C'est plus facile entre camarades de cellule

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Sticker: Cest plus facile ensemble! six camarades de classe joyeux sont



C'est plus facile ensemble! six camarades de classe joyeux sont assis sur un plaid sur l'herbe verte dans un parc ensoleillé au printemps prÚs du campus et gesticulant comme des signes, si heureux et .
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Déplacez la partie en surbrillance du motif. Si un détail important manque dans le cadre sélectionné et que vous souhaitez l'inclure, veuillez indiquer cette information dans les commentaires de votre commande.
Merci pour ces commentaires chaleureux !
Nicol
Avis vérifié 13.07.2022

Super, nous sommes trÚs heureux que la décoration vous plaise !
Merci pour ces commentaires chaleureux !
Babouly
Avis vérifié 09.03.2022

C'est juste parfait! Rapide et la qualité est au top!J'en ai déjà parler autour de moi.
Je recommande Ă  100%
Merci Mylowiew!


Fred PC
Avis vérifié 07.02.2022



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Largeur maximale des lés de stickers: 133 cm. Pour les dimensions supérieures à la largeur du matériau, les impressions seront réalisées sur plusieurs lés égaux Utilisation recommandée: murs lisses et plats ou surfaces lisses de meubles, vitres ou appareils électroménagers Nettoyage: chiffon humide Finition: semi-mate
Le sticker vitrail est imprimĂ© sur une feuille transparente donnant un effet verre teintĂ© . Il est recommandĂ© pour la dĂ©coration des fenĂȘtres, portes vitrĂ©es, meubles vitrĂ©s (armoire, buffet, table) . Le sticker vitrail pourra Ă©galement venir orner les murs Ă  la surface lisse et monochrome. PossibilitĂ© de dĂ©coupage suivant le contour. A cet effet, veuillez contacter le service client.
Largeur maximale des lĂ©s de stickers: 133 cm. Pour les dimensions supĂ©rieures Ă  la largeur du matĂ©riau, les impressions seront rĂ©alisĂ©es sur plusieurs lĂ©s Ă©gaux Utilisation recommandĂ©e: murs lisses et plats ou surfaces en verre ou en plexiglas Finition: brillante Nettoyage: chiffon humide Option FrontStick : option supplĂ©mentaire disponible sur commande, la surface collante est prĂ©parĂ©e sur la partie imprimĂ©e. Il s’agit d’une fantastique forme dĂ©corative pour orner de l’intĂ©rieur une vitrine afin que le motif puisse ĂȘtre vu de l’extĂ©rieur. Si vous vous dĂ©cidez pour cette option, merci de bien vouloir nous contacter. Option payante
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Police. Valentin Gendrot : « C’est un bain de violence qui ne cesse jamais »
Pour Valentin Gendrot : "Tant que la majoritĂ© de policiers violents ne sera pas sanctionnĂ©e, ce systĂšme perdurera." © Éd. Goutte d'Or
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Entretien. Pour apporter un Ă©clairage de l’intĂ©rieur sur les violences policiĂšres et le mal-ĂȘtre des agents, Valentin Gendrot s’est glissĂ© dans l’uniforme pendant deux ans. Son tĂ©moignage a donnĂ© lieu Ă  l’ouverture d’une enquĂȘte par le parquet de Paris.
Coutumier de l’infiltration, le jeune journaliste s’était dĂ©jĂ  fait embaucher dans des entreprises afin de tĂ©moigner de la condition des salariĂ©s. Cette fois, c’est la formation d’adjoint de sĂ©curitĂ© et le quotidien d’une brigade de police d’un quartier populaire qu’il a expĂ©rimentĂ©s en intĂ©grant la police. Il raconte cette expĂ©rience « au raz du rĂ©el » dans Flic, paru aux Ă©ditions Goutte d’or.
Valentin Gendrot Oui, en 2017, nous Ă©tions en plein Ă©tat d’urgence et j’ai infiltrĂ© la police avec une facilitĂ© dĂ©concertante. Le concours de policier contractuel pour devenir adjoint de sĂ©curitĂ© ne requiert aucun diplĂŽme. Il faut juste avoir moins de 30 ans et un casier judiciaire vierge, mais j’ai constatĂ© qu’il pouvait y avoir des exceptions. Un de mes camarades de l’école de police Ă©tait un ancien dĂ©linquant, rangĂ© depuis cinq ans. La police l’a acceptĂ©. Un autre avait Ă©tĂ© proche d’un groupe de nĂ©onazis. Dans ma chambrĂ©e, Ă  l’école, il y avait un aide-soignant, un agent de sĂ©curitĂ©, un ouvrier de l’agroalimentaire, en reconversion. Ce qui fait rĂȘver ces jeunes, c’est l’image du policier hĂ©roĂŻque renvoyĂ©e par les films ou les sĂ©ries policiĂšres. Leur quotidien n’aura, hĂ©las, pas grand-chose Ă  voir avec ces fictions. Ce dĂ©calage crĂ©Ă© beaucoup de frustrations.
Valentin Gendrot On nous apprend Ă  marcher au pas, Ă  se mettre au garde Ă  vous, on fait des simulations de contrĂŽles routiers et d’interpellations, on apprend aussi Ă  tirer. L’enseignement de la dĂ©ontologie ne reprĂ©sente que 1 % de la formation totale. NĂ©anmoins, sur ce point, j’ai pu constater le dĂ©calage entre ce que j’avais appris Ă  l’école et ce qui se passe sur le terrain. Ça commence par le tutoiement, alors qu’il est normalement interdit. Nous avons un unique cours de trois heures sur les violences conjugales, composĂ© d’une heure thĂ©orique, suivie du visionnage d’un film de fiction sur le sujet. Or la majoritĂ© de nos futures interventions sur le terrain vont concerner des violences intrafamiliales
 C’est une formation low cost qui dure trois mois. J’en suis sorti aprĂšs un test, que tous les Ă©lĂšves sans exception rĂ©ussissent. J’ai ainsi pu porter l’uniforme et une arme sur la voie publique alors que, clairement, je ne savais (et ne sais toujours pas) m’en servir correctement. Heureusement, je n’ai jamais Ă©tĂ© en situation de le faire.
J'ai pu constater le décalage entre ce que j'avais appris à l'école et ce qui se passe sur le terrain."
Valentin Gendrot Oui, c’est une boĂźte noire
 Cette structure, appartenant Ă  la police et situĂ©e juste Ă  cĂŽtĂ© de l’hĂŽpital Sainte-Anne, est un lieu oĂč l’on pratique la psychiatrie Ă  l’ancienne, Ă  grand renfort de contention, de sĂ©dation et d’enfermement. Y sont enfermĂ©es des personnes interpellĂ©es sur la voie publique et ayant des troubles psychiques. J’ai pu observer la violence qui s’exerce envers les patients dans ce lieu de non-droits unique en Europe.
Valentin Gendrot Oui, c’était mon but de dĂ©part : observer la vie dans un commissariat d’un quartier populaire, oĂč les rapports entre police et habitants sont rĂ©putĂ©s difficiles et les conditions de travail particuliĂšrement dĂ©gradĂ©es. DĂšs le premier jour, j’ai vu un policier frapper Ă  plusieurs reprises un gardĂ© Ă  vue qui tapait Ă  la porte de sa cellule car il voulait aller aux toilettes. Ou encore une femme de 70 ans, venue dĂ©poser une main courante parce que son mari l’avait menacĂ©e de mort, s’entendre rĂ©pondre qu’elle n’a qu’à revenir si cela se reproduit. Le choc ! J’ai eu l’impression d’entrer dans un monde parallĂšle, un bain de violences qui ne cessent jamais.
Valentin Gendrot D’abord, je dĂ©couvre que le terme « bĂątards » est utilisĂ© systĂ©matiquement pour dĂ©signer les jeunes Noirs ou Arabes. Je comprends aussi que « ce qui se passe dans le fourgon reste dans le fourgon ». Les personnes que l’on arrĂȘte y sont quasi systĂ©matiquement maltraitĂ©es, surtout quand ce sont des Ă©trangers dont on suppose qu’ils ne porteront pas plainte. On les embarque, les tabasse et les relĂąche dans des petites rues tranquilles de Pantin, Ă  plusieurs kilomĂštres du lieu oĂč on les a ramassĂ©es
 L’autre zone grise, c’est le commissariat, oĂč les gardĂ©s Ă  vue prennent rĂ©guliĂšrement des coups, surtout s’ils ne sont pas blancs
 Et puis, il y a eu cette fois oĂč un collĂšgue tabasse un adolescent qui Ă©coutait de la musique trop fort au pied d’un immeuble avec ses copains. ProvoquĂ© par le policier, il finira, en sang, au commissariat. Il a portĂ© plainte. Mais le policier accusĂ© a lui aussi dĂ©posĂ© plainte pour outrage et violence. Comme les autres collĂšgues prĂ©sents, j’ai menti pour le couvrir. Ainsi, un seul policier qui a dĂ©rapĂ© embarque toute son Ă©quipe dans une action dĂ©lictueuse pour le protĂ©ger. À aucun moment, il n’a Ă©tĂ© question de briser cette omerta. Tant que la minoritĂ© de policiers violents ne sera pas sanctionnĂ©e, ce systĂšme perdurera.
Pendant deux ans, j'ai vécu en tirant le diable par la queue, avec 1340 euros par mois."
Valentin Gendrot Quand j’ai fait ce faux tĂ©moignage, je me suis demandĂ© jusqu’à quel point j’étais prĂȘt Ă  aller pour Ă©crire mon livre. C’est un cas de conscience avec lequel je vis toujours. Mais je suis convaincu que dĂ©noncer les faits de l’intĂ©rieur aurait Ă©tĂ© vain : ce sont les policiers de mon commissariat qui ont rĂ©alisĂ© « l’enquĂȘte » aprĂšs la plainte du jeune homme. Quand l’enquĂȘtrice qui m’a interrogĂ© m’a dit que ce serait « une formalité », j’ai compris que la parole de mon collĂšgue violent ne serait jamais mise en doute et que l’affaire serait mise sous le tapis. J’ai alors confirmĂ© mon faux tĂ©moignage. Aujourd’hui, j’attends sereinement la convocation de l’IGPN. J’espĂšre que la parole de l’adolescent qui a Ă©tĂ© victime d’une injustice pourra dĂ©sormais ĂȘtre entendue. C’est tout ce qui m’importe.
Valentin Gendrot Je m’y attendais, mais pas Ă  ce point. Sur quatre jours de travail consĂ©cutifs, les policiers sortent en patrouille une fois. Le reste du temps, ils le passent Ă  surveiller les gardĂ©s Ă  vue ou les entrĂ©es du commissariat. Par ailleurs, leurs vĂ©hicules tombent tout le temps en panne ; dans les vestiaires, quand une ampoule grille, elle n’est remplacĂ©e qu’au bout de plusieurs semaines. Pendant ces deux ans, j’ai vĂ©cu dans un petit studio, en tirant le diable par la queue avec le salaire d’un adjoint de sĂ©curitĂ©, soit 1 340 euros. C’est ça, la rĂ©alitĂ© d’un petit flic
 Ces conditions de travail trĂšs dĂ©gradĂ©es donnent aux policiers le sentiment d’ĂȘtre pris pour des moins que rien
 D’ailleurs, c’est une des professions oĂč il y a le plus de suicides. Ce fut le cas de l’un de mes collĂšgues durant mon infiltration.
Valentin Gendrot Durant ma formation, un reportage de l’émission Infrarouge, dans laquelle j’avais fait une infiltration en camĂ©ra cachĂ©e et oĂč j’apparaissais Ă  visage dĂ©couvert Ă  la fin, a Ă©tĂ© diffusĂ©. Un de mes camarades m’a reconnu Ă  la tĂ©lĂ©. J’ai dĂ» dĂ©mentir avec vĂ©hĂ©mence pour lui mettre le doute et, ensuite, le surveiller comme le lait sur le feu pendant plusieurs semaines. J’étais terrorisĂ© Ă  l’idĂ©e qu’il parle. Ensuite, en tant qu’adjoint de sĂ©curitĂ©, c’était plus facile car j’étais naturel Ă  90 %, je ne cachais que 10 % de ma vie, c’est-Ă -dire ma formation de journaliste et le bouquin que j’écrivais, deux heures par jour, en rentrant du boulot. Quand on s’infiltre, il faut toujours rester soi-mĂȘme au maximum, sinon c’est trop difficile Ă  tenir Ă  long terme. C’est d’ailleurs ce que disait aussi Florence Aubenas, Ă  propos de sa propre expĂ©rience qui a donnĂ© le livre le Quai de Ouistreham.
Quelles traces reste-t-il en vous de cette expĂ©rience ?
Valentin Gendrot Au dĂ©part, c’est moi qui ai infiltrĂ© la police, mais au bout de trois ou quatre mois, la police s’est infiltrĂ©e en moi. J’adoptais les mots, les codes de mes collĂšgues. Je me permettais, par exemple, le tutoiement ou des remarques dĂ©placĂ©es Ă  de jeunes interpellĂ©s
 Le mĂ©tier de policier dĂ©forme.

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Avant de nous quitter, voici des contenus qui pourraient vous intéresser
RelayĂ©e par nos confrĂšres du site colombien El Tiempo , cette vengeance a Ă©tĂ© orchestrĂ©e par les codĂ©tenus d’un homme emprisonnĂ© pour des actes pĂ©dophiles. Ce dernier a Ă©tĂ© assassinĂ© et avait un pĂ©nis et un cƓur arrachĂ©.
C’est un assassinat qui a choquĂ© les brĂ©siliens et a Ă©té relayé massivement par les mĂ©dias locaux. Un prisonnier a Ă©tĂ© tuĂ© dans sa cellule par ses codĂ©tenus. L’homme emprisonnĂ© pour des actes pĂ©dophiles a eu le cƓur et le pĂ©nis arrachĂ©s. Le nom de la victime ? Alex Sandro de Souza Mota, un homme de 30 ans qui a Ă©tĂ© assassinĂ© dans sa cellule par trois hommes . Ce sont les gardiens de l’établissement pĂ©nitentiaire qui ont trouvĂ© l’homme inanimĂ© aprĂšs avoir remarquĂ© son absence Ă  la promenade. « Le corps a Ă©tĂ© localisĂ© par des agents pĂ©nitentiaires qui ont remarquĂ© son absence dans la cour ensoleillĂ©e » peut-on lire sur le rapport du dĂ©partement oĂč le dĂ©tenu purgeait sa peine. Dans le document, le crime a Ă©tĂ© qualifiĂ© de « barbare » en raison des circonstances du meurtre. Le cƓur d’Alex Sandro de Souza Mota a Ă©tĂ© placé dans un conteneur Ă  titre de preuve. Selon le mĂ©dia « Massa News », l’homme accusĂ© de pĂ©docriminalitĂ© a Ă©tĂ© retrouvĂ© avec son pĂ©nis Ă  l’intĂ©rieur de sa bouche. Le dĂ©tenu qui purgeait une peine de 20 ans pour le viol de sa belle-fille prĂ©sentait des coupures infligĂ©es par ses codĂ©tenus. Une histoire similaire s’est dĂ©roulĂ©e en Italie. Le pĂšre de la victime a commanditĂ© le meurtre de l’agresseur de sa fille.
Selon le mĂ©dia Massa News, aprĂšs le crime, les codĂ©tenus de l’homme qui purgeait une peine de 20 ans ont subi un interrogatoire. L’un d’entre eux a reconnu sa culpabilitĂ© et a dĂ©clarĂ© qu’il suivait les ordres d’un commanditaire.  IzaĂ­as Cordeiro de Lima, le journaliste responsable de l’enquĂȘte a donnĂ© des dĂ©tails sur ce qui s’est dĂ©roulĂ© dans cette cellule. Il raconte que l’un des dĂ©tenus a portĂ© un premier coup au cou de l’homme qui a subi une hĂ©morragie. C’est Ă  ce moment que l’homme a vu qu’il avait tué Alex Sandro de Souza Mota. « AprĂšs cela, il a allongĂ© la victime sur un lit et a commencĂ© Ă  faire quelques incisions pour extraire le cƓur et a Ă©galement retirĂ© le pĂ©nis », a dĂ©crit le journaliste d’investigation qui a ajoutĂ© que ce dernier a Ă©tĂ© mis dans la bouche du dĂ©tenu. Parfois, les gardiens de la paix peuvent commettre des crimes sur mineurs. C’est le cas de ce policier qui a Ă©tĂ© surpris en train de violer un adolescent de 14 ans.
Un seul des dĂ©tenus interrogĂ©s a reconnu sa culpabilité pour le crime tandis que les autres ont affirmĂ© avoir retenu physiquement le pĂ©dophile pendant cet assassinat. Si ce dernier a Ă©tĂ© jugĂ©, d’autres Ă©chappent Ă  la prison. Cet enseignant pĂ©dophile ne connaĂźtra pas la rĂ©clusion car il est « trop gros ».
RelayĂ©e par nos confrĂšres de BBC , cette affaire est similaire à celle qui s’est dĂ©roulĂ©e au BrĂ©sil. Cet assassinat a eu lieu en Grande-Bretagne et l’homme qui a admis ĂȘtre coupable de 71 chefs d’accusations d’abus sexuels sur des enfants de six mois a 12 ans a Ă©tĂ© poignardĂ© Ă  mort dans sa cellule avec un couteau de fortune. Les enquĂȘteurs chargĂ©s du procĂšs du pĂ©dophile ont dĂ©couvert plus de 20 000 photos et vidĂ©os de ses agressions. L’assassinat de ce dernier a Ă©tĂ© considĂ©rĂ© comme « suspect ».
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