Cette beauté ébène aime la violence

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Cette beauté ébène aime la violence
Doctorant à l’université Jean-Moulin-Lyon-3 et juriste en droit des affaires
Ancien député (Génération.s) de la Loire de 2007 à 2022, expert en politique publique sportive
Culture Cinéma Télévision Livres Musiques Arts Scènes
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Au milieu de Tokyo Fist, Tsuda, le personnage principal du film, un employé médiocre d'une entreprise de Tokyo, débarque à l'hôpital pour y trouver le corps de son père mort. Sitôt le décès constaté, le médecin prend les mesures nécessaires pour faire disparaître ce corps. Cette crainte d'affronter la mort correspond aussi à un ennui de vivre. C'est donc sans surprise que les personnages de Tokyo Fist apparaissent léthargiques dans un premier temps.
Dans Tokyo Fist, Tsuda (interprété par Shinya Tsukamoto, le réalisateur du film) mène une vie sans histoires, réglée par ses allers-retours dans le métro entre son domicile et son travail. Il rencontre par hasard un ancien ami, Kojima, devenu boxeur professionnel, qui se met à lui taper dessus sans raison. Un rituel s'établit entre les deux hommes. Hisaru, la compagne de Tsuda, attirée par la virilité de Kojima, délaisse de plus en plus son compagnon. Bouleversé par le comportement distant de sa compagne, Tsuda s'entraîne dans une salle pour apprendre la boxe, avec l'espoir de corriger un jour son rival.
Tokyo Fist est, après Tetsuo, Bullet Ballet et Gemini, le quatrième film de Shinya Tsukamoto distribué en France. Réalisé en 1995, Tokyo Fist reprend l'idée motrice de Bullet Ballet, le film qui avait révélé Tsukamoto au public français, à savoir la violence comme alternative à un univers aseptisé, et seul moyen pour retrouver des sensations oubliées. La découverte tardive de Tokyo Fist permet de réaliser à quel point David Fincher l'avait pillé en 1999 pour son Fight Club. Ce film à l'idéologie nauséabonde montrait une secte composée de combattants révolutionnaires, ligués contre notre société de consommation et le formatage qu'elle impose. Pour occuper leur temps, ils se tapaient dessus dans le sous-sol de leur quartier général afin de retrouver une douleur physique prohibée par une société qui déréalisait complètement les rapports humains.
Les gros coups de tambour de Fight Club, appuyés par une esthétique publicitaire, laissent enfin place à Tokyo Fist qui stigmatise ce même ennui généré par notre société de consommation, mais se laisse guider par une réflexion désabusée et discrète. La violence volontairement grotesque du film, composée de visages tuméfiés d'où le sang coule comme d'une fontaine, de corps déformés par le piercing, et de têtes que l'on tape inlassablement contre les murs, laisse rapidement place à un onirisme surprenant.
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Ce que j'ai ressenti:
« -Miroir, mon beau miroir, dis-moi qui est la plus monstrueuse d'entre toutes? »
Leila.Princesse défigurée, à l'acide.
Il est des histoires qui font peur, qui dressent les poils. Il est des souffrances indescriptibles et des douleurs profondes, que seule la nuit peut abriter…Il était mille et une fois, des monstruosités…Mais n'est pas monstre qui le veut, qui le croit ou encore qui voudrait le faire croire…La Bête fascine, la Belle aussi, mais est-ce que l'un peut être l'autre? Floriane Joseph nous raconte une histoire (des)enchantée, où le mythe de la beauté rencontre celui de la Bête, et aussi monstrueuse que soit la belle, la magie sera bel et bien de la partie…Parce que si la belle est la Bête , alors que restera-t-il de cette illusion du culte de la beauté au féminin? Est-ce qu'elle viendra hanter nos nuits de terreurs, cette princesse? Où sera-t-elle la nouvelle enchanteresse de vos soirées? Pour découvrir cela, il vous faudra découvrir cette lecture aux frontières du conte oriental, sans craindre de croiser la douleur extrêm(ist)e, ni quelques fous au détour des allées du Palais Royal…
Avec une plume sensible et poétique, Floriane Joseph fait danser la part d'ombre avec la part de féerie dans un conte revisité en trois tableaux, et nous présente une princesse pionnière, résiliente et artiste, Leïla. Même en ayant subi, l'atroce acte de barbarie d'un homme, elle reste Princesse grâce à la force de son esprit et à un choix fondamental. Celui du dépassement de la destruction par la création. Cette idée de spiritualité bienveillante est une ligne à suivre, un art de vivre même, mais surtout une façon de survivre, et Leila incarne cette vague chaleureuse d'amour et de confiance qui inondera son royaume, et débordera jusque dans nos yeux ébahis…Alors finalement, qui de la belle ou la bête sera la plus désirée? Qu'est-ce qui vous nourrira au coeur de la nuit?
Alors, finalement, Miroir, mon beau miroir, qui est la plus belle d'entre toutes?
Leila, princesse de la nuit.
Il est des histoires qui nous font réfléchir, qui nous touchent au coeur aussi, parce qu'à l'heure de lever le voile sur certaines cruautés, l'Art restera toujours le rempart ultime pour le dépassement de la douleur, que ce soit pour les belles ou pour les bêtes… Il est des admirations et des compliments élogieux qui se disent en plein jour. Floriane Joseph en méritent tellement avec ce premier roman! Il était mille et une fois, la beauté. Il était une fois, la beauté d'un conte moderne qu'on se plait à dévorer de nuit, pour que la magie fasse la part belle aux charmes et autres sortilèges que les djinns ne pourront plus défaire…
Coup de coeur.
Ma note Plaisir de Lecture 10/10.


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La Princesse Leïla a été défigurée à l'acide par un inconnu. Âgée de vingt ans, elle est la troisième fille du Sultan de Galahazul. L'Émir demande à Wizram, son Grand Vizir, de partir à la poursuite du coupable, épaulé par ses cavaliers noirs. Afin que celui-ci soit puni comme il le mérite ! Tout le peuple du royaume est sous le choc d'un acte aussi barbare …
Naya, la plus jeune fille du Sultan (qui en a cinq) est terriblement effrayée. « La boule dans sa gorge faisait à présent la taille de la lune » (c'est joliment dit, non ?…) Kiara est l'ainée des soeurs : elle a vingt-quatre ans. Jasmine, la plus proche d'elle en a vingt-trois. Reshma, âgée de quatorze ans est l'avant-dernière fille du Sultan. Naya enfin, la benjamine, en a douze. Morgane, la nourrice, prend soin de toute la sororité, particulièrement des deux plus jeunes. Un cavalier d'or accompagne les Princesses à chaque sortie hors du Palais … Voilà, le décor est planté !
Le coupable s'appelle Ali. Il a vingt et un ans et a fort probablement fréquenté des extrémistes sur les terres des « royaumes barbares » … Tout d'abord désespérée par son aspect, la Princesse Leïla décide de reprendre sa vie en main. Elle va porter de somptueux masques, pour cacher son infortune, lors des bals … Je n'en dévoilerai pas plus, sous peine de gâter le plaisir indéniable que procure cette divine lecture !
Entre conte de fée oriental et légende des Mille et Une Nuits, ce récit – à la fois très moderne et fantastique – mêlant l'actualité et l'anticipation, est une pure merveille ! Construite en trois tableaux, l'intrigue est autant fabuleuse que brillante. Style affirmé, écriture mature, élégante et poétique : c'est un enchantement. ÉNORME coup de coeur pour ce délicieux roman !
Notez bien ce nom : Floriane Joseph . C'est celui d'une primo-écrivaine âgée de vingt-quatre ans, dont on entendra indubitablement parler dans le monde de la littérature – et ce dans un avenir proche – je vous le prédis !





La paix tranquille du royaume de Galahazul se retrouve un beau jour mise à mal par une attaque terroriste d'une violence inouïe : un jeune homme radicalisé a défiguré la princesse Leïla en lui jetant de l'acide au visage. Alors que tout le royaume se ronge les sangs, Leïla survit à sa blessure, et entame un long processus de guérison, à la fois physique et psychologique. Comment apprendre à vivre avec cette blessure, si visible aux yeux de tous ? Comment se réapproprier son visage quand celui-ci a été volé par une personne mal intentionnée ? Comment s'autoriser à aimer sans honte, quand son visage est devenu celui d'une Bête ?
Avec ce premier roman aux accents des Mille et unes nuits, Floriane Joseph nous entraîne dans un monde merveilleux peuplé de princesses, de djinns, d'oiseaux volants et de cavaliers mystérieux, nous laissant stupéfaits par la richesse de son imagination et la précision de ses visions. S'inspirant de pays orientaux où sultans et vizirs occupaient une place de choix, elle nous fait voyager ici dans un pays où les conflits sont en voie de disparition, où la vie est rythmée par les bals et les Conseils des Ministres, et où la créativité de chacun est encouragée et valorisée. Dans ce royaume idéal, chacun est considéré, hommes et animaux, et tous vivent en harmonie, dans le respect des droits fondamentaux de chaque individu. Seuls les barbares, ceux qui entendent dicter aux autres de quelle couleur est le « canari », viennent troubler cette paix si habilement établie par l'Alliance…
Tout en nous racontant un joli conte pour adultes, elle soulève un certain nombre de questionnements philosophiques et psychologiques, effleurant de ses métaphores la question de la religion et du châtiment, la quête de soi et de sa propre raison d'être ainsi que la difficulté d'aimer et d'être aimé pour ce que nous sommes. Des thèmes universels, présents dans de nombreux ouvrages, mais amenés ici par un cadre enchanteur propice à la réflexion et à l'immersion totale. Une très belle réussite que ce premier roman à la superbe couverture, que je vous recommande vivement de découvrir au plus vite – dépaysement garanti !


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J'ai lu ce livre il y a déjà quelques mois et je m'aperçois que je n'ai pas toujours pas rédigé mon avis. Pourquoi ? Mystère ! Et surtout dommage ! Parce que ce roman je l'ai apprécié, je l'ai même adoré dans sa première moitié. J'ai trouvé qu'il y avait un petit coup de mou vers le milieu mais il regorge de qualités par ailleurs.
C'est un conte résolument féministe qui nous embarque dans un royaume imaginaire, à une époque indéterminée. On pourrait se croire dans les Milles et Une Nuits sauf qu'une princesse - personnage principal du roman - vient d'être défigurée à l'acide dans la rue par un homme. On se dit alors que l'intrigue est bien ancrée dans notre contemporanéité. Au final peu importe la géographie et le siècle, " La Belle est la Bête " est une histoire de femmes.
L'autrice aborde de façon très originale les violences faites aux femmes et nous embarque dans le parcours de résilience de la princesse agressée. Un long cheminement qui se fond dans la poésie et la grâce de l'écriture.





La peau dorée, les cheveux noirs de jais et un masque étincelant pour camoufler ce qu'il a fait. Sous cet artifice fabriqué à la main, les tissus se perdent en racines minuscules, cendres de l'attaque à l'acide qu'a subi Leïla, princesse d'un royaume où les fruits se sucrent au soleil. Dans le palais, elle est entourée de ses soeurs et de sa nourrice, une armée qui la voit mais ne la dévisage pas. En dehors de cette enceinte bienveillante, elle camoufle son nouveau visage, sous des masques extravagants. Dans les bals, où elle les exhibe, elle avance tête haute, devant une foule endimanchée qui espère se pâmer d'effroi à la vue de cette peau abîmée. Un jeu, qui la fait sourire jusqu'aux oreilles, façon Gwynplaine. Un temps de répit, avant que la partie s'arrête.
J'ai adoré l'univers luxuriant, le personnage de Leïla, auquel on s'attache, malgré la distance qu'impose la princesse. J'aurais aimé la voir s'émanciper encore plus des hommes qui l'entourent. L'idée de conte pour adultes m'a plu aussi, c'est assez peu vu. Petit bémol au niveau du rythme, sur certains passages j'aurais aimé que ça aille plus vite, sur d'autres plus lentement. Bravo à @florianejoseph pour ce premier roman original !


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Dans un royaume à la localisation inconnue, l'une des filles du sultan, la princesse Leïla est dans le coma. Un inconnu l'a attaquée à l'acide, son visage est brûlé, elle est défigurée. Commence alors pour Leïla une longue résilience, un chemin vers l'acceptation de sa nouvelle apparence par elle-même et aussi par les autres. Comment faire pour apprivoiser son nouveau visage ? Comment faire pour que le regard des autres ne l'atteigne pas ? La Belle est la Bête est tel un conte initiatique : le temps d'après l'attaque à l'acide est long. Il faudra franchir les étapes vers une nouvelle vie, une nouvelle liberté, avec un nouveau visage. Un chemin semé d'embûche et d'apprentissage sur soi-même et sur les autres.
"Tu verra mon visage. Tout le monde le verra. Il ne me faut que du temps. Il y a des choses que je dois faire avant, seule."
Car au début, elle est effrayée par sa nouvelle apparence, elle pleure, pense qu'elle ne pourra plus vivre comme avant. Sa plus jeune soeur est très choquée également.
Mais le personnage de Leïla est un personnage très fort, plein de courage. Par la force des choses mais aussi dans son caractère propre. C'est un personnage qui sait que pour atteindre son objectif, il faudra faire preuve de patience. Leïla est une jeune femme qui se laisse porter par ses envies, expérimente, n'a pas peur de se tromper. Elle ne se laisse pas abattre, on aimerait toutes avoir une part de Leïla en soi. Un vrai modèle de volonté.
"Tout est à écrire, alors. Soyez plus forte que les barbares qui ont voulu vous briser, plus forte que les habitants qui vous réduisent à un fantasme, plus forte que les siècles qui vous ont tue et tuée de n'être pas la femme Belle, comme seule elle était permise. Soyez la princesse la plus monstrueusement belle de l'histoire !"
Les décors orientaux de ce roman donnent une dimension lointaine et dépaysante à ce roman qui creuse et explore en profondeur les différents aspects d'une reconstruction physique et psychologique.
Le terrorisme se mêle à ces décors somptueux. La réalité tragique et politique rattrape la beauté colorée et fleurie des lieux décrits. du palais du sultan au désert, on voyage en compagnie de Leïla, mais toujours sur nos gardes.
La plume de Floriane Joseph est sensible et délicate, poétique aussi. Elle nous raconte l'histoire de Leïla comme si c'était un conte des mille et une nuits. Un conte extrêmement cruel mais toujours plein d'espoir, et surtout qui porte un vrai message de liberté. Un conte dans lequel le monstre est humain, et la princesse une femme ordinaire et en même temps exceptionnelle.
En bref, un roman construit à la manière d'un conte mais qui décortique le regard des autres et le regard que l'on porte à soi-même dans un décor lointain et quelque peu onirique sur fond de terrorisme. Un livre original que j'ai lu presque d'une traite.
Je recommande ce premier roman de Floriane Joseph , il est empreint d'une très grande beauté et d'un beau message.


Lien : https://ellemlire.com/2021/0..


Vous aimez les êtres solaires ? Alors vous allez adorer ce conte autour d'un personnage haut en couleurs : Leïla.
Il était une fois (expression classique mais qui fait toujours son effet) un royaume au parfum d'Orient entouré de m
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