pas l’écraser avec mon chausson. Un 1er signe, peut être de l’au-dessus ou de l’au-delà ? Je la chassais donc sans autre forme de procès. Confiance, il le fallait…Après tout, l’essentiel, pour moi, enfin, (et pour la destinée de l’humanité ?) n’était-il pas en train de se faire ? La fameuse mouche, prise en photo ce glorieux jour d’orage… Et mes héros, là bien nichés au sein de mes synapses, allaient-t-ils se piquer au jeu ? Il n’y avait pas eu de plans, non plus, pour eux, enracinés, il me suffisait, juste désormais de leur donner la vie…avec l’idée de caricaturer les perversités des plus Méchants, accentuant cependant, le côté chevaleresque des Gentils, avec toujours comme toile de fond le respect de mes principes de fonctionnement de vie à savoir : Raillerie, plaisanterie, fantaisie, esprit, gaieté, verve, légèreté, malice, le tout imprégné de touche d’humour noir, aussi, cela va s’en dire…Voilà, en fait le scénario de ce Space-Opéra déjanté, dans ses grandes lignes que je souhaitais. », « Grand souffle imaginatif différent ! », me dis tu? Merci pour cette analyse qui me touche énormément, en toute simplicité, aux lecteurs maintenant de confirmer…
Avec Emanuelle Seigner, 2010, Studio Europe 
N. : Pour situer cette Trilogie, nous nous apercevons qu’elle contient tout d’abord beaucoup de dérision et d’humour. J’ai l’impression que tu as du bien t’amuser toi même en rédigeant de nombreux passages. Je citerais par exemple celui-ci : (Extrait du Tome 2, A la Recherche du sceptre d’Or ) « Moi, Sainte Zarah, dite « La Vierge noire », fille de Pobréas et du peuple Gitanos, reconnaît avoir… menti, ce carnet contient sur une page, ma confession, et, sur une autre page, mes trois versets pour mes compatriotes. Voilà mon histoire : - « « Adolescente, j’ai joué à la sainte Noire, alors que je suis blanche, en disant que j’avais rencontré Dieu ici, sur Pobréas, et que j’avais vu la Vierge blanche, une nommée Marie sur un monticule de minerai de ferraille (…) » Plus loin : - «Le verset 3 était : Faites l’amour à profusion! (…) Personnellement, j’ai croqué la pomme avec le prophète Adam ; j’ai aimé et j’ai recommencé mille fois, cent mille fois à profusion jusqu’à mon dernier souffle ! ».
N.: Alors, Jean-Claude, d’où te viennent ces folles digressions ?
J-C. : Ta question Chère Noëlle, comme les précédentes d’ailleurs, est fort intéressante. Je pense, sans autres explications rationnelles, que comme Monsieur Jourdain avec la prose, elles sont, ancrées au plus profond de mon être. Mon côté exagéré habituel d’analyser des situations ambigües, voire grotesques, m’ont amené à amplifier, à caricaturer des scènes, pour le plaisir inestimable de m’amuser, seul, devant ma page noircie, m’imaginant, avec ravissement, qu’il en sera de même pour mon lecteur. Après tout, Chère Noëlle, l’écriture, n’est-elle pas faite pour en premier se faire plaisir et peut-être comme affirmait Bataille : « j’écris pour ne pas être fou ».*** (***Georges Bataille, Le Bleu du ciel, Édition 10- 18, quatrième de couverture)
N. : En fait, j’ai l’impression que ces romans d’apparence extravagants et follement fantaisistes, te permettent aussi de régler tes comptes avec une certaine bienséance, mais plus particulièrement religieuse. Pourtant, il me semblait que tu m’avais dit, lors d’une discussion préalable, qu’il te paraissait que quelque chose ou quelqu’un, peut être Dieu, ou » une certaine idée de Dieu, en plus de « l’effronterie » relevée, et manifeste, te guidait dans la rédaction de tes trois ouvrages et, oui, effectivement, on peut observer dans sa rédaction, un sacré souffle !…
N.: Autrement dit, pour en témoigner à nos lecteurs, voici quelques-unes de tes phrases fétiches, du reste en exergue du Tome 2 de ta Trilogie, « A la recherche du Sceptre d’Or » , où tu cites Charb : « Bientôt deux mille ans que Jésus est parti, et toujours pas de carte postale », ainsi que toi-même : « Mon incroyance ne tuera jamais personne » … ! Cependant, pourrais-tu croire, à une idée de prédestination ou de vocation tout au moins, concernant la sphère de l’écriture ?
Jean D’Ormesson, Salon du Livre, Paris, 2017 J-C. :
En fait, chère Noëlle, je pense être dans le respect de toutes les bienséances, point trop n’en faut cependant, face à certains prêcheurs religieux, ou pas, se pensant détenteurs de vérité recherchant, à tous coups et d’une façon perfide à s’accaparer des âmes, toutes sans exception… La liberté et le respect du sacré : oui ! Sans annihiler pour autant, celle des hommes et des femmes à se conduire selon leurs propres envies. Objectif non négociable, dans le pays de France des libertés et de la laïcité, qui nous a vus naître, ainsi que tant d’autres dans notre passé d’une civilisation millénaire et, dans l’abject, conservons les images sacrées de nos amis**, de Charlie Hebdo, ivres de cette liberté, interdite, par l’obscurantisme. (****Charb, Cabu, Wolinski, Tignous, Bernard Mari) Mon Dieu, faites de nouveau rire les hommes et sortir de l’ombre et la tristesse les femmes cachées… » Quant à l’idée de prédestination, Je pourrais répondre pour me faciliter la tâche : « Peut-être que oui, peut-être que non. », à la façon des Normands, j’ajouterais cependant : « Que dans les brumes naissantes et la solitude de l’écriture, qu’ils étaient là, mes chers, à m’encourager, guidant mes textes. « Tu vois la porte s’entrouvre...»
N.: As-tu pu comptabiliser le nombre faramineux de tous les intervenants de ce groupe de romans, qui apparaissent d’un foisonnement Orizont literar contemporan, nr. 3 (89) / 2022 3 extraordinaire, et concrètement, peux-tu nous partager tes méthodes de travail, aussi bien pour ne pas se perdre dans le méandres des personnages, comme dans le méandre des lieux et des temps, des espaces, oserais-je dire ? As-tu des méthodes rigoureuses, pour une élaboration de si grande envergure, soit de bien plus de mille pages au total ? Et écrire te prend-il beaucoup de temps ?
J.C. : Pour connaître les lieux et personnages , il convient de se rendre dans le tome 3 de la trilogie : Les dernières prédictions de Nostradamus page 10,11 et 12. Par ailleurs, comme je te disais précédemment, aucune méthode. Ma seule règle : obtempérer à My Brain, lors de ses appels, souvent matinaux. Et cette, en premier, envie folle d’obtempérer au plus vite de peur de l’oubli, secondement, parce que, tant qu’il vit, je vis…et comme j’aime…la vie…. Quant à savoir si écrire me prend beaucoup de temps, je répondrais : entre 1 année et