Cette femme brune exhibe ses orifices

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Cette femme brune exhibe ses orifices
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Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.
           Mon prénom est Caroline. J'ai 24 ans, brune assez grande, mince, mignone. Mes cheveux m'arrivent à la taille, j'ai de petits seins très fermes, un derrière bien rond. Depuis trois ans, je suis l'assistante d'un médecin, je devrais plutôt dire l'esclave... À l’époque, je cherchais du travail, avec mon diplôme en poche et très peu d'expérience, à part quelques stages et un peu d'intérim. D'un naturel assez timide, sur le plan sexuel, je ne savais pas grand-chose non plus. Je me présentai donc après avoir lu une annonce. L'homme qui me reçut dans son cabinet était grand, bel homme, la cinquantaine bien conservée et me fit d'emblée une forte impression, malgré son air très froid. Il était spécialiste en gynécologie. Il était en blouse blanche, me fit entrer dans son cabinet, me fit asseoir dans un fauteuil assez bas devant son bureau où il prit place. Il examina mes références, m'expliqua ce qu'il attendait de moi. Tout en me parlant, il m'examinait de la tête aux pieds de façon insistante, finissant par me mettre mal à l'aise : par exemple, je tirais machinalement sur ma jupe un peu courte, que la position faisait remonter sur mes cuisses... Il m'expliqua aussi qu'il ne fallait pas s'attendre à des horaires de bureau dans ce métier, mais ça je le savais déjà. Il me posa aussi tout un tas de questions. J'acquiéssai à tout, voulant obtenir le poste qui présentait pas mal de contraintes mais aussi un très bon salaire. Au bout d'un entretien assez long, il me dit enfin :
- Eh bien, je pense que vous pourriez faire l'affaire après bien sûr une période d'essai. Il reste une formalité, la visite médicale d'embauche : j'ai besoin de pouvoir compter sur une fille en excellente santé, vous le comprenez. Pour gagner du temps et si vous êtes d'accord, je peux vous examiner tout de suite : pourquoi confier à un confrère ce que je peux très bien faire moi-même ?
           Je ne m'attendais certes pas à ça, mais après-tout cela paraissait logique... Je dus rougir et balbutiai, très génée, que j'étais d'accord. Il me demanda alors de me déshabiller, précisant :
- Mettez-vous en slip et soutien-gorge s'il vous plaît !
           Il n'y avait pas de paravent et bravement je me levai, retirai mes vêtements que je posai sur le fauteuil où j'étais assise l'instant d'avant. Il m'examina d'abord debout, palpant longuement mon dos, me faisant pencher en avant, avant de m'inviter à m'allonger sur une table d'examen. Il agissait de façon très professionnelle, avec beaucoup de compétence. Couchée sur le dos, il prit ma tension, m'ausculta les poumons au sthétoscope, devant et dans le dos, me palpa longuement le cou, le ventre, les jambes. Tout en m'auscultant attentivement, il me posait une foule de question sur mes antécédents médicaux. À un moment, il me fit frissonner en glissant ses doigts sous l'élastique de ma petite culotte pour me palper les aines. Il me fit aussi ouvrir grand la bouche pour examiner ma dentition. Puis il me demanda de retirer mon soutien-gorge et une fois rallongée, il palpa longuement mes petits seins, pinçant les tétons et les faisant durcir, me faisant un peu mal. Quand il me dit :
- Parfait, vous pouvez descendre de la table...
           J'en fus soulagée, pensant que l'examen était paintenant terminé, mais il ajouta aussitôt :
- ... je vais maintenant vous pratiquer un examen gynécologique : voulez-vous enlever votre culotte et monter sur cette table ?
           Là, c'était trop ! Je n'étais pas sûre que ce genre d'examen entrât dans la visite médicale d'embauche. J'hésitai un moment, osai même demander timidement :
- Est-ce vraiment necessaire, Docteur ?
- C'est mieux, en effet : pour le reste, vous me paraissez en pleine forme, et je voudrais simplement m'assurer que tout va bien aussi de ce côté-là.
           Pourquoi continuer à discuter ? Il fallait y passer, et j'en étais malade de honte. Outre ma pudeur malmenée, je m'interrogeai mentalement sur ma propreté intime, si ma toison était bien taillée... Questions idiotes au demeurant : je me savais impeccable de ce côté, comme d'habitude... 
           Morte de honte, je quittai donc mon slip et grinpai toute nue sur la table. Il m'aida gentiment à mettre mes pieds dans les étriers et je me retrouvai les cuisses écartées devant lui,
exhibant bien malgré moi, les parties les plus intimes de mon corps...
           Évidemment, ce n'étais pas la première fois que je me trouvais dans cette posture humiliante, qui m'a toujours génée, encore aujourd'hui où j'ai acquis pas mal d'expéricnce. Je prenais la pillule, et plusieurs fois déjà j'avais consulté une gynécologue pour un examen rapide : toucher vaginal, spéculum, le tout en quelques minutes. Mais ce jour-là ce fut vraiment autre chose !            
           Il braqua une puissante lampe sur mon entrejambe exposé et prit tout son temps pour enfiler une paire de gants en latex.
Assis sur un tabouret entre mes cuisses, il m'examina longuement, minutieusement, tirant sur mes lèvres intimes pour ouvrir mon sexe, introduisant ses doigts profondément dans mon vagin, puis mettant en place un spéculum au contact métallique et froid, qu'il ouvrit largement, me faisant un peu mal.
           À un moment le téléphone sonna et il alla répondre, prenant tout son temps. Tout ce temps, je restai écartelée sur la table, le spéculum m'ouvrant le vagin en grand, n'osant bouger. Enfin, il revint me le retirer pour le remplacer par ses doigts : il en enfonça deux profondément entre mes cuisses, explorant l'intérieur de mon vagin. Il les bougeait doucement, les faisait aller-et-venir en moi.
           Je n'étais nullement idiote et je savais bien qu'il sortait là délibérément du domaine médical par cette espèce de masturbation insidieuse, mais je n'osai le remettre vertement à
sa place, et en plus, ses manoeuvres vicieuses étaient loin de me laisser indifférente ! Je me mis à mouiller en abondance, malgré ma honte, et il ne pouvait pas l'ignorer !
           J'essayai de penser à autre chose, de résister au plaisir que je semtais monter dans mon ventre, mais il insistait lourdement, encouragé par ma passivité et mon excitation croissante. De toute façon, il était trop tard pour résister !
Son pouce se posa tout naturellement sur mon clitoris qu'il se mit à frotter, alors qu'il me baisait littézralement avec ses deux doigts accolés. Mon orgasme fut comme une explosion et je ne pus me retenir de gémir. Il fit mine de ne s'être aperçu de rien et ne fit aucun commentaire mais je vis une lueur de triomphe passer dans son regard. Il retira ses doigts de ma chatte et me demanda de me prosterner sur la table pour examiner mon anus. Là aussi, il prit tout son temps, m'écartant les fesses, regardant longuement mon petit trou plissé, puis y introduisit un doigt de toute sa longueur, me fouillant lentement, le faisant tourner, aller et venir, etc... J'étais morte de honte, d'autant qu'il continuait à me poser des questions, comme il le faisait depuis le début de l'examen de mon intimité, sur ma vie sexuelle, de plus en plus intimes. Je n'osais pas me rebeller et lui avouais ainsi que je n'avais jusqu'ici connu que deux ou trois garçons de mon âge, et aussi que je n'avais jamais été sodomisée...
           Il finit par retirer son doigt de mon anus, me donna une petite claque sur les fesses et me dit de me rhabiller, ce que je fis maladroitement et à toute vitesse, enfilant culotte, soutien-gorge, collant, chemisier, jupe. Je me retrouvai assise face à lui, horriblement génée : je devais être rouge comme une pivoine. Il m'obseva un moment en silence avant de reprendre la parole :
           - Bon, je pense qu'on peut partir sur un mois d'essai. Autre chose : je suis assez exigeant, en particulier sur nos futurs rapports hiérarchiques. Ainsi je te tutoierai, et toi tu me diras "vous" et m'appellera Docteur. On est bien d'accord là-dessus ?
           J'étais folle de honte et de rage, mais je répondis :
           - Oui, Docteur...
           - Pendant le travail, cheveux attachés, dessous blancs sous la blouse, une hygiène impeccable. Tu m'as dit que tu habitais chez tes parents : si nous nous entendons, au bout de ton mois d'essai je mettrai un confortable studio entièrement meublé à ta disposition, te donnant ainsi ton indépendance. Le studio est situé dans l'immeuble, tu n'auras ainsi pas de trajets fastidieux à accomplir. Cela te convient ?
           - Je... oui Docteur, merci...
           J'étais subjuguée, disant oui à tout, fascinée par la prestance de mon futur patron. Il me montra le cabinet, vaste et bien équipé, ainsi que mon bureau.
           Avant de me congédier en me donnant rendez-vous pour le lundi suivant à 9h précises, il nota toutes mes mensurations : tour de poitrine, de taille, de hanches, pointure exacte, etc, m'expliquant :
           - C'est pour préparer ta tenue de travail...
           J'étais assez partagée entre l'humiliation subie et le plaisir de peut-être avoir trouvé un boulot et j'annonçai joyeusement à mes parents que j'étais engagée à l'essai, passant évidemment sous silence l'examen humiliant que j'avais dû subir... et le plaisir que j'avais ressenti malgré ma honte. Car il m'avait faite jouir, malgré moi, et sans doute de la façon la
plus instense que j'ai jamais éprouvé jusqu'ici ! En y repensant, le soir dans mon lit, je ne pus m'empêcher, malgré ma honte, de me masturber deux fois de suite...
           Le lundi suivant, je me présentai pile à l'heure. Il me reçut aimablement, un peu froidement, me conduisit dans mon bureau ou il me laissa seule en me disant :
           - Range tous tes vêtements dans ton vestiaire et enfile ceux-ci à la place. Dès que tu est prête, viens me rejoindre.
           Des dessous étaient posés sur une blouse blanche et je compris que je devais me mettre nue pour enfiler tout celà. Il y avait un joli soutien-gorge en dentelle, le petit slip assorti, ainsi qu'un porte-jarretelles et une paire de bas, le tout d'une blancheur neigeuse. Je me déshabillai donc entièrement pour les passer, non sans quelques difficultés avec le porte-jarretelle et les bas, moi qui jusqu'ici n'avais connu que les collants ! Je me sentais un peu déguisée, mais l'ensemble m'allait plutôt bien, y compris les chaussures blanches également, escarpins à talon de hauteur modérée. La blouse s'arrêtait juste au-dessus du genou.
           Je le rejoignis dans son bureau et il m'expliqua rapidement le travail, la première patiente arrivant à 9 h 30. A un moment, il me souleva le menton avec son index pour m'obliger à le regarder droit dans les yeux et me dit en souriant :
           - Et attention, petite fille : à la moindre faute, c'est la fessée assurée !
           Je ne dis rien, pas vraiment sûre qu'il plaisantait. La matinée s'écoula sans incident notable. Je faisais de mon mieux bien sûr. Le maniement de l'ordinateur ne me posait aucun problème particulier. Je faisais tout le travail de secrétariat :
Accueil des clientes, saisie du dossier des nouvelles, encaissement des honoraires, répondre au téléphone, prendre les rendez-vous, ouvrir la porte. Avant l'examen, je faisais entrer la femme dans une cabine de déshabillage et lui demandais de retirer soutien-gorge, slip, gaine, collant avant de la conduire dans le cabinet du médecin.
           J'assistais aussi à quelques examens, un peu génée quand même de voir ces femmes les cuisses écartées, les pieds dans les étriers de la table, subir toucher vaginal et rectal et l'introduction du spéculum. Je devais également laver les instruments qu'il employait, et là aussi ça me faisait tout drôle de les manipuler alors qu'ils sortaient tous chauds et humides du
vagin de la patiente.
           Il avait une très importante clientèle et le boulot ne manquait pas : une douzaine de femmes et jeunes filles se succédèrent dans la matiné. Celà allait de la très jeune adolescente de 12 ou 13 ans, amenée par sa mère à l'occasion de ses premières règles, à la femme mûre de plus de cinquante ans.
           Il m'emmena déjeûner dans un petit bistrot du quartier et tout en mangeant me prodigua d'autres conseils. Il se fendit même d'demi-compliment, daignant reconnaître que "je ne m'en tirais pas trop mal..."
           Dès notre retour au cabinet, alors qu'il restait une demie-heure avant le prochain rendez-vous, il me dit tranquillement :
           - L'autre jour, en t'examinant, j'ai remarqué un petit truc que j'aimerais bien vérifier. Retire ta jupe et ta petite culotte et monte sur la table d'examen !
           J'étais complètement affolée, me refusant intérieurement de céder à sa demande, pretestant même :
           - Oh non, docteur, je vous en prie, ne me demandez pas ça...
           Il ne dit rien, se contentant de me fixer de son regard froid, et, telle le lapin fasciné par le serpent qui va l'avaler, je craquais, je cédais... Les larmes aux yeux, j'enlevais ma jupe et mon slip et pris la pose humiliante qu'il m'avait demandée !
J'étais aussi très lucide, me reprochant intérieurement de me soumettre aussi facilement. Par exemple, j'avais noté qu'il ne m'avait pas demandé d'enlever mon collant : le salaud était vraiment très sûr de lui, persuadé que je lui avais obéi en mettant des bas. Cette fois, il ne mit pas de gants et se mit à explorer soigneusemeent tout mon entrecuisse dévoilé, du clitoris à l'anus, me caressant, écartant mes lèvres, me pénétrant doucement la fente. En quelques secondes, il réussit à me mettre dans tous mes états, à me faire complètement perdre les pédales.
           J'étais domptée, ne feignant même plus, ondulant du bassin sous ses savantes caresses. Régulièrement, il me damandait :
           - Avoue que tu aimes ce que je suis en train de te faire !
           - Non... non...
           Alors, il arrétait de me branler, me frustrant au maximum en laissant mon plaisir en suspens, et de moi-même j'allais au-devant de sa main habile, m'écartelant davantage, poussant mon pubis vers lui... Là aussi il réussit avec maestria à démolir mes ultimes défenses et j'entendis une seconde moi-même murmurer :
           - Oh... oui... encore... n'arrêtez pas... s'il vous plaît...
           Mais ça ne lui suffisait encore pas ! Il me demanda :
           - Veux-tu que je te baise ?
           - Oui, oui...
           - Alors demande-le moi poliment !
           - Oui, Docteur, baisez-moi...
           - Mieux que ça !
           - Je vous en supplie, venez en moi, s'il vous plaît, enfoncez-vous entre mes cuisses...
           - Alors, tu es une vrai petite salope ?
           - Oui, oui, je suis une salope...
           - Tu es une chienne en chaleur ?
           - Oui, je suis votre chienne ! Faites de moi tout ce que vous voudrez, mais par pitié, baisez-moi !
           - Bon, si tu insistes...
           Il defit sa braguette et je sentis son gland appuyer à l'entrée de ma chatte. Il me pénétra d'un seul coup, s'enfonçant très loin dans mon ventre, me faisant crier de plaisir. Il m'avait tellement excitée, qu'en quelques aller retours de sa queueue de bonne taille dans mon vagin il me fit jouir ! Au moment de sa propre jouissance, il se retira et je sentis le sperme gicler violemment sur mon ventre.
           Le temps de reprendre mes esprits, il s'était déjà rajusté et me tendait un kleenex en me disant :
           - Allez, dépêche-toi de te rhabiller : la prochaine patiente va arriver !
           En toute hâte, je m'essuyais le bas-ventre, remis slip, jupe et blouse, juste à temps en effet pour acceuillir sa cliente.
L'après-midi fut aussi chargée que la matinée et nous n'eûmes aucun répit. La consultation se termina vers 19 h 30. Le toubib me prit alors dans ses bras pour m'embrasser profondément, enfonçant sa langue très loin dans ma bouche. Mais comme d'habitude, la douche froide : avant de m'autoriser à m'en aller, il me regarda droit dans les yeux et me dit froidement :
           - Ce qui c'est passé entre nous ne te donne absolument aucun droit. Je reste le patron. Compris ?
           - Euh oui, docteur...
           Le soir, autour de la table familiale, je racontais ma première journée, en gommant bien sûr l'épisode le plus sulfureux, et de nouveau, dans mon lit, je ne pus m'empêcher de me branler, tout en me disant que j'étais sur une pente glissante avec mon nouvel employeur...
           Le lendemain matin, il m'acceuillit par un joyeux :
           - Bonjour Caroline. Bien dormi ?
           - Oui Docteur, je vous remercie.
           - Bon aujourd'hui, sur le tas, il y a trois clientes très spéciales : des femmes qui fantasment sur les examens médicaux et la blouse blanche. Ça arrive parfois, et dans ces cas-là, tu fais ce que je te dis de faire sans poser de questions et tu gardes le tout pour toi. Ok ?
           - Oui docteur.
           Son doigt désigna un nom sur l'écran allumé de l'ordinateur, qui affichait la liste des rendez-vous du jour :
           - Celle-ci, tu la fais entrer dans la salle que je vais t'indiquer, et tu lui dis de se mettre complètement à poil. Ensuite, tu vérifie sa propreté...
           - Mais... comment Docteur ?
           Il me regarda avec commisération et me dit :
           - Tu es conne ou quoi ? Regarde ses pieds, derrière ses oreilles, fais-lui lever les bras et renifle ses aisselles, mets-la en position gynécologique, ouvre-lui la chatte, sens-la,écarte-lui les fesses... il faut vraiment tout te dire ! Ensuite tu me l'amènes, toujours nue, dans mon cabinet. Je te demanderai alors si elle est bien propre de partout, et tu me répondras un
truc dans le style : "Non, pas vraiment...". Tu as compris ?
           - Oui Docteur. J'essayerai de faire de mon mieux...
           - Tu as intérêt, sinon prépare ton cul ! Pour les autres, je te le dirai le moment venu...
           Et la journée démarre, les femmes se succèdent cuisses écartées sur la table d'examen. La patiente indiquée arrive bien à l'heure : 10 h 30. C'est une petite blonde, un peu enrobée
d'une quarantaine d'années, bourgeoise à souhait, à l'air timide.
Tout se passe bien avec elle : je suis intimidée, bien sûr, mais elle l'est bien plus que moi. De plus, elle semble habituée à obéir. Je la conduis dans la salle que le docteur m'a indiquée,
et qui dispose d'une table munie d'étriers, en plus d'une chaise et d'un porte-manteau. Je lui dis, essayant de rendre ma voix la plus ferme possible :
           - Déshabillez-vous, madame s'il vous plaît.
           - Qu'est-ce que j'enlève, Mademoiselle ?
           - Tout : mettez-vous toute nue.
           Elle commence à se déshabiller : la veste du tailleur, la jupe, le chemisier, la combinaison et apparaît devant moi en soutien-gorge, porte-jarretelles et petite culotte, le tout noir, ainsi d'ailleurs que ses bas montant très haut. Je m'efforce de masquer ma gène à voir cette femme se mettre à poil devant moi.
Sa chair est très blanche, ses seins lourds et un peu tombants, ses cuisses et ses fesses épaisses, montrant de la cellulite.
           Quand elle est toute nue, e
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