C’est l’amour au maximum de la luxure

C’est l’amour au maximum de la luxure




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C’est l’amour au maximum de la luxure
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IMPLICATIONS PHILOSOPHIQUES - ISSN 2105-0864


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Recension – Hors phénomène. Essai aux confins de la phénoménalité.




Recension – « L’art, c’est bien fini ». Essai sur l’hyper-esthétique et les atmosphères.




Westworld : politique de la série télévisée


[box type= »bio »] Etienne Besse[/box]
« Yahvé dit à Osée : » Va, prends une femme se livrant à la prostitution et des enfants de prostitution, car le pays ne fait que se prostituer en se détournant de Yahvé. «  » (Osée, I, 2)
Ayant conquis la plénitude du plaisir,
Bénissant la fidélité de leur mérite.
La plénitude! Ils l’ont superlativement :
Baisers repus, gorgés, mains privilégiées
Dans la richesse des caresses repayées,
Et ce divin final anéantissement!… » (Verlaine, « Ces passions », Parallèlement)
L’œuvre de Sade et sa réputation se sont construites à partir des spectaculaires situations de débauche criminelles et blasphématoires imaginées pour des personnages dévorés par la luxure. A travers ceux-ci, Sade met en cause les dogmes religieux et sociaux de son temps en décrivant des pratiques où les vicieux prospèrent et les vertueux traversent des infortunes. Le divin marquis justifie ces situations du vice et du crime, et résume même toute forme de condition à l’unique cause de la luxure : « Presque tous les vices n’ont qu’une cause dans le cœur de l’homme : tous partent de son plus ou moins de penchant à la luxure [1] ». Celle-ci est généralisée, poussée dans ses plus ultimes conséquences par Sade, allant du plaisir lubrique jusqu’au maximum de l’insensibilité par réitérations indéfinies représentées par le personnage du scélérat. Le crime est ainsi « le dernier degré de la luxure [2] » par épuisement des jouissances. La luxure est l’initiation du scélérat : il ne cherche donc pas seulement un plaisir d’échauffement, une libération de ses passions par la transgression des dogmes ou mœurs consacrés, mais de façon ultime, « l’élan divin de la luxure [3] » doit ouvrir vers une expérience de connaissance, une expérience métaphysique conjointe ou instigatrice de connaissance supérieure : « Le plaisir de foutre n’aveugle pas », et les passions que la luxure allume fait brûler « les flambeaux de Minerve et Vénus : à la lueur de celui-ci, je fous comme ta belle-sœur ; aux rayons du premier, je pense et parle comme Hobbes et comme Montesquieu . [4] »
Qu’est-ce que cette connaissance qu’offre la luxure ? Comment la luxure peut-elle amener chez Sade à un processus de connaissance démontrée? Sade insiste, c’est une connaissance de type philosophique qu’offre cette expérience, et « c’est là qu’il faut suivre l’homme pour le bien connaître ; c’est dans le sein de la lubricité que son caractère, absolument à nu, fournit à la fois toutes les teintes nécessaires au philosophe qui veut les saisir, et c’est après l’avoir vu là qu’on peut deviner à coup sûr le résultat des jets de son exécrable cœur et de ses effrayantes passions . [5] » Sade en fait même une sorte de condition du bonheur qui évalue son plaisir et sa force philosophique selon que le libertin est parvenu ou non à rejeter tous les préjugés moraux, religieux et sociaux :
Juliette, me dit Cornaro, crois-tu qu’il puisse exister au monde une plus divine passion que celle de la luxure ? – Aucune, sans doute ; mais il faut la porter à l’excès : celui qui s’impose des freins en libertinage est un imbécile qui ne connaîtra jamais le plaisir. – Le libertinage, dit la Durand, est un égarement des sens qui suppose le brisement total de tous les freins, le plus souverain mépris pour tous les préjugés, le renversement total de tout culte, la plus profonde horreur pour toute espèce de morale ; et tout libertin qui n’en sera pas à ce degré de philosophie, flottant sans cesse entre l’impétuosité de ses désirs et ses remords, ne pourra jamais être parfaitement heureux. [6]
La connaissance par le vice et ses conditions éthiques semblent malgré tout essentiellement négatives, et c’est ce qui rend problématique cette connaissance par la luxure si celle-ci n’a aucune positivité dans ce qu’elle prétend mettre en cause comme illusoire et donc seulement rejeter pour n’être que cette soustraction apophantique. En effet, si la luxure est un processus de connaissance comme son initiation scélérate par réitération de la transgression ainsi que le montre Klossowski, il semble cependant que, du fait même de la réitération, il ne puisse y avoir chez Sade de libération absolue vis-à-vis de ce qui est transgressé : le crime et le blasphème sont justifiés comme constitutifs du scélérat mais ce qu’il nie n’est jamais réellement détruit. Dieu ou les lois sociales sont dénoncés comme illusoires ou inexistants, mais leurs références sont malgré tout maintenues par Sade pour qualifier le crime et le blasphème : « – Oui, mon ami, oui, tu le peux ; il n’y a plus que Dieu qui te voie. – Oh ! je me fous de ce témoin-là, dit ce roué, mon plus grand chagrin est qu’il n’existe réellement pas de Dieu, et de me voir privé, par-là, du plaisir de l’insulter plus positivement… [7] ». C’est ce qui amène Blanchot à considérer qu’il y a chez Sade une certaine hiérarchie des négations, la dialectique contre Dieu étant inférieure à celle contre la Nature [8] .
Cependant, nous voudrions montrer que pour que soit possible de continuer à considérer chez Sade la luxure comme un processus de connaissance, il faut penser cette hiérarchisation comme le passage de l’initiation scélérate à la « monstruosité » qui atteint la condition de ce qui est mis en question. S’il s’agit moins de ce qui est nié (et de ce qui fait dépendre de cette relation) que de la manière dont les personnages expriment cette négation, alors nous pourrons peut-être atteindre dans leur incarnation même, les modalités d’un processus de connaissance inauguré, accompagné et accompli par la luxure. Sade ne se libère pas de rien pour rien, il faut donc lire ses romans non pas comme une provocation toujours relative, mais un stade expressif absolu dans son écriture comme monstre, ce stade ultime du personnage niant Dieu et Nature. Nous voulons montrer que le monstre représente cette ultime négation absolue qui, certes, ne sort pas du problème de Dieu et de la Nature, mais s’y engloutit à travers l’unité de leurs principes, principes que le monstre redéfinit dans l’abîme. Il y a donc chez Sade un matérialisme revendiqué, apparent, mais qui n’y parvient qu’avec des moyens que l’on peut qualifier d’hyperspiritualisation comme le « bonheur intellectuel [9] » et le crime moral dans un engloutissement en Dieu que nous tenterons d’interpréter plus loin au moyen de la métaphysique de Schelling.
Mais avant de tenter cette analyse, prenons la mesure de ces problèmes avec l’une des scènes les plus incroyables de l’œuvre de Sade :
Par les ordres du capitaine, vingt hommes n’emparent aussitôt de ceux-là ; on les massacre pendant que nous nous branlons, Borghèse, Clairwil et moi. C’est, pour ainsi dire, sur leurs corps que le souper le plus délicieux nous est offert. Et là, nus, barbouillés de foutre et de sang, ivres de luxure, nous portons la férocité au point de mêler à nos aliments des morceaux de chair, détachés par nos main du corps des malheureuses qui sont sur la table. Gorgés de meurtre et d’impudicité, nous tombons enfin, les une sur les autres, au milieu des cadavres et d’un déluge de vins, de liqueurs, de merde, de foutre, de morceaux de chair humaine. Je ne sais ce que nous devînmes ; je me rappelle seulement qu’en ouvrant les yeux à la lumière, je me retrouvai entre deux corps morts, le nez dans le cul de Carle-Son, qui m’avait rempli la gorge de merde, et qui lui-même s’était oublié le vit au cul de Borghèse. Le capitaine, qui s’était endormi la tête appuyée sur les fesses emmerdifiées de Raimonde, avait encore son vit dans mon derrière, et Sbrigani ronflait dans les bras d’Élise… les victimes en morceaux toujours sur la table.
Tel est l’état où nous trouva l’astre du jour, qui, loin de s’étonner de nos excès, ne s’était, je crois, jamais levé plus beau depuis qu’il éclairait le monde. Il est donc faux que le ciel condamne les égarements des hommes, il est donc absurde d’imaginer qu’il s’en offense. Accorderait-il ses faveurs aux scélérats comme aux honnêtes gens, s’il était irrité par le crime ?… – Eh ! non, non ! dis-je à mes amis qui, le lendemain, de sang-froid écoutaient mes réflexions ; non, non, nous n’offensons rien en nous livrant au crime. Un dieu ? Comment s’en offenserait-il, puisqu’il n’existe pas… La nature ?… Encore moins, poursuivis-je, en me rappelant l’excellente morale dont j’avais été nourrie ; l’homme ne dépend point de la nature ; il n’en est pas même l’enfant ; il est son écume, son résultat ; il n’a point d’autres lois que celles imprimées aux minéraux, aux plantes, aux bêtes ; et, quand il se perpétue, il accomplit des lois personnelles à lui, mais nullement nécessaires à la nature… nullement désirées par elle. La destruction satisfait bien plus cette mère universelle, puisqu’elle vise à lui rendre une puissance qu’elle perd par notre propagation. Ainsi nos crimes lui plaisent, mes amis, et nos vertus l’offensent ; ainsi l’atrocité dans le crime est ce qu’elle désire le plus ardemment ; car celui qui la servirait le mieux serait incontestablement celui dont la multiplicité des crimes, ou leur atrocité, détruirait jusqu’à la possibilité d’une régénération qui, se perpétuant dans les trois règnes, lui ôterait la faculté des seconds élans. Imbécile que j’étais ! ô Clairwil, avant que nous ne nous quittassions, j’en étais encore à la nature, et les nouveaux systèmes, adoptée par moi depuis ce temps, m’enlèvent à elle pour me rendre aux simples lois des règnes [10]
Sous cette vague de l’orgie où, du charnier en éruption dégoulinant d’atrocités, jaillissent blasphèmes et outrages, Sade voit pourtant briller le secret, par-delà Dieu et la Nature, de la « Loi des trois règnes» (minéral, végétal, animal): la luxure est la communion avec la clarté des principes, elle est mise en scène par Sade comme une effrayante discipline de révélation, d’obscène vérification. Mais pourtant ce que les échauffements luxurieux ont consumé, nature et Dieu, reviennent comme référence, témoin de leur dépassement. Sont-ils la mue abandonnée, l’illusion passée ou bien donnent-ils encore consistance à la transgression comme sa possibilité ? Que révèlent-ils dans la transgression qui demeure – malgré le blasphème et l’outrage – propre au divin et au naturel ?
Jérôme Bosch – le jardin des délices.
Comment comprendre cette prise à témoin constante de ce qui n’existe pas et la satisfaction de ce dont on ne « dépend pas » dans les personnages et situations de Sade ? Nous le voyons dans le passage cité plus haut, ces questions sont solidaires, la transgression et l’outrage par la luxure doivent dénoncer l’illusion de Dieu par l’immoralité de la Nature, mais la Nature elle-même est « outragée » dans sa condition même, poussée à son processus de destruction, et c’est de cette manière qu’elle « révèle ses secrets » comme étant elle-même identifiée à la destruction : qu’est-ce que cette destruction jusqu’à la « possibilité de régénération » exprime et pourquoi Sade en maintient-il la référence si la luxure doit détruire la condition morale et la possibilité naturelle elle-même ? Jusqu’à la fin, les plus sordides personnages de Sade prennent Dieu à témoin et l’invoquent : « – Infâme jean-foutre de Dieu ! s’écrie-t-il, ne borne donc pas ainsi ma puissance, quand je veux t’imiter et commettre le mal ! Je ne te demande aucune faculté pour la vertu, mais communique-moi, du moins, tous tes pouvoirs pour le crime ; laisse-le-moi faire, à ton exemple ; mets, si tu l’oses, un instant, ta foudre en mes mains, et quand j’en aurai détruit les mortels, tu me verras bander encore à la lancer au sein de ton exécrable existence, pour la consumer, si je puis ! [11] ». N’est-ce qu’un simple effet stylistique qui par contraste met en lumière l’ignominie du crime par ce qui est nié ? Ou bien est-ce plutôt que l’écriture de Sade produit une véritable négation qui n’est pas simplement identifiée à Dieu et la Nature, mais révèle positivement une expérience métaphysique de l’Eternité par « démonstration » ? Comment est-elle concrétisée dans son écriture ? A la fin du roman sur l’histoire de Juliette, Sade offre cette conclusion célèbre qui clôt l’histoire des prospérités du vice, les personnages se proposant d’en faire publier le récit, de l’avouer intégralement : « – Pourquoi donc craindre de le publier, dit Juliette, quand la vérité même arrache les secrets de la nature, à quelque point qu’en frémissent les hommes ? La philosophie doit tout dire. [12] » C’est dans cet écrit philosophique qui s’avoue en contrepoint à la fin de l’histoire de Juliette, que nous devons lire une négation qui n’est pas simplement celle du vice de la luxure et sa jouissance purement relative, consommatrice ; mais une négation absolue qui dans l’aveu révèle en même temps le principe dans lequel elle s’engloutit, se clôt et clôt avec elle ce même mouvement qui « dit tout », s’intègre à l’intégralité comme expression artistique. C’est ce processus de totalisation expressive que traverse par l’écriture la luxure que nous voudrions analyser chez Sade.
Dans les romans de Sade, la luxure n’est plus un plaisir désordonné en vue de lui-même, ce n’est même plus un débordement gratuit de surabondance joyeuse, une offrande délicieuse de jouissance et de volupté. C’est un processus qui tente d’outrager morale et religion par transgressions criminelles et blasphématoires, afin qu’en « outrageant la nature », elle-même dévoile le mystère de son principe vital. La vie doit être avouée, déchiffrée, décode en allant à rebours de son mouvement d’apparence vital qui produit et génère : à l’inverse (mais pas au contraire), Sade remonte au principe de génération ou reformation par l’habitude de l’outrage, de la destruction, du « vice » qui, dans l’insensibilité de la répétition apathique, dévoile la vraie nature par « démonstration » .
Crois-tu, par exemple, qu’en abrutissant deux ou trois sens par des excès, combien ce qu’on retire des autres est inouï ? Je te démontrerai, quand tu le voudras, cette inconcevable vérité. Sois sûre, en attendant, qu’en général c’est dans l’insensibilité, dans la dépravation, que la nature commence à nous donner la clef de ses secrets, et que nous ne la devinons qu’en l’outrageant. [13]
La « démonstration » par abrutissement, excès des sens mène à « l’inconcevable » qui manifeste la « vérité » grâce à l’insensibilisation parce que c’est corporellement que les secrets de la nature doivent se lire et se révéler. C’est bien une expérience de perversion généralisée que propose Sade à ses personnages, il initie le scélérat de sang-froid insensible jusqu’aux révélations monstres : mais comme la luxure se vise elle-même, reproduit l’affectation sans son fruit de nature à l’espèce et sans don d’amour ou de charité [14] , de même la perversion reste à se répéter au sein des codes de la religion, de la société [15] et ultimement de la nature : la perversion sadienne n’expulse ou n’exclut rien, elle infecte et pervertit ce qu’elle remet en cause extérieurement et s’enfonce dans le secret que le crime tente de faire avouer, par la corruption. Cette corruption est péché en tant que séparation « interne » mais pas rejet hors du système divin créateur ; c’est dans sa force de dislocation et son engloutissement dans le problème métaphysique de Dieu que la corruption sadienne s’exprime comme opération révélatrice du secret de sa condition.
La lubricité ou le vice ne suffisent pas ; à travers la luxure, c’est l’épanouissement criminel et blasphématoire indéfiniment répété, retenté, toujours plus repoussé aux confins du possible qui est le signe d’évaluation de sa perversion [16] . Il ne s’agit pas d’un paroxysme de dépassement qui rendrait illusoires les chaînes sociales ou religieuses du commun, qui rendrait à son caractère d’illusion les justifications des lois ou des dogmes : Sade s’abyme en elles, il reconsidère les lois dans les règles de la Société du crime où rentre Juliette, il lui ouvre les porte du Vatican [17] pour mieux y enfermer sa perversion, le vice étant sacré et la vertu soupçonnée de crime. Se forme ainsi un processus de révélation par la transgression qui épuise l’occasion transgressive et cherche l’aveu dans le mutisme innocent, le secret de cet abîme de la nature qui émerge dans les supplices par reflet. Pour cela, l’initiation est une épure charnelle et spirituelle décapante qui écorche jusqu’à l’insensibilité pervertie et corrompt les sens dans les excès à tous les niveaux.
 – Ô ma bonne, lui dis-je, n’est-il pas vrai que plus l’on a d’esprit et mieux l’on goûte les douceurs de la volupté ? – Assurément, me répondit Delbène, et la raison de cela est bien simple : la volupté n’admet aucune chaîne, on ne jouit jamais mieux que quand elle les rompt toutes ; or, plus un être a d’esprit, plus il brise de freins : donc l’homme d’esprit sera toujours plus propre qu’un autre aux plaisirs du libertinage. – Je crois que l’extrême finesse des organes y contribue beaucoup aussi, répondis-je. – Cela n’est pas douteux, dit Mme Delbène : plus la glace est polie, mieux elle reçoit, et mieux elle réfléchit les objets qui lui sont présentés [18] .
C’est donc la transgression – dont les modes sont perversion ou corruption – qui est la raison de ce reflet sur le corps et la rage de la répétition sans frein qui se mire à la surface du corps, mais non par narcissisme, mais pour vérifier le dépassement de l’individu et percevoir le flu
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