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Ouah putain quel mental le gars. Bravo.

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j aurais pas fait 2metres dans la maison que j aurais deja la bite a la main !!!!!

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C'est juste qu'il ne s'est pas lavé la bite ouais

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Les meilleurs contributeurs du mois



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mansail :
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1.2 Durant la Seconde Guerre mondiale

1.3 Cadre du Parti radical et ministre

1.5 Première dissolution de l'Assemblée depuis 1877

1.8 Président de l'Assemblée nationale
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

↑ Michel Malfroy, Célébrités et grandes figures du Haut-Doubs , Franois, EMPREINTE Editeur, 2003 , 215 p. ( ISBN 2-913489-36-2 ) , P176

↑ Revenir plus haut en : a b c d e f et g « Edgar Faure, l'enragé du bien public », documentaire pour la télévision, 2007.

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↑ Association Edgar Faure [ archive ]

↑ Biographie sur le site du ministère des finances [ archive ]

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↑ « Avantages ou privilèges? » [ archive ] , sur L'Express.fr , 31 août 1995 (consulté le 27 mars 2016 ) .

↑ « Fiscalité » [ archive ] , sur La Croix.com , 15 octobre 1996 (consulté le 27 mars 2016 ) .

↑ Article 5 de l'annexe 4 du Code général des impôts ( lire en ligne [ archive ] ) (version périmée au 31 mars 2000).

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↑ "Guerre d’Algérie 1954-1962, huit ans de saisies, de censures, de procès" le 19 Mars 2012 dans L'Humanité [6] [ archive ]

↑ Robert Lambotte, qui venait de signer « En Algérie, les hameaux rasés par l’artillerie étaient encore habités », avec une photographie du Massacre de Philippeville , cité le 19 Mars 2012 dans la synthèse de L'Humanité [7] [ archive ] .

↑ Revenir plus haut en : a b et c "L'état d'urgence (1955-2005). De l'Algérie coloniale à la France contemporaine : destin d'une loi" par Sylvie Thénault, dans la revue Le Mouvement social en 2008 [8] [ archive ]

↑ Thomas Deltombe, Manuel Domergue et Jacob Tatsita, KAMERUN ! , La Découverte, 2019

↑ Revenir plus haut en : a b c d et e Le Monde du 3 décembre 1955 [9] [ archive ]

↑ Le Monde du 3 décembre 1955 [10] [ archive ]

↑ 19 voix pour l'exclusion, six pour le blâme et deux pour le refus de sanction

↑ Dir. Serge Berstein et Marcel Ruby , Un siècle de radicalisme. L'expérience mendésiste , Presses universitaires du Septentrion, coll. « Histoire et civilisations », 2004 , 281 p. ( ISBN 978-2859398149 , lire en ligne [ archive ] ) .

↑ Raymond Krakovitch, Alain Bienaymé et Serge Bernstein, Edgar Faure : un homme d'État, 1908-1988 , Economica, 2007 , p. 83

↑ Richard de Lesparda, « Les élèves au repos le samedi » [ archive ] , L'Express , 20 janvier 1969, republié le 21 janvier 2019

↑ http://archives.assemblee-nationale.fr/4/cri/1969-1970-ordinaire1/012.pdf [ archive ]

↑ Chloé Maurel, « L'Unesco : un âge d'or de l'aide au développement par l'éducation (1945–1975) [ archive ] », Cahiers d'histoire , 108 (2009).

↑ Edgar Faure, Felipe Herrera, Abdul-Razzak Kaddoura, Henri Lopes, Arthur V. Petrovski, Majid Rahnema, et Frederick Champion Ward, Apprendre à être: le monde sans frontières [ archive ] , Fayard-Unesco (1972).

↑ Compte-rendu de la séance du lundi 2 avril 1973, publié au Journal officiel.

↑ Michèle Cotta , Cahiers secrets de la Ve République , tome II (1977-1986) , Fayard, 2008, pp. 128-129.

↑ « Lelab Europe1 - le meilleur de l’actualité politique sur le web » [ archive ] , sur lelab.europe1.fr (consulté le 6 septembre 2020 ) .

↑ « "Ce n'est pas la girouette qui tourne, c'est le vent" (Edgar Faure). » [ archive ] , sur Histoire de le dire , 5 juin 2017 (consulté le 6 septembre 2020 ) .

↑ https://www.francetvpro.fr/bourgogne-franche-comte/programmes/13325983 [ archive ]

↑ « L'art de gouverner sans large majorité », Marianne ,‎ 26 août 2014 ( lire en ligne [ archive ] , consulté le 6 septembre 2020 ) .

↑ Christophe Deloire , Christophe Dubois , Sexus Politicus , Paris, Albin Michel, 2006 , 390 p. ( ISBN 2-226-17255-6 ) , p. 88

↑ Voir la notice dans la salle des inventaires virtuelle des Archives nationales [ archive ]


Gouvernements dont Edgar Faure fut membre
Gouvernement Henri Queuille I (11 septembre 1948 - 5 octobre 1949)
Gouvernements Georges Bidault II et III (28 octobre 1949 - 24 juin 1950)
Gouvernement René Pleven I (12 juillet 1950 - 28 février 1951)
Gouvernement René Pleven II (11 août 1951 - 7 janvier 1952)
Gouvernement Edgar Faure I (20 janvier - 28 février 1952)
Gouvernements Joseph Laniel I et II (28 juin 1953 – 12 juin 1954)
Gouvernement Pierre Mendès France (18 juin 1954 - 5 février 1955)
Gouvernement Edgar Faure II (23 février 1955 - 24 janvier 1956)
Gouvernements Georges Pompidou I , II , III et IV (14 avril 1962 - 10 juillet 1968)
Gouvernements Pierre Messmer I , II et III (5 juillet 1972 - 27 mai 1974)




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Radical , il est ministre au sein de nombreux gouvernements, dans lesquels lui sont confiés d'importants portefeuilles, il est président du Conseil des ministres en 1952 et de 1955 à 1956, sous la IV e République . Ministre sous les présidences du général de Gaulle puis de Georges Pompidou , il est président de l' Assemblée nationale de 1973 à 1978.

Il est élu à l' Académie française en 1978.

Fils de médecin militaire, il change régulièrement d’établissements scolaires, du collège de Verdun à Narbonne en passant par le cours La Bruyère à Paris, lors de la Première Guerre mondiale [ 1 ] . Après des études au lycée Henri-IV à Béziers puis à Orléans et au lycée Voltaire à Paris , Edgar Faure commence des études de droit, de lettres et de langues orientales (russe). Il exerce à Paris la profession d'avocat et devient membre du barreau à 21 ans : c’est le plus jeune avocat de France de son temps et le plus jeune deuxième secrétaire de la Conférence des avocats du barreau de Paris (conférence du stage). Intéressé par la politique, il rejoint le Parti radical-socialiste après une première adhésion au Parti républicain-socialiste .

En 1931, il épouse Lucie Meyer ; le couple, pour son voyage de noces, choisit l' URSS [ 2 ] .

En 1941, dans un procès à Clermont-Ferrand [ 2 ] , il témoigne, non sans risques, en faveur de Pierre Mendès France , du même âge et avocat comme lui à Paris, incarcéré par le régime de Vichy .

À l'automne 1942, il part en Tunisie en compagnie de son épouse Lucie Faure , qui est juive , et de sa fille Sylvie avant de rejoindre les quartiers généraux du général de Gaulle à Alger et devient le chef du service législatif du gouvernement provisoire (1944). En 1945, il est procureur général adjoint français au Tribunal militaire international de Nuremberg [ 3 ] .

Après avoir été battu aux élections de 1945 à Paris, il envisage de se présenter sous l'étiquette MRP dans le Puy-de-Dôme, mais finalement il se tourne vers le Parti radical et est élu lors de la troisième consultation électorale de 1946. Edgar Faure se révèle rapidement un ardent défenseur de la Franche-Comté , collectionnant les mandats : député du Jura jusqu'en 1958, maire de Port-Lesney en 1947, président du Conseil général du Jura en 1949. Dans ces fonctions il se montre favorable au projet d'exploitation du bassin houiller du Jura qui fait débat en 1957, mais celui-ci est finalement abandonné en raison de la conjoncture économique [ 4 ] .

À l'Assemblée nationale, comme au Parti radical, qui comporte de nombreux « ministrables », il acquiert rapidement une réputation de sérieux que son allure souriante et sa verve viennent tempérer. Il se révèle un habile stratège et devient l'un des meilleurs navigateurs des couloirs du Palais-Bourbon. Il accède en 1949, au côté de Maurice Petsche , ministre des Finances, au rang de secrétaire d'État, avant d'être promu ministre du Budget en 1950. Deux ans plus tard, il est pour la première fois président du Conseil mais son gouvernement de quarante ministres ne dure que quarante jours, pris dans l'opposition des modérés et des socialistes sur la politique économique, après qu'il a posé vingt fois la question de confiance [réf. nécessaire] .

Il prouve sa capacité d'adaptation en devenant ensuite ministre des Finances des gouvernements de Joseph Laniel (centre droit) puis de Pierre Mendès France . Dans ces fonctions, il obtient de la Chambre les pleins pouvoirs, qu'il met à profit pour « relancer la relance » avec un plan de dix-huit mois dit « d'expansion dans la stabilité » [ 5 ] . En particulier, il réglemente par décret plusieurs professions, procède à des mesures de décentralisation économique et introduit la taxe sur la valeur ajoutée [ 6 ] .

De son ministère, il n'oublie pas les intérêts de ses électeurs du Jura [ 7 ] , où plusieurs professions se voient bénéficier de déductions fiscales : parmi les plus citées, les éclaircisseuses [ 8 ] , polisseurs et monteurs de pipes de la région de Saint-Claude ; ou les tourneurs, fraiseurs et guillocheurs de matières plastiques de la région de Saint-Lupicin [ 9 ] , [ 10 ] . Il y favorisera plus tard l'élection comme député de son directeur de cabinet Jacques Duhamel , via l' « Union des non » [ 11 ] au référendum sur l'élection au suffrage universel du président de la République .

Après la chute du gouvernement de Pierre Mendès France en février 1955 [ 12 ] , [ 13 ] , Antoine Pinay , président du Centre national des indépendants et paysans (CNIP), appelle à une union nationale mais renonce finalement à Matignon face au risque de barrage de la SFIO et du MRP , s'effaçant au profit d'Edgar Faure [ 14 ] .

Devenu président du Conseil, Edgar Faure poursuit la préparation de l'indépendance de la Tunisie prônée par Mendès France lors du « discours de Carthage » de juillet 1954 [ 15 ] .

Au Maroc , après quatre mois d'hésitations, il poursuit le processus de « l'indépendance dans l'interdépendance » en s'appuyant sur les voix de la gauche et s'aliénant celle de la droite [ 16 ] . À l'été, il autorise que le sultan Mohammed , exilé à Madagascar, revienne à Paris, pour faciliter sa restauration par la conférence d'Aix-les-Bains d'août 1955, visant à « éviter une guerre dans le Rif et l'Atlas » [ 13 ] , où la tension s'est accrue [ 17 ] .

L'écrivain François Mauriac le compare cependant dans son « bloc-notes » à un « myope qui s'empêtre dans ses combinaisons » [ 13 ] , car avec Antoine Pinay , ministre des Affaires étrangères [ 13 ] , il « hésite un temps » [ 13 ] , consultant de grands patrons de presse, comme Pierre Lazareff , de France-Soir , qui conseille d'envoyer 50 000 militaires pour conserver ce protectorat du Maroc [ 13 ] , ainsi que Marcel Boussac , dont l'empire textile est très dépendant des colonies. Dans son livre Ma mission au Maroc , Gilbert Grandval décrit Edgar Faure anxieux de convaincre Marcel Boussac d'accepter ce retour du sultan [ 18 ] . Le Résident général de France au Maroc , contesté à cause du chaos mais soutenu par Boussac, est maintenu jusqu'en juin 1955 [ 19 ] alors que celui de Tunisie avait été écarté un an plus tôt. Le temps perdu par Edgar Faure est aussi dénoncé par le romancier Auguste de Montfort [ 18 ] .

En Algérie, il instaure l'état d'urgence dès son arrivée par la loi du 3 avril 1955, qui permet la censure de la presse [ 16 ] , [ 20 ] , pratiquée dans les mois qui suivent avec la saisie de L'Humanité [ 21 ] , dont le reporter est expulsé [ 22 ] . L’opposition échoue à bloquer son adoption, tempérée par quelques amendements parlementaires [ 23 ] , car le premier décret du 6 avril réserve l'état d'urgence à certaines zones du Constantinois, avant qu’un deuxième couvre tout l'est de l'Algérie le 19 mai puis un troisième, le 28 août 1955 toute l’Algérie [ 23 ] , en prévoyant qu'il cesserait en cas de dissolution de l’Assemblée nationale [ 23 ] .

Au Cameroun , il fait interdire les organisations politiques indépendantistes telles que l'UPC, la JDC et l'Udefec [ 24 ] .

Il prend l'initiative d'une réunion au sommet des « Quatre Grands » à Genève, et favorise la tenue de la conférence de Messine , qui permet la relance de la construction européenne.

Dès le printemps, il est sous pression de l'aile gauche du Parti radical menée par Pierre Mendès-France , qui obtient le congrès extraordinaire de mai 1955 , où Edgar Faure se retrouve minoritaire. Tous les dirigeants radicaux prenant position contre lui à l'Assemblée nationale, il est exclu le 1 er décembre 1955 [ 25 ] , [ 26 ] , ce qui sera confirmé en appel l’année suivante. Cette exclusion de son p
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