C'est tout ce dont vous devriez voir #33

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C'est tout ce dont vous devriez voir #33
1. Tu devrais écouter ce dont ce qu' il ce que ce qui Je ne sais pas je te dis.
2. Il fait ce dont ce qu' il ce que ce qui Je ne sais pas lui plaît et il se moque de ce que pensent les autres.
3. C'était un enfant insupportable ; ses parents lui laissaient faire tout ce dont ce qu' il ce que ce qui Je ne sais pas voulait.
4. Catherine a mis dans sa valise ce dont ce qu' il ce que ce qui Je ne sais pas elle aura besoin pour son séjour à la montagne.
5. Regardez bien ce dont ce qu' il ce que ce qui Je ne sais pas est écrit sur le panneau d'affichage !.
6. J'ai un problème : voici ce dont ce qu' il ce que ce qui Je ne sais pas il s'agit.
7. Il est venu nous voir : ce dont ce qu' il ce que ce qui Je ne sais pas nous a fait très plaisir.
8. Pouvez-vous répéter ce dont ce qu' il ce que ce qui Je ne sais pas vous venez de dire ?
9. Agnès n'est pas encore arrivée; ce dont ce qu' il ce que ce qui Je ne sais pas m'étonne car elle n'est jamais en retard.
10. Ils ont voyagé toute la nuit et veulent se reposer; ce dont ce qu' il ce que ce qui Je ne sais pas je comprends très bien.

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Violette 13 août 2022 à 18:42 dans Jugements Vos compléments me permettent d'aller un pas plus loin, l'exemple donné et vos mots me permettent de m'accueillir encore plus
Marina 10 août 2022 à 17:25 dans Être pour la paix Bonjour à tous, Toute violence sur autrui et sur le bien d'autrui est injustifiable, on est bien d'accord, mais Mélanie
Renaud Perronnet 9 août 2022 à 16:51 dans Pourquoi le mépris de soi-même ou des autres ? Merci Jocelyne.
Jocelyne 9 août 2022 à 15:31 dans Pourquoi le mépris de soi-même ou des autres ? Je suis animatrice d'un groupe de soutien, et il n'est pas rare de rencontrer des personne qui se méprisent et
Pascal 9 août 2022 à 09:48 dans Pourquoi le mépris de soi-même ou des autres ? Bonjour Violette. J’ai juste voulu dire que toutes les attitudes sont permises : la compassion, le mépris, le rejet… La
Renaud Perronnet 9 août 2022 à 09:06 dans Jugements Oui, tout ce que vous dites est très juste, comme vous l’exprimez, c’est bien le rejet de soi-même que l’on
Agnes 9 août 2022 à 07:22 dans Pourquoi le mépris de soi-même ou des autres ? Voilà une très juste et belle réponse qui m’aide à à être «moins « sotte ». On en revient toujours à la
Violette 9 août 2022 à 04:00 dans Jugements Merci pour vos compléments et les distinctions faites. J'arrive à voir maintenant de façon séparée, d'une part la compréhension de
Violette 9 août 2022 à 02:49 dans Pourquoi le mépris de soi-même ou des autres ? Bonjour Pascal, En lisant votre évocation des tortionnaires (passés ou actuels, partout, tout le temps), c'est une grande douleur, et
Renaud Perronnet 8 août 2022 à 23:06 dans Pourquoi le mépris de soi-même ou des autres ? Comprendre - de plus en plus clairement - son propre asservissement au moi névrotique ne dispense de rien mais au

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Faut-il apprendre à « mettre de la distance » dans la relation d’aide ?
« Vous n’échapperez jamais à ce dont vous n’avez pas la connaissance réelle. C’est une certitude. Comment pouvez-vous être libres d’un ennemi, d’un danger, d’une prison que vous ne connaissez pas ? C’est la Connaissance qui donne la maîtrise et la liberté. »
Le mois dernier, par le biais de l’espace « Poser une question » de mon site internet, je reçois ce courriel désemparé :
« Je suis infirmière en réanimation depuis 8 mois environ, diplômée depuis 2 ans.
Je suis tombée sur votre site en recherchant sur internet des conseils sur comment prendre du recul par rapport aux situations que je vis au travail.
J’ai beaucoup de mal à « laisser les problèmes au boulot » comme on dit… Pour vous donner un exemple : j’ai pris en charge une jeune fille de 19 ans qui est décédée d’une méningite et j’ai souffert d’un torticolis pendant un mois, je savais que c’était lié…
J’ai beaucoup de mal à accepter les décès des personnes dont je me suis occupée. Alors on me dit qu’il faut m’endurcir mais je ne me vois pas faire ce travail avec un cœur de pierre !
En plus de ça je me sens coupable parce que je suis de plus en plus agressive envers mon ami, en fait je me défoule un peu sur lui !…
Je crois tout simplement que j’aurai besoin d’en parler mais je ne sais pas vers qui me tourner…
Si vous avez un conseil à me donner, il sera le bienvenu, sinon cela m’aura quand même fait du bien d’exprimer ce qui me pèse sur le cœur par écrit… Merci. »
Quelques jours plus tard, cet autre message désespéré :
« Infirmière depuis près de 20 ans dont 3 ans en long séjour, je suis en arrêt pour dépression nerveuse depuis 2 mois suite au burn-out selon mon médecin (je n’ai plus rien à donner, je suis vidée, je ne supporte plus de voir souffrir, ni mourir), peut-on s’en sortir et comment, car pour le moment, ma seule solution est de tout arrêter… »
Au cours de leurs études et de leurs formations, les instructeurs des différents types d’aidants (éducateurs, soignants, assistantes sociales, psychologues) se sentent justifiés d’insister sur la nécessité de mettre de la distance, pour l’aidant, entre lui-même et « l’aidé ».
La plupart des jeunes infirmières se voient prodiguer ce genre de conseils par leurs ainés : « Tu ne devrais pas t’investir autant », ou encore la simple prédiction négative (et manipulatrice) : « Tu verras, tu ne pourras pas tenir longtemps en continuant ainsi », qui laisse le plus souvent les novices mal à l’aise et dubitatives quant à leur rôle.
En groupe de formation, j’entends souvent des aidants concéder : « C’est vrai, au début je m’impliquais trop, aujourd’hui, j’ai appris à mettre de la distance, à faire en sorte que les choses ne me touchent plus autant, j’ai appris à m’endurcir. »
Un directeur de Maison de Retraite me disait récemment : « Plus la fin de la vie de Madame X – qui se meurt d’un cancer du foie avec blocage biliaire – approche, plus les aides-soignantes de ma maison s’investissent auprès d’elles et plus je les sens déprimer. Il faut absolument qu’elles apprennent à mettre de la distance ! »
Dans un Groupe de Parole que j’anime, un Conseiller à l’Emploi partageait : « Il faut absolument que je parvienne à mettre de la distance vis-à-vis de personnes au vécu aussi dramatique, sinon je n’ai plus qu’à changer de boulot ! »
Pourquoi les aidants croient-ils devoir mettre de la distance ?
Il est vrai que le premier souci de l’aidant doit être de se préserver lui-même car s’il ne le fait pas, il risque de devenir une victime dans sa relation à l’autre.
Si l’espèce humaine a réussi à se préserver, c’est certainement parce qu’elle fonctionne communément de cette manière basique : elle s’éloigne de ce qu’elle considère comme un danger, donc de ce qui lui fait peur. La mise à distance est donc le moyen premier que nous employons vis-à-vis de ce que nous craignons.
Regardons de plus près de quoi l’aidant a peur.
Comme le dit si bien cette élève infirmière en train de mourir, dans sa lettre désormais célèbre(1) : « Pourquoi avez-vous peur ? Après tout, c’est moi qui meurs ! »
N’est-ce pas la personne âgée, atteinte d’un cancer du foie avec blocage biliaire , qui se meurt, alors de quoi les aides-soignantes du service ont-elles peur ?
Ce n’est pas le Conseiller à l’Emploi qui vit aujourd’hui la situation dramatique du chômage mais la personne assise en face de lui.
Pourquoi avons-nous peur à la place de l’autre ?
Une aide-soignante, rencontrée à l’occasion d’une formation sur l’accompagnement des personnes en fin de vie, nous met sur la voie : « Comment voulez-vous que j’ose me confronter à la douleur de cette famille qui vient de perdre sa vieille mère quand le simple souvenir de la mort de la mienne me remplit de terreur ? »
Nous découvrons donc que quand un être humain se retrouve face à une situation ou un événement qui lui rappelle un vécu personnel traumatisant, il ne peut pas faire autrement que de le craindre pour lui-même, même s’il n’est pas, ici et maintenant, mis en cause.
Parce que notre développement, depuis l’enfance, se fait par cristallisation autour d’impressions emmagasinées dans l’inconscient, nos souvenirs traumatisants nous obligent à agir en nous protégeant afin d’apaiser une souffrance insupportable.
Parce que la douleur de cette famille rappelle au psychisme de cette aide-soignante un souvenir personnel trop douloureux, elle ne peut pas agir autrement qu’en tentant de toutes ses forces de l’éviter.
Ainsi, l’aidant en proie au malaise est animé par une confusion des rôles qui l’amène à redouter pour lui, ce qui arrive à l’autre .
Parfois, cette confusion des rôles amène l’aidant à penser qu’il doit faire pour l’aidé ce qui ne fait pas partie de sa tâche propre… comme cette aide-soignante qui emporte régulièrement chez elle pour le laver, le linge sale d’une pensionnaire seule au monde plutôt que d’alerter sa Surveillante du problème. Incapable de voir la limite de son rôle, « prenant sur elle » c’est-à-dire « prenant contre elle », elle s’oblige (contrainte par son idéal de « bonne » soignante) à faire ce qu’elle se reproche de n’avoir pas fait pour sa grand-mère, par exemple.
Cette confusion des rôles fait que certains aidants ne peuvent pas vivre autre chose que de la pitié pour l’aidé.
Ainsi ce psychologue de ma connaissance qui, après beaucoup d’hésitations, décide d’aller rendre visite à sa collègue, victime d’une attaque cérébrale et totalement paralysée dans son lit. Prenant son courage à deux mains (en fait, tentant d’agir contre sa peur), il se rend à l’hôpital pour découvrir qu’il lui est impossible de pousser la porte de la chambre de sa collègue malade et qu’il ne peut que rebrousser chemin.
Poussé par son émotion de pitié (qui le faisait souffrir de l’état de sa collègue), ce psychologue a pensé qu’il devait être capable d’aller la soutenir dans une situation aussi dramatique. (La pitié est une émotion négative parce qu’elle nous fait agir non pas en harmonie avec nous-même mais contraint, là encore, par notre idéal.) Il a donc couru à l’échec et s’en est voulu (culpabilité) de n’être pas conforme à l’image qu’il avait de lui et de ce dont devait être, à ses yeux, capable un psychologue.
Or ce n’est ni de souffrir de l’état de l’aidé, ni de culpabiliser de ses incapacités temporaires qui nous aidera à aider ! Souffrir de la souffrance de l’autre ne rajoutera que de la souffrance à la souffrance et rendra notamment l’aidant dépendant de son besoin de s’en protéger.
Une fois encore, la confusion des rôles animée par les « bons sentiments » (je dois être à la hauteur…) empêche celui qui veut aider de le faire.
D’ailleurs, l’élève infirmière en train de mourir(1) dont nous parlions plus haut poursuit : « Ne nous disait-on pas, dans les cours de psychologie, que si on approche la pathologie du mourant avec sa propre pathologie, cela ne peut que nuire à la relation d’accompagnement ? Et que pour pouvoir être au clair avec l’autre, il faut connaître ses propres sentiments ? »
Ceci dit, la plupart des aidants, font par devoir, ou comme ils peuvent, avec la souffrance et la mort mais ils en « crèvent », et soit se réfugient dans la dépression, soit décident de s’endurcir en se convainquant qu’il leur faut prendre de la distance vis-à-vis de ceux qu’ils se proposent d’aider.
La prise de distance est la solution que croit avoir trouvée l’aidant qui ne sait quoi faire d’autre pour se protéger d’une relation qui lui fait peur, soit parce qu’il redoute l’état de l’autre pour lui-même, soit parce qu’il se sent en porte à faux dans la relation (honte, culpabilité.)
Incapable d’imaginer un autre comportement, il pratique la politique de l’autruche. Un peu comme une mère qui, se sentant démunie devant les hurlements de son bébé, fermerait la porte de sa chambre et se réfugierait dans le salon pour ne plus l’entendre. (C’est parfois ce qui se passe dans les services de gériatrie !)
La mise à distance dans la relation d’aide est le sauve-qui-peut de l’aidant qui va peu à peu se blinder au point de ne plus avoir la sensibilité suffisante pour être capable de discerner l’opportunité de ses interventions.
C’est vrai que j’entends souvent dire de la part des personnes qui gèrent mal leur sensibilité qu’elles auraient rêvé d’être moins sensibles. Elles croient pouvoir fermer les vannes de leur sensibilité en parlant fort, regardant peu la personne qu’elles sont censées aider, et surtout en ne l’écoutant pas vraiment. En mettant de la distance, elles ne sont bien sûr pas en mesure de lui répondre de manière juste(2). Comme telle infirmière qui, ne pouvant pas s’ouvrir à la peine d’une personne âgée lui confiant en pleurant qu’elle aimerait voir son fils aîné, a cru pouvoir la consoler en lui disant de penser aux enfants de sa fille qui sont « si mignons ». A votre avis, la vieille dame s’est-elle sentie comprise et a-t-elle été réconfortée ?
« Loin des yeux, loin du cœur », dit-on, la prise de distance endurcit. Avec beaucoup de sensibilité, la jeune infirmière qui m’a écrit pressent le piège en exprimant : « Je ne me vois pas faire ce travail avec un cœur de pierre ! »
La mise à distance, même si elle le protège momentanément, ne peut que frustrer l’aidant – qui s’éloigne en même temps de ce qui l’a poussé à vouloir consacrer sa vie professionnelle à s’occuper de ceux qui souffrent. Comment en effet concilier le « souci de l’autre », le fait de s’impliquer suffisamment pour aider et la nécessité de se préserver pour ne pas se perdre ?
Peut-on encore parler de relation d’aide lorsque l’aidant ne s’implique qu’avec réticence ?
Une interview du Dalaï Lama(3) me revient en mémoire : « Il m’est arrivé de rencontrer des médecins qui travaillaient derrière d’énormes machines en n’éprouvant apparemment aucune émotion humaine ; ça fait une drôle d’impression. Ces praticiens avaient peut-être de grandes capacités professionnelles, mais ils ne m’inspiraient aucune confiance. »
Et peut-on aller mieux si on n’a pas confiance dans la personne qui vous soigne ou vous accompagne ?
J’en appelle à l’expérience de chacun d’entre nous. Il vous est sans doute arrivé de rencontrer des médecins pour lesquels vous n’étiez visiblement qu’une pathologie à soigner et qui ne croyaient pas devoir prendre l’être humain en considération.
« D’expérience, je me sens mieux soigné par un médecin souriant, qui s’intéresse à mon cas en toute sincérité. » poursuit le Dalaï Lama (3) .
La relation d’aide demande donc,pour exister, l’authenticité et la sincérité de celui qui l’entreprend, car ce sont ces qualités qui permettent en retour la nécessaire confiance de l’aidé sans laquelle aucune aide ne peut aboutir.
Comment alors ne plus courir le risque de se perdre dans la relation à l’autre ?
Il est dangereux (pour nous comme pour ceux que nous prétendons aider) d’entrer en relation d’aide sans s’y être préalablement préparé ; le drame est que certains aidants, la « tête bien pleine » de connaissances théoriques et techniques, découvrent leurs malaises sur le tas, en situation d’aide. Là, en proie à la peur (quand ils veulent bien la reconnaître), ils n’ont pas d’autre recours que de céder à la prise de distance, en se convainquant eux-mêmes qu’ils doivent moins s’investir personnellement.
Or c’est une lapalissade, la mise à distance… éloigne !
Pour ne plus devoir se blinder, pour ne plus devoir mettre de la distance entre l’aidé et nous, nous avons besoin d’apprendre à entrer en relation d’aide.
Ce n’est certes pas le fruit du hasard si la formation que j’anime depuis plus de 15 ans sur le thème de l’accompagnement des mourants s’intitule « Se préparer à accompagner les mourants », et qu’on y pratique un certain nombre d’exercices dont celui de nous situer personnellement par rapport à notre propre mort ou celui de faire le « bilan de ses propres valeurs ». Car l’un des objectifs exprimés de cette formation est de permettre à ceux qui y
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