C'est mieux avec uniforme et talons hauts

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Publié le
20/05/2016 à 16:46 , mis à jour à 18:28







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Le port des talons peut ĂȘtre demandĂ© par l'employeur.
D'un pas mal assuré, ils tentent de descendre les escaliers, de courir pour attraper le bus ou de marcher dans l'herbe. Dans une vidéo publiée sur YouTube le 18 mai, l'équipe masculine de l'édition britannique du magazine Stylist s'est essayée au port des talons hauts . Et leurs réactions sont éloquentes. 

"On a l'impression de porter des skis", s'amuse l'un, "je pense que je vais me fouler les deux chevilles ", avoue un autre. Une expérience aussi amusante qu'instructive pour ces hommes qui le confessent: ils n'avaient jamais eu conscience des difficultés liées à cette norme esthétique . "Je suis vraiment désolé pour les femmes qui sont obligées de porter ça!", s'exclame l'un des participants. 

Véritables objets de torture pour certaines, symboles de féminité pour d'autres, les talons hauts sont souvent liés dans le monde du travail à une imagerie bien particuliÚre, celle d'une femme d'affaires à la fois efficace et élégante . 

Un stéréotype que Nicola Thorpe a décidé de faire voler en éclat. Engagée en décembre dernier par le cabinet d'audit PwC, cette réceptionniste britannique de 27 ans a refusé de se conformer au rÚglement interne de sa société qui stipulait le port obligatoire de talons de "cinq à dix centimÚtres". 

"J'étais censée travailler neuf heures par jour à escorter des clients dans des salles de réunion. J'ai dit que je ne pouvais pas faire ça perchée sur des talons", a-t-elle expliqué à la BBC. AprÚs avoir refusé à Nicola Thorpe le droit de porter des chaussures plates , le cabinet d'audit l'a finalement renvoyée. 

Jugeant qu'elle était victime de discrimination , la jeune femme a publié une pétition lundi 9 mai sur le site du Parlement britannique réclamant l'interdiction de devoir porter des talons sur les lieux de travail. Elle a déjà recueilli plus de 120 000 signatures . 

Et elle n'est pas la seule à s'insurger. Le 4 mai dernier, Nicola Gavins, une jeune Canadienne a posté sur Facebook une photo des pieds ensanglantés de l'une de ses amies, serveuse dans un restaurant, aprÚs le service. Dans son statut, elle dénonce "une politique sexiste , archaïque et dégoûtante". 

Si les femmes sont nombreuses Ă  dĂ©noncer les rĂšgles vestimentaires qui leur sont souvent prescrites, les hommes s'indignent eux aussi des codes qui leur sont imposĂ©s dans le monde de l'entreprise. Sur Twitter, cet internaute rebondit: "Les talons hauts sont ridiculement inconfortables au travail? Je ressens la mĂȘme chose vis-Ă -vis du port de la cravate ." 

Largement normĂ©e, tacitement codifiĂ©e, la tenue vestimentaire relĂšve en principe de la libertĂ© individuelle du salariĂ©. En France, ce dernier doit simplement rester "dĂ©cent, propre et correct", souligne le Code du travail . Pourtant, dans certains cas prĂ©cis, le port d'une tenue vestimentaire professionnelle peut ĂȘtre imposĂ©. 

"Si c'est stipulĂ© dans la convention collective , le rĂšglement intĂ©rieur ou le contrat de travail , l'employeur peut demander Ă  ses salariĂ©s d'endosser un uniforme pour des raisons d' hygiĂšne et de sĂ©curitĂ© ou en cas de contact avec la clientĂšle" , explique Aurore Michaud, avocat en droit du Travail. Le port des talons peut donc ĂȘtre exigĂ© dans une banque, un restaurant ou un magasin par exemple. 

Comme au Royaume-Uni, en cas de conflit, le salariĂ© a tout de mĂȘme la possibilitĂ© de se retourner contre son employeur et de porter l'affaire devant la justice. Si son licenciement est jugĂ© sans cause rĂ©elle et sĂ©rieuse , il pourra prĂ©tendre au versement de dommages et intĂ©rĂȘts, mais pas Ă  sa rĂ©intĂ©gration dans l'entreprise, la libertĂ© de se vĂȘtir n'Ă©tant pas un droit fondamental . Avant d'en arriver lĂ , mieux vaut tenter de trouver un consensus avec son employeur pour avoir la libertĂ© de travailler Ă  plat... ou pas. 





Actu mondiale


Les femmes peuvent-elles lĂ©galement ĂȘtre forcĂ©es de travailler en talons ?




Chloé P.

04 mai 2017


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madmoizelle



Société



Actualités



Actu mondiale



À Londres, une jeune femme a Ă©tĂ© licenciĂ©e pour avoir refusĂ© de porter des talons hauts. Elle a portĂ© l’affaire jusqu’aux plus hautes sphĂšres.

@ChloĂ© P. j'ai un doute sur la syntaxe du titre (de la mise Ă  jour), en revanche le verbe "ĂȘtre" s'Ă©crit toujours "ĂȘtre" sans s. OUSPIE merci !!

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Souvenez-vous : en Angleterre, Nicola Thorp a Ă©tĂ© licenciĂ©e car elle ne portait pas de talons . Ce n’était pourtant pas spĂ©cifiĂ© dans son contrat. (Lire ci-dessous)
Sa pĂ©tition Ă  la suite de ce licenciement a Ă©tĂ© portĂ©e jusqu’au Parlement. RĂ©sultat

Ce qui pouvait faire pencher la balance en faveur de Nicola, c’est la loi anti-discrimination interdisant les rùglementations moins favorables à un genre qu’à l’autre.
Or, selon le Parlement, il est lĂ©gitime d’exiger des talons pour les femmes tant qu’on requiert des hommes un degrĂ© de sophistication vestimentaire Ă©quivalent.
Le problĂšme, c’est qu’ une tenue soignĂ©e pour un homme est potentiellement inconfortable, rarement dangereuse . Alors qu’une femme montant un escabeau, par exemple, ou portant des charges lourdes en talons risque d’ĂȘtre dĂ©sĂ©quilibrĂ©e.
Cependant, le Telegraph nous apprend que le gouvernement, sans revenir sur cette dĂ©cision de justice, promet d’apporter des prĂ©cisions aux entreprises en matiĂšre de dress code , afin de respecter la lĂ©gislation anti-discrimination.
À voir ce que donneront ces prĂ©cisions !
Elle voulait 100 000 signatures, elle en en a obtenu 150 000.
Nicola Thorp, jeune britannique de 28 ans, avait été licenciée car elle refusait de porter des talons hauts.
Pourtant, selon la loi anti-discrimination de 2010 , il est interdit de mettre en place une rĂ©glementation qui serait dĂ©favorable Ă  l’un des deux genres plus qu’à l’autre .
GrĂące au succĂšs de sa pĂ©tition, cette femme a obtenu un dĂ©bat parlementaire. Le Nouvel Obs explique que deux commissions ont menĂ© une enquĂȘte sur les codes vestimentaires des entreprises.
Et l’enquĂȘte a Ă©tĂ© un succĂšs car plus de 730 tĂ©moignages ont Ă©tĂ© recueillis rien que la premiĂšre semaine. Si le gouvernement explique que le fait d’imposer des chaussures Ă  talons aux femmes est illicite, cela reste chose courante dans certaines sociĂ©tĂ©s.
Porter des talons n’est pourtant pas sans consĂ©quence. Selon le CollĂšge de Podologie interrogĂ© dans le cadre de cette enquĂȘte, cela peut causer des troubles articulaires et surtout des douleurs.
Et les chaussures Ă  talons ne sont qu’un Ă©lĂ©ment parmi tous ceux imposĂ©s dans certaines entreprises

"Les femmes devaient dĂ©boutonner leur chemisier durant les fĂȘtes de NoĂ«l" Le Parlement britannique dĂ©bat de l'Ă©galitĂ© homme/femme au travail pic.twitter.com/HBPk64QORF
— Brut FR (@brutofficiel) March 15, 2017
Pour l’instant, pas de grands changements donc, si ce n’est que cette affaire a portĂ© ses fruits par le bruit qu’elle a causĂ© .
Aujourd’hui, l’agence pour laquelle travaillait Nicola Thorp a changĂ© son code vestimentaire et n’impose plus de talons aux femmes .
Parfois, ouvrir sa gueule, ça paie.
Ça y est, la pĂ©tition de Nicola Thorp a dĂ©passĂ© le seuil minimum pour ĂȘtre prise en compte par le Parlement et comptabilise maintenant plus de 125 000 signatures !
Et ce n’est vraiment pas du luxe d’attirer l’attention sur le sujet, puisqu’en parallĂšle, une maquilleuse canadienne, Nicola Gavins a soulevĂ© un problĂšme similaire Ă  Edmonton (au Canada, donc) :
« Les pieds de mon amie saignaient au point qu’elle a perdu un ongle d’orteil et elle n’avait toujours pas le droit de porter des chaussures plates »
L’occasion, peut-ĂȘtre de profiter de l’attention qu’a gĂ©nĂ©rĂ© la mĂ©saventure de Nicola Thorp pour attirer celle des gouvernements et lĂ©gifĂ©rer sur la question une fois pour toutes ?
Article initialement publié le 12 mai 2016
Nicola Thorp est une Londonienne de 27 ans qui a plutĂŽt de bonnes idĂ©es : en personne futĂ©e, elle est allĂ©e bosser avec des chaussures plates mais Ă©lĂ©gantes , rapport que c’est mieux quand on est hĂŽtesse, Ă  piĂ©tiner toute la journĂ©e.
Sauf qu’en arrivant sur son lieu de travail, chez PwC , personne d’autre n’a eu l’air de penser que c’était une bonne idĂ©e. AprĂšs lui avoir remis son uniforme, on lui a fait remarquer qu’ elle ne pouvait pas porter ces chaussures-lĂ  .
Quand elle a dit ne pas en avoir d’autres, on lui a gentiment (non) suggĂ©rĂ© d’aller acheter des chaussures Ă  talons dans un magasin Ă  proximitĂ© puis de revenir travailler.
Quand elle a fait remarquer que ses collĂšgues masculins portaient des chaussures plates, on lui a ri au nez
Nicola a alors souligné le fait que ses collÚgues masculins, eux, portaient des chaussures plates . La réaction de son interlocuteur ? Rire !
C’est vrai que vouloir travailler dans une tenue au confort suffisant c’est quand mĂȘme idiot, au moins autant que de rĂ©clamer d’ĂȘtre traitĂ©e de la mĂȘme maniĂšre que ses homologues masculins 

Nicola a donc refusĂ© tout net de porter des talons et a Ă©tĂ© invitĂ©e Ă  rentrer chez elle (sans avoir Ă©tĂ© ni payĂ©e, ça va de soi, hein). À la suite de cette belle journĂ©e, elle a raconté sa pĂ©ripĂ©tie sexiste dans une vidĂ©o de la BBC , qui s’est Ă©galement fendue d’un article : est-ce lĂ©gal de forcer les femmes Ă  porter des talons hauts pour travailler ?
I got sent home from work for wearing flats. It's still legal for employers to require women to wear heels..pls sign https://t.co/2VxzAQhdoC
— Nicola Thorp (@nicolathorp_) May 10, 2016
Un indice sur la réponse à cette question fumante
Mais Nicola Thorp a surtout lancé une pétition pour que le Parlement rende illégal cette exigence des entreprises à ce que leurs employées portent des chaussures à talons . La pétition lancée lundi a déjà recueilli plus de 80 000 signatures : à 100 000, elle sera « prise en considération pour un débat au Parlement ».
De son cĂŽtĂ©, le porte-parole de PwC a prĂ©cisĂ© que ce rĂšglement ne venait pas de PwC mais du prestataire auquel l’entreprise fait appel pour ses hĂŽtes et hĂŽtesses d’accueil, Portico . Et Portico de rĂ©pondre que Nicola Thorp « avait donnĂ© son accord pour suivre les indications concernant la tenue vestimentaire, qui sont monnaie courante dans le secteur ».
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