Cet homme un peu soumis sur les bords adore cette trans

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Face aux grosses chaleurs, les chiens ont leur salle de sport à Abou Dhabi





Face aux grosses chaleurs, les chiens ont leur salle de sport à Abou Dhabi


Des chiens courent sur un tapis roulant à la boutique et au spa « Posh Pets » à Abou Dhabi le 16 août 2022. (AFP)


Face aux grosses chaleurs, les chiens ont leur salle de sport à Abou Dhabi




Après avoir été dûment attaché à une laisse par les employés sur l'appareil, Oscar, un Welsh Corgi de deux ans, court sur place à vive allure sur le petit tapis noir bordé de vitres censées éviter les chutes


C'est un cercle vicieux: le recours actuel, intensif, aux climatiseurs, particulièrement énergivores, contribue au réchauffement climatique en cours




Le spectacle remarquable raconte l’histoire du passage à l’âge adulte d’une jeune femme aux cheveux bleus qui crée un monde au sein même de son monde – directement dans son lit. (Photo AN/Ahmed al-Thani)


Le spectacle remarquable raconte l’histoire du passage à l’âge adulte d’une jeune femme aux cheveux bleus qui crée un monde au sein même de son monde – directement dans son lit. (Photo AN/Ahmed al-Thani)


Le spectacle remarquable raconte l’histoire du passage à l’âge adulte d’une jeune femme aux cheveux bleus qui crée un monde au sein même de son monde – directement dans son lit. (Photo AN/Ahmed al-Thani)




Pendant trois nuits consécutives, jusqu’au 27 août, les spécialistes de l’éclairage ont utilisé des ombres pour créer des silhouettes qui se reflètent sur des murs de néons lumineux dans une performance tourbillonnante


Combinant un mélange de danse en direct et de magie de l’illusion, les neuf interprètes humains se sont servis de leur corps – et de quelques accessoires – pour donner vie au diaporama




Par Arab News
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Publié le 28 juillet 2022



Dans cette photo d'archive prise le 5 septembre 2004, la tête de série numéro 3, Serena Williams, des États-Unis, renvoie un coup à la tête de série numéro 15, Patty Schnyder, de Suisse, pendant leur match à l'US Open 2004 à Flushing Meadows (Photo par Timothy A. CLARY / AFP)




Depuis qu'on lui a mis dans les mains sa première raquette, peu après son quatrième anniversaire, seule sa sœur Venus a, par moments, contesté sa supériorité


Serena étendait sa domination sur toutes les surfaces grâce à une tactique simple: profiter de son incomparable puissance pour frapper le plus tôt et le plus fort possible et gagner par KO




Le pianiste sud-africain Abdullah Ibrahim se produira au festival de musique Jazz à la Villette à Paris le 6 septembre 2022. (Photo par Mujahid Safodien / AFP)




Ces musiciens viennent de La Nouvelle-Orléans, New York, Chicago, Los Angeles... autant de places fortes du jazz dans le pays où cette musique est née il y a un peu plus d'un siècle


Dans ce concert de découvertes, quelques légendes du jazz parviennent à se frayer un chemin : Abdullah Ibrahim, Dave Holland, Kenny Barron ou Ravi Coltrane




Par Arab News
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Publié le 21 juillet 2022



Par AFP
-
Publié le 03 juillet 2022





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ABOU DHABI: Avec des températures avoisinant les 45 degrés tout l'été, les habitants les plus sportifs des Emirats arabes unis se dépensent dans des salles de sport climatisées. Mais leurs chiens en étaient privés.. jusqu'à une initiative récente.
A Abou Dhabi, la capitale du riche Etat du Golfe, un nouveau magasin d'alimentation et d'accessoires pour animaux de compagnie met à disposition depuis deux mois, pour la première fois dans le pays, des tapis de course adaptés aux chiens, dans une salle climatisée.
Après avoir été dûment attaché à une laisse par les employés sur l'appareil, Oscar, un Welsh Corgi de deux ans, court sur place à vive allure sur le petit tapis noir bordé de vitres censées éviter les chutes.
Sa propriétaire, Mozalfa Khan, se réjouit d'avoir trouvé ce lieu, où elle dit venir deux à trois fois par semaine.
"L'hiver, je le sortais, mais l'été, il restait isolé parce qu'à chaque fois que je l'emmenais à l'extérieur, il tombait malade à cause de la chaleur", raconte à l'AFP la jeune expatriée pakistanaise.
Avec des températures élevées et une humidité suffocante, "il ne peut pas vraiment se promener et après deux ou trois minutes, il veut rentrer", explique cette créatrice spécialisée dans le design vivant près du magasin.
Son vétérinaire lui a déconseillé de promener Oscar en extérieur durant l'été à cause du risque élevé de coup de chaleur. "L'été dernier, c'était vraiment difficile pour moi parce qu'il n'y avait aucun endroit comme celui-ci", se souvient Mozalfa Khan.
Les Emirats arabes unis, comme les autres pays du Golfe, vivent chaque année de longs étés particulièrement chauds. La plupart des habitants, dont environ 90% sont des expatriés venus du monde entier, restent cloîtrés dans les intérieurs, privés ou publics, fortement climatisés.
Alors que le monde entier suffoque, le Golfe est l'une des régions qui risque le plus de souffrir de l'augmentation des températures due au changement climatique, avec des zones qui seront, une partie de l'année, potentiellement invivables, selon des experts.
Et c'est un cercle vicieux: le recours actuel, intensif, aux climatiseurs, particulièrement énergivores, contribue au réchauffement climatique en cours.
Amoureux des chiens, Mansour Al-Hammadi a eu l'idée d'importer des tapis de course dans son magasin qui vend croquettes comme accessoires estampillés des logos de marques de luxe.
Et, pour inciter ses clients, il a décidé de ne leur faire payer qu'un "prix symbolique" d'un dirham, soit environ 25 centimes d'euros, la minute.
Lui-même propriétaire de trois chiens, le jeune Emirati dit vouloir offrir un "environnement adapté", rappelant que ces amis des humains ont besoin de se dépenser pour rester en forme physiquement et mentalement, au minimum une demi-heure par jour.
"Alors imaginez lorsque vous ne pouvez les promener qu'une minute ou deux par jour!", fait remarquer Mansour Al-Hammadi à l'AFP.
"Nous avons étudié attentivement le projet pour qu'il soit sain à 100%. Tout a été choisi avec soin et non au hasard, afin d'éviter tout problème et de ne pas nuire aux chiens", assure-t-il.
Alors que la nuit tombe sur Abou Dhabi, mais pas la chaleur écrasante, Destiny déboule en trombe dans la petite salle de sport, s'amusant avec les autres chiens et grimpant sur le tapis de course.
Ce berger malinois de sept mois "s'enthousiasme et s'agite" chaque soir lorsque vient l'heure de sa séance, dit à l'AFP son propriétaire Fahed Al-Monjed.
"Pour la santé de la chienne, c'est mieux qu'elle fasse de l'exercice et se dépense. Utiliser un tapis de course d'intérieur est la solution la plus appropriée", estime cet expatrié libano-allemand, qui travaille dans le tourisme.
Pour lui, cette activité est "très saine si vous voulez prendre soin de votre chien" car les appareils ne sont pas automatiques et s'adaptent à la vitesse à laquelle l'animal lui-même souhaite courir.
Sa chienne Destiny, elle, aime la grande vitesse. Elle a récemment gagné un concours de rapidité organisé par l'établissement.
DHAHRAN: Le théâtre du Centre du roi Abdelaziz pour la connaissance et la culture (Ithra) s’est illuminé la nuit dernière avec des danseurs qui ressemblaient à des animaux au clair de lune, leurs mains humaines se transformant en chiens. Ils n’avaient, pour seuls outils, que leurs doigts et leurs jambes stratégiquement synchronisés qui tourbillonnaient derrière des écrans de lumière ultrafins – ainsi que le pouvoir de l’imagination.
Pendant trois nuits consécutives, jusqu’au 27 août, les spécialistes de l’éclairage ont utilisé des ombres pour créer des silhouettes qui se reflètent sur des murs de néons lumineux dans une performance tourbillonnante.
Combinant un mélange de danse en direct et de magie de l’illusion, les neuf interprètes humains se sont servis de leur corps – et de quelques accessoires – pour donner vie au diaporama.
La pièce de danse primée de Pilobolus, une compagnie de danse moderne américaine qui a débuté dans les années 1970, est en tournée depuis 2009. Il s’agit de son premier voyage à Ithra.
Shadowland raconte l’histoire du passage à l’âge adulte d’une jeune femme aux cheveux bleus qui crée un monde au sein même de son monde – directement dans son lit. De la même manière, les visiteurs d’Ithra ont effectué un voyage de 75 minutes sans jamais quitter leur siège.
Avec un dialogue limité, vous pouvez voir que l’héroïne semble lutter contre des démons intérieurs qui émergent complètement lorsqu’elle s’endort dans sa chambre après quelques petites tensions avec ses parents.
Pendant son sommeil, elle se lance dans une aventure épique qui comprend également des interactions avec de mauvaises plantes et des voyages à travers divers endroits, rencontrant différentes créatures lors de sa tournée au pays des rêves.
La musique fait partie intégrante du processus de narration – le début est en grande partie non verbal, de sorte que les membres du public peuvent créer un dialogue dans la langue qui leur convient le mieux. Ce spectacle primé, qui remonte à plusieurs décennies, est une collaboration entre Pilobolus et l’auteur du dessin animé toujours célèbre «Spongebob Squarepants», Steven Banks, ainsi que le musicien David Poe, dont la musique orchestrale et électronique a enrichi l’ambiance.
Shadowland a fait ses débuts il y a treize ans aux États-Unis et est en tournée depuis, sur des scènes de tous les continents – et maintenant en Arabie saoudite. À la fin du spectacle, les danseurs ont créé une silhouette avec leurs corps épelant les mots «Ithra» et «merci» en arabe.
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com
PARIS : Plus qu'une domination, c'est une révolution que Serena Williams a imposée au tennis féminin durant ses vingt ans de règne -quasiment- sans partage, même s'il lui manquera un titre pour égaler le record des 24 victoires en Grand Chelem de Margaret Court.
L'Américaine a «changé le tennis», en a «ouvert les portes», a «inventé l'intimidation», fait venir le «business», relevait pour l'AFP son ancien coach Patrick Mouratoglou en septembre 2021, pour expliquer en quoi sa championne était la plus grande joueuse de l'Histoire, elle qui, à l'approche de ses 41 ans le 26 septembre, dispute à partir de lundi l'US Open pour la dernière fois.
Depuis qu'on lui a mis dans les mains sa première raquette, peu après son quatrième anniversaire, seule sa sœur Venus a, par moments, contesté sa supériorité. C'était le cas dans leur enfance, dans le ghetto noir de Compton, à Los Angeles, car Serena était la cadette de quinze mois et attirait moins les regards que sa longiligne sœur.
Mais leur père Richard ne s'y est jamais trompé. Lorsqu'un entraîneur lui avait assuré qu'il tenait en Venus, alors âgée de dix ans, «le prochain Michael Jordan au féminin», il avait répondu: «Non, je tiens les deux prochains».
Cet ancien gérant d'une société de gardiennage a été le personnage-clé de la carrière des sœurs Williams, qu'il a façonnées depuis leur plus jeune âge après avoir appris le métier d'entraîneur dans des livres et des vidéos. L'histoire a été racontée en 2021 dans un film à succès où Will Smith tient le rôle du père.
Repérées rapidement -le New York Times en parlait déjà alors qu'elles n'avaient pas dix ans-, les sœurs Williams ont d'abord écumé le circuit à deux. C'est Serena qui a gagné le premier titre du Grand Chelem de la famille, à l'US Open en 1999, juste avant de fêter ses 18 ans. Puis Venus est devenue N.1 mondiale en 2002, peu avant sa sœur. De Roland-Garros 2002 à l'Open d'Australie 2003, quatre tournois du Grand Chelem consécutifs se sont terminés par la même affiche: Williams contre Williams. Du jamais vu.
L'argent aussi a rapidement afflué. Des équipementiers sportifs ont fait signer aux deux sœurs, dès leur pré-adolescence, des contrats de plusieurs millions de dollars qui ont bouleversé la vie de cette famille de neuf membres, les parents ayant eu cinq autres enfants de précédentes unions.
Puis les trajectoires des sœurs ont divergé. Alors que Venus se spécialisait de fait dans le gazon de Wimbledon, où elle gagna cinq fois, Serena étendait sa domination sur toutes les surfaces grâce à une tactique simple: profiter de son incomparable puissance pour frapper le plus tôt et le plus fort possible et gagner par KO. Pas question de se laisser entraîner dans de longs échanges où ses kilos de muscles finissent par être lourds à porter.
Ses armes? Le service, frappé parfois à plus de 200 km/h, et le coup droit. La confiance aussi. Elle est persuadée que, quand elle joue son meilleur tennis, personne ne peut la battre. Mais les accidents de la vie ne lui ont pas toujours permis de s'exprimer.
En 2003-2004, elle fut absente huit mois après une opération à un genou. Même si elle n'avait alors que 21 ans, on avait douté qu'elle rejoue au tennis, semblant accaparée par d'autres centres d'intérêt, la mode ou la télévision.
En 2010, elle se taillada les pieds en marchant sur du verre brisé, puis en mars 2011, une embolie pulmonaire faillit lui coûter la vie. Ses déboires, et surtout la tragédie qui a frappé sa famille en septembre 2003 lorsque sa demi-sœur Yetunde fut tuée par balles à Los Angeles, l'ont rendue plus humaine aux yeux du public, dont une partie était fatiguée de la voir gagner.
Quelques mois avant, elle avait été sifflée à Roland-Garros, elle qui a pourtant toujours dit son amour de Paris, où elle possède un appartement. Ces gens n'imaginaient pas que dix ans plus tard, entraînée par le Français Patrick Mouratoglou, elle s'exprimerait dans la langue de Molière sur le court central.
À la tête d'un immense palmarès -7 Open d'Australie, 3 Roland-Garros, 7 Wimbledon, 6 US Open, mais aussi 14 titres du Grand Chelem en double avec sa sœur et quatre médailles d'or olympiques (une en simple, trois en double)- Serena a remporté son 23e et dernier «Majeur» en Australie en 2017. Depuis, elle court après un 24e, en simple, qui lui ferait égaler le record de Court l'Australienne, établi entre 1959 et 1975.
Alors que certains auraient pu voir dans la naissance de son premier enfant en septembre 2017, après une grossesse et un accouchement compliqués, un signe de retraite anticipée, la cadette des Williams a au contraire démontré que sa fille Olympia était pour elle une motivation supplémentaire.
Revenue à la compétition en mars 2018, elle a retrouvé son niveau et joué encore quatre finales, deux à l'US Open et deux à Wimbledon, mais en vain.
PARIS : Quasiment absents des deux dernières éditions à cause de la pandémie de Covid-19, les musiciens américains font un retour en force au festival Jazz à la Villette, organisé à partir de mercredi à Paris.
«Les Américains ne pouvaient pas du tout venir ; là, d'un seul coup, il y a quelque chose qui circule plus. On a retrouvé une configuration pré-Covid», se réjouit Frank Piquard, programmateur du festival qui se déroulera jusqu'au 11 septembre.
Ces musiciens viennent de La Nouvelle-Orléans, New York, Chicago, Los Angeles... autant de places fortes du jazz dans le pays où cette musique est née il y a un peu plus d'un siècle.
Ils incarnent les nouveaux courants d'une scène en pleine ébullition outre-Atlantique, avec de jeunes talents qui vont largement puiser leur inspiration dans le funk, le hip hop ou les musiques électroniques et bousculent sérieusement les codes du jazz.
«On s'est dit que c'était peut-être le moment de miser sur la jeunesse, il y avait énormément de propositions de nouveaux projets», explique Frank Piquard.
Parmi ces propositions qui ont eu le temps de s'épanouir pendant cette période confinée, figure DOMi & JD Beck, un duo de très jeunes musiciens interprète d'un jazz groove. Autre duo, entre électro-pop et funk : Knower, unissant le batteur Louis Cole et la chanteuse Geneviève Artadi. Voilà pour Los Angeles.
La Nouvelle-Orléans délègue Tank and the Bangas, un «combo» qui interprète avec humour une musique rafraîchissante où se télescopent funk, hip hop, soul et jazz.
Angel Bat Dawid, multi-instrumentiste, représentera l'école de Chicago avec un free jazz mystique et incantatoire dans la droite lignée de ses aînés initiateurs, dans les années 60, du concept de «Great Black Music».
Ces jeunes musiciens reçoivent souvent la caution de leurs aînés. Jazz à La Villette a tenu à témoigner de ces liens tissés entre les générations.
Cimafunk, jeune formation cubaine de funk-rap, dialoguera ainsi avec le tromboniste Fred Wesley (79 ans), ex-membre des JB Horns, légendaire section de cuivres de James Brown au siècle dernier.
Autre exemple de formation trans-générationnelle: Scary Pockets, un groupe funky-jazzy-soul vintage né sur la toile où cohabitent le septuagénaire John Scofield, ex-guitariste de Miles Davis, le «quinqua» Larry Goldings à l'orgue et les trentenaires MonoNeon (basse) ou Louis Cole (batterie).
Sans oublier que DOMi & JD Beck a été adoubé par le roi du jazz Herbie Hancock, qui joue sur leur premier disque tout juste sorti.
Dans ce concert de découvertes, quelques légendes du jazz parviennent à se frayer un chemin : Abdullah Ibrahim, Dave Holland, Kenny Barron ou Ravi Coltrane.
Abdullah Ibrahim est l'un des derniers survivants de l'aventure du jazz sud-africain né dans les townships au début des années soixante, au temps de l'apartheid. Seul devant son piano, il transportera son auditoire pour un de ces voyages dont il a le secret.
Jazz à La Villette aime se référer à l'histoire de la soul music et du funk, à travers des hommages à ses héros. Après ceux rendus à Bill Withers par José James et à Prince par Jeanne Added ces dernières années, c'est au tour de Marvin Gaye d'être honoré.
En 1971, Marvin Gaye sort un album révolutionnaire: «What's going on». Drogue, droits civiques, pauvreté, guerre du Vietnam, écologie... autant de thèmes qu'il y aborde, brisant son image d'interprète de romances.
Les chansons de cet album mythique vont revivre grâce au Nu Civilisation Orchestra, une émanation de Tomorrow's Warriors, une sorte d'école de jazz très ouverte, avec une grande mixité sociale, installée à Londres.
«Un projet qui a autant une dimension politique et sociale que purement artistique», souligne Frank Piquard.

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miss_kama , 19 octobre 2009 dans Vos Présentations - Je me présente




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