C'et gros c'est fort c'est une bite incurvée

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C'et gros c'est fort c'est une bite incurvée
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Buzz · Contenu promotionnel 29 nov. 2017











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«Ce mec, c'était une tête de bite avec une grosse bite.»
«Je suis sortie avec un type qui en avait une de 30 cm. Dans le meilleur des cas, avoir des relations sexuelles était quelque chose d'inconfortable, et en plus il refusait de me faire des cunnilingus. Je l'ai quitté après avoir passé un an a essayer de trouver des excuses pour ne pas coucher avec lui. Le pire, c'est qu'il n'avait aucune idée d'à quel point sa bite était grosse, à chaque fois qu'on parlait de sa taille, il ne voulait pas me croire quand je lui disais qu'il était plus gros que la moyenne.»
«Étant lesbienne, je n'ai pas vu beaucoup de pénis depuis que j'ai perdu ma virginité à 17 ans. Mais ma première expérience avec quelqu'un du sexe opposé a été un homme qui, à ce jour, a le plus gros pénis que j'aie jamais vu. On faisait du camping avec un grand groupe, sous tentes et à cheval, près de la rivière Suwannee en Floride. Mon petit ami de lycée et moi sommes allés tôt dans ma tente, et l'on s'est lancés dans une session de câlins assez chauds. Après m'avoir demandé mon accord, il a sorti un pénis extrêmement long, dur comme un roc et très massif.
On a passé les 10 minutes suivantes à essayer de faire rentrer juste le bout. C'était épuisant et ça faisait mal, mais lui était déterminé et moi j'étais en pleine période "j'ai pas envie d'être lesbienne" donc je faisais preuve de beaucoup de patience, même si je souffrais terriblement. Heureusement, une fois qu'il était rentré, ça n'a pas duré très longtemps. Mais parfois quand j'y repense, je me souviens de la force avec laquelle cet énorme membre rentrait dans ma chair. C'est pas que cette expérience m'a dégoûté pour toujours des hommes — je pense que c'était déjà réglé à ce moment là —, mais j'ai clairement appris à apprécier le lubrifiant.»
«Il y a quelque temps, j'étais vraiment AMOUREUSE de ce type qui était apparu dans mon émission de télé-réalité préférée. J'étais fan, et j'allais sur son Instagram dès que j'en avais l'occasion. Un jour, il a remarqué un de mes commentaires, et m'a envoyé un message. On a échangé nos numéros et on a commencé une relation à distance, et un jour il m'a envoyé une photo de sa bite qui m'a fait avaler mon café de travers. Vu sa taille, je pensais qu'il aurait une bite de taille moyenne, mais il était ÉNORME. J'étais certaine qu'il allait me casser en deux. Malheureusement, on a rompu avant que je puisse aller le voir pour un weekend. J'ai raté cette bite.»
«Je prenais un verre avec mon meilleur ami, et il a invité un de ses potes. On est allé aux toilettes en même temps, et, pour faire court, elle était si grosse qu'il avait besoin de la tenir à deux mains pour pisser. Je n'étais même pas jaloux à ce niveau-là, seulement effrayé.»
«Je rencontré un mec sur Tinder, et après l'un de nos rencarts, on a fini chez lui. Honnêtement, j'ai voulu résister, mais je n'ai pas pu me retenir, et nos vêtements ont volé à travers la pièce. Un truc que j'aime faire, c'est avoir la tête qui dépasse du lit et défaire le pantalon du mec pendant qu'il est debout, avant de lui faire une fellation. Quand je lui ai retiré son pantalon, sa bite m'a tapé le front, et j'ai eu le souffle coupé en pensant que cette chose allait finir dans ma gorge. Je ne crois pas que je sois parvenue à mettre plus de 3 cm de ce monstre dans ma bouche, et le sexe a été presque désagréable. PRESQUE, car l'épaisseur de cette bite-bûche était incroyable. Cela va sans dire, si un jour j'en ai le courage, je le rappellerai.»
«Quand j'étais plus jeune, il y avait ce type qui m'a dragué pendant des mois. Il n'arrêtait pas de me dire qu'il avait une bite de la taille d'un clavier, et je n'arrêtais pas de l'ignorer. Finalement, j'ai changé d'avis. J'étais dans sa chambre, et, quand il l'a sortie, j'ai d'abord pensé : "Oh mon Dieu, elle fait vraiment la taille d'un clavier pour enfants." J'étais prête pour le challenge mais je me suis vite rendue compte que c'était juste trop gros pour moi. Il arrivait à peine à faire rentrer le bout sans que ça fasse mal, que je me plaigne et que ça glisse. Un jour ça a glissé et j'ai juste serré les cuisses très fort et je l'ai laissé baiser comme ça en faisant comme si c'était mon vagin parce que y'avait pas moyen que ça rentre de toute façon.»
«Mon ex en avait une d'environ 30 cm. C'était une grosse tête de bite, je suppose que c'est normal qu'il en ait eu une grosse.»
«J'étais en deuxième année de fac, et j'étais vierge. J'avais flirté avec ce mec rencontré en cours, et un soir, il m'a invitée chez lui. Bien sûr, la première fois que j'ai vu son pénis, j'ai pensé qu'il était de taille normale, parce que je n'en avais pas vu beaucoup auparavant, mais j'arrivais à peine à le mettre dans ma bouche. Quand il a essayé de me pénétrer, seul le bout rentrait. J'étais très gênée, parce que je pensais que c'était ma faute. Mais bon, il l'a bien pris. J'ai appris par la suite qu'il tournait dans des pornos à côté pour se faire un peu d'argent. »
«J'ai rencontré ce type quand je bossais dans une boutique de chaussures. Il était gênée à cause de sa grande pointure de chaussure, et je lui ai dit en plaisantant, «Vous savez ce qu'on dit des hommes à grands pieds» en lui faisant un clin d'œil. Quelques temps plus tard, on commence à se voir, et putain, cette blague était plus qu'adaptée. il en avait une ÉNORME ! Au moins 30 centimètres. Les relations sexuelles étaient... compliquées. Je me souviens qu'il m'avait dit "Les mecs ont toujours envie d'avoir une grosse bite, mais en fait, c'est vraiment chiant."»
«J'avais un plan cul avec un mec, et, sans déconner, sa bite était grosse comme une cannette de Monster. Je parle en longueur et en largeur. La première fois que je l'ai vue, j'ai honnêtement eu une exclamation de surprise. Jusqu'à aujourd'hui, cela a été le meilleur coup que j'ai eu. Coucher avec lui me faisait me sentir vraiment pleine, et c'était juste à la limite entre plaisir et douleur. J'ai versé une larme en l'honneur de ce glorieux pénis quand il a déménagé.»
«J'ai trainé pendant quelques mois sur une plage naturiste à Hawaï. Un mec avait le plus gros pénis de la plage, un énorme et monstrueux engin de 30 cm non circoncis. Il en était tellement fier ! Il roulait des mécaniques sur la plage, tout sourire.»
«J'ai eu mon premier plan d'un soir à 17 ans. Il faisait sombre, j'ai mis la main pour le masturber, et j'ai cru que je lui avais saisi l'avant-bras. Il était tellement gros qu'il m'a presque cassé en deux.»
«La bite de mon ex était comme une batte de base-ball. Sérieusement, même longueur, même largeur, même forme. Enfin, pas sérieusement, mais AU MOINS 25 cm. Le gland était plus gros que le reste, et c'était incroyable quand il prenait son temps et se retirait complètement avant de re-rentrer. Mais, bon sang, quand il commençait à pilonner, je sentais mon col de l'utérus tressaillir.»
«25 cm, et aussi gros que mon poignet. Le problème ? Il était persuadé que ses 25 cm étaient tout ce qu'il fallait pour que le sexe soit agréable. Il restait allongé, comme l'incarnation d'un bâillement. Mon meilleur coup ? 12 centimètres et la fougue de quelqu'un qui ne lâchera pas l'affaire.»
«Je suis allé dans une petite université chrétienne de l'Idaho aux États-Unis. Je sortais avec ce garçon dont les parents étaient missionnaires, et qui était donc très religieux, mais il faisait près de 2 mètres, et son pénis était à l'avenant. Comme nous étions tous deux très religieux à l'époque, nous n'avons pas eu de rapports sexuels avec pénétration. Les garçons n'avaient pas le droit d'aller dans la chambre des filles, et vice-versa, donc on se masturbait toujours l'un l'autre dans des placards et des salles de classe vides, ou dans le bureau de son surveillant la nuit. Je n'avais jamais vu de pénis de ma vie, donc, quand j'ai commencé à jouer avec, je n'ai pas trop réfléchi au fait qu'il faisait au moins 25 cm en érection, et que ma main n'en faisait pas le tour. J'ai simplement pensé que c'était normal. Nous n'avons pas eu de rapport sexuel avec pénétration pendant l'année et demie où nous sommes sortis ensemble. Parfois, je me demande comment ça se serait passé, et je suis un peu soulagée du fait que la première bite qui m'ait pénétrée ne faisait pas 25 cm.»
«J'avais 18 ans, et le type que je voyais était un joueur de football américain de 2 mètres, et, quand on s'est retrouvés nus, il était tellement gros que j'ai menti en lui disant que je n'avais plus de préservatifs pour éviter d'essayer de faire rentrer ce géant. Mon inexpérience a clairement contribué au fait que je n'avais pas confiance en moi. Je ne peux pas dire que j'aurais refusé si je l'avais vu aujourd'hui ! Il était BÉNI.»
«Au début de ma deuxième année de fac, j'ai rencontré ce mec d'une autre fac qui rendait visite à des amis. On a fini ensemble ce soir-là, et son pénis était le plus gros que j'aie jamais vu, au moins 25 cm en érection. Pour faire court, je lui ai fait une fellation, son pénis était trop grand pour tenir dans ma bouche et est ressorti, mais, en ressortant, il est remonté et lui a claqué le ventre dans un grand bruit. Cela m'a tellement fait rire que j'ai sans doute cassé l'ambiance.»
Les histoires ont été modifiées dans un souci de concision et de clarté.
Ce post a été traduit de l'anglais .
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Masturbation excessive, mauvaise hygiène, positions inadaptées... Au quotidien, certains de vos gestes nuisent à votre pénis et votre capacité érectile. Alors, comment stopper ces mauvaises habitudes ? Patrick Constancis, chirurgien spécialisé en urologie et andrologie, livre ses meilleurs conseils.
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Publié par Aurélie Blaize , le 07/05/2014 à 14:36
Mis à jour par Louise Ballongue , le 17/02/2020 à 14:36
C'est connu, le membre masculin est un signe de virilité pour les hommes. Mais, votre pénis est-il en bonne santé ? Voilà une question que tous les hommes devraient se poser. Plusieurs facteurs peuvent affecter son état. Aussi, adoptez dès maintenant les bons gestes pour en prendre soin.
Le pénis appartient aux systèmes reproducteur et urinaire masculins. Il est composé du gland , à l'extrémité, et de la verge . Son extrémité en forme de cône possède une petite ouverture où passent l'urine et le sperme qui transitent tout d'abord par l'urètre. Le gland est recouvert d'une peau protectrice, le prépuce . La verge, qui commence à la base du pénis, ressemble à un cylindre.
Lorsqu'une excitation sexuelle se produit, le pénis durcit et se dresse grâce à une importante arrivée de sang dans les tissus érectiles : c'est l'érection . Pour que l'homme puisse assurer un acte sexuel et pénétrer dans le vagin, le pénis doit être en érection.
Le pénis non excité est souple et pend entre les jambes. Il est composé de tissus érectiles richement innervés , composés de deux corps caverneux et d'un corps spongieux. Dès la naissance, les garçons commencent à avoir des "érections réflexes". Chez l'adolescent ou l'adulte, on peut constater une érection réflexe le matin au réveil.
La taille du pénis n'a aucune importance dans la satisfaction sexuelle d'un couple. En effet, les parois du vagin ont la capacité de s'adapter à la forme et à la taille de n'importe quel organe masculin.
Par ailleurs, pour votre bien-être et celui de votre partenaire, il est important de prendre soin de votre pénis . Si vous ne le faites pas, vous pourrez courir le risque d'avoir différentes maladies sexuellement transmissibles.
En cas de rapports sexuels non portégés, de nombreuses maladies sexuelles peuvent apparaître chez l'homme. Les symptômes varient en fonction du germe de l'infection.
La mycose est très courante comme inflammation. Le gland va s'enflammer et l'on va voir apparaître des plaques rouges qui démangent. Ces lésions cutanées seront alors bordées de pustules, qui ressemblera de près à un enduit blanchâtre.
Ces symptômes peuvent également annoncer une infection à trichomonas, au streptocoque B ou au gonocoque , des IST plus ou moins répandues. Ces dernières sont transmises par un partenaire sexuel ou apparaissent suite à un simple dysfonctionnement de l’organisme (obésité, intolérance aux antibiotiques ou le diabète.
Quant à l’infection au HSV ou herpès génital , elle commence par des vésicules qui démangent, picotent ou brûlent.
Ces derniers se situent sur le fourreau, sur ou entre le gland, et le long du pénis : c’est l’ulcération (la perte d’une partie superficielle d’un tissu). Toutefois, cela ne provient pas essentiellement du HSV puisque d’autres germes peuvent provoquer une ulcération.
En ce qui concerne le papillomavirus humain ou HPV, il est responsable des "crêtes de coq" ou verrues génitales .
Les gonocoques, les mycoplasmes et les chlamydias , quant à eux, provoquent des symptômes spécifiques de l’urètre ( urétrite ). Cela se caractérise par une difficulté à uriner, la chaude pisse ou encore une démangeaison le long du canal urinaire en dessous du pénis. Il peut également s’agir d’un écoulement urétral purulent qui s’accompagne ou non de sang.
Le pénis, et les tous organes génitaux en général, nécessite un entretien quotidien. Or, aussi étonnant que cela puisse paraître, le Dr Patrick Constancis nous explique que "pour beaucoup d’hommes, il y a un gros problème d’hygiène locale". Concrètement "certains ne sont pas lavés depuis plusieurs jours, le prépuce crée alors un cloaque sous le gland".
Les dangers : Le cloaque (orifice naturel des voies génitales et urinaires, ndlr) qui se forme est pourvoyeur d’infections sexuellement transmissibles type HPV ou chlamydia. Des bactéries se multiplient dans l'appareil génital et provoquent une inflammation des organes génitaux.
Ces infections ne sont pas à prendre à la légère : le papillomavirus humain est la première cause du cancer du col de l’utérus et la chlamydia peut entraîner une maladie inflammatoire pelvienne et une stérilité.
Il faut bien nettoyer le gland, tous les jours, le sillon balano-préputial (séparant le gland du corps de la verge) et bien décalotter. Si le décalottage est difficile, il faut consulter un médecin spécialiste. Pour le lavage, privilégiez le savon de Marseille ou d’Alep aux autres produits, conseille le spécialiste.
Le plaisir solitaire aide à découvrir son corps, à comprendre comment se faire du bien… mais à condition de ne pas en abuser. Il peut devenir "nocif" pour le pénis quand il est pratiqué trop fréquemment ou trop tôt. Il peut alors créer des lésions.
Le danger : "Quand la masturbation est trop précoce, le garçon rentre psychologiquement dans un mécanisme d’excitation qui est toujours le même. Ce schéma se mémorise dans son cerveau , il s'habitue à un certain type de stimulation. Or, il ne le retrouvera pas de façon identique quand il sera avec une partenaire. Il n’arrivera pas à avoir une érection" explique le Dr Patrick Constancis.
C’est la même chose pour l’homme qui se masturbe trop souvent. "S’il ne retrouve pas la sensation de la main qui serre son pénis, le film ne se fait pas. Et si ce n’est pas le même processus, ça ne marche pas, il n’a pas d’érection."
Par ailleurs, les hommes peuvent avoir des douleurs à cause des frottements répétés.
Le conseil : ne culpabilisez surtout pas, cela ne fera qu'augmenter vos difficultés. Vous pouvez aussi apprendre à votre partenaire à se masturber afin de créer de la complicité.
Parfois trop excité , l’homme peut se blesser pendant l’acte sexuel.
Les dangers : Des rapports sexuels trop brutaux peuvent entraîner des traumatismes aigus tels qu’une rupture du frein du prépuce ou des corps caverneux (aussi appelé "fracture du pénis" ). Ou des traumatismes chroniques comme quand l’homme développe une maladie de Lapeyronie (courbure de la verge le plus souvent dorsale, parfois ventrale).
Le bon conseil : tempérer votre désir pour éviter tout accident lors de l’acte. Le but étant de vous faire du bien, non du mal. Par ailleurs, n'oubliez pas que la douleur est une alerte, il faut donc stopper l' acte et essayer de comprendre ce qui ne va pas.
À noter : La solidité du frein pénien dépend de la physiologie de chaque homme. En cas de doute, il ne faut pas hésiter à consulter un médecin andrologue, en particulier si les douleurs sont récurrentes.
Chaque homme dispose d’une anatomie génitale différente . Certains vont avoir beaucoup de plaisir en pratiquant une position telle que " la levrette " (derrière leur partenaire) alors que pour d’autres elle sera quasi-impossible à moins de se contorsionner. "Cela dépend de l’orientation de la verge. Selon les coudures, ça risque de tirer, de faire mal, il ne faut pas insister" indique notre andrologue.
Les dangers : La rupture du frein, des corps caverneux et/ou une maladie de Lapeyronie.
Le conseil : il existe de nombreuses positions sexuelles, chacune pouvant être modifiée pour s’adapter à l’anatomie. Il suffit peut-être de vous baisser un tout petit peu plus, ajouter un coussin,
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