C'est le pire type d'excitation

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C'est le pire type d'excitation


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2 Excitation des machines synchrones

2.2.1 SystĂšmes avec machine auxiliaire Ă  courant continu

2.2.2 SystĂšmes avec machine auxiliaire Ă  courant alternatif

2.2.4 Excitatrice Ă  diodes tournantes

3 Excitation des machines Ă  courant continu
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↑ « Conversion de l’énergie Ă©lectrique » [ archive ] , techniques-ingenieur.fr , consultĂ© le 14 octobre 2020.







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Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient ĂȘtre mieux reliĂ©es aux sources mentionnĂ©es dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes » ( mai 2016 ).

L' excitation d'une machine Ă©lectrique est nĂ©cessaire pour gĂ©nĂ©rer un champ magnĂ©tique dans un noyaux de fer doux . Pour une machine synchrone le champ magnĂ©tique doit ĂȘtre tournant dans le stator afin qu'il puisse induire un champ tournant dans le rotor oĂč est produit le champ d'excitation. Dans une machine Ă  courant continu , le champ d'excitation est produit au stator, soit par des aimants permanents , soit par des enroulements inducteurs ( bobinages ).

Pour générer le champ magnétique nécessaire dans les machines électriques on peut utiliser des aimants permanents ou des électroaimants .

Les Ă©lectroaimants ont besoin d’un courant continu pour gĂ©nĂ©rer un champ magnĂ©tique [ 1 ] .

Le courant d'excitation des machines synchrones est fourni par diffĂ©rents systĂšmes qui peuvent ĂȘtre partagĂ©s en deux grands groupes : les systĂšmes statiques et les systĂšmes dynamiques.

Dans les systÚmes statiques le courant est pris directement du réseau ou à la sortie de la machine, redressé par un pont de diodes , de courant alternatif en un courant continu et transféré à travers un systÚme de bagues et balais qui relie la source au circuit du rotor. Le systÚme dynamique utilise une deuxiÚme machine plus petite (voire en troisiÚme, encore plus petite) pour générer le courant nécessaire.

L’excitation est importante dans la machine synchrone, notamment quand elle travaille comme gĂ©nĂ©rateur parce que le systĂšme peut rĂ©gler la quantitĂ© de puissance rĂ©active cĂ©dĂ©e ou absorbĂ©e par le gĂ©nĂ©rateur. Dans le cas oĂč la machine travaille comme moteur, le champ magnĂ©tique peut ĂȘtre constant et son rĂ©glage est moins nĂ©cessaire, sauf si l'on veut rĂ©gler la puissance de sortie en fonction de la vitesse dans les cas d'ensembles Ă  vitesse variable.

Toutes les machines synchrones, de basse et moyenne puissance, utilisent ce type d’excitation parce qu’il est moins cher que les autres, car il n’utilise aucune machine additionnelle.

Dans un fonctionnement en gĂ©nĂ©rateur, la source de courant continu est constituĂ©e par un transformateur branchĂ© Ă  sa sortie, un redresseur qui convertit le courant alternatif en courant continu et un systĂšme de balais et collecteurs tournants qui transmettent le courant de la source Ă  la bobine du rotor. Le contrĂŽle de la tension s’effectue dans le pont redresseur qui peut rĂ©gler l’amplitude de la tension de sortie.

Le dĂ©marrage de la machine peut ĂȘtre un problĂšme car au dĂ©but elle ne gĂ©nĂšre pas d’électricitĂ© et donc la bobine du rotor ne peut pas avoir de courant pour crĂ©er le champ magnĂ©tique nĂ©cessaire dans la conversion Ă©lectromĂ©canique. Parfois le champ rĂ©manent (le champ dĂ» Ă  la saturation du noyau qui reste mĂȘme s’il n’y a pas de courant circulant dans la bobine) est nĂ©cessaire pour commencer Ă  crĂ©er Ă©lectricitĂ© mais s’il n’est pas suffisant, il faut ajouter un systĂšme auxiliaire qui travaille pendant le dĂ©marrage de la machine.

Un autre problĂšme peut ĂȘtre la possibilitĂ© d’un court-circuit. Si l’inducteur (l’excitation) est branchĂ© au rĂ©seau sans interrupteur de groupe (interrupteur pour protĂ©ger un groupe de composants, dans ce cas-ci le transformateur, le pont de diodes et la bobine du rotor) et s’il arrive un court-circuit, le courant d’excitation tombe Ă  zĂ©ro et les protections n’agissent pas. Une solution possible est d'implanter en parallĂšle une deuxiĂšme source de courant isolĂ©e du rĂ©seau.

Les systĂšmes dynamiques utilisent au moins une deuxiĂšme machine auxiliaire plus petite que la machine principale pour gĂ©nĂ©rer le courant d’excitation. La machine secondaire est normalement fixĂ©e au mĂȘme arbre que la machine principale pour profiter de la puissance mĂ©canique de la turbine d'entrainement. Il y a diffĂ©rents types d’excitation selon que la machine est Ă  courant continu ou Ă  courant alternatif.

Le systĂšme d’excitation avec machine auxiliaire Ă  courant continu est le plus ancien systĂšme installĂ© dans des groupes hydroĂ©lectriques (groupes tournant Ă  basse vitesse). La machine Ă  courant continu est de moins en moins utilisĂ©e en raison de l’amĂ©lioration des machines Ă  courant alternatif et de l’ Ă©lectronique de puissance .

L’avantage d’utiliser la machine Ă  courant continu est qu’on n’a pas besoin de redresseur et qu’on rĂ©duit les pertes d’énergie correspondantes. La machine peut avoir un systĂšme d’auto-excitation (inducteur branchĂ© Ă  l'induit) ou un systĂšme indĂ©pendant fourni par une troisiĂšme machine plus petite que la derniĂšre. Dans ce dernier cas la premiĂšre machine s’appelle excitatrice principale et la deuxiĂšme excitatrice auxiliaire. Tous les cas de machine Ă  courant continu ont besoin d’un systĂšme de balais pour relier l’excitatrice au rotor.

Le systĂšme d’excitation avec machine Ă  courant alternatif utilise une deuxiĂšme (parfois aussi une troisiĂšme) machine synchrone plus petite que la machine principale. Comme il gĂ©nĂšre un courant alternatif, il faut un redresseur entre l’excitatrice et la machine principale. Selon que le redresseur est statique ou tournant il y a deux systĂšmes diffĂ©rents, mais le contrĂŽle de la tension est toujours fait par le redresseur principal.

L’excitatrice gĂ©nĂšre un systĂšme d’excitation triphasĂ© dans le stator qui est redressĂ© et fourni au rotor Ă  travers un systĂšme de balais. Le rotor de la machine auxiliaire peut ĂȘtre alimentĂ© grĂące Ă  un transformateur et un redresseur qui prennent le courant de la sortie de la machine principale. Ce systĂšme est une solution au problĂšme de court-circuit du systĂšme statique oĂč les protections peuvent agir parce que l’excitation est isolĂ©e.

L’excitatrice Ă  diodes tournantes est aussi connue comme excitatrice brushless (sans balais). Ce systĂšme a pour but d’enlever les balais de la machine principale car ils forment la partie du groupe qui a besoin de plus de maintenance (Ă©change rĂ©gulier des balais). Sur la machine secondaire, l’inducteur (la partie qui gĂ©nĂšre le champ magnĂ©tique) se situe au stator et l’induit (la partie oĂč on gĂ©nĂšre le courant) au rotor.

La partie en mouvement est constituĂ©e par le rotor de la machine principale, les diodes (le redresseur) et le rotor de la machine secondaire. De l’autre cĂŽtĂ©, l’inducteur de la machine secondaire peut ĂȘtre fourni par un transformateur et un redresseur depuis la sortie de la machine principale ou par une troisiĂšme machine synchrone Ă  aimants permanents qui gĂ©nĂšre un systĂšme triphasĂ© Ă©quilibrĂ©e redressĂ© avant l’inducteur de la deuxiĂšme machine.

Dans les machines à courant continu , l'excitation est produite soit par des aimants permanents , soit par des enroulements inducteurs ( bobinages ) situé au stator.




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En physique , on appelle excitation tout phénomÚne qui sort un systÚme de son état de repos pour l'amener à un état d'énergie supérieure. Le systÚme est alors dans un état excité . Cette notion est particuliÚrement utilisée en physique quantique , pour laquelle les atomes possÚdent des états quantiques associés à des niveaux d'énergie : un systÚme est dans un niveau excité lorsque son énergie est supérieure à celle de l' état fondamental .

Un électron excité est un électron qui possÚde une énergie potentielle supérieure au strict nécessaire.

Les électrons dans les atomes sont si petits que ce sont les rÚgles de la mécanique quantique qui comptent pour eux. Une des conséquences les plus importantes en est qu'ils ne peuvent pas avoir n'importe quelle énergie, mais qu'en fonction de la position de l'atome et d'autres atomes des orbites sont formées pour les électrons, avec chacune une énergie potentielle discrÚte. Chaque orbite peut contenir précisément deux électrons. Dans des conditions normales, les électrons vont toujours rechercher l'orbite qui a l'énergie potentielle la plus basse.

Lorsqu'un Ă©lectron gagne de l'Ă©nergie , par exemple en absorbant l'Ă©nergie d'un photon , il peut sauter de son orbite Ă  une orbite possĂ©dant une Ă©nergie potentielle supĂ©rieure. Un Ă©lectron dans cet Ă©tat est appelĂ© Ă©lectron excitĂ© . Cet Ă©tat d'excitation n'est pas un Ă©tat stable pour un Ă©lectron et ne peut donc pas durer longtemps : puisqu'une orbite infĂ©rieure est disponible, l'Ă©lectron va - Ă  un moment donnĂ© - retourner de lui-mĂȘme Ă  l'orbite ayant une plus petite Ă©nergie potentielle. Il va alors rendre Ă  l'environnement l'Ă©nergie qu'il avait gagnĂ©e, sous forme d'un photon, de chaleur ...

GĂ©nĂ©ralement, le passage Ă  une orbite d'Ă©nergie infĂ©rieure se fait Ă  une vitesse Ă©clair. Mais parfois, ce passage est - suivant la mĂ©canique quantique - interdit ; dans ce cas, le retour de l'Ă©lectron Ă  l'orbite infĂ©rieure peut durer trĂšs longtemps, sĂ»rement plusieurs secondes mais mĂȘme plusieurs minutes dans certains cas. Cet effet est appelĂ© phosphorescence et est, entre autres, utilisĂ© pour fabriquer des jouets luisant dans le noir (qui Ă©mettent de la lumiĂšre dans l'obscuritĂ© pendant un certain temps).

Les différences d'énergie entre les orbites les plus éloignées du noyau de l'atome sont de l'ordre de quelques électron-volts (eV). Les photons qui y correspondent peuvent avoir une longueur d'onde de lumiÚre visible. Cet effet est utilisé par exemple dans les lampes DEL et les lasers .

Les différences d'énergie entre les orbites les plus proches du noyau dans les atomes plus lourds (p. e. des métaux comme le fer , le cuivre et le molybdÚne ) sont des milliers de fois plus importantes (parfois jusqu'à des dizaines de milliers d'électron-volts). Les photons qui y correspondent ont une longueur d'onde du domaine des rayons X .

Le niveau excitĂ© est le niveau oĂč se trouve un Ă©lectron aprĂšs l'absorption d'un photon . En Ă©mettant le photon absorbĂ©, l'Ă©lectron peut revenir du niveau excitĂ© Ă  son niveau de dĂ©part.

Présentons tout d'abord le contexte dans lequel nous nous baserons, soit l' atome d'hydrogÚne .

Le modĂšle de l'atome d'hydrogĂšne est un Ă©lectron en orbite autour d'un noyau , constituĂ© d'un proton . C'est l'atome le plus simple qui existe. Les Ă©lectrons sont Ă  des distances prĂ©cises du noyau. Au repos, lorsque n=1, l'orbite de l'Ă©lectron a un rayon de 1 ×10 -11 mĂštre (appelĂ© rayon classique de Bohr ). L'Ă©lectron peut aussi ĂȘtre sur des orbites plus grandes, associĂ©es Ă  des nombres entiers n = 2, 3, 4, 
, ∞ (= infini).

Le noyau a un rayon de 1 ×10 -15 mĂštre . L'atome au repos est donc 10 000 fois plus gros que le noyau. Si le noyau avait la taille d'une bille, l'atome aurait la taille d'une sphĂšre dont le diamĂštre Ă©galerait la longueur de 4 terrains de football.

Ainsi, l'atome peut passer de l' Ă©tat fondamental (n=1 oĂč n est le numĂ©ro de la couche) Ă  un Ă©tat excitĂ© en absorbant un photon de lumiĂšre . Il peut aussi revenir Ă  son Ă©tat fondamental en Ă©mettant de la lumiĂšre dont la couleur ( longueur d'onde ) va dĂ©pendre des niveaux d'Ă©nergie de l'atome.

Le passage du niveau




n

2





{\displaystyle n_{2}\,}

au niveau




n

1





{\displaystyle n_{1}\,}

correspond Ă  une Ă©mission / absorption de longueur d'onde lambda, telle que





1
λ


=
R
.

(



1

n

1


2




−


1

n

2


2





)



{\displaystyle {\frac {1}{\lambda }}=R.\left({\frac {1}{n_{1}^{2}}}-{\frac {1}{n_{2}^{2}}}\right)}

, avec



R
=
1
,

1.10

7



m

−
1




{\displaystyle R=1,1.10^{7}m^{-1}}

.

Si l'atome reçoit suffisamment d'Ă©nergie, l'Ă©lectron passe du niveau n = 1 au niveau n = infini. L'atome perd alors son unique Ă©lectron et devient un cation ( ion positif). La longueur d'onde correspondante est 0,91 ×10 -7 m (dans l' ultraviolet ).

Dans l'atmosphÚre d'une étoile , les atomes d'hydrogÚne, éclairés par l'étoile, absorbent uniquement les couleurs qui les font passer d'un niveau à un autre.

Les atomes et les molécules excités sont des atomes et des molécules dont au moins un électron est dans un état excité, par exemple He * , He * 2 et He * 4 .


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ÉditĂ© par mfenestraz Auteur parrainĂ© par melissabounoua
On le sait (à peu prÚs ) : la libido des femmes change au cours du cycle menstruel et, en tendance, c'est au moment de l'ovulation qu'elle est la plus exacerbée. C'est à ce moment-là que les femmes rapportent le plus de fantasmes sexuels et les fantasmes sexuels les plus intenses. C'est là qu'elles se sentent les plus sexuellement excitées ou que, par leurs comportements/choix/attitudes, elles augmentent les chances (ou les risques ) d'avoir des relations sexuelles.
Les femmes ovulantes plus attirantes
Par exemple, certaines études ont observé que les femmes (célibataires comme en couple) s'habillent de façon plus "sexy" au moment de leur ovulation ou ont une activité sociale plus intense qu'à l'accoutumée - autant de façons d'attirer de potentiels partenaires sexuels.
De mĂȘme, du cĂŽtĂ© de ces potentiels partenaires, la dĂ©marche des femmes ovulantes est jugĂ©e plus attirante .
Sans oublier que des femmes hétérosexuelles semblent donner plus facilement leur numéro de téléphone à des hommes ou accepter de danser avec eux qu'à d'autres moments de leur cycle ovarien.
La fréquence des comportements sexuels fluctue aussi chez les femmes selon leur état hormonal.
Qu'elles soient hétérosexuelles ou homosexuelles , les femmes font état d'une activité sexuelle plus conséquente au moment de l'ovulation. Une augmentation qui se traduit autant par une multiplication des initiatives sexuelles ou de la masturbation que par la réduction des refus quand c'est l'autre partenaire ( hétérosexuel ) qui a envie de se la coller.
Enfin, il sembleraient que les pénétrations occasionnent davantage d'orgasmes chez les femmes au moment de l'ovulation.
La pénétration préférée au sexe oral ?
Un faisceau de faits (pardon pour les sans-dents) qui a poussĂ© une Ă©quipe de chercheuses canadiennes Ă  se poser une bien intĂ©ressante question : est-ce qu'Ă  certaines pĂ©riodes de leur cycle menstruel, les femmes sont plus intĂ©ressĂ©es/stimulĂ©es sexuellement par certaines pratiques plutĂŽt que par d'autres ? Plus prĂ©cisĂ©ment, est-ce que l'ovulation n'aurait pas tendance Ă  augmenter l'intĂ©rĂȘt pour des pratiques au potentiel reproductif plus Ă©levĂ© que d'autres ? Et, encore plus prĂ©cisĂ©ment, est-ce que les femmes ovulantes n'auraient pas tendance Ă  prĂ©fĂ©rer la pĂ©nĂ©tration au sexe oral ?
Pour ce faire, les scientifiques - Kelly D. Suschinsky, Jennifer A. Bossio et Meredith L. Chivers, trois psychologues affiliées à la Queen's University de
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