C'est les tatous qui me font jouir

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C'est les tatous qui me font jouir
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Comment savoir si vous souffrez d'anxiété sexuelle
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Amazone inversée, brouette, cunni dans la baignoire, douze femmes nous confient leurs positions sexuelles préférées. Inspiration et plaisir garantis.
SEXUALITÉ - Parce que les Ă©vidences des unes font aussi le bonheur des autres, on a demandĂ© Ă  douze femmes quelle Ă©tait leur position favorite au lit. Celle qui marche Ă  tous les coups, qui a fait ses preuves plus d’une soirĂ©e arrosĂ©e ou d’un matin pressĂ© .
Sous la douche , au bord du lit, contorsionnĂ©e ou plus simple qu’on ne l’aurait imaginĂ©, la liste est longe. De quoi donner des idĂ©es cul Ă  celles qui ont envie de dĂ©couvrir de nouvelles sensations, conseils pratiques Ă  la clĂ©. Bonne lecture...
“Je ne sais pas vraiment pourquoi, mais je ressens beaucoup plus de sensations quand je suis placĂ©e comme ça. Peut-ĂȘtre un angle qui permet une pĂ©nĂ©tration en profondeur? Et puis on peut se regarder dans les yeux, c’est assez excitant et trĂšs intime s’il s’agit de quelqu’un dont on est on est proche - ou dont on aimerait ĂȘtre plus proche d’ailleurs”.
“Son sexe me touche au bon endroit sans que ce soit trop intense. Je ne suis pas vraiment â€˜Ă©crasĂ©e’ non plus par son corps alors je peux bouger mon bassin en mĂȘme temps que le sien. Et comme ma tĂȘte est du cĂŽtĂ© de l’oreiller, pas besoin de me taper son haleine de biĂšre dĂ©gueu si je couche avec en soirĂ©e”.
“GĂ©nĂ©ralement, c’est moi qui m’allonge derriĂšre elle, et je l’embrasse dans le cou pendant que j’écarte doucement ses jambes pour caresser son clitoris. Doucement, puis plus intensĂ©ment. Je la sens perdre pied - et prendre son pied - et ça me fait dĂ©coller moi aussi. Elle est toute Ă  moi, et j’aime ça”.
“La sensation est quasi unique. Peut-ĂȘtre que l’eau chaude contrastĂ©e avec le froid de la crĂ©dence y est pour quelque chose, ou seulement le fait d’ĂȘtre collé·e·s l’un·e contre l’autre Ă  cause du manque d’espace. Mais toujours est-il qu’à chaque fois qu’on fait l’amour dans la douche, moi face aux parois, lui contre moi, c’est l’extase. Bon, depuis quelque temps, on fait gaffe Ă  nos dĂ©penses d’énergie, donc on coupe l’eau pour pas gĂącher des litres pour nos petites gĂąteries. Mais le cĂŽtĂ© sauna de la cabine qui s’emplit de buĂ©e reste inchangĂ©. Un bonheur”.
“J’avoue que ça demande une certaine dextĂ©ritĂ©, mais le rĂ©sultat vaut l’acrobatie. Donc je vais essayer de rĂ©sumer sans trop vous embrouiller. On s’allonge tous les deux sur le dos, cĂŽte Ă  cĂŽte, je me glisse sur lui, dos Ă  lui, puis son pĂ©nis en moi. Le haut de mon corps est lĂ©gĂšrement relevĂ© pour ne pas l’écraser et mes jambes son pliĂ©es et posĂ©es de chaque cĂŽtĂ© des siennes pour pouvoir faire un va-et-vient avec mon bassin. Ça ressemble un peu Ă  une araignĂ©e, ou Ă  un pont inversé si on fait du yoga. Et mon dieu, qu’est-ce que c’est bon”.
“Le truc qui me fait vriller, dans le bon sens du terme, c’est de ne rien avoir Ă  faire. Je suis une grosse flemmarde du sexe, et je l’assume! (rires) Du coup, avec ma copine, j’adore quand je m’installe contre un oreiller, que j’écarte mes jambes en ‘grenouille’, et que je la laisse glisser ses doigts un peu partout, puis sa langue. D’ailleurs rien que d’en parler, je fonds!”
“Je prĂ©cise ‘baignoire’ pour une raison : je suis dos au mur, lui sa tĂȘte entre mes cuisses, et je peux poser mon pied sur le rebord opposĂ©. Il paraĂźt qu’il y a des accessoires exprĂšs qui permettent de ventouser une sorte de marche dans la douche, mais je n’ai pas encore investi. Donc la baignoire me suffit. L’essayer c’est l’adopter”.
“Je pourrais essayer d’inventer une position au mode d’emploi impossible mais pour ĂȘtre tout Ă  fait honnĂȘte, ce qui me fait jouir Ă  tous les coups, c’est le missionnaire. Est-ce que ça fait de moi une fille facile au sens propre du terme? Sans aucun doute, et j’en suis fiĂšre ! Je crois que c’est la proximitĂ© avec l’autre, le fait de se connaĂźtre par cƓur depuis des annĂ©es
 Et puis aussi l’angle de pĂ©nĂ©tration je pense. Un vrai hit !”
À voir Ă©galement sur Le HuffPost: En dessin ou en 3D, le sexe fĂ©minin s’expose de plus en plus
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BEAUTÉ - À la cinquantaine, une femme se sent parfois invisible. Personne ne la regarde quand elle entre dans un cafĂ© ou un restaurant. Les gens qu’elle croise dans la rue semblent ne pas la voir, comme si elle n’existait pas. Si vous lui posez la question, elle vous dira que ces marques d’inattention lui ont fait perdre de l’assurance, parce qu’elles suggĂšrent que ses meilleures annĂ©es sont derriĂšre elle.
Nous vivons dans une sociĂ©tĂ© oĂč la jeunesse est souvent synonyme de beautĂ© et d’énergie. Au Huffington Post , nous souhaitons prendre le contre-pied de cette façon de voir les choses. Nous pensons que les femmes peuvent ĂȘtre intelligentes et audacieuses, belles et sĂ»res d’elles – et continuer Ă  influer sur le monde qui les entoure – Ă  50, 75 ou mĂȘme 100 ans!
Dans cette optique, Huff/Post50 a pris en photo 11 femmes trĂšs sexy, ĂągĂ©es de 48 Ă  67 ans. Des cĂ©libataires, des femmes mariĂ©es, des grand-mĂšres, des femmes qui se sont remises d’un cancer. Ce qu’elles ont en commun, c’est qu’elles n’ont pas la langue dans leur poche. Elles se sentent mieux aujourd’hui qu’elles ne l’ont jamais Ă©tĂ©. Nous leur avons demandĂ© de mettre une tenue dans laquelle elles se sentaient sexy, et de nous dire ce que ce mot Ă©voque pour elles aujourd’hui, par rapport Ă  ce qu’il reprĂ©sentait quand elles avaient la vingtaine. Le rĂ©sultat – garanti sans retouches – est tout simplement Ă©blouissant.
Sheryl Roberts, 48 ans – "Je sais que je suis idĂ©alement imparfaite, avec mes dĂ©fauts et mes qualitĂ©s."
"Quand j’avais la vingtaine, j’étais mannequin. Je n’avais pas confiance en moi, et je suivais l’avis des autres. Je n’avais pas d’identitĂ© propre. Je portais ce qui Ă©tait Ă  la mode, j’imitais les autres filles de mon Ăąge, et je faisais tout pour que l’on m’apprĂ©cie. Je n’avais aucune idĂ©e de ce dont j’étais capable, ou de ma sexualitĂ©. La plus grande diffĂ©rence entre celle que j’étais Ă  20 ans et celle que je suis aujourd’hui, Ă  48 ans, c’est que je me fiche totalement de ce que les gens pensent de moi. L’image que les autres ont de moi ne correspond pas Ă  ma rĂ©alitĂ©. Je n’ai pas envie de me fondre dans la masse. C’est d’ailleurs pour cela que je vends des objets vintage avec ma sociĂ©tĂ©, IndigoStyle Vintage, qui met l’accent sur l’expression d’un point de vue personnel. Je suis sexy parce que j’ai de l’assurance, je souris et je m’accepte telle que je suis. Je n’ai pas peur de dĂ©couvrir de nouvelles choses en moi, et je sais que je suis idĂ©alement imparfaite, avec mes dĂ©fauts et mes qualitĂ©s."
Anne Rosenberg, 59 ans – "Je suis trĂšs attirĂ©e, et inspirĂ©e, par mon cĂŽtĂ© sexy."
"Etant donnĂ© que je suis une enfant des annĂ©es 1960, j’aurais peut-ĂȘtre dĂ» ĂȘtre un peu plus, disons, hippie (...) mais personne ne m’a prĂ©venue! J’étais concentrĂ©e sur mes Ă©tudes et, le reste du temps, sur l’équitation et les travaux de la ferme. Ma tenue standard, c’était une chemise Ă  carreaux, une salopette et des bottes. J’avais le sentiment que la sexualitĂ© ne me concernait pas. J’étais 'dĂ©sexualisĂ©e' et je refusais de laisser mon dĂ©sir s’exprimer. Aujourd’hui, je rigole doucement en pensant qu’à vingt ans, quand ma sexualitĂ© n’aurait posĂ© de problĂšme Ă  personne, j’étais coincĂ©e. Et maintenant que la sociĂ©tĂ© est mal Ă  l’aise avec la sexualitĂ© des femmes mures, je m’épanouis! Je suis trĂšs attirĂ©e, et inspirĂ©e, par mon cĂŽtĂ© sexy. C’est extraordinaire."
Mary Ann Holand, 58 ans – "Personne ne dĂ©cide Ă  ma place de ce qui est sexy ou non chez moi."
"Je pense que les femmes n’apprĂ©cient vraiment leur beautĂ© et leur sensualitĂ© qu’à l’ñge mĂ»r. A la cinquantaine, je me sens bien plus sexy que quand j’avais 20 ans. A l’époque, je me comparais aux autres et aux critĂšres dictĂ©s par les magazines de mode et de beautĂ©. C’était trĂšs lourd Ă  porter! Avec l’ñge, on se sent plus sure de soi, et on a compris que l’organe le plus sexy de notre corps, c’est le cerveau! Personne ne dĂ©cide Ă  ma place de ce qui est sexy ou non chez moi. Le cheminement que j’ai suivi pour devenir celle que je suis aujourd’hui a modifiĂ© ma perception. Je suis une Ă©pouse, une mĂšre, une grand-mĂšre, et j’ai survĂ©cu Ă  un cancer (avec mastectomie). J’ai la chance d’avoir conscience de ma sensualitĂ© Ă  la cinquantaine, et je me rĂ©jouis des dĂ©cennies Ă  venir! Je suis enfin libre d’ĂȘtre moi-mĂȘme!!!"
Shannon Bradley-Colleary, 50 ans – "Je dis ‘oui’ plus facilement."
"Je me suis rendu compte que, depuis que j’ai passĂ© le cap de la cinquantaine, je dis ‘oui’ plus facilement. Du coup, je me sens belle, pleine de vie et sexy. 'Tu veux faire du bĂ©nĂ©volat dans un camp de rĂ©fugiĂ©s syriens Ă  Lesbos?' Oui. 'Tu veux prendre un cours d’initiation au pole dancing?' Oui. 'Tu veux un rendez-vous arrangĂ© avec ton mari oĂč vous faites semblant de vous rencontrer pour la premiĂšre fois?' Dites-moi oĂč je dois signer! A la vingtaine, j’avais peur de ne pas ĂȘtre assez intelligente, sexy et de ne pas ĂȘtre suffisamment bien foutue pour dire 'oui' Ă  tout ce que je voulais essayer (je me disais aussi que je pourrais faire mieux niveau orgasmes, parce que je me donnais autour de 11/20 de ce cĂŽtĂ©-lĂ ). A 50 ans, je n’ai plus de temps Ă  perdre avec ces bĂȘtises. Je prends un peu les choses comme elles viennent. 'Tu veux bien te regarder dans le miroir et aimer ce que tu y vois aujourd’hui?’ Oui. Et merci."
Barbara Rabin, 67 ans – "Surmonter ces Ă©preuves m’a rendu beaucoup plus forte. Une force qui me rend plus sexy."
"Être sexy, c’est avoir confiance en soi. Etre bien dans sa peau. Se regarder dans la glace et aimer ce que l’on voit. Quelqu’un m’a dit un jour que les cheveux longs, c’était pour les femmes jeunes. Et la plupart des femmes de mon Ăąge ont les cheveux courts. Moi, j’aime quand ils sont longs et dĂ©tachĂ©s. Je trouve ça sexy. L’important, c’est de se dire: ‘Je m’aime comme cela, et ça me va trĂšs bien.' Quand j’avais la vingtaine, je ne pensais qu’à ma carriĂšre. Entretemps, j’ai perdu mon mari, et j’ai eu un cancer. J’ai surmontĂ© ces Ă©preuves, et ça m’a rendu beaucoup plus forte. Une force qui me rend plus sexy."
Pamela Madsen, 52 ans – "La sexualitĂ© est aujourd’hui une alliĂ©e."
" Quand j’avais la vingtaine , je voulais ĂȘtre invisible sur le plan sexuel parce que je me mĂ©fiais de la relation que j’entretenais avec mon corps. J’avais peur d’ĂȘtre vue. Aujourd’hui, passĂ© le cap de la cinquantaine, je vous dĂ©fie de ne pas me regarder! Je n’ai plus peur de mon cĂŽtĂ© sexy, parce que ce mot n’est plus synonyme d’inquiĂ©tude mais d’émancipation et de plaisir! Je sais que je sais faire le tri entre ce qui est bon pour moi et ce qui ne l’est pas. Ca m’a peut-ĂȘtre pris quelques dizaines d’annĂ©es mais la sexualitĂ© est aujourd’hui une alliĂ©e, et j’aime la retrouver."
Sandra LaMorgese, 59 ans – " Je me concentre dĂ©sormais sur ce qui me rend heureuse."
"Quand j’avais vingt ans, la sexualitĂ© Ă©tait avant tout une question d’image. Je savais nettement ce qu’une femme sexy devait faire, dire et ressentir, Ă  quoi elle devait ressembler, et je dĂ©pensais une Ă©nergie folle Ă  tenter de donner cette impression aux autres. A prĂ©sent que j’ai la cinquantaine, mon point de vue est radicalement diffĂ©rent: je n’éprouve plus le besoin d’ĂȘtre apprĂ©ciĂ©e, sexy, dĂ©sirable et libre parce que je sais que je le suis dĂ©jĂ . Je change rĂ©guliĂšrement de partenaires romantiques et sexuels. C’est la vie. Ce qui ne change pas, en revanche, c’est celle que je suis. Ce qui veut dire que c’est Ă  moi de trouver une maniĂšre de vivre ma sexualitĂ©, mon identitĂ© et mon amour-propre. Quand j’ai compris ça, je me suis dĂ©barrassĂ©e d’une grande partie de l’angoisse que je ressentais vis-Ă -vis de la sexualitĂ© parce que je n’avais plus Ă  me prĂ©occuper de toutes les choses sur lesquelles je n’avais aucune influence. Je me concentre dĂ©sormais sur ce qui me rend heureuse, entiĂšre et affectueuse, et quand je rencontre des personnes attirĂ©es par ces qualitĂ©s, nous vivons des choses trĂšs agrĂ©ables et enrichissantes."
April Johnson, 58 ans – "Aujourd’hui, [ĂȘtre sexy] est avant tout une maniĂšre d’ĂȘtre."
"Pour moi, la beautĂ© est synonyme de sĂ©duction. Et qu’est-ce qui nous rend sĂ©duisant? La gentillesse, l’amour, la gĂ©nĂ©rositĂ©, l’empathie, grĂące auxquelles notre beautĂ© intĂ©rieure se reflĂšte Ă  l’extĂ©rieur. Quand j’avais vingt ans, je pensais qu’ĂȘtre sexy, c’était s’habiller d’une certaine maniĂšre pour sĂ©duire le sexe opposĂ© et tenter de savoir ce qu’ils trouvaient sexy. Aujourd’hui, c’est avant tout une maniĂšre d’ĂȘtre. Les vĂȘtements que je porte ne me dĂ©finissent pas. C’est mĂȘme l’inverse. Je me sens bien dans ma peau. Le fait de me sentir sexy me plaĂźt et me rend heureuse. Ma relation aux autres s’en ressent. C’est une belle façon d’emplir le monde de bonheur!"
Robin Hoffman, 50 ans – "Le corps est quelque chose de magnifique, mais la beautĂ© intĂ©rieure l’est davantage."
"Pour moi, la diffĂ©rence entre la sensualitĂ© Ă  21 ans et Ă  50 ans, c’est le chemin parcouru. IndĂ©pendamment du fait que ce ne sont plus les jeans dĂ©lavĂ©s qui me font un beau cul mais les pantalons de yoga, je suis encore en train de prendre conscience que mon bien-ĂȘtre ne dĂ©pend plus des hommes, comme ceux qui me faisaient craquer quand j’étais Ă  la fac. Bien entendu, il m’arrive encore de l’oublier, mais j’ai dĂ©sormais une ligne que je m’efforce de suivre. Elle peut Ă©maner de la force et de l’amour ou, Ă  l’inverse, accentuer chaque bourrelet, chaque critique. Etre sexy Ă  50 ans, c’est se dĂ©barrasser de sa carapace pour permettre Ă  la lumiĂšre que nous avons en nous d’éclairer le monde qui nous entoure. C’est s’attacher Ă  la beautĂ© de l’esprit plutĂŽt qu’à la rondeur des culs et la grosseur des seins. Le corps est quelque chose de magnifique, mais la beautĂ© intĂ©rieure l’est davantage."
Felicia Gomes-Gregory, 50 ans – "[Être sexy] est avant tout une maniĂšre de prendre soin de ma beautĂ© intĂ©rieure."
"Quand j’avais 25 ans, j’apprenais Ă  ĂȘtre sexy. Mes idĂ©es Ă©taient dictĂ©es par des facteurs extĂ©rieures (magazines, livres, tĂ©lĂ©, etc.), par les hommes et, surtout, par le 'village des femmes' qui m’ont Ă©levĂ©e, ma mĂšre notamment. On m’a toujours appris qu’il n’y avait pas besoin de se dĂ©shabiller pour ĂȘtre 'sexy'. Aujourd’hui que j’ai 50 ans, c’est avant tout une maniĂšre de prendre soin de ma beautĂ© intĂ©rieure, et aussi extĂ©rieure. Quand une femme s’est Ă©mancipĂ©e spirituellement et physiquement, qu’elle a de l’assurance, qu’elle sait vraiment ce qu’elle veut et qu’elle aime les autres, elle est naturellement sexy! Pour moi, la dĂ©cennie qui s’annonce est une nouvelle Ă©tape de ma vie, oĂč les quatre choses les plus importantes sont la vie, l’amour, la danse et la foi, bien au-delĂ  de la soixantaine!"
Constance Boardman, 57 ans – "Se sentir sexy Ă  mon Ăąge est beaucoup moins liĂ© au physique."
"Se sentir sexy Ă  mon Ăąge est beaucoup moins liĂ© au physique. Toutes ces choses – liĂ©es Ă  l’apparence – qui nous prĂ©occupaient quand nous Ă©tions plus jeunes sont vraiment absurdes. Au cap de la cinquantaine, j’ai eu du mal Ă  me sentir sexy pendant quelque temps. Les changements de votre corps se font soudain sentir. Mais je sais aujourd’hui que le sexe est quelque chose de trĂšs agrĂ©able, et qu’il est inutile de se soucier de tous ses petits dĂ©tails physiques. J’ai mis un moment Ă  me faire Ă  l’idĂ©e que mon corps ne sera plus jamais comme avant. Mais ça n’a plus beaucoup d’importance Ă  mes yeux."
Cet article, publiĂ© Ă  l’origine sur le Huffington Post amĂ©ricain , a Ă©tĂ© traduit par Bamiyan Shiff pour Fast for Word .
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Sujet: Confessions d'un encagé permanent. (Lu 147171 fois)





Sissy


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Type de cage: Sissy cage


« le: août 26, 2016, 10:08:26 am »
Bonjour. Je voudrais ici démarrer un journal. J'espÚre qu'il aidera les dames a mieux comprendre le vécu d'un encagé, et qu'il aidera a convaincre des hommes de s'encager par amour. Je suis encagé depuis 14 jours, sans aucune sortie, dans une custom chastity léopard trÚs courte. J'éprouve maintenant le besoin de me confier. Hier matin, Madame m'avait laisse entendre qu'Elle aurait envie hier soir. La nuit a passé, et Rien.... J'ai attendu toute la nuit, trÚs dur dans ma cage.... Je ne la sollicite pas, ne lui parle pas de ma frustration, ni de ma cage. Je ne suis pas loin de mon record (17 jours). Je vois l'état dans lequel je suis aprÚs 2 semaines, j'imagine le jour ou je n'aurai pas été libéré durant de longs mois. Je suis constamment excité. Ce matin, j'ai pris une douche glacée pour me calmer, mais l'apaisement a été de courte durée... J'ai laisse depuis quelques jours le livre de notre chÚre Sylvia sur la table du salon. Ma Femme a du le parcourir un peu.... Ce matin, Elle m'a demande de lui donner la clé... C'est tout. Mais symboliquement, c'est pour moi trÚs important. La suite une autre fois. Sissy.

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« Réponse #1 le: août 27, 2016, 07:03:00 am »
Bonjour. Réveille trÚs tÎt par des érections puissantes et contrariées, je vous livre mes confessions du jour. AprÚs 15 jours d'encagement total, je vis d
Mature plantureux impressionante en baise hardcore
Une Ă©tudiante sexy dans un plan Ă  trois
Black défoncée par deux grosses queues blanches

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