Cette femme mérite une récompense

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Cette femme mérite une récompense

13 novembre 2017 13 novembre 2017 Lola Sudreau

4 avril 2017 4 avril 2017 Rédaction

10 mai 2019 10 mai 2019 Lola Sudreau

La Charité : bonne con...nce des dominants

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Le 22 février a eu lieu la 44ème cérémonie des César qui récompense le cinéma français. En dehors des récompenses nécessairement féminines, presqu’aucune statuette n’a été attribué à une femme. J’en ai pourtant trouvé qui en méritait une.
Dès l’annonce des nominations, on a pu constater un grand manque de réalisatrices dans la sélection. Jeanne Herry pour film Pupille était alors la seule réalisatrice obtenant des nominations pour les deux grandes catégories majeures : meilleur film et meilleur réalisation. A l’annonce des résultats, un constat frappant, aucune réalisatrice n’a remporté de César. Exception à Anaïs Bescond qui obtient le César de la meilleure adaptation pour Les Chatouilles , mais il s’agissait d’une co-réalisation et d’une co-écriture avec un homme.
De même dans les César techniques, très peu de femmes ont été récompensé, seule Brigitte Taillandier et Valérie de Loof ont obtenu le César du meilleur son pour Les Frères Sisters de Jacques Audiard, mais la aussi, elles étaient accompagnée d’un homme Cyril Holtz. Ainsi, aucun César, hormis les prix d’interprétations n’a été remis à une femmes seule.
Pourtant, le sujet des violences faites aux femmes mais aussi aux enfants a été mis à l’honneur lors de cette cérémonie avec la récompense de Jusqu’à la garde de Xavier Legrand comme pour le meilleur film mais aussi Les Chatouilles d’Andréa Bescond et Eric Métayer sur la pédocriminalité (meilleure adaptation) et Vilaine Fille d’Ayce Kartal sur le même sujet (meilleur court-métrage d’animation).
Face à ce manque cruel de reconnaissance des femmes qui font le cinéma, voici mon contre palmarès féminin des César 2019.
Claire Denis pour High Life ou Eva Husson pour Les filles du soleil
Un amour impossible de Catherine Corsini
Les chatouilles d’Andréa Bescond et Eric Métayer ou La fête est finie de Marie Garel Weiss
Brigitte Taillandier, Valérie de Loof et Cyril Holtz pour Les Frères Sisters
Morgan Kibby pour Les Filles du soleil
Nathalie Durand pour Jusqu’à la garde
Dans cette catégorie, parmi les films qu’on aurait aimé voir récompensé, aucun décor n’a été réalisé par une femme.
Jeune femme est le premier film de Léonor Séraille. Présenté à Cannes dans la section “Un certain regard”, Jeune femme a obtenu la caméra d’or (prix récompensant le meilleur premier film). Ce film est le travail de fin d’étude de Léonor Séraille, diplômée de la Fémis (École nationale supérieure des métiers de l’image et du […]
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La charité est une des œuvres les plus nobles et les plus méritoires. Allah, exalté soit-Il, incite à cette pratique dans son Noble Livre en disant (sens du verset) :
• « Les hommes et les femmes qui font don d’aumônes, et qui ont consenti à Allah un prêt de bonne volonté, seront remboursés au centuple, et ils auront rémunération généreuse. » (Coran 57/18)
• « Quiconque accorde à Allah un prêt de bonne volonté, se verra remboursé au centuple, et il aura rémunération généreuse . » (Coran 57/11)
Étant donné que les bienfaits de la charité sont immenses, le Prophète ( ) a – dans de nombreux passages de sa Sunna – incité à la pratiquer et a mentionné que la charité ne diminue jamais le patrimoine de quelqu’un, mais qu’au contraire, elle l’augmente, en vertu du hadith :
« L’aumône ne diminue en rien les biens de celui qui la fait, mais elle les augmente, mais elle les augmente, mais elle les augmente. »
Lorsqu'on fait la charité pendant le mois de Ramadan on bénéficie, outre le mérite de cet acte vertueux, du caractère éminent et majestueux du mois sacré. Car il est bien connu que les œuvres pies effectuées pendant le mois de Ramadan se distinguent de celles pratiquées le reste de l’année.
D'éminents oulémas ont parlé du mérite de la charité pendant le mois de Ramadan et la raison pour laquelle les gens y rivalisent de générosité plus que le reste de l’année, en incitant leurs frères musulmans à cette pratique pendant ce noble mois. Ils ont expliqué les bénéfices de la charité de manière générale et pendant le mois du jeûne en particulier.
La grande récompense :
Allah, exalté soit-Il, nous enjoint d’aider les pauvres et les indigents et octroie la plus grande récompense à ceux qui auront fait l’aumône, Il dit notamment (sens du verset) :
« Et sur les biens desquels il y a un droit bien déterminé pour le mendiant et le déshérité. » (Coran 70/24-25).
En outre, Allah, exalté soit-Il, a mentionné la grande récompense octroyée en compensation de cette bienfaisance (sens du verset) :
« Et dépensez de ce dont Il vous a donné la lieutenance. Ceux d'entre vous qui croient et dépensent [pour la cause d'Allah] auront une grande recompense. » (Coran 57/7).
De son côté, le Messager d’Allah ( ) a incité à faire l'aumône dans de nombreux hadiths tels que le hadith authentique suivant : « Mettez-vous à l'abri de l'Enfer, ne serait-ce qu'en faisant l'aumône d'une moitié de datte. » Dans un autre hadith, le Prophète ( ) nous a informés qu’Allah, exalté soit-Il, recueillait l'aumône de ceux qui la pratiquent de Sa Main droite (TSNA) et qu’Il la faisait fructifier jusqu’à ce qu'elle devienne aussi grande qu’une montagne.
Le mérite et la récompense de l'aumône augmentent si elle est faite pendant une saison noble qui se distingue des autres moments par ses vertus. Or le mois de Ramadan est précisément l'une de ces illustres saisons au cours desquelles le musulman devrait autant que possible chercher à dépenser dans les voies de la bienfaisance et dans les œuvres charitables, marchant ainsi sur les pas du Messager d’Allah, . En effet, le Prophète ( ) dépensait plus pendant le mois de Ramadan, que durant le reste de l’année. Il est rapporté authentiquement que :
« Le Messager d’Allah ( ) était le plus généreux des hommes et il était particulièrement généreux pendant le mois de Ramadan, quand Djibrîl venait lui enseigner le Coran. Il devenait alors plus généreux que le vent qui souffle. » (Boukhari, Mouslim)
Ce hadith prouve le mérite de la charité pendant le mois de Ramadan en particulier. Le plus grand devoir de charité qui incombe à l’homme est celui de la Zakât obligatoire. Le musulman doit y accorder la plus grande attention. En effet, il doit s’acquitter de ses obligations avec diligence et ne jamais les atermoyer. Le Prophète ( ) a dit dans un hadith quodsi authentique qu’Allah a dit :
« Jamais Mon adorateur ne se rapprochera de Moi par une œuvre plus aimée de Moi que par l’accomplissement des obligations que Je lui ai imposées. Mon adorateur ne cesse de se rapprocher de Moi par les actes surérogatoires jusqu’à ce que Je l’aime. »
Par conséquent, lorsque vient le moment de s’acquitter de la Zakât, le propriétaire des biens astreints à cet impôt rituel doit la payer et s’enquérir de ceux qui méritent de la recevoir. Si le moment de s’acquitter de la Zakât coïncide avec le mois de Ramadan, ou si l’on désire la payer à l’avance, le Ramadan est le bon moment pour celui qui désire s’acquitter de la Zakât durant une saison noble et éminente.
Cependant, il faut savoir que le musulman n’a pas le droit de retarder la Zakât pour s’en acquitter pendant une saison éminente. Par exemple si un musulman doit payer la Zakât pendant le mois de Cha`bân, ou de Radjab et qu’il l’a retarde pour s’en acquitter au mois de Ramadan, sous prétexte de vouloir s’attirer les bienfaits de ce mois et d’augmenter sa récompense, ceci contrevient aux injonctions d’Allah, exalté soit-Il, qui appelle à s’acquitter rapidement de la Zakât et à la donner à ses bénéficiaires légitimes. En effet, retarder ce paiement causerait un préjudice aux pauvres et aux indigents, car les besoins du pauvre ne tolèrent aucun délai. De ce fait, le musulman doit obligatoirement s’acquitter de la Zakât le plus vite possible sans atermoyer, tout comme il doit – surtout lorsqu’il s’agit de la Zakât – faire l’effort de rechercher ses ayant-droits et ne la donner à personne d’autre.
Une saison majestueuse
La charité pendant le mois de Ramadan est soixante-dix fois plus méritoire que le reste de l’année, comme l’a dit le Prophète ( ) dans le hadith rapporté entre autres par al-Barâ’. Ainsi, la récompense de la charité pendant le mois de Ramadan est multipliée. D’ailleurs la récompense des œuvres pieuses en générale est susceptible d’être multipliée par Allah, exalté soit-Il. La charité en est une parmi d’autres et les gens cherchent particulièrement à faire la charité pendant ce mois béni, en vertu du hadith :
« Celui qui fait quelque bien dans ce mois aura la même récompense que celui qui accomplit un devoir obligatoire en dehors de ce mois ; et celui qui s’acquitte d’un devoir obligatoire pendant ce mois est comparable à celui qui accomplit 70 fois le même devoir obligatoire durant un tout autre mois ! »
Ce hadith prouve le grand mérite de ce mois. Dans un autre hadith le Prophète ( ) est décrit comme suit : « Il était plus généreux que le vent qui souffle et il était particulièrement généreux pendant le mois de Ramadan. » (Boukhari) Ce hadith montre que la récompense de l'aumône pendant le mois de Ramadan est énorme et multipliée, et que son mérite est grand en raison du caractère majestueux et important de ce mois et parce que le Prophète ( ) nous a incités à la donner, ce qui veut dire qu’elle contient énormément de bien. C’est pourquoi, le Prophète ( ) a dit :
« Celui qui donne au jeûneur de quoi rompre son jeûne aura la même récompense que lui sans pour autant que cela ne diminue en rien la récompense du jeûneur. – ‘Ô Messager d’Allah’, dirent les Compagnons, ‘nous ne trouvons pas nécessairement quelque chose à donner au jeûneur afin qu’il rompe son jeûne.
– ‘ Allah accorde cette récompense à celui qui donne au jeûneur une gorgée de lait coupée d’eau afin qu’il rompe son jeûne, ’ répondit-il. »
Ce hadith prouve le mérite de la charité sous toutes ses formes. Ceux qui font la charité pendant le mois de Ramadan avec assiduité marchent sur les pas du Prophète ( ) et ont compris le mérite d’une telle œuvre. Toutefois, nous attirons l’attention de nos frères sur le fait qu’il est interdit à celui qui doit s’acquitter de la Zakât, à une échéance antérieure au mois de Ramadan, de la retarder jusqu’au mois de Ramadan, dans le but d’obtenir la récompense liée à ce mois. Ceci constitue une injustice envers sa propre personne. Cette personne est dans l’obligation de payer sa Zakât le jour de l'échéance, et si celle-ci tombe avant le mois de Ramadan, il ne peut pas la retarder jusqu’au Ramadan. En revanche si l’échéance de la Zakât arrive après le mois de Ramadan, et qu'il veuille la payer pendant ce mois, il peut le faire et il y a en cela un bien pour lui si Allah le veut.
Les formes d’adoration :
Allah, exalté soit-Il, ordonne et encourage l'aumône. Cette dernière se divise en aumône obligatoire, il s’agit de la Zakât, l'un des piliers de l’Islam à laquelle sont astreints tous ceux dont l’argent a atteint le minimum imposable et qui réunissent ses conditions. Celui qui refuse de s’en acquitter, abandonne un pilier important de l'Islam et se trouve dans une position critique, en vertu du verset (sens du verset) :
« Ô vous qui croyez! Beaucoup de rabbins et de moines dévorent, les biens des gens illégalement et [leur] obstruent le sentier d'Allah. A ceux qui thésaurisent l'or et l'argent et ne les dépensent pas dans le sentier d'Allah, annonce un châtiment douloureux. » (Coran 9/34-35)
Le Prophète ( ) a dit :
« Tout propriétaire de chameaux ou de moutons ne s’acquittant pas de la Zakât, verra ses bêtes, plus grosses que ce qu'elles étaient, lui donner des coups de cornes et le piétiner avec leurs sabots .»
Il est donc impératif pour chaque musulman de s’acquitter de ses devoirs financiers envers Allah, exalté soit-Il, et de payer la Zakât. Il doit de même se rapprocher d’Allah, exalté soit-Il, par le biais des aumônes recommandées qui représentent le deuxième type d’aumônes. Allah, exalté soit-Il, dit (sens des versets) :
• « Ô les croyants! Dépensez de ce que Nous vous avons attribute » (Coran 2/254).
• « Ô les croyants! Dépensez des meilleures choses que vous avez gagnées et des récoltes que Nous avons fait sortir de la terre pour vous. » (Coran 2/267)
Allah, exalté soit-Il, a même décrit Ses serviteurs qui dépensent nuit et jour, en secret et ouvertement, et à qui Il a accordé une énorme récompense, en disant qu’ils n’ont rien à craindre et qu’ils ne connaîtront pas la tristesse (sens des versets) :
• « Ceux qui, de nuit et de jour, en secret et ouvertement, dépensent leurs biens (dans les bonnes œuvres), ont leur salaire auprès de leur Seigneur. Ils n’ont rien à craindre et ils ne seront point affligés. » (Coran 2/274)
• « Et toute dépense que vous faites dans le bien, Il la remplace, et c’est Lui le Meilleur des donateurs ». (Coran 34/39)
Ainsi, Allah, exalté soit-Il, remplace tout l’argent que l’on dépense. De son côté, le Prophète ( ) a déclaré : « L’aumône ne diminue en rien les biens de celui qui la fait mais elle les augmente, mais elle les augmente, mais elle les augmente. »
Allah, exalté soit-Il, récompensera dans l'au-delà ceux qui auront pratiqué l’aumône et les rétribuera de la manière la plus généreuse et la plus complète, et ce bas-monde en bénissant leurs biens et en les multipliant. Notre Prophète ( ) a mis en évidence les retombées louables et les gains importants récoltés par le donateur faisant la charité aux nécessiteux, si son intention est saine et si ces œuvres sont dédiées à Allah, exalté soit-Il, en disant :
« Nul ne donne une aumône à partir d’un bien licitement acquis – et Allah n'accepte que ce qui est licite –, ne serait-ce qu'une datte, sans qu'Allah ne la prenne de Sa Main droite ; puis elle se développe dans la Paume du Miséricordieux jusqu'à devenir plus grande qu’une montagne, comme lorsque l'un d'entre vous engraisse son poulain ou son chamelon. » (Mouslim et autres)
L’aumône, comme je l’ai mentionné, ne réduit pas le bien de celui qui la donne, mais elle l’augmente et le bénit. Elle ne diminue en rien les biens de celui qui la fait. Allah, exalté soit-Il, a dit (sens du verset) :
« Et tout ce que vous dépensez de vos biens dans les bonnes œuvres vous sera récompensé pleinement. Et vous ne serez pas lésés. » (Coran 2/272).
En outre, donner l'aumône est un acte encore plus noble et plus vertueux s'il survient à un moment et à un endroit vertueux. Et le mois de Ramadan est une période de l’année où il est souhaitable de faire l'aumône.
Celle-ci peut prendre plusieurs formes. On peut offrir au jeûneur de quoi rompre son jeûne, donner des vêtements à celui qui en a besoin, ou subvenir aux besoins d'un pauvre. D’ailleurs, lorsque l’on demanda au Prophète ( ) quelle aumône était la meilleure il répondit : « L’aumône faite durant le mois de Ramadan » (At-Tirmîdhi). Un autre hadith prouve le mérite de l’aumône faite pendant le mois de Ramadan, ainsi que des œuvres vertueuses que l’on peut faire durant ce mois, telles que l’aide apportée aux jeûneurs et aux personnes qui observent une retraite spirituelle, les repas de rupture du jeûne, la mise à disposition des facteurs de facilitation de la dévotion et du confort dans les mosquées ; on trouve dans le hadith authentique : « Celui qui donne au jeûneur de quoi rompre son jeûne aura la même récompense que lui. » Cela prouve le caractère illustre de ce mois béni.
En conséquence, tout croyant doit tirer profit de son temps, rivaliser de dévotion, se rapprocher d’Allah, exalté soit-Il, en pratiquant toutes sortes d’actes d’adoration, comme la prière, préserver son jeûne des futilités, de la grossièreté et faire la charité pendant ce majestueux mois de Ramadan. Celui qui fait cela, aura certes fait bon usage de son temps, et l’aura fait fructifier. Qu’il se réjouisse - si Allah le veut - de l’énorme rétribution accordée par le Généreux, le Miséricordieux.
Ainsi, chaque musulman et chaque musulmane doivent saisir l’opportunité que représente ce mois majestueux en multipliant les œuvres pies, et les actes de charité afin qu’il trouve une récompense multipliée le Jour de la Résurrection, le jour où il en aura le plus besoin. Puisse Allah, exalté soit-Il, nous guider vers le bien et la vertu. Cela est certes en Son Pouvoir.
Un rang éminent :
La charité est grandement récompensée et jouit d’un grand mérite. Il fait partie du bien dont Allah, exalté soit-Il, incite à faire preuve, dans le verset (sens du verset) :
• « Et tout ce que vous avancez de bien pour vous-mêmes, vous le retrouverez auprès d’Allah » (Coran 2/110).
Et cela fait partie des actes de bienfaisance qu’Il a ordonné d’accomplir :
• « Et faites le bien. Car Allah aime les bienfaisants. » (Coran 2/195)
Le méri
Elle sait se satisfaire toute seule
Vieux espionne les seins de la voisine
S'amuser sous la douche

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