C'est pas dur de s'amuser

C'est pas dur de s'amuser




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C'est pas dur de s'amuser

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Quand on a pas d'amis c'est plus facile d'être seule dans son coin



Bah je vois pas en quoi les deux sont incompatibles.

Mais de là à dire que l'on ne se construit par rapport à personne... c'est presque condescendant en plus d'être bête.
Tant bien même cela serait vrai, c'est en fréquentant des gens (que ça soit des amis ou pour aller commander une baguette) que l'on apprend à se connaître. Parce que ton adaptation sociale dépend également de ton type personnalité de base. Tu peux ensuite apprendre à évoluer parmi eux ET sans eux. Donc prendre autant de recul que tu le veux une fois que t'es seul.

Après chacun son kiff, on peut préférer l'un à l'autre, mais je ne pense pas que l'un comme l'autre soient inévitables. Je pense que personne ou presque ne peut avoir la prétention de dire qu'il s'est construit seul et ce par rapport à personne. Mais si cette personne n'a vraiment jamais eu de contact social de sa vie, j'en viendrai donc à penser que la dite personne ne connaît pas tout d'elle-même (son comportement social quoi en gros)





Il est marrant à suivre ce topic. Entre ceux qui reconnaissent se fondre dans le moule et avoir besoin des autres pour se développer, et les autres qui veulent vivre en marge de la société...

Finalement, y'a un seul post qui a retenu mon attention :

Yam a écrit :

Etre seul ou entouré - j'arrive pas à me voir réduit dans une seule des deux catégories personnellement -, qu'importe dans le fond. Seul compte la réalisation de soi et le plaisir. Chacun peut disposer de sa vie comme il l'entend après tout. Ceux qui voient le mal partout là où il y a sociabilisation sont peut-être des frustrés, ceux qui méprisent les gens solitaires ne sont pas mieux. Parce que les gens heureux usent peu de leur temps à réprimander +/- subtilement ceux qui cherchent à être heureux, que ce soit d'une façon ou d'une autre.

Ces gens là ne sont pas tous affreusement aliénés vous savez. Ils n'ont pas tous pour objectif la reconnaissance d'autrui. S'amuser et rire c'est aimer vivre aussi, tout simplement. Bouger et expérimenter des choses, c'est rarement malsain ou illusoire.




J'vais faire les choses un peu simple. En prenant des comparaisons basiques, mais que tout le monde va comprendre. Tarzan. Le gars est élevé par des singes, grandit comme un singe, tout le toutim. Fin, qui n'a pas vu Tarzan? A côté, on a Jane, élevée par son père, un humain. Alors, certes, c'est une histoire imaginaire, un script, il n'empêche que ce n'est pas si loin de la vérité.

Le réel exemple qu'il y a derrière, c'est l'éducation que nos parents nous donnent, et l'histoire que l'on vit avec eux. S'ils ont du mal à communiquer, on aura du mal à communiquer, et autres trucs dans le style. Pas pour rien qu'on a des caractères similaires, et ça n'a pas grand chose à voir avec les gènes.

Sinon, pour aller au fond des choses, vous êtes tous les mêmes, vous êtes humains. Les goûts et les couleurs, ça ne se discute pas. Certains aiment le vert (étant lyonnais, j'ai du mal ;-) ), d'autres le rouge, etc.
La vie en groupe, c'est la même chose. Certains préfèrent être un peu plus solitaires, d'autres aiment bien se fondre dans la masse, chacun son envie, car on est tous différent.

Je lis, depuis le début, des réactions du style "Je suis unique, donc pourquoi vouloir être comme les autres?". Allo, on est tous différent, on est tous unique. Peu importe la manière dont tu essaieras de copier quelqu'un, tu ne seras que toi. Vouloir se démarquer par sa différence, ou vouloir intégrer une masse de gens pour être comme eux, c'est avoir dans le fond un problème de personnalité. Alors, attaquez moi dessus si vous voulez, no problem. J'ai plein d'arguments encore dans la besace.
Mais quand on se compare aux autres, sans cesse, c'est qu'on ne s'assume pas, qu'on a un rapport aux autres qui est simplement : je suis au-dessus ou en-dessous d'eux. Sur-estime de soi, ou sous-estime de soi. Mais à aucun moment, on ne se dit "Je suis moi". La compétition, c'est bien, mais uniquement dans les compétitions. Dans la vie de tous les jours, c'est nuisible.

J'ai un ami, qui dit ne pas aimer la foule. La vérité, c'est qu'il est en sur poids, n'a pas confiance en lui, et passe son temps libre devant les jeux vidéos. En dehors de ça, c'est quelqu'un d'hyper sociable. Pour vous donner un exemple. C'est un peu caricatural, mais bon...

Donc, au final, ce serait bien pour la majorité d'entre vous de vous considérer comme étant ce que vous êtes. Et là, j'vais me faire taper sur les doigts par 36 personnes pour dire simplement ce que vous êtes, des adolescents. Des jeunes adultes, qui grandissent, se construisent une identité, et se rebellent, car se veulent différents. Différents car c'est ce qui nous personnalise. Ce qui est différent chez nous par rapport aux autres nous donne une personnalité. Et en voulant à tout prix être différent, ou rentrer dans le moule en vous faisant remarquer (ce qui revient à faire valoir ses différences), vous vous comparez sans cesse aux autres.

Vous avez le droit de m'insulter, de venir polémiquer sur ce que je viens de dire, je l'assume en toute honnêteté. Je n'ai que 22 ans, qui suis-je pour dire tout ça?
Et bien, je suis un adulte, qui a un regard sur la société, comme tout le monde, qui dit ce qu'il pense des diverses réactions, et qui cherche simplement à être lui-même.

Donc, pour être clair, le post est un peu provocateur (bon, d'accord, vous pouvez enlever le peu), mais la provocation sert à faire réagir les gens. Et à vous faire réagir. Ceux qui veulent y réfléchir, réfléchissez-y. Les autres, n'y réfléchissez pas. Vous avez votre vie, vous faites votre vie, ce sont vos choix.

Simplement, penser qu'on n'a pas besoin des autres pour grandir, évoluer, qu'on peut se débrouiller tout seul, c'est aller droit dans le mur. Premier exemple qui me vient en tête : les couples. Si vous admettez une fille ou un gars comme étant votre partenaire dans une relation amoureuse, c'est que vous admettez avoir besoin d'elle, lui pour vivre. Ne pas y comprendre un sens "Oh, il est parti 5 minutes, je suis perdu sans lui !". Encore une fois caricatural, mais si on peut éviter de faire de la mauvaise interprétation...

Au final, pour répondre à la question initiale, s'amuser, c'est faire ce qui nous plait. On ne prend aucun plaisir à faire ce qu'on n'aime pas, on ne s'amuse pas. Et malgré tout ce que vous pourrez dire, faire ce qu'il vous plait, c'est se rendre heureux.
En ce qui concerne les soirées, et tout le toutim, là, ce sont les goûts de chacun. Certains sortent tous les 2 jours, d'autres une fois tous les deux mois... Au final, ça n'empêche ni les uns ni les autres d'être des personnes intéressantes à rencontrer, avec qui discuter et avoir des liens.

On est tous différent.

Dernier mot, parce que le pavé est bien long, je cherche bien sur à convaincre, mais en aucun cas à imposer ma façon de penser. Vous êtes libre de pensez ce que vous voulez derrière. Je ne détiens pas la vérité, personne ne la détient (donc tout le monde la détient, raisonnement logique à la con), je dis juste ce que je pense. Certains ne vont pas aimer, d'autres vont se retrouver dedans... Soit.

Mais si le post a énervé, c'est possible, essayez de rester dans le débat, et l'échange. Me concernant, je n'ai pas posté pour avoir raison. J'ai posté pour échanger, avoir d'autres points de vue qui peuvent me faire changer d'avis sur la question.

Bref, pour ceux qui ont eu le courage de lire le pavé, je les félicite.



Je plains tes doigts

En fait, pour ma part, je n'aime pas les gens qui sortent boire ou fumer en faisant croire qu'ils sont heureux et qui me regardent avec mépris l'air de dire "toi t'es un bouffon tu sais pas profiter de la vie" alors que tout ce qu'ils savent de moi c'est que je fais pas comme eux, il y a de quoi avoir de la haine quand on entend ça. Comme si il n'y avait qu'une seule façon d'être heureux, la leur. Comme si c'était universel.

Seulement, ces gens sont pour la plupart (et je donne mon avis personnel) en manque cruel de personnalité, j'ai vu tellement d'anciens amis qui ont changé dès l'arrivée du lycée, et quand je leur demandais "pourquoi tu fumes?", "ça te sert à quoi d'aller à cette fête?" ou "pourquoi tu fréquentes ce groupe?" ils ne savaient pas quoi répondre ou alors c'était "faut profiter de la vie" ou "c'est comme ça qu'on s'amuse aujourd'hui" car avant ils n'avaient pas grand chose pour eux et ont senti dans le groupe un espoir, un échappatoire à leur ancienne vie alors ils ont foncé dedans sans se demander si c'était vraiment ce qui leur fallait. Alors si maintenant ils sont heureux, tant mieux mais ils n'ont jamais développé leur identité, j'ai une hypothèse pour ça, ça peut paraître con mais lisez:

Quand on est seul, on ne parle pas, qu'est-ce qu'on fait quand on ne parle pas? on réfléchit, et réfléchir, penser, aide énormément à pouvoir donner son propre avis sur tout sans aucune influence, oui vu qu'on est seul au moment de la réflexion.

Tandis que quelqu'un de très entouré aura peu de temps pour lui, sa pensé sera toujours instable et penchera toujours d'un côté à l'autre sans trouver l'équilibre, et de ce fait il se posera peu de questions.

Maintenant, c'est pas parce-que j'ai une part de solitude que je suis complètement associable, j'ai des amis, pas vraiment de groupe et on s'amuse à notre manière, par celle qui nous fait vraiment plaisir car on le sait. Et c'est ça qui nous différencie des autres.

Alors après, je ne me suis jamais dit "j'vais pas faire comme tout le monde blabla" surtout pas, j'ai juste appris à me connaître vite et c'est comme ça que j'ai pu faire mes choix seul. Alors oui on a besoin des autres pour se construire et apprendre à se connaître, ce qui change c'est d'utiliser le groupe pour se fondre dans la masse ou pour observer et ensuite faire nos propres choix.

Il y aura des tas de gens contre moi, et c'est normal car c'est un débat, et il y a bien une chose dont j'ai horreur, c'est que quelqu'un nous définisse sans qu'on ait notre mot à dire, style "t'es fermé d'esprit". C'est paradoxal car c'est ce que je fais aussi au final et quelqu'un du "clan adverse" va renchérir en voulant s'expliquer et c'est bien pour ça qu'un débat ne mène à rien, car les avis sont partagés, et heureusement qu'ils le sont.



Bonjour bonjour,

Synthétisons. On est tous pareil. Mais on est tous unique. C'est paradoxal. Mais c'est la vie. C'est dû aux phénomènes de socialisation (coercition, répétition ou interaction) auxquels nous sommes confrontés depuis notre plus jeune âge et quotidiennement dans cette société. Je vous invite à sortir vos cours de SES, ou de faire de brèves recherches \o.

Même si tu détestes le mimétisme Kisa, c'est pourtant un moyen de se construire et d'avoir une identité sociale, et nous sommes tous passés par là et nous passerons tous encore par là, on apprends à se socialiser en reproduisant ce que font les autres, et en les imitant.

Bien entendu, cette socialisation varie en fonction de notre famille et de notre éducation (socialisation primaire) et enfin de nos amis ainsi que notre passage dans le monde adulte (socialisation secondaire). Par conséquent, en fonction de ses paramètres et de notre identité physique et psychique, on a tous des normes et des valeurs différentes, mais aussi des codes sociaux qu'on a pu nous inculquer en appartenant à un quelconque groupe social.

On revient donc à la question de départ. Chacun s'amuse comme il veut et comme il peut, en fonction des codes sociaux et de son appartenance à un groupe.
Et le fait que certains imitent les autres dans le but d'appartenir à des groupes sociaux, ne montrent pas forcément un manque cruel de personnalité, mais plutôt un manque d'affection, de reconnaissance et révèle une peur de l'isolement ainsi que du jugement et du regard des autres.

Bien à vous,



DeadDreams a écrit :

Et le fait que certains imitent les autres dans le but d'appartenir à des groupes sociaux, ne montrent pas forcément un manque cruel de personnalité, mais plutôt un manque d'affection, de reconnaissance et révèle une peur de l'isolement ainsi que du jugement et du regard des autres.



Je suis d'accord sur ces points aussi, j'avais oublié de préciser



DeadDreams a écrit :
Même si tu détestes le mimétisme Kisa, c'est pourtant un moyen de se construire et d'avoir une identité sociale, et nous sommes tous passés par là et nous passerons tous encore par là, on apprends à se socialiser en reproduisant ce que font les autres, et en les imitant.

Et le fait que certains imitent les autres dans le but d'appartenir à des groupes sociaux, ne montrent pas forcément un manque cruel de personnalité, mais plutôt un manque d'affection, de reconnaissance et révèle une peur de l'isolement ainsi que du jugement et du regard des autres.



Je retiens juste les passages qui, selon moi, sont vrai, mais sans plus en faire une généralité. Le mimétisme peut être un moyen de se personnaliser. Certains humouristes peuvent en attester. Mais dans la vie de tous les jours, ça peut être un moyen d'être sans personnalité. Ton identité sociale, ou ton identité tout court, tu ne la crées pas en recopiant ce que font les autres... Quelqu'un qui recopie ce que font les autres, c'est ce qu'on peut également appeler un mouton. "Tiens, j'vais fumer une clope parce que les autres fument des clopes".
Donc oui, mimer les gens peut être un attrait de personnalité s'il est bien dosé et que tu t'en sers naturellement, par instinct. Si c'est un comportement que tu as adopté pour te fondre dans la masse, c'est une preuve, sans aller dans les adjectifs extrêmes, d'une personnalité que l'on a du mal à assumer.

Quant à la dernière phrase, tous les êtres humains sont ainsi. Réduire ça à seulement ceux qui imitent les autres pour se fondre dans la masse... Certains deviennent populaires pour l'affection qu'on leur porte. D'autres cherchent simplement l'affection d'un copain ou d'une copine. Au final, tout le monde a peur d'être seul. Vraiment seul. Pas avoir un trait de caractère solitaire.

Sur le reste, j'suis d'accord.



Pour moi y a une barrière qui fait que après ça devient n'importe quoi.
Tu vas à des soirées tranquille tu vois un peu ça va. Mais si tu te retrouve torché tous les samedis soirs y a peut-être (euphémisme) exagération.
Mais rester toujours dans son coin à dire que les autres qui sortent son tous cons c'est en être un assi et là je dis ça parce qu'à un moment j'en ai fait partie.

Donc c'est bien de sortir de rencontrer des gens et de s'amuser mais pour moi faut pas trop en abuser



White Shark a écrit :
Vous avez le droit de m'insulter, de venir polémiquer sur ce que je viens de dire, je l'assume en toute honnêteté. Je n'ai que 22 ans, qui suis-je pour dire tout ça?


Euh, tu viens d'expliquer, peut-être de manière un peu plus développée, ce que la moitié des gens sur le topic pense, je vois pas vraiment pourquoi tu te ferais insulter.



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Bonsoir !

Bon alors je viens de voir sur un topic quelques personnes qui ont fait des remarques que je n'arrive pas à comprendre. Et comme je veux pas pourrir le sujet de l'auteur, j'en ouvre un autre :3

Venons en aux faits.
Donc les personnes dont je parlais, ont commencé à dire que sortir avec ses amis, faire la fête entre potes c'était pitoyable. Apparemment ils ont plein d'arguments, j'aimerai bien les entendre.
Dans une société où se passer d'autrui est quasiment impossible, j'aimerai bien savoir quelle est leur recette pour rester seul dans son coin et être complètement épanoui

Personnellement je pense que l'on ne peut que gagner à fréquenter du monde, c'est en rencontrant des gens de diverses cultures, opinion, personnalités, ... (Des personnes diverses quoi) que l'on s'enrichit le plus.
Alors sortir faire la fête avec ses amis, pour moi c'est partager un bon moment avec des gens auxquels on tient et pouvoir avoir de beaux souvenirs en leur compagnie.

Enfin voila, ca m'a fait réagir, je vous laisse débattre
A vos claviers !




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Quand on a pas d'amis c'est plus facile d'être seule dans son coin



Bah je vois pas en quoi les deux sont incompatibles.

Mais de là à dire que l'on ne se construit par rapport à personne... c'est presque condescendant en plus d'être bête.
Tant bien même cela serait vrai, c'est en fréquentant des gens (que ça soit des amis ou pour aller commander une baguette) que l'on apprend à se connaître. Parce que ton adaptation sociale dépend également de ton type personnalité de base. Tu peux ensuite apprendre à évoluer parmi eux ET sans eux. Donc prendre autant de recul que tu le veux une fois que t'es seul.

Après chacun son kiff, on peut préférer l'un à l'autre, mais je ne pense pas que l'un comme l'autre soient inévitables. Je pense que personne ou presque ne peut avoir la prétention de dire qu'il s'est construit seul et ce par rapport à personne. Mais si cette personne n'a vraiment jamais eu de contact social de sa vie, j'en viendrai donc à penser que la dite personne ne connaît pas tout d'elle-même (son comportement social quoi en gros)





Il est marrant à suivre ce topic. Entre ceux qui reconnaissent se fondre dans le moule et avoir besoin des autres pour se développer, et les autres qui veulent vivre en marge de la société...

Finalement, y'a un seul post qui a retenu mon attention :

Yam a écrit :

Etre seul ou entouré - j'arrive pas à me voir réduit dans une seule des deux catégories personnellement -, qu'importe dans le fond. Seul compte la réalisation de soi et le plaisir. Chacun peut disposer de sa vie comme il l'entend après tout. Ceux qui voient le mal partout là où il y a sociabilisation sont peut-être des frustrés, ceux qui méprisent les gens solitaires ne sont pas mieux. Parce que les gens heureux usent peu de leur temps à réprimander +/- subtilement ceux qui cherchent à être heureux, que ce soit d'une façon ou d'une autre.

Ces gens là ne sont pas tous affreusement aliénés vous savez. Ils n'ont pas tous pour objectif la reconnaissance d'autrui. S'amuser et rire c'est aimer vivre aussi, tout simplement. Bouger et expérimenter des choses, c'est rarement malsain ou illusoire.




J'vais faire les choses un peu simple. En prenant des comparaisons basiques, mais que tout le monde va comprendre. Tarzan. Le gars est élevé par des singes, grandit comme un singe, tout le toutim. Fin, qui n'a pas vu Tarzan? A côté, on a Jane, élevée par son père, un humain. Alors, certes, c'est une histoire imaginaire, un script, il n'empêche que ce n'est pas si loin de la vérité.

Le réel exemple qu'il y a derrière, c'est l'éducation que nos parents nous donnent, et l'histoire que l'on vit avec eux. S'ils ont du mal à communiquer, on aura du mal à communiquer, et autres trucs dans le style. Pas pour rien qu'on a des caractères similaires, et ça n'a pas grand chose à voir avec les gènes.

Sinon, pour aller au fond des choses, vous ê
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