Cet homme aime bien branler sa queue chez lui

Cet homme aime bien branler sa queue chez lui



⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Cet homme aime bien branler sa queue chez lui
(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)

Depuis deux ans je vis ma vie avec Thibault, l'homme que j'aime. Une décision réfléchie qui faisait suite à une liaison qui avait été sans nuage. Je l'avais connu à la fac et nous avions sympathisé. Pour les cours de géométrie nous avions formé un binôme. J'étais plutôt intellectuel et mathématicien par goût, lui était plutôt intuitif, nous nous complétions parfaitement. Thibault trouvait les pistes à suivre et moi je les finalisais dans la piaule que j'occupais au campus universitaire.

J'étais pédé depuis toujours, j'avais eu plusieurs expériences. Lui était carrément puceau. Il était bien plus beau que moi et je me trouvais très chanceux de l'avoir parmi mes amis. Chaque fois qu'il venait chez moi, j'avais la gaule et je me triturais le cerveau : comment l'amener dans mon lit ? Ma queue, tassée dans mon calbute, me causait une vraie souffrance et je devais, chaque cinq minutes, lui donner un peu plus d'espace. Comme il était très intuitif, il ne lui fallut pas longtemps pour identifier mon problème.

— Je vois que tu manques de tissu. Sors-la, ta pine, ne te gêne pas. Tu veux qu'on se fasse une branlette ?

— OK, mais d'abord on se met à poil.

Il avait un corps délicat, une queue longue et assez fine. J'étais grand, un peu efflanqué et ma bite était bien plus grosse. Je m'agenouillai aussitôt, l'objet de mon désir en bouche. Les pédés qui ne sucent pas sont pour moi des extra-terrestres, car sucer est consubstantiel à la sexualité entre hommes. Heureusement ils sont très rares et j'en ai très peu rencontré.

— Hé ! J'avais parlé d'une branlette !

On ne parle pas la bouche pleine et je continuai à sucer. Je ne savais pas alors si Thibault était gay ou non et il ne le savait pas non plus, mais il ne retira pas sa bite. Il est un proverbe qui dit que l'occasion fait le larron. La pine de Thibault gonfla et il me juta dans la gueule. J'avalai aussitôt son foutre et je me léchai les babines.

— C'est mieux qu'une branlette, dit Thibault.

Je n'allais pas dire le contraire. Je me redressai la queue raide.

— Si tu ne me rends pas la pareille, je devrai me branler, Thibault.

Ce ne fut pas une réussite même si l'intention y était. Les dents me râpaient la couronne et me faisaient un mal de chien. Je me dégageai et lui dis :

— Restons-en là pour aujourd'hui. On a un problème à finir. Quelle est l'aire de ce tétraèdre dont l'un des côtés est une courbe ?

— Il faut déterminer d'abord la surface de portion de cercle, l'ajouter à celle du rectangle et diviser par sinus b.

Son intuition avait vu juste mais il restait à faire des équations qui dépassaient sa compétence. Je fis rapidement les calculs.

— 18,43 cm, juste la longueur de ma bite.

— La géométrie mène à tout. Est-ce qu'elle te mènera dans mon lit ? Tu as compris que je suis gay.

— À vrai dire je m'en doutais. Tu crois que je le suis aussi ?

— Ce sera à toi de trancher. Tu restes dormir avec moi ?

En effet, ça ne coûtait rien et dès le matin au réveil Thibault et moi étions fixés sur son orientation sexuelle. J'avais trouvé place dans son cul et il m'avait dit :

— C'est mon truc. Tu crois qu'on pourrait vivre ensemble ?

Ça faisait deux ans maintenant et au plaisir de s'enculer s'était ajouté de l'amour. J'avais 23 ans, lui 22, et j'étais l'homme de notre couple. Non que Thibault fût féminin, mais quand il se donnait à moi, il se faisait tellement fragile que je voulais le protéger. Son anus était une chatte, je le pénétrais lentement et je lui donnais du plaisir. Il n'éprouvait pas le besoin de vouloir inverser les rôles, ce que j'aurais fait par amour même sans désir d'être passif. Nos bouches soudées par un baiser, ses minces bras autour de moi, ses jambes encerclant mon bassin, le livraient à moi corps et âme et quand je déchargeais en lui, son sperme jaillissait aussi. Étroitement mêlés l'un dans l'autre, nous nous endormions apaisés.

Comme nous vivions une vie de couple, nous ne nous séparions jamais. Mes parents l'avaient accueilli avec chaleur, heureux de voir que je me stabilisais enfin. Mon existence jusqu'ici avait été très chaotique et je ne me protégeais pas beaucoup. La chance m'avait accompagné et je n'avais rien attrapé. Thibault n'avait plus que son père et il me reçut fraîchement. C'était un homme de cinquante ans et qui me parut homophobe. Le coming-out de son fils l'avait laissé un peu groggy. Chef d'entreprise autodidacte, il possédait six concessions automobiles et n'avait qu'un seul héritier. J'avais ruiné sans le savoir ses espoirs de pouvoir transmettre le fruit du travail d'une vie à un garçon qui à son tour pourrait continuer la lignée. Car Thibault était fils unique. Une question me taraudait. Veuf à l'âge de quarante-deux ans, son père n'avait pas de compagne.

— Pourquoi ne s'est-il pas remarié ?

— Ça, c'est un mystère pour moi. Il a eu pas mal d'occasions mais est resté célibataire et pourtant c'est un très bel homme.

Oui, Jean Beltran était bel homme et paraissait dix ans de moins. Son visage était régulier et sa moustache très soignée, noire et en croc sous son nez droit, lui donnait un air conquérant. Sa silhouette haute et élégante, sa tête rejetée en arrière, tout en lui disait l'aristo. Et il vivait dans un château, une demeure du 17ème siècle avec deux tours, un pigeonnier, et un domaine de trois hectares dont s'occupait un jardinier.

Ma première visite au château me fit découvrir mon beau-père et un mode de vie inconnu. Né dans un milieu ouvrier, je n'avais jamais vécu comme Thibault dans des espaces aussi grandioses. Cuisine, salle à manger, bibliothèque, billard, salon, se trouvaient au rez-de-chaussée. À l'étage se trouvaient les chambres, chacune avec salle de bains. Sous les combles, se trouvait un sauna.

Pour entretenir la maison, une cuisinière-femme de ménage avait la mission impossible de gérer trois cent mètres carrés. C'était la mère du jardinier, un grand gaillard de trente-cinq ans dont le prénom était Thomas et qui servait parfois à table, l'air très stylé et impassible. Comme je l'ai dit précédemment, le premier repas fut contraint. Nous étions tous embarrassés et la conversation traîna. Ce fut un vrai soulagement de me retrouver dans la chambre enfin seul avec mon Thibault.

— Eh bien ça promet ! dis-je en quittant mes vêtements, si toute la semaine se passe ainsi, ça sera de drôles de vacances.

— T'inquiète, on ne restera pas. On patiente jusqu'à demain et si ça ne change pas, on se casse. Maintenant, prends-moi, s'il te plaît.

Il avait trouvé les mots justes et la façon de me convaincre. Je pris mon jeune amant de face, notre position préférée, car nous pouvions nous embrasser. Le lit était un King size et les draps de soie étaient doux. Les jambes posées sur mes épaules, Thibault guida ma bite en lui et je m'apprêtais à limer lorsque l'on frappa à la porte. Je déculai immédiatement et mis le drap sous mon menton. Thibault enfila son caleçon et s'en alla ouvrir la porte, sa longue queue toujours bandée.

— C'est de la part de Monsieur Jean, dit Thomas portant un plateau avec du champagne et deux verres.

Il gardait son air impassible mais son regard embrassait tout.

— Posez le plateau sur la table, dit Thibault en rangeant sa bite dont le gland pointait au dehors.

Le domestique s'exécuta, lui jetant un regard aigu, puis il s'inclina et sortit.

— Eh bien, c'est une bonne surprise, dis-je en me levant de mon lit. Et en plus, tu as fait une touche. Ce Thomas te trouve à son goût.

— Arrête de dire des bêtises, c'est un garçon irréprochable.

— Oh, je ne dis pas le contraire. N'empêche qu'il t'a drôlement maté avec ton gland sur ton nombril. Ça fait combien de temps qu'il est là ?

— Environ six mois à temps plein, avant il bossait au garage et jardinait à l'occasion.

— Ouais, c'est vrai qu'il n'est pas trop mal. Si on buvait à ta santé ? Bienvenue chez mon paternel.

Nous choquâmes nos verres de champagne et avalâmes une gorgée.

— Oui, c'est du vintage, le meilleur. Mon père le fait venir par caisses. Maintenant je vais t'enseigner la bonne façon de déguster.

Il trempa sa queue dans son verre et me la donna à sucer. Mon amant faisait toujours preuve d'une grande inventivité et c'était aussi la raison pour laquelle la baise multi quotidienne ne tombait pas dans la routine. Sa mouille mêlée au champagne lui donnait une saveur nouvelle et décupla mon énergie. Quand il fut au point de cracher, il se retira de ma bouche et largua son jus dans son verre.

— Champagne au sperme, ça te convient ?

Il avala une gorgée qu'il partagea dans un baiser. Les filaments blancs de son foutre descendirent dans mon gosier et je bandai encore plus fort. Je trempai ma queue dans mon verre et l'introduisis dans son cul.

Et je repris mon enculade avec une vigueur accrue. Mes bras lui enserraient le torse et le mettaient à ma merci. Je pilonnais comme un malade, mes cuisses claquaient sur son cul et au moment d'éjaculer je lui dis, mordant son oreille :

— Dis-le moi, Thibault, dis-le-moi !

— Dis-le encore, plus fort, plus fort !

Et je déchargeai dans son cul.

Le lendemain j'observai mieux le beau jardinier du château pendant qu'il nous servait à table. Grand, brun, avec des yeux noisette, il avait la silhouette élancée d'un homme fort et bien rompu aux durs travaux de jardinage. Je fus le seul à remarquer que lorsqu'il servait Jean Beltran, son ventre pesait contre lui et qu'il bandait contre son dos. Le père de Thibault, impassible, accentuait même le contact en se rejetant en arrière.

La conclusion que j'en tirai c'est que dans la salle à manger nous étions quatre gros pédés. Seul Thibault ne le savait pas et je n'allais pas le lui dire. S'il s'en apercevait, tant mieux, les choses seraient beaucoup plus simples, au cas contraire l'hypocrisie pourrirait notre relation. Ce ne serait pas la première fois qu'un homo est un homophobe. J'avais un espoir cependant car le déjeuner d'aujourd'hui était nettement plus détendu que le dîner d'hier au soir. Peut-être à cause du Pommard qui accompagnait le gibier et qui était le meilleur vin que j'eusse bu de toute ma vie, ou à cause de cet armagnac qui nous tournait un peu la tête. Le père de Thibault s'était résolu à m'appeler par mon prénom et me proposa un Havane.

— Que diriez-vous d'un bon sauna pour éliminer les toxines ? Thomas, tu peux le préparer ?

Thomas acquiesça aussitôt et monta au deuxième étage. Il faisait plutôt frais dehors, la chaleur nous ferait du bien et comme Jean Beltran l'avait dit, après ce repas un peu riche transpirer serait une bonne chose. Deux heures plus tard, nous nous trouvions nus dans le petit habitacle en bois. La vapeur y était intense, régulièrement activée par l'eau que versait à la louche le propriétaire des lieux. La première chose que nous fîmes fut de nous mater mutuellement. Jean Beltran, comme son fils Thibault, avait une queue longue et fine. Son corps était bien conservé et musculeux plus que musclé. Il me détailla discrètement, du coin de l'œil, mais longuement. À cause de la chaleur ambiante ma queue s'était mise à gonfler et se dressait entre mes cuisses, 20 cm de chair puissante avec son gland décalotté.

Thibault bandait effrontément, ce qui n'était pas une surprise. La nudité allait de pair avec l'érection du pénis pour ce jeune homme très sensuel, chose pratique à la maison mais compliquée à l'extérieur. Ainsi nous n'allions plus bronzer sur la plage de l'Espiguette, site naturiste bien connu, car Thibault ne débandait pas et était devenu l'attraction. Il entrait dans l'eau la queue raide et en sortait toujours bandé. J'avais alors pour habitude de le conduire dans les dunes pour lui éponger son trop-plein, suivi par un groupe de voyeurs qui se branlaient autour de nous. Le sauna déclencha en moi une brutale poussée d'hormones et je me penchai sur sa queue.

Jean Beltran, dans la touffeur moite, ne put se contrôler longtemps. La présence de ces deux garçons, la queue en l'air tout près de lui et prêts à se sucer la bite, était vraiment un pousse-au-crime. Il se branla une ou deux fois, fit un grand effort sur lui-même et sortit tout congestionné.

— Je vous laisse, j'ai du travail. Mettez de l'eau sur le charbon et ne restez pas trop longtemps car la vapeur ça amollit.

Ce ne fut pas le cas pour nous. Aussitôt son père sorti, Thibault m'appuya sur la tête et je pris sa belle bite en bouche. La fellation fut très rapide tellement nous étions excités et quand il me jouit dans la gorge je déchargeai entre ses cuisses.

— Tu as mis mon père mal à l'aise, me dit Thibault une fois sortis. Il a été plus que choqué quand tu t'es penché sur ma queue.

— Choqué ? Je dirais plutôt très troublé. Est-ce que tu connais bien ton père ? Je ne le crois pas pudibond, il est trop sensuel pour cela.

— Sensuel ? Tu dérailles, Vincent. Depuis le décès de ma mère, il vit pratiquement comme un moine. Il n'a aucune femme dans sa vie. On dirait qu'il est asexué.

— Tiens, tu es trop bête, Thibault, vraiment, tu n'as rien remarqué ?

— Non, rien, absolument rien. Tu es un obsédé sexuel.

Pour le coup, c'était un peu fort. Je crachai le morceau, furieux.

— Il baise avec le jardinier, il n'a que faire d'une meuf, Thibault. En deux mots, ton père est pédé.

— Je devrai le voir pour le croire.

— Ça, on le verra, sois tranquille, on a une semaine pour cela. Il faut ouvrir l'œil et le bon. Pour moi c'est une bonne nouvelle, parce que si mon intuition est juste, une fois ton père démasqué, il te foutra une paix royale et arrêtera de te saouler avec l'avenir de l'entreprise. Même s'il me fait meilleure figure, il n'a pas abandonné l'espoir de te voir marié un jour et papa d'une famille nombreuse.

— Tout de même, mon père un pédé ! Tu crois qu'il l'est depuis longtemps ?

— Il l'a sûrement toujours été, mais il est d'une génération où les hommes restaient au placard. Ses penchants se sont dévoilés quand il s'est retrouvé tout seul, livré à ses pulsions profondes. Et puis Thomas est arrivé avec sa jeunesse et sa bite et ton père n'a pas résisté.

— Quand j'ai fait mon coming-out, pourquoi n'a-t-il pas fait le sien ? C'était le moment où jamais.

— L'entreprise, Thibault, l'entreprise ! Ton père a beaucoup travaillé, et si tu avais pris la suite, il aurait été soulagé. Essaie de te mettre à sa place.

— Si Thomas l'encule, pourquoi pas ? Il est plutôt sexy, le mec.

Je lui donnai une petite gifle et Thibault éclata de rire.

— On fait un deal, mon bel amant ? Je te laisse aguicher Thomas et toi tu me laisses ton père.

— Tu penses que mon père est passif ?

— Je pense que Thomas le jardinier a une queue longue et épaisse. Je pense que Jean Beltran ton père se fait enculer tous les jours. Je pense qu'un petit changement nous ferait du bien à tous deux. Je pense, comme dit le proverbe, que changement d'herbe réjouit les veaux.

— Du moment que tu es à moi, je ne crains pas la concurrence. Tu vois que je suis très confiant.

— Peut-être trop, pour tout te dire. Je n'ai jamais connu que toi, tu me pousses dans les bras d'un autre. Imagine que j'y prenne goût ?

— Banco, Thibault, je prends le risque ! Si notre couple vole en éclats, c'est qu'il n'était pas bien solide, nos chemins se sépareront.

Cette nuit-là nous fîmes l'amour avec peut-être moins de fougue mais énormément de tendresse. Le challenge voulu par moi, n'était-ce pas un pari fou ? À jouer les apprentis sorciers, ne risquions-nous pas de tout perdre ? Je m'endormis en me disant que mon projet était une élucubration et que je faisais bon marché de l'accord des intéressés. Il fallait oublier tout ça et vivre nos vies sans problèmes.

Mais j'avais très imprudemment ouvert la boîte de Pandore. Ma discussion avec Thibault l'avait choqué et perturbé. Il épiait sans cesse son père, cherchant des signes de connivence avec Thomas le jardinier. Ce dernier, toujours impassible, ne se laissait pas deviner. Même la pression de son pubis contre le dos du garagiste pouvait être une coïncidence que j'avais mal interprétée. Eh bien, non, je n'étais pas dupe ! Quelque chose en moi me disait que mon intuition était juste, mais c'était leur affaire à eux.

Sauf que Thibault, poussé par moi, en avait fait son horizon. Les soupçons pesant sur son père, le jardinier omniprésent, le troublaient, le rendaient fébrile. Voulant en avoir le cœur net, il était devenu espion.

— J'ai besoin de savoir, disait-il, c'est important pour un homo de bien cerner son ascendance. Si mon père est vraiment pédé, ça explique peut-être pourquoi je suis devenu une tapette. Si ça se trouve, il m'a tripoté sans que j'en aie le souvenir.

— Non Thibault, là tu vas trop loin. Tu mélanges tout. Ton père n'est pas un pédophile, c'est juste un homme bisexuel qui vit une relation adulte avec un garçon qui lui plaît.

— Avoue que c'est un choc pour moi. Tu imagines ton propre père en train de se faire enculer ?

— Oui, du moment qu'il a un cul. Un homme a des chromosomes xy et contrairement à la femme, il a une bite et un trou. Il y a un paquet de messieurs qui fourrent et qui se font fourrer et ton père fait partie du lot.

— Toi qui es un homo actif, est-ce que mon père te fait envie ?

— Est-ce que Thomas te fait envie, toi qui es un homo passif ?

— Savoir qu'il encule mon père, ça m'excite, mais j'ai bien conscience que ce n'est pas loin de l'inceste.

— Par procuration seulement. Mais pour répondre à ta question, oui, ton père me fait envie.

— On est dans la merde, Vincent !

Vers 18h le lendemain, Thibault m'attrapa par la main. Il était rouge et essoufflé.

— Ils sont tous les deux dans la cabane, amène-toi, on va tout savoir.

La cabane du jardinier était éloignée du château d'une bonne centaine de mètres. Elle possédait une fenêtre à moitié cachée par du lierre et les vitres en étaient très sales. Thibault cracha dans un mouchoir et en dégagea la poussière, créant un cercle transparent. Les deux hommes étaient enlacés et se roulaient une grosse pelle tout en se malaxant la queue. Thomas s'accroupit et sortit la bite de son employeur qu'il engloutit d'un seul élan.

Je glissai ma main dans le slip de Thibault qui bandait déjà. Il était comme tétanisé, les yeux lui sortaient de la tête. Je lui mis un doigt dans le cul et je me libérai la pine. Il nous restait à nous branler.

Les deux hommes s'étaient dénudés et je vis la queue de Thomas. Elle était courte mais très grosse et apparemment circoncise. Il avait un énorme gland qu'il masturbait de la main droite tandis que la gauche étreignait les deux couilles de Jean Beltran. C'était un suceur émérite et qui y trouvait du plaisir. La longue queue du garagiste lui coulissait entre les lèvres et s'enfonçait jusqu'à la gorge. Quand Thomas eut fini de sucer il fit tourner son partenaire et s'aboucha contre son trou pour lui faire un anulingus, puis il y fourra son gros gland. Jean Beltran écarta les jambes et il se pencha en avant, appuyé contre un établi. Ce fut une vraie chevauchée, des grands coups de bite dans un cul, accompagnés de sourds cris rauques tandis que Thomas enculait et déculait pour se renfoncer de plus belle. Puis il y eut un quadruple orgasme quand les acteurs et les voyeurs déchargèrent tous en même temps. Thibault était complètement déjanté, je dus le prendre par le bras et le ramener au château. Il proférait des mots sans suite, "Grosse bite...mon père...enculé..."

— Tu voulais voir et tu as vu. On fait nos bagages et on part.

— Non, on doit parler avec eux, je ne peux pas partir comme ça sinon ça va hanter mes nuits. Si mon père vit avec un homme, il doit assumer sa liaison et faire son coming-out, faute de quoi nos rapports père-fils seront à jamais dégradés. Rien n'est pire que les non-dits.

— Et comment comptes-tu t'y prendre ?

— Je veux mettre cartes sur table. Je n
Annette Schwartz baisée par tous les trous - Video porno films xxx sexe en streaming
Un casting porno pour cette jeune fille motivée - Video porno films xxx sexe en streaming
La petite blonde Alyssa Cole finit la chatte remplie de foutre

Report Page