C'est loin d'être sa première pipe

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C'est loin d'être sa première pipe


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Les expressions françaises décortiquées
explications sur l'origine, signification, exemples, traductions


L'origine exacte de cette expression n'est pas véritablement connue.
Elle est employée avec ce sens depuis la fin du XVIIe siècle.
Elle semble apparaître pour la première fois dans les Mazarinades en 1649 ( ) où elle est utilisée au sens d' enrager (crever de rage).

Des personnes ne connaissant pas la présence de l'expression dans les Mazarinades ont essayé d'en placer l'origine postérieurement à leur date de parution.
Voici deux des 'explications' proposées :
- Sur les champs de batailles des guerres napoléoniennes, les chirurgiens n'ayant pas d'anesthésiant pour opérer, plaçaient une pipe en terre cuite entre les dents du patient pour qu'il la morde au lieu de crier. Le soldat qui succombait au cours de l'opération laissait tomber sa pipe par terre où elle se cassait.
- Au théâtre, un acteur qui interprétait souvent le rôle de Jean Bart dans une pièce de boulevard, avait toujours une pipe en bouche sur scène pour interpréter ce personnage. Un jour, au cours d'une réprésentation, la pipe est tombée, s'est brisée et l'acteur s'est affaissé, mort.
A vous de choisir celle qui vous plaît le plus, en sachant qu'aucune des deux n'est la bonne.

Nous avons rendu service au monde, que nous résolvions ou non l'équation avant que je casse ma pipe .
Dernière chance avant que tu casses ta pipe .
Mais, elle a cassé sa pipe , monsieur.
Tu as cassé ta pipe , mon chou.
C'est moi qui décide où et quand je casserai ma pipe .

Hier je suis allée au Casino de Castéra-Verduzan (en passant, pas pour jouer...), et dans le couloir en bas est apposé sur le mur de gauche en allant vers le fond (pour ceux qui iraient) un tableau représentant le maréchal Lannes à la bataille de Wagram, chargeant à cheval bien sûr et tenant dans la main droite une pipe - de là viendrait l’expression "aller au casse-pipe" et "casser sa pipe" selon le commentaire à côté du tableau.

L’info est intéressante, mais à rajouter aux deux autres explications puisque Wagram, c’est en 1809, donc après la première utilisation attestée de cette expression avec son sens d’aujourd’hui.

Quelques lignes intéressantes :
http://www.chilton.com/paq/archive/PAQ-97-059.html
Et que j’avoue trouver moins capillotractées que les deux proposées en compléments (mais dont, de toute manière, aucune n’est la bonne !)

Très intéressante cette page ! Elle cite un certain nombre d’expressions effectivement employées avec pipe , et la combinaison de tout ça permettrait de bien expliquer l’origine de l’expression au sens d’aujourd’hui.

Je m’interroge, je m’introspecte, je me tâte...
Johnny le pas francais qui ne peut (re)devenir belge, quand sa petite co-pine du jour lui fait une petite gâterie, pourquoi demande-t-il toujours: "ma pipe, qu’est-ce qu’elle a ma pipe?"
Question existentialiste, s’il en est...

mieux vaut se "fendre la pipe" que de la casser ! (proverbe du Cotentin)
Le plaisir de mes fistons, dans une fête foraine, étaient de viser et réussir à casser des pipes (en terre) afin de remporter le lot convoité ...

je demande à la prochaine qui me la taillera de ne surtout pas me la casser !

lorsque Magritte (superbe site sur cette page ) réalisa son fameux tableau : "ceci n’est pas une pipe" , rien ne prouve qu’il n’aurait pas préférer peindre un : "ceci n’est pas une vie " (mais c’était plus dur !) ?

Avant de casser leur pipe, les flibustiers écumaient les mers.
Ils en profitaient sans doute pour s’en faire tailler de nouvelles dans le même métal.

les expressions "se casser la pipe" et "se casser le cul" ,démontrent si besoin était, que pipe et cul sont synonymes.
Donc c’est décidé : j’arrête de fumer !

On sent bien que tu ne prises pas la chose ?

plaçaient une pipe en terre cuite entre les dents du patient pour qu’il la morde au lieu de crier
: qui a proposé le premier cette explication ? Sais pas, mais je constate qu’elle est reprise par 50 sites, en copier-coller, sans aucune des réserves émises ici par God. Sur internet le sérieux d’une source va se confondre avec le nombre de copiages...
Ici on voit que chaque fois, le détail : "en terre cuite" est repris , preuve que toutes proviennent de la même source unique. Or, autant on peut comprendre l’intérêt -et la facilité - à mordre dans du bois, pour ne pas crier, autant, l’intérêt de mordre dans un tuyau de terre cuite ...
En tous cas, si vous y arrivez sans la pêter,
si, l’ayant mordu, vous mourrez,
si vous ouvrez alors la bouche (ce qui n’est pas obligatoire!) ,
si, alors que vous êtes couché sur une table d’opération, sous la tente, votre pipe au lieu de rester sur vous, tombe au sol,
si elle se brise en tombant de 80 cm, bien que , sur un champ de batailles, le sol de la tente ne puisse être qu’en terre meuble ...
alors téléphonnez à God pour accréditer cette version !

"alors téléphonnez à God "
Et sur son portable, nom d’une pipe !

on peut lâcher sa (des) pipe(s) sans la casser et sans que les autres se "cassent" !
Ainsi Gilou, dès qu’il est dans un bar avec des potes, il prend son biniou et aussi sec il se met à lâcher ses pipes*
N’est-il-pas que vrai, Yannou ... ou Peinard ?
*pipe = note de musique, par référence à la forme de la note avec sa hampe, sur une portée musicale. (ça marche aussi bien avec Gilou et son biniou qu’avec Didier Lockwood et son violon)

ah bon!?
Je croyais pourtant que "se casser le cul" signifiait plutôt s’éreinter - souvent sans résultat tangible - à essayer par exemple de faire progresser quelque chose, alors que "se casser la pipe" était plutôt synonimique de "passer l’arme à gauche".
On associe même "se casser la pipe" au fait d’avoir un accident, même pas fatal (p.ex.: il s’est cassé la pipe dans les escaliers et doit rester dans le plâtre pendant trois semaines) Non, ce n’est pas de Godemichou adoré qu’il s’agit...
J’espère quand même que notre Godemichou adoré et précité ne va pas pour autant (Lara, n’est-ce pas, Claude?) arrêter de se casser le cul à nous fournir des expressio.fr, grâce auxquelles nous pourrons continuer à nous fendre la pipe...

et quid d’Yvette et son accordéon qui mue-zette? Ca marche aussi?

tu as tout à fait raison ... le rapprochement "pipe" - "cul" était tiré par les cheveux (les poils ?) simplement pour permettre la chute (des poils ?)

Le plaisir de mes fistons, dans une fête foraine, étaient de viser et réussir à casser des pipes (en terre)
l’équivalence "pipe" = "gueule" ou "tête" est bien connu : monter au casse-pipes c’est casse-gueules , une tête de pipe,... par tête de pipe etc... , et il est facile à comprendre, à partir du fourneau de pipe qui représentait souvent un personnage. Ce qui dérange God (et pas que lui !) c’est qu’on ne la trouve qu’au XIX , tandis que "casser sa pipe" est attestée au XVII .
Pour Alain Rey on aurait pu passer de la pipe à la tête ainsi :
pipe: premier sens = chalumeau pour boire (sens conservé aujourd’hui par la "pipette")
d’où, du XIII au XVI , le sens pipe= "gosier" , par métaphore de "chalumeau pour boire"
Ceci pourrait expliquer (mais Rey dit bien que ce n’est qu’une supposition) à la fois le sens d’enrager, crever de rage : le gosier qui ne laisse plus passer les mots...puis l’extension : gosier - tête
C’est une piste qui n’est pas démontrée, mais qui me semble plus sérieuse que celle de la chirurgie aux armées ! Quant à l’acteur, il ne peut s’agir que d’un jeu de mots -style : titre du Canard - qui n’a pu faire rire que si l’expression était déjà connue.

qui ne pipe maux cons(i)entise la fragilité de la chose

J’ai bien l’impression que par chez moi, on dit "se casser la pipe" plutôt que "casser sa pipe" ... non ?

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tirer / Laisser / Remettre les peaux

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Y AVAIT ces silhouettes, croisées sur les trottoirs du XII
qu'il allait au lycée. Julien était adolescent. La première fois, il avait 16 ans.
100 francs la pipe, ça c'est passé dans les sanisettes du cours de Vincennes. » Il se souvient
ensuite de cette prostituée « en camionnette » du bois voisin. « J'ai dû y aller cinq ou six
fois en un an. Elle avait la quarantaine, un côté maternel que je recherchais sans doute. Tout
un petit rituel et une jolie déco. Il n'y avait rien de glauque. On discutait de ce qu'on avait
fait dans la semaine, elle parlait de ses enfants. C'était sincère. »
de temps à autre. Rue Saint-Denis, dans les salons de massage du IX
à Bruxelles. Dans sa quête « d'expériences psychédéliques et joyeuses », il place sur le même
plan quelques séances d'échangisme et tournages pornos amateurs.
durant plusieurs années. J'ai toujours dissocié complètement les deux. Je n'y suis jamais allé
dans un rapport de frustration, ou pour assouvir une simple pulsion sexuelle. J'avais surtout
envie de me retrouver dans des ambiances un peu bizarres, hors du temps. Il y a cette liberté
qui peut paraître ignoble : j'ai de l'argent, si je veux, je peux me retrouver dans une situation
étrange. Et puis ensuite, il faut assumer... »
Julien se dit aussi repoussé dès qu'il sent que
« c'est trop mécanique » ou que « la situation sociale de la nana est trop sordide ». Pour cette
raison, il n'a jamais envisagé d'aller voir les jeunes étrangères des boulevards extérieurs.
« Je n'ai pas de demande particulière. En général, je laisse faire ce qui se passe. Et je fais
appel à mon imaginaire. Jusqu'à fantasmer que nous sommes amoureux ou en couple, jusqu'à rêver
de la sortir de là, jusqu'à oublier complètement que c'est une prostituée. »
Paul avait un peu bu. Son moral n'était pas au mieux. Il s'était séparé de sa copine quelque
temps auparavant. « Je suis passé en voiture une première fois devant des prostituées africaines
», dit-il. Toutes ces filles, il les avait déjà vues de son appartement qui offre une vue imprenable
sur la vie nocturne agitée de Paris. Cette fois-là, Paul a voulu pousser la curiosité un peu
Après être passé une première fois devant quelques filles, le jeune cadre se lance
: « L'alcool m'avait désinhibé. Je ne raisonnais plus ». Sa voiture ralentit devant un feu qui
hésite à passer au rouge. Une prostituée frappe à la vitre. Direction un parking situé un peu
Un peu maladroit, le client novice tente d'établir un contact. « J'ai essayé de lui
parler. Elle ne comprenait pas ce que je disais. J'ai laissé tomber. On était pas là pour ça
», se souvient Paul. Le rapport sexuel se déroule de manière mécanique loin des plaisirs fantasmés.
« C'était vraiment malsain. J'avais un sentiment de dégoût. En fait je ne concevais pas le sexe
sans sentiment », analyse-t-il. Il faut alors ramener la prostituée sur son trottoir. Silences
pesants et remords dévorants pour le jeune initié : « J'avais envie de me frapper la tête. »
Malgré cette déception, il renouvellera l'expérience à trois reprises. L'alcool, un vide sentimental
et « une demande hormonale » l'incitent à y retourner.
Un jour, Paul croise le regard d'une
jeune femme : « Ce fut une courte aventure mais j'ai ressenti quelque chose pour cette fille.
Cela changeait tout. Depuis, j'ai arrêté de voir des prostituées ».
se pose en défenseur de « la prostitution libre entre adultes consentants », à l'encontre du
« puritanisme » et de « l'hypocrisie » « Il faut dédramatiser la prostitution. Beaucoup se sentent
mal à cause du regard méprisant qu'on leur jette. Moi je pense qu'elles font un travail utile,
social, et pas seulement pour les relations sexuelles. Un peu comme des conseillères conjugales
Célibataire depuis toujours, Gilles a vécu sa première expérience sexuelle
avec une prostituée de la rue Saint-Denis. Agé de 21 ans, il était étudiant. « Je souffrais
de cette frustration. Je devenais fou. J'avais besoin d'un contact physique avec une femme.
De sentir son odeur. Qu'elle me serre dans ses bras... J'ai découvert que ce monde n'avait rien
de sordide et que beaucoup d'hommes autour de moi étaient aussi des clients. » Depuis, Gilles
n'a quasiment jamais eu de relations sexuelles en dehors des prostituées. Au point de tomber
amoureux de l'une d'elles, qui n'a pas donné suite. « Je suis un grand sentimental. Je trouve
qu'il y a beaucoup plus de romantisme chez les prostituées que chez les autres femmes qui sont
parfois si vénales que ça me dégoûte. Rue Saint-Denis, j'y vais parfois juste pour parler, ou
pour leur dire bonjour, sans monter. Beaucoup sont devenues des amies. »
une passe financière difficile, Gilles a limité ses visites. « En moyenne, j'y allais deux fois
par mois. Mais si j'avais les moyens, j'irais tous les jours. »
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