Cette arabe voilée se fait mettre

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Cette arabe voilée se fait mettre
Publié
le 09/07/2015 à 11:15 , Mis à jour le 14/10/2015 à 18:07
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Encore rare il y a vingt ans, le port du voile s'est répandu, ce qui suscite de nombreuses crispations au sein de la population française. Décidée à lutter contre cette expansion, Femmes sans voile, une association musulmane s'est associée à une journée dévoilée vendredi. Retour sur les motivations de celles, souvent jeunes, qui décident pourtant de l'arborer.
Le port du voile cristallise bien des tensions en France. D'autant qu'il s'est réellement répandu chez les jeunes musulmanes. S'il est difficile de chiffrer le phénomène, les spécialistes s'accordent sur sa montée en puissance ces vingt dernières années. Tandis que les générations précédentes ont lutté pour pouvoir le retirer, certaines filles d'aujourd'hui, qu'elles soient enfants d'immigrées ou converties à l'islam, prônent un retour au religieux et à l'affirmation publique de leur foi. Le port du voile, qui concernait des cas isolés il y a vingt ans, revêt désormais une dimension politique, idéologique et culturelle. "Au milieu des années 2000, on a vu se répandre le port du simple foulard et du voile intégral en France ", affirme Raphaël Liogier, auteur du Mythe de l'islamisation (1).
Le port du voile " s'est développé d'une manière très différente de celle que l'on a pu observer dans le monde traditionnel musulman : on assiste à une revendication des jeunes filles pour ce qu'elles sont, d'une façon moderne. On a un retour vers la foi, une sorte de revival . Elles cherchent à retrouver leurs racines ; elles ont le sentiment que leurs parents ont délaissé leur religion et se sont soumis à la culture du pays d'accueil. " Le port du voile, que le sociologue compare à certains mouvements de jeunesse comme " le punk des années 1990 ", se justifie presque de manière philosophique : " Le religieux, c'est une manière de se distinguer par la performance, de faire des choses difficiles justement parce qu'elles sont difficiles. " Cette rigueur que les jeunes filles s'imposent, au prix parfois d'un rejet, leur paraît gratifiante.
Il n'y aucune ambiguïté à propos du voile dans le Coran. C'est une obligation divine
Dans l'ouvrage de Faïza Zerouala Des voix derrière le voile (2), Sabrina, 31 ans, explique le choix qu'elle a fait il y a trois ans : "Il n'y aucune ambiguïté à propos du voile dans le Coran. C'est une obligation divine. Il nous est prescrit de préserver notre pudeur. Chez la femme, cela passe par le fait de se couvrir la tête et de ne dévoiler que son visage et ses mains." Elle ajoute, comme pour contrer les accusations de machisme : "On l'oublie, mais l'homme aussi a des obligations en ce sens. Il doit cacher son torse et porter des vêtements décents. "
Cette rhétorique religieuse, que les filles voilées avancent constamment, fait pourtant l'objet de débats, même chez les penseurs musulmans. Pour l'imam de Bordeaux, Tareq Oubrou, " il y a un conflit sur la perception de ce vêtement. Le concept de voile islamique me gêne. Il n'y a pas d'habit islamique, ni pour les hommes ni pour les femmes. Certains musulmans exagèrent cette pratique et la juge essentielle, alors qu'il n'y a pas de fondement univoque dans les textes. " L'imam voit dans le port du voile une sorte de " mode ". " C'est une pratique devenue tendance. Le voile est devenu un objet cosmétique, esthétique. On le met de manière à attirer, pour séduire. On le détourne de son sens premier : celui de traduire une pudeur. "
Inquiètes, des féministes québécoises ont décidé de faire du 10 juillet une " journée sans voile " pour envoyer un signal et porter la lutte sur la place publique. Cette année, le collectif Femmes sans voile d'Aubervilliers, qui considère le voile comme la " marque d'une inégalité sexiste et imposée par le patriarcat ", a rejoint le mouvement. Nadia Ben Missi, membre de l'association, rappelle " qu'il n'est ni une exigence ni une obligation religieuse. Elles disent qu'elles l'ont choisi, qu'elles sont libres. Elles le justifient par l'islam et la culture qui y est associée, sans réaliser que c'est en fait une interprétation radicale de l'islam. Ce n'est pas la seule façon d'être musulmane. Or ces femmes vont jusqu'à considérer les autres comme des mécréantes. "
Il n'y a pas d'habit islamique, ni pour les hommes ni pour les femmes
Nadia Ben Missi a commencé par observer et a vu le phénomène s'étendre. Elle& dénonce "un travail de prosélytisme important. J'enseigne dans un collège et mes élèves se voilent. Difficile de savoir si cela relève de leur initiative. Elles disent que c'est sacré". Un dialogue de sourds s'est installé. Car une incompréhension profonde sépare les femmes sans voile des jeunes femmes nouvellement voilées, selon Raphaël Liogier. "Ces musulmanes qui ont le sentiment de s'être libérées du voile ne comprennent pas l'autre mouvement, celui qui reviendrait vers quelque chose d'imposé aux yeux des premiers. C'est une génération de musulmans traumatisée par l'imposition du port du foulard dans leur culture" qui a soudain décidé de s'associer à une lutte jusqu'à présent conduite, au nom de la laïcité, par les institutions.
(1) Le Mythe de l'islamisation. Essai sur une obsession collective, de Raphaël Liogier, Éd. du Seuil, 212 p., 16 €.
(2) Des voix derrière le voile , de Faïza Zerouala, Éd. Premier Parallèle, 258 p., 5,99 €.
pour ma part , j'y vois une façon de s'imposer aux pays non musulmans . c'est une stratégie inquiétante qu'il faut absolument rejeter .
Je vais créer un voile laïque, appelé 1905 (en référence au Jean Lewis), vendu à l'Assemblée nationale.
Le vrai devoir divin des femmes musulmanes , c'est de préparer un aussi bon couscous que celui de ma mère.
En reprenant le pouvoir le 15 août 2021, les talibans juraient vouloir accorder certains droits aux femmes. Mais leurs premières mesures ont vite laissé entrevoir le retour à une vie de recluses des Afghanes. Un an après, l'oppression des femmes et le désastre économique ont replongé le pays dans l'obscurantisme.
Après avoir échangé sur l'évolution de l'industrie musicale dans le pays, la cheffe de gouvernement a filé aux concerts, troquant son costume pour un habit de lumière.
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Pourquoi les musulmanes portent-elles de plus en plus le voile ?
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5 choses que j’aurais aimé savoir avant de porter le voile
LALLAB, CHALLENGING MUSLIM WOMEN’S NARRATIVES
Lallab est une association féministe et antiraciste dont le but est de faire entendre les voix et de défendre les droits des femmes musulmanes qui sont au coeur d’oppressions sexistes, racistes et islamophobes. Nous apportons un changement de paradigme dans le système politique français de lutte contre les discriminations. Nous façonnons un monde dans lequel les femmes choisissent en toute liberté leurs propres chemins d’émancipation.
© 2016 LALLAB – Tous droits réservés
J’ai pris conscience de cette réalité pour la première fois il y a plusieurs années. C’est l’histoire d’une connaissance fraîchement diplômée à qui le recruteur avait insinué sans scrupules que le seul moyen pour elle de décrocher le job était de se passer de son voile.
Dès lors, j’ai cru que les années passeraient et que le recruteur finirait par se rappeler que nous vivons dans un pays musulman où le monde du travail est régi par un code qui interdit clairement toute discrimination fondée sur des considérations religieuses, raciales, idéologiques ou politiques. J’ai cru qu’au fil des années, au lieu de m’interdire un choix qui n’affectera en rien mes compétences et ma motivation pour un poste X, sous prétexte qu’être voilée est synonyme de repli sur soi, de manque d’ouverture d’esprit et de mauvaise image face à la clientèle, le recruteur aurait pris le temps de redéfinir ce qu’est réellement l’ouverture d’esprit. J’ai cru qu’en 2016, le port du voile ne sera plus une « barrière » pour la simple raison que nous sommes en 2016 et que nous vivons à l’ère de la mondialisation.
J’ai cru oublier cette histoire jusqu’à ce que la réalité s’impose : on a proposé à mon amie, durant un entretien pour un stage, de choisir entre son voile et le poste. Elle pouvait prendre 24 heures pour y réfléchir. Mais on ne réfléchit pas dans ce genre de situations… on a mal au cœur.
Ne t’en fais pas, car même si ça existe bel et bien au Maroc, ce n’est pas le cas général. Mais si par malchance, le poste qui t’intéresse t’est refusé pour la simple raison que tu es voilée, attache-toi à tes principes mais quelle que soit ta décision, sache que toute l’équipe de Lallab te soutiendra et pense très fort à toi.
C’est certainement la meilleure des choses d’être respectée par les gens, mais généralement quand on décide de mettre le voile au Maroc – ce qui implique le fait de s’habiller « modestement » –, certaines personnes nous perçoivent d’une façon bien particulière. Une perception qui, à mon sens, mérite d’être abordée. Un garçon qui ne m’avait jamais dit bonjour en me rencontrant dans les couloirs, s’approche de moi le premier jour où j’ai « exposé » mon choix au vu de tous… et m’applaudit. « Tu as fait le bon choix », me dit-il tout en inclinant sa tête en signe de respect. Les premiers jours étaient les plus révélateurs car du jour au lendemain, des personnes – quoiqu’elles n’aient pas été nombreuses – ont réagi à ma décision d’une façon qui m’avait annoncé à l’époque (et reflète aujourd’hui) une vision dominante dans la société marocaine vis-à-vis du voile.
Quelques jours après, m’habituant petit à petit à ma nouvelle situation, un autre garçon, à qui je parlais assez souvent, me salue pour la première fois en se pliant presque en deux.
Qu’étais-je devenue ? Une sainte ?
Quelques années plus tard, alors que j’étais dans un marché avec une amie étrangère au pays, un vendeur de sacs me lance, après s’être assuré qu’elle ne parlait pas arabe : « Si je vous le vends à ce prix, c’est uniquement parce que tu es voilée, une femme respectable et « bent nass* ». Si ton amie était venue toute seule, elle ne l’aurait pas eu à ce prix ».
Tu vivras bien des situations de ce genre, qui auraient plu à beaucoup d’autres car elles indiquent que la société a dit son mot sur ton choix personnel… et qu’elle l’a approuvé.
Ne te satisfais pas de ces situations, non pas parce que tu n’es pas digne de respect, loin de là. Mais parce que ce respect en particulier, qui te sera adressé uniquement parce que tu es voilée, insinuera que toute autre femme qui ne l’est pas n’en mérite pas autant. C’est triste et injuste !
 
* « Bent nass », en arabe : Fille d’une bonne famille. Selon la perception marocaine, c’est généralement une fille qui a eu une bonne éducation, qui est pudique, qui ne sort pas le soir et qui a peu ou pas d’amis masculins.
Le choix du port du voile ne ressemble à aucun autre choix personnel, et dans des contextes particuliers, il n’est pas aussi personnel qu’il parait l’être. Ça tourmente, ça dérange et parfois… ça menace. Les médias nous l’ont bien fait comprendre ces dernières années. Le voile n’a rien de menaçant dans un contexte arabo-musulman, mais lorsqu’une femme voilée décide de quitter son pays, que ça soit pour chercher un travail, s’installer à l’étranger ou tout simplement faire du tourisme, elle se perd en considérations innombrables… dont les jugements des autres, et donc la crainte d’être rejetée.
J’ai quitté le Maroc pendant un mois et demi pour prendre part à un projet éducatif qui rassemblait des bénévoles, tou.te.s de nationalités différentes. L’acceptation y régnait malgré la diversité et je m’y suis faite des ami.e.s pour la vie. Néanmoins, les regards curieux de certain.e.s n’allaient pas tarder. Quelques personnes éprouvaient de l’hésitation à m’approcher, alors qu’elles semblaient très à l’aise avec les autres participant.e.s. « Est-elle abordable ? », disaient leurs regards. Ils ont obtenu leur réponse dès lors que j’ai présenté un sujet devant l’ensemble des participant.e.s, chose qui traduisait qu’effectivement je l’étais. J’étais alors abordable… pour entendre ce qu’on pensait de mon voile, car apparemment c’est un sujet d’ordre général.
A moi-même et à mon amie à qui, dans un autre pays, on avait dit d’enlever son voile avant d’entrer en classe pour ne pas « choquer » les élèves, j’aurais dit que oui, ces remarques – et même si elles m’ont été dites par une minorité – s’accumulent… et ne s’oublient pas.
Le problème n’est pas un vêtement de plus ou un rayon de soleil de moins, car ta lumière émane de l’intérieur, à travers les valeurs que tu portes et la spiritualité que cela te procure.
Chaque femme musulmane voilée débattra au moins une fois dans sa vie de ce sujet. Quels que soient les motifs l’ayant poussée à porter le voile, elle n’échappera pas au fait de concevoir un argumentaire dans ce sens. J’avais élaboré dans ma tête les réponses à toutes les questions possibles, qui allaient me donner raison face aux autres, qui étaient censées me rassurer. Je gagnais souvent mes débats mais aujourd’hui je me rends compte que ce n’est pas ça l’important.
Dans quelques situations, tu n’auras sûrement pas toutes les réponses du monde, mais le seul et unique argument qui importe, tu ne le devras qu’à toi-même et à personne d’autre.
Le voile est malheureusement encore perçu comme moyen de soustraire la femme, objet de tentation, aux regards affolants des hommes. L’idée serait donc de couvrir les appâts féminins et ne pas les exposer à un homme victime car étant facilement attiré.
Une illustration avait longtemps circulé sur les réseaux sociaux et est toujours employée pour « défendre » le port du voile : « Une sucette sans enveloppe c’est comme une femme sans voile, elle est couverte de mouches à merde ».
Je ne voudrais pas être comparée à une sucette parce que je ne peux être réduite à un objet, et cet exemple me fait plus de mal que de bien. Cet exemple ne me rassure pas sur mon choix et réduit à néant la belle valeur symbolique du voile. Mon voile existe vis-à-vis de Dieu et non des hommes. C’est un symbole d’appartenance, une source de spiritualité et surtout un choix libre se révoltant face à cet unique modèle de liberté qu’on essaie de nous imposer.
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Les lois spécifiques concernant le vêtement et le voile de la femme musulmane
Louange à Allah, que les Prières et le Salut d’Allah soient sur notre Envoyé Mohammed, ainsi que sur ses compagnons, ses proches et tous ceux qui suivent sa voie jusqu’au jour des comptes.
1- L’habit de la femme musulmane doit être ample et couvrir tout le corps du regard des hommes ne faisant pas partie de son entourage (mahram). En présence de ses mahram, la femme peut dévoiler son visage, ses mains et ses pieds conformément à l’usage.
2- Il doit être épais et ne pas être transparent de façon à ne pas laisser percevoir la peau à travers.
3- Il ne doit pas être moulant de façon à ne pas épouser les formes du corps. Dans le recueil de Muslim, le Prophète a dit :
« Il y a deux sortes d’habitants de l’Enfer que je ne verrais pas (de mon vivant) ; des femmes vêtues, mais dénudées, qui se déhanchent et qui sont attirantes. Elles n’entreront pas au Paradis et n’en sentiront pas l’odeur. Et des hommes munis de cravaches en forme de queues de vache, qu’ils se servent pour battre les serviteurs d’Allah. »
Sheïkh el Islam ibn Taïmiya –qu’Allah lui fasse miséricorde – a commenté dans Majmû ’ el Fatâwa (22/146) : “vêtues, mais dénudées” : selon certaines interprétations, elles sont effectivement habillées, mais en réalité elles sont dénudées. Cela consiste à mettre soit des vêtements légers et transparents qui laissent entrevoir la peau, ou soit un habit serré qui épouse les formes du corps comme les fesses, les avant-bras, ou autre. Cependant, l’habit de la femme doit la couvrir (de la tête au pied) de sorte qu’il ne laisse entrevoir ni la peau ni les formes du corps et doit être épais et large. » Fin de citation.
4- Il ne doit pas être spécifique aux hommes. Le Prophète r en effet a maudit les femmes hommasses et celles qui veulent ressembler aux hommes. Au niveau des vêtements, cela consiste à vêtir un habit dont le genre et la forme sont réservés aux hommes conformément à l’usage en vigueur et indépendamment dans chaque société. Sheïkh el Islam ibn Taïmiya –qu’Allah lui fasse miséricorde – a expliqué dans Majmû’ el Fatâwa (22/148, 149-155) :« Pour différencier entre les habits des hommes et celui des femmes, il faut se baser sur ce qui convient à chacun d’entre eux. Soit, tout ce qui correspond et qui est imposé à chacun. Il est imposé aux femmes de se couvrir et de se voiler sans dévoiler leurs parures ni s’exhiber. C’est pourquoi, il n’est pas légiféré pour la femme d’élever la voix ni pour l’Adhân (l’appel à la prière), ni pour la Talbiya (invocations du pèlerin). Elle ne doit pas non plus monter sur les monticules de Safâ et Marwa, ni se dévêtir durant sa sacralisation contrairement à l’homme. Celui-ci doit en effet, se dévêtir la tête et de ne pas mettre ses habits usuels, dont la couture respecte les formes du corps. Il ne doit pas porter de chemise, de pantalon, de manteau, ou des chaussons (…) quant à la femme, elle peut s’habiller sans restriction au cours de l’Ihram (état de sacralisation) ; si elle doit rester couverte et voilée, le contraire ne peut lui être imposé.
Par contre, elle ne doit pas mettre ses gants ou son Niqâb (le voile lui entourant le visage) pour avoir été cousu en fonction des formes du corps ; cette interdiction se vérifie dans la situation où le besoin de les porter ne se fait pas ressentir. »
Ensuite, il a précisé qu’elle doit se couvrir le visage par d’autres moyens que le port du Niqâb pour conclure : « s’il est clair que la femme doit absolument se distinguer de l’homme au niveau de l’apparence, de sorte qu’elle doit se couvrir et se voiler pour ne pas ressembler à l’homme, nous pouvons découvrir sur quel principe ce chapitre est fondé. Il devient évident que les vêtements utilisés en général par les hommes, deviennent interdits aux femmes. (…) Si à la fois dans son apparence, la femme manque de pudeur et ressemble aux hommes, l’interdiction s’étend à ces deux niveaux. Mais certes Dieu Seul sait ! »
5- Il ne doit pas embellir la femme de sorte que celle-ci n’attire pas l’attention en dehors de son domicile sinon elle compterait parmi celles qui exhibent leur parure.
Le voile signifie que la femme doit couvrir tout son corps du regard de tous les hommes en dehors de ses proches (mahram), comme le Seigneur le révèle :
(sans dévoiler leur parure si ce n’est devant leurs époux, leurs pères, le père de leurs époux, leurs fils, les fils de leurs époux, leurs frères, les fils de leurs frères, ou les fils de leurs sœurs).[1]
(Si vous leur demandez un bien quelconque, faites-le de derrière un voile).[2]
Le voile correspond donc à toute chose permettant de couvrir la femme que ce soit un mur, une porte, ou un vêtement. Bien que ce commandement s’adresse aux femmes du Prophète, il concerne cependant toutes les musulmanes, car la suite du verset fournit la raison pour laquelle ce
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