C'est l'heure de jouer avec sa grand-mère

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C'est l'heure de jouer avec sa grand-mère
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Publié le 15 janvier 2019 à 17:22 par La rédaction
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© Gentside. Crédit photographique pour toutes les images de ce site (sauf indication) : © GettyImage.
Elle n'a qu'une corde à son arc mais elle la peaufine depuis près de 3 500 heures ! Découvrez l'histoire d'une passionnée d'Animal Crossing un peu particulière !
Internet est un endroit extraordinaire. C'est un lieu où chacun quel que soit son âge, peut partager sa passion. Insistons un moment sur le "quel que soit son âge". En effet aujourd'hui c'est une histoire plutôt surprenante qui nous parvient de Reddit .
Un jeune homme a eu la très bonne idée de filmer sa grand-mère passionnée du jeu Animal Crossing. Quand on vous dit passionnée, n'imaginez pas qu'elle sort à toutes les conventions et fait du cosplay. Non cette joueuse là est d'un autre calibre. Ce dernier avait posté peu avant Noël une photo récapitulative de la partie de sa grand-mère. Les internautes curieux avaient alors demandé plus de renseignements sur cette joueuse.
Âgée de 87 ans, elle joue très régulièrement à sa version du jeu sur Nintendo 3DS. Enfin régulièrement, plutôt quasiment tous les jours sauf de son propre aveu "lorsqu'elle est malade" depuis environ 4 ans. Cela représente quand même une partie à plus de 3 500 heures !
Bien portante, cette vieille dame n'est pas cloîtrée dans son lit ou dans un mouroir, elle aime juste "jouer" ce qui montre une fois de plus que le jeu vidéo est universel, quel que soit son support ou sa forme.
On vous laisse découvrir cette charmante histoire et on lui souhaite une très bonne année 2019 et qui sait peut-être à très bientôt sur Nintendo Switch avec le prochain opus de la série ?

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Article mis à jour le 16 mars 2015
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Tendresse, écoute, patience, échange, transmission… Les enfants construisent leur vie d’adulte grâce aussi à ce que leur apportent leurs grands-parents. Focus sur cette relation unique que l’on n’oublie jamais.

« Quand j’étais en vacances chez Mamina, chaque soir avant d’aller dormir, elle me brossait les cheveux et me faisait des nattes. Elle déposait au creux de mes mains une noisette de sa crème de nuit. Ce parfum délicieux de rose sur mes doigts, je l’ai encore dans les narines, c’est ma madeleine de Proust à moi. », témoigne Alexandra. Sur le moment, cette maman trentenaire ne savait pas qu’elle se souviendrait toute sa vie de ces moments privilégiés partagés avec sa grand-mère. Qu’on les appelle Mamie, Papy, Mamounette, Grandpa, Granny, Nono ou tout simplement par leur prénom, les grands-parents sont des figures essentielles de l’enfance, des piliers de la famille. Comme le souligne la psychanalyste Catherine Bergeret-Amselek : « Ils apportent une sécurité affective aux enfants, ils donnent l’impression de les protéger comme un rempart sur lequel s’appuyer. Par leur expérience et ce qu’ils nous transmettent, ce sont des éclaireurs de vie. » Effectivement, les tout-petits sont rassurés de constater qu’il y a autour d’eux depuis leur naissance des personnes bienveillantes, fiables, qui les apprécient et prennent soin d’eux, en dehors de leurs parents. Hormis ce rôle de piliers rassurants, les grands-parents ont aussi pour mission de raconter comment c’était avant. Ainsi, Théo, 5 ans, pose des dizaines de questions à son grand-père quand il passe le mercredi avec lui : « Est-ce qu’il y avait des voitures et des avions quand tu étais jeune ? Est-ce que tu as fait la guerre ? Et les dinosaures, ils existaient déjà quand tu étais petit ? » Et s’il y a bien une chose que les petits adorent, c’est écouter leurs grands-parents raconter en détail tout ce que faisaient leurs propres parents quand ils étaient petits. Leurs bêtises mémorables, leurs phrases cultes, leur caractère, leurs goûts, leurs préférences et ce qu’ils n’aimaient pas… Ils ne se lassent pas de feuilleter ensemble les albums de photos de famille et d’écouter les anecdotes croustillantes. Transmettre l’histoire familiale passe également par les traditions, les rituels, les spécialités régionales apprises de génération en génération, les saveurs qui parlent des racines, de l’origine de la famille. Ainsi, Alice, 4 ans, agace prodigieusement sa maman : « Elle accepte de manger des légumes uniquement quand c’est sa mamie qui les prépare. Haricots verts, chou-fleur, ratatouille, lentilles, Alice “adoooore” ça ! Elle soutient qu’ils n’ont pas le même goût que les miens, même quand j’applique à la lettre les recettes de ma mère ! »
Forts de leur expérience, les grands-parents ont aussi l’avantage de vivre dans un autre temps, d’être débarrassés du stress que subissent quotidiennement les parents qui travaillent. N’ayant pas leurs petits-enfants tous les jours et n’étant pas pressés, ils sont plus disponibles, plus patients pour leur apprendre les gestes du quotidien , comme faire les lacets de ses chaussures ou boutonner son manteau. Jean-Michel, grand-père de Margot et de Paul, passe des mercredis très détendus : « Avec moi, les petits ont le droit de prendre leur temps, d’aller à leur rythme. J’ai décidé de leur consacrer ma journée, je ne prends aucun autre rendez-vous, on fait des grandes balades en forêt avec le chien, on déjeune à l’heure qu’on veut, on regarde des dessins animés, on prend des bons goûters, ils se reposent. Je n’ai pas de souci de “rentabilité”, pas de responsabilités éducatives, pas de contrainte. Du coup, je ne me fâche presque jamais. En fait, je suis beaucoup plus cool comme grand-père que comme père ! » Moins dans la performance, moins exigeants, plus relax, beaucoup de grands-parents sont capables de prendre le temps de jouer, contrairement aux parents surbookés. Ce sont souvent eux qui initient leurs petits-enfants aux jeux de société traditionnels – Petits Chevaux, Jeu de l’Oie (il ne faut savoir compter que jusqu’à six), les Sept Familles. Ils ressortent volontiers des placards, les puzzles, les jeux de construction classiques (Lego, Meccano, Duplo, Kapla), les cubes, les jeux d’encastrement, les ballons de foot,les jeux de quilles qui ont fait le bonheur de la génération précédente. Ceux qui n’aiment pas jouer n’en sont pas pour autant de moins bons grands-parents. Ce qui compte, c’est le temps partagé, la qualité de présence, la façon personnelle dont ils vont faire découvrir les activités qu’ils apprécient. Lorenzo, 5 ans, passe de bons moments en compagnie de son Papé dans l’atelier de bricolage, ils ont prévu de construire une cabane l’été prochain quand il viendra pendant les vacances. Mathilde, 4 ans, jardine avec Mamounette. Elle sait reconnaître et arracher les mauvaises herbes, arroser les salades et cueillir les fraises sans les écraser ! Astrid, 6 ans, ne s’ennuie pas quand elle regarde sa grand-mère coudre et tricoter, surtout depuis qu’elle lui a donné une pelote de laine et des grosses aiguilles pour faire une écharpe à sa poupée. Basile, 4 ans, enfile ses bottes et suit avec joie son grand-père, fan de pêche à pied, pour aller chercher des crevettes et ramasser des coques.
Si les adultes transmettent leur savoir aux tout-petits, la réciproque est vraie aussi. Marion, 6 ans, a montré à son Papi et à sa Mamie comment marche la tablette qu’ils ont reçue à Noël, et comment trouver des petits jeux gratuits et sympas sur leur smartphone. Ils n’en revenaient pas qu’elle soit déjà si calée en nouvelles technologies !
Savoir retrouver le goût de jouer n’est pas leur seul atout. Moins investis, moins inquiets, les grands-parents sont moins fusionnels que les parents et savent lâcher du lest. Comme dit le langage populaire “ils en ont vu d’autres !” . Ils laissent plus volontiers les petits curieux explorer leur environnement et partir à la découverte du monde, sans être collés à leurs basques en criant : « Fais attention, descends, tu vas te faire mal ! Ne cours pas si vite, tu vas tomber ! Ne saute pas dans les flaques d’eau, tu vas te salir et attraper un rhume ! » Marianne, heureuse grand-mère de Lola, 4 ans, se souvient encore des visites de sa petite-fille : « Ma fille est anxieuse et elle élevait son enfant dans du coton. Lola n’avait jamais couru pieds nus dans l’herbe, jamais grimpé sur un muret, jamais caressé le nez d’un cheval, jamais sauté sur un lit. Je ne l’ai jamais laissée prendre un risque ou se mettre en danger, je la surveillais toujours du coin de l’œil, mais chez moi, elle a découvert la liberté de mouvements. » Une autre caractéristique appréciable des grands-parents est leur aptitude à susciter les confidences et à arrondir les angles. Sylvie par exemple, connaît tous les secrets de ses trois petits-enfants : « Ils me confient leurs petits soucis avec leurs parents trop sévères, trop exigeants, trop énervés. J’écoute, je console, je mets de l’huile dans les rouages. Je ne critique ni mon fils ni ma belle-fille, je ne remets pas en cause leur manière d’éduquer leur petite famille. Je leur explique que leurs parents s’énervent parce qu’ils sont stressés au travail, qu’ils les aiment, qu’ils mettent la pression pour leur bien et pas pour les embêter ! »
Il ne faut pas non plus idéaliser, les grands-parents ne sont pas des êtres parfaits, loin de là. Si la plupart des mamies et des papys savent rester à leur place, certains cherchent à rivaliser, à montrer qu’ils sont de meilleurs éducateurs. Au lieu de respecter les choix parentaux, ils imposent leurs propres règles et sabrent l’autorité légitime . Face à un tel comportement, il faut mettre les choses au point avant de leur confier son bébé. Comme le souligne la psychanalyste : « Même s’il n’est pas toujours facile de rester à sa place, même si on n’est pas d’accord avec les principes éducatifs appliqués, l a règle d’or que doivent suivre les grands-parents est de ne jamais donner tort aux parents devant leur petit-enfant. Au contraire, il est essentiel de les valoriser dans leur statut de parents, de les encourager et les conforter : “Tu es une bonne mère, mais ne crois-tu pas que tu pourrais aussi faire comme ci ou comme ça. Essaye, tu verras ce que ça donne ! » La personnalité des grands-parents, leur caractère, leurs défauts peuvent aussi faire obstacle à une bonne relation avec leurs petits-enfants. Diane, par exemple, a vu remonter en elle le stress de son enfance, quand il s’est agi de donner à garder sa petite Lucie de 3 ans, à ses parents pour partir en week-end : « J’avais une mère effacée et un père autoritaire, braillard, on disait de lui qu’il “avait la main leste” et il me faisait peur quand j’étais petite. Il était hors de question que ma fille revive la même chose que moi. J’ai été très claire avec ma mère, pas un cri, pas un geste agressif envers Lucie du week-end, sinon, je ne leur confierai plus ma fille. Mon père a reçu le message 5 sur 5, et tout s’est bien passé. » Selon Catherine Bergeret-Amselek : « Quand un parent a des difficultés à confier son enfant à ses parents ou beaux-parents, il faut évaluer si ses inquiétudes sont fondées ou si ce sont des fantasmes, l’angoisse de séparation, une rivalité œdipienne qui nous rend parano. Parfois, c’est en allant parler à un psy qu’on y verra plus clair sur la question. » Il n’est pas bon de régler des comptes personnels anciens en privant ses parents de leurs petits-enfants. Il est regrettable également de les mêler à ses problèmes de couple. C’est ce qui est arrivé à François, père de Jules, 4 ans : « Ma femme trouvait ma mère nulle avec notre bébé, moi je la défendais, je ne voyais pas pourquoi ma mère n’aurait pas été une bonne grand-mère ! Quand elle lui laissait Jules, elle rédigeait une liste de cinquante recommandations à suivre, c’était ridicule. On se disputait tout le temps à cause de ça. Je reconnais que notre culture est différente de celle de ma femme, que nos traditions, nos coutumes, notre façon de voir la vie et de traiter les bébés sont différentes, mais c’est une richesse pour un enfant. » Pas facile décidément d’être des grands-parents cool et reconnus, constate la psychanalyste : « Si on est meilleur grand-père qu’on a été père, meilleure grand-mère que mère, on a droit à des réflexions du genre “Dommage que tu n’aies pas été aussi cool et attentif envers moi que tu l’es avec tes petits-enfants ! » Si on ne se sent pas une vocation de mamie ou papy gâteau et qu’on garde ses distances, on a droit à « Vous ne vous occupez pas de vos petits-enfants. Vous ne pensez qu’à vous, vous ne me reconnaissez pas comme parent, en fait vous ne vouliez pas que j’aie des enfants ! » L’important, c’est de ne pas priver les tout-petits de leurs grands-parents qui ne demandent qu’à partager de bons moments avec leurs “chicoufs”, ce mot inventé par les grands-parents qui signifie : “Chic, ils arrivent, ouf ils repartent !”.
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Antoine Blanchet, Journaliste
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Votre congé maternité se termine bientôt, et toujours pas de place en crèche. Pourquoi ne pas faire appel à votre maman ou belle-mère pour garder Bébé ? Zoom sur le mode de garde « grand-parental » avec Harry Ifergan, psychologue.

Ça y est, l’heure de la reprise du travail a sonné. Seul bémol, vous n’avez toujours pas de place en crèche et votre budget ne vous permet pas de prendre une nounou. La solution : faire appel à Mamie.
« A la différence d’une personne que l’on paye, les grands-parents gardent leurs petits-enfants par amour, par filiation. C’est aussi un service que la mamie rend aux parents », souligne Harry Ifergan.
De plus, « la mamie ou le papi se paye avec le plaisir, souvent inavoué, qu’ils ont en retour d’être avec leur petit-enfant ». Les grands-parents leur apportent ce qu’ils n’ont pas pu donner à leurs propres bambins. « C’est comme une période de rattrapage, une rallonge de l’éducation. Et en laissant nos enfants à nos parents, on les gratifie », explique le psychologue.
C’est bien connu, certaines mamans éprouvent de la jalousie vis-à-vis des personnes qui gardent leur bébé. Un sentiment parfois exacerbé lorsque c’est la belle-maman qui se charge de l’accueil des enfants. Pourtant, comme le précise Harry Ifergan, « la relation Mamie-Bébé n’empêche en aucun cas la primauté de l’amour pour la mère. L’amour maternel est obligatoire, le reste, ce n’est que du plus pour l’enfant. Le petit ne fera jamais le complexe d’Œdipe avec sa grand-mère. Chaque amour est spécifique, et dès le plus jeune âge, l’
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