Cette ado n'a peur de rien

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le 09/12/2016 à 08h19




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Mous, sans ressort, sans envie – hormis celle de rester scotchés des heures à leurs écrans! –, voilà comment certains adolescents peuvent apparaître aux adultes. Cette démotivation généralisée, touchant aussi bien le travail scolaire que les activités sportives et culturelles qu'ils affectionnaient il n'y a pas si longtemps encore, a le don d'exaspérer les parents. Elle n'est pourtant pas très étonnante.
Alors qu'il est en pleine période de transformation, un adolescent sait très précisément ce qui ne l'intéresse plus - globalement tout ce qui a trait à son enfance et dont il cherche à se défaire - mais beaucoup moins bien à quoi pourraient ressembler ses nouveaux désirs et ses nouveaux goûts. Il se cherche et dans l'intermède, il se met “ au repos”, n'entreprend plus rien.
Pour redonner à un adolescent l'envie d'entreprendre, rien ne sert de le secouer ou de le traiter de mollusque! Les injonctions ne font que le renvoyer à ses impossibilités actuelles et le démotiver encore davantage.
Le mieux est de lui accorder ce droit à une phase de latence, sans le harceler. Mais il est important également de veiller à ce qu'il ne s'installe pas trop longtemps et trop profondément dans cet état de démobilisation: à terme, il pourrait perdre l'habitude de fournir tout effort et notamment décrocher scolairement.
Il est donc essentiel de le stimuler gentiment, de lui faire des propositions qui pourront l'aider à renouer avec son énergie et sa créativité. Cet été, aurais-tu envie d'organiser des vacances avec tes copains ? Certains de nos amis ont-ils une profession qui t'intéresse, voudrais-tu leur en parler? Enfin, s'il se coupe de ses copains, devient particulièrement irritable, peut-être traverse-t-il une vraie dépression. Il a alors besoin d'être soigné. Isabelle GravillonPhoto : ximehS-Thinkstock

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Publié le
27/10/2015 à 07:00 , mis à jour à 15:43







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"L'adolescent se sent trahi par le monde entier mais aussi par la biologie. Alors dès qu'on le touche, au sens propre ou figuré, il hurle."
"Range ta chambre"; "Réponds moi quand je te parle"; "Ne me parle pas sur ce ton"; "C'est qui ce garçon?"; "Lave-toi, tu sens mauvais"; "Tes cheveux sont gras"; "C'est quoi ce bouton?"; "Arrête de te gaver de cochonneries avant le repas"; "Tu as eu des notes?"... Si vous êtes parent(s) d' adolescent , vous avez forcément prononcé au moins une fois l'une de ces phrases dans les dernières 24 heures. 

A moins d'être champion(ne) de la méditation et doté(e) d'un tempérament plus calme que celui du Dalaï-lama, difficile en effet de ne pas se laisser dépasser par les événements quand l'enfant, cet être de lumière, se transforme en un démon dont il est difficile de croire qu'on ait pu un jour le trouver mignon. 

Parce que l'adolescence est une période de mutation qui déstabilise non seulement le principal concerné mais aussi ses parents, les invectives et injonctions censées le faire obéir se multiplient, avec à la clé un résultat quasi nul. Sans parler de toutes ces réflexions dont on sent bien en les faisant qu'on aurait du les garder pour soi et qui font grimper immédiatement nos rejetons dans les tours. Témoignages et éclairages. 

"Lorsqu'on vit avec un ado, il faut prendre conscience qu'on a en face de soi une personne qui n'est plus ce qu'elle était et qui n'est pas encore ce qu'elle sera", résume la psychologue Elisabeth Brami * . "Françoise Dolto comparait l'adolescent à un homard, je préfère quant à moi parler de grand brûlé. L'adolescence est une mue douloureuse, parce que changer de peau est une souffrance terrible. L'adolescent se sent trahi par le monde entier mais aussi par la biologie. Alors dès qu'on le touche, au sens propre ou figuré, il hurle." 

Là où en tant que parent on voit de la susceptibilité , il faudrait donc plutôt voir une incapacité à comprendre ce qui lui arrive, une peau "à vif", qu'il convient de panser. Cette fragilité extrême explique que tout ce qui est dit soit interprété comme une attaque . Sachant que les parents, qui n'ont pas non plus de repères pour affronter cette nouvelle phase de la vie de leur enfant, brillent souvent par leur maladresse . 

Première catégorie de "phrases qui tuent" pour Elisabeth Brami, "les injonctions , qui ne sont pas toutes illégitimes en soi, mais qui formulées comme des ordres ne servent souvent à rien." Exemple emblématique, le fameux "Range ta chambre", qui n'est suivi en général d'aucun acte. "Sur ce point précis, il faut faire la part des choses entre ce qu'on est en droit d'attendre et ce qu'il vaut mieux laisser tomber", analyse Elisabeth Brami. L'adolescent n'est plus ce petit enfant à qui on demande de ranger ses Légo. Il laisse trainer ses affaires? C'est en quelque sorte son problème et son droit . En revanche, tout ce qui touche à la propreté de sa chambre, et par extension de la maison ou appartement, est non négociable ". 

Mais, poursuit la psychologue, "au lieu de répéter inlassablement les mêmes invectives, il faut plutôt tenter de passer un contrat avec lui". On peut ainsi réunir régulièrement un conseil de famille , dans lequel chacun fait part de ses souhaits et doléances. Ou profiter d'un moment de calme , où l'on n'est pas dans le conflit, pour expliquer à son enfant ce qu'on attend de lui, ce que l'on peut supporter ou non". 

Il est aussi important, poursuit Elisabeth Brami, "de parler de soi": "Je ne peux pas vivre dans un appartement qui sent mauvais parce que tu as laissé pourrir une pomme sous ton bureau", par exemple. Ou bien: "Je sais que ça t'agace, moi même je l'étais quand ma mère me faisait ces réflexions, je ne suis pas parfaite, mais j'ai besoin que tu participes plus à la vie de la maison". 

Une démarche entreprise par Claire, mère en garde alternée d'Hugo et Clémentine, respectivement 15 et 13 ans. "Après m'être épuisée à leur crier tous les soirs de débarrasser la table, à menacer de faire la grève des repas s'ils ne m'aidaient pas au moins à mettre le couvert, j'ai fini par comprendre que plus j'exigeais, moins j'obtenais." Un soir, Claire, au lieu de prononcer pour la millième fois les fameuses phrases, s'est donc fait son propre repas et s'est installée tranquillement pour le manger. 

"Au bout d'un moment, ils sont sortis de leur tannière et sont tombés des nues. Comment avais-je pu les priver de manger, j'étais vraiment atroce, etc. Je ne me suis pas énervée et je leur ai expliqué calmement que je n'y arrivais plus. Que je n'étais pas surhumaine, que j'étais épuisée moi aussi, que je comprenais qu'ils en aient assez de mes demandes, mais que j'existais et que j'avais besoin de les sentir impliqués." 

Une tirade "bien mieux entendue" qui a débouché sur "une vraie discussion , sur ce qu'ils pouvaient faire et ce que je pouvais faire pour que chacun trouve son compte". "Ma fille ne voyait pas d'inconvénient à s'occuper du repas deux fois par semaine, tâche qui lui plaisait bien plus que de mettre le couvert. Et mon fils a semblé entendre enfin mon ras le bol. Depuis, il est plus présent dans les tâches quotidiennes". 

Marie pour sa part ne peut s'empêcher depuis que sa fille est au collège de l'accueillir tous les soirs avec la même phrase de bienvenue: "Tu as eu des notes?". "Je me déteste à chaque fois que je m'entends, je sais pertinemment qu'à son âge ça me donnait envie de griffer. Et pourtant, je ne peux pas m'en empêcher. Je crois que c'est une façon de me rassurer , de lui dire que je m'intéresse. Mais je vois bien que je lui mets la pression ." Dans le même esprit, Valérie raconte: "Ma fille un jour m'a demandé alors que je rentrais du boulot: 'T'as été virée?'. Et, devant mon étonnement, elle a ajouté: 'C'est moyennement sympa hein? Alors arrête de me demander tous les soirs si j'ai pas été collée ou si je ne me suis pas plantée à mon contrôle". 

Si ces injonctions ont quasiment toujours pour effet d'agacer les ados, elles n'entrent toutefois pas dans la catégorie des phrases qui traumatisent ou font mal, rassure Elisabeth Brami. Pour la psychologue, sont en revanche bien plus graves les réflexions qui sont insupportables "parce qu'elles violent l' intimité de l'adolescent". "On devrait bannir tout ce qui peut être ressenti comme un dénigrement du physique." 

"Encore une fois, l'adolescent doit faire face à la métamorphose de son corps et le vit généralement très mal. Il est au courant que sa peau n'est plus si nette, que sa moustache naissante est ingrate ou qu'il ou elle a pris du poids. Le lui faire remarquer, même parfois par un simple regard ou des mots qui n'avaient pas vocation à blesser revient à nouveau à verser de l'acide sur ses brûlures". On remise donc au placard les moqueries sur son duvet, sur ce vilain bouton sur le front ou sur des rondeurs naissantes. 

"Ce qui ne doit pas empêcher d'accompagner l'enfant, en lui offrant un gel assainissant, en lui proposant un rendez-vous chez un dermatologue ou un nutritionniste", conseille Elisabeth Brami. Là encore, elle suggère "de parler de soi", en racontant "qu'on a nous même eu à vivre ça, qu'on aurait aimé que nos propres parents nous aident alors qu'ils n'ont rien fait, qu'on détestait nous aussi devoir sortir quand on se sentait défigurés". 

Idem avec l' hygiène . Oui, confirme la psychologue, "souvent les adolescents sentent la transpiration et rechignent à prendre leur douche". "Mais leur dire 'Tu pues' n'aura comme seule conséquence de les blesser. Il peut arriver que pour certains, rester dans leur odeur et leur crasse soit une façon de se protéger, parce que l'adolescence est aussi souvent une période propice à la régression ." 

On peut les inciter toutefois à prendre soin d'eux en leur achetant une eau de toilette, un gel douche qui sent bon... Surtout, en général, une fille ou un garçon finira par leur dire cette vérité qui semble si difficile à entendre de la part de leurs parents. Et là, comme par miracle, ils la prendront cette douche! 

Enfin, conclut la psychologue, dernière catégorie de phrases qui tuent et sûrement la plus néfaste, celle des réflexions qui touchent à la vie sentimentale ou sexuelle . "Non, les parents ne sont pas en droit de savoir si leurs ados ont un petit copain ou une petite copine. Cela ne les regarde pas. Qu'ils s'occupent de leur propre vie sentimentale et laissent leurs enfants vivre la leur!", s'emporte-t-elle. 

"C'est une intrusion d'autant plus dangereuse qu'à cet âge là, tout est érotisé, tout renvoie à une peur d' impuissance , à l'angoisse d'être anormal, etc. "Le complexe d'Oedipe n'est pas non plus terminé et manifester de la curiosité pour leur vie intime, c'est faire l'inverse de ce qu'on est censé en tant que parent: aider notre enfant à s'éloigner de nous. Inutile de préciser à ce titre que les très graveleux "Ah mais ça pousse!" ou "Dis donc tu en as des poils" sont à bannir. Il y a bien assez du vieil oncle aviné qui ne peut s'empêcher de mettre les pieds dans le plat à chaque réunion de famille pour en rajouter. 

"Dans ces cas précis, l'adolescent a tous les droits de se renfermer ou de claquer la porte. Il faut se rappeler qu'à 15 ans, on a très peu d'humour. C'est probablement déstabilisant quand on a jusque là pu plaisanter sur tout avec son fils ou sa fille, mais c'est caractéristiqu
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