C'est en live qu'elle compte se montrer

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C'est en live qu'elle compte se montrer
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Author of #1 bestselling book, Emotional Intelligence 2.0, and president of TalentSmart, world's leading provider of emotional intelligence.
Les personnes toxiques nous rendent folles parce que leur comportement est irrationnel. Ne vous méprenez pas : leur comportement défie toute logique.
Les personnes toxiques défient toute logique. Certaines ne se rendent pas du tout compte de l'impact négatif qu'elles ont sur les gens qui les entourent, et d'autres ont l'air de trouver du plaisir à semer le chaos et à nous pousser à bout.
Il est important d'apprendre à gérer les différents types de personnes toxiques, mais souvenez-vous qu'elles ne valent pas la peine de perdre du temps et de l'énergie – et Dieu sait si elles en prennent. Les personnes toxiques sont source de difficulté, de conflit, et, pire que tout, de stress.
La capacité à gérer nos émotions et à rester calme sous la pression a un lien direct avec nos performances. TalentSmart a fait une étude sur plus d'un million de personnes et a constaté que 90% des personnes les plus performantes savaient bien gérer leurs émotions en période de stress ; elles gardent leur calme et maîtrisent la situation. Leur plus grand don, c'est leur capacité à utiliser l'intelligence émotionnelle pour identifier les personnes toxiques et les maintenir à l'écart.
On dit souvent que l'on est le produit des cinq personnes avec qui l'on passe le plus de temps. Si l'une de ces cinq personnes est toxique, vous découvrirez tôt ou tard à quel point cette personne vous empêche d'avancer.
Vous ne pouvez pas espérer prendre vos distances avec les personnes toxiques avant de les avoir identifiées. Le plus difficile, c'est de faire la part entre ceux qui sont juste embêtants ou compliqués de ceux qui sont vraiment toxiques. Voici les dix types de personnes toxiques qu'il faut éviter à tout prix pour ne pas devenir soi-même toxique.
Les commères trouvent leur bonheur dans le malheur des autres. C'est sans doute amusant de chercher le moindre défaut dans la vie personnelle ou professionnelle de quelqu'un, au début, mais avec le temps, cela devient fatigant, on commence à se sentir irrespectueux et méchant. Il y a trop de choses positives dans la vie et tellement à apprendre des personnes intéressantes pour perdre son temps à parler du malheur des autres.
Certaines personnes ne maîtrisent absolument pas leurs émotions. Elles s'en prennent à vous et projettent leurs émotions sur vous, tout en pensant que c'est vous qui êtes responsable de leur mal-être.
Les personnes caractérielles sont difficiles à repousser parce que leur manque de contrôle vous fait culpabiliser. Quand la situation se complique, les personnes caractérielles déversent leurs émotions sur vous ; il faut absolument les éviter.
Les victimes sont difficiles à identifier parce qu'on commence toujours par avoir de la compassion pour elles. Mais plus le temps passe, et plus l'on comprend qu'elles ont besoin de nous tout le temps. Les victimes refusent toute responsabilité en faisant du moindre obstacle une montagne impossible à franchir. Elles ne pensent pas que les périodes difficiles sont des occasions d'apprendre et d'évoluer. Un vieux dicton dit : "La douleur est inévitable mais souffrir est optionnel." Cela illustre tout à fait le côté toxique de la victime, qui choisit de souffrir tout le temps.
Les personnes égocentriques vous dépriment parce qu'elles sont distantes et froides. On se rend rapidement compte que l'on sort avec des personnes égocentriques : elles nous font nous sentir terriblement seul. Cela s'explique parce qu'elles n'ont aucun intérêt à entretenir un vrai lien avec quiconque. Nous ne sommes qu'un outil destiné à accroître leur estime d'elles-mêmes.
Chez les personnes jalouses, l'herbe est toujours plus verte ailleurs. Même quand il leur arrive quelque chose de bien, elles n'en tirent aucun plaisir. C'est parce qu'elles comparent leur bonheur à celui du monde au lieu de simplement trouver une satisfaction dans ce qui leur arrive. Et, soyons honnête, il y aura toujours quelqu'un qui réussit mieux, quelque part. Passer du temps avec des personnes jalouses est dangereux parce qu'elles vous apprennent à dévaloriser vos propres réussites.
Les manipulateurs pompent tout votre temps et votre énergie sous la façade de l'amitié. Ils ne sont pas toujours faciles à gérer, parce qu'ils vous traitent en ami. Ils savent ce que vous aimez, ce qui vous rend heureux et ce qui vous fait rire, mais le problème, c'est qu'ils utilisent ces informations. Ils ne font rien sans arrière-pensée. Les manipulateurs cherchent toujours à obtenir quelque chose de vous, et si vous prenez du recul sur votre relation avec eux, ils ne font que prendre, prendre, prendre, sans jamais donner en retour, ou très peu. Ils font tout pour vous convaincre afin de mieux vous détruire.
Dans la saga "Harry Potter" de J.K. Rowling, les Détraqueurs sont des créatures maléfiques qui aspirent l'âme du corps et laissent les gens dans un état inhumain. Quand un Détraqueur entre dans une pièce, tout devient sombre, il se met à faire froid et les gens se souviennent de leurs pires souvenirs. Rowling explique qu'elle a développé le concept des Détraqueurs à partir de personnes très nocives – le genre de personnes qui ont la capacité d'arriver dans une pièce et d'aspirer toute la vie.
Les Détraqueurs aspirent la vie en imposant leur négativité et leur pessimisme à toutes les personnes qu'ils rencontrent. Ils voient toujours le verre à moitié vide, et ils arrivent à instiller la peur dans n'importe quelle situation. Une étude de l'université Notre-Dame montre que les étudiants qui partagent leur chambre avec des colocataires pessimistes ont beaucoup plus tendance à développer des pensées négatives et même à déprimer.
Certaines personnes toxiques ont de mauvaises intentions ; elles trouvent du plaisir dans la souffrance et le malheur des autres. Elles sont là soit pour vous faire du mal, soit pour vous faire sentir mal, soit pour obtenir quelque chose de vous ; sinon, elles n'ont aucun intérêt à vous cotoyer. Le seul point positif avec ce genre de personnes, c'est que l'on peut comprendre leurs intentions assez rapidement, ce qui permet de s'en débarrasser plus facilement.
Les personnes critiques vous disent rapidement ce qui est bien et ce qui n'est pas bien. Elles sont très fortes pour trouver la chose qui vous passionne et vous la faire dénigrer. Au lieu d'apprendre des gens qui sont différents d'eux, les personnes critiques méprisent les autres. Elles étouffent vos passions et vos désirs d'expression, alors mieux vaut s'en éloigner et être vous-même.
Les personnes arrogantes sont une perte de temps parce qu'elles prennent tout ce que vous faites pour un défi personnel. L'arrogance, c'est de la fausse confiance en soi : cela masque toujours une grande part de doute. Une étude de l'université d'Akron montre que les personnes arrogantes ont souvent des tas de problèmes au travail. Elles sont moins efficaces, plus désagréables et ont plus de problèmes cognitifs que la moyenne.
Comment se protéger une fois qu'on les a repérées
Les personnes toxiques nous rendent folles parce que leur comportement est irrationnel. Ne vous méprenez pas : leur comportement défie toute logique, donc pourquoi essayer de leur répondre et de se prendre à leur jeu ?
Plus une personne est irrationnelle, plus il devrait être facile d'éviter leurs pièges. N'essayez plus de les battre à leur propre jeu. Prenez vos distances et envisagez vos interactions avec eux comme des expériences scientifiques (ou alors, vous êtes leur psy, si vous préférez cette comparaison). Vous n'avez pas à réagir au chaos émotionnel – juste aux faits.
Garder ses distances nécessite d'être vigilant. Vous ne pouvez pas empêcher quelqu'un de vous pousser à bout si vous ne reconnaissez pas les faits quand ils se produisent. Parfois, vous vous retrouvez dans des situations où vous devez vous ressaisir pour choisir le meilleur moyen de vous en sortir. Pas de panique, vous avez le droit de prendre le temps pour le faire.
La plupart des gens pensent que, comme ils vivent ou travaillent avec quelqu'un, ils n'ont aucun moyen de contrôler ce chaos. C'est tout à fait le contraire. Une fois que la personne toxique est identifiée, son comportement devient prévisible et plus facile à comprendre. Cela vous permet de réfléchir de manière rationnelle pour savoir quand vous devez les supporter et quand vous n'avez pas à le faire. Vous pouvez poser des limites, mais il faut le faire consciemment et activement. Si vous laissez faire, vous allez vous retrouver dans des situations compliquées. Si vous posez des limites et que vous décidez quand et où gérer une personne compliquée, vous pouvez gérer le chaos. Le plus difficile reste de camper sur vos positions et de garder vos limites quand la personne essaie de les dépasser, ce qu'elle fait toujours.
Avez-vous déjà rencontré l'un de ces types de personne toxique ? Partagez vos réflexions dans les commentaires ci-dessous pour que j'en apprenne autant sur vous que vous sur moi.
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Publié le 24/07/2022 15:35


Mis à jour le 24/07/2022 17:58



L. Lacroix -


franceinfo



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Dans la ville martyre de Marioupol, les Russes et leurs alliés affichent leur volonté de reconstruire la ville, deux mois après l'avoir prise. 
Marioupol est la ville martyre du conflit ukrainien. Après y avoir mené une bataille sans merci, l'armée russe veut désormais montrer qu'elle s'attèle à sa reconstruction. C'est une question d'image, alors ce jour-là, elle a invité la presse internationale à venir filmer l'un de ses tous premiers chantiers : un millier de logements livrés à partir de cet automne. " Plus de 1 000 personnes travaillent sur le chantier, avec plus de 500 engins. On travaille 24 heures sur 24 sans s'arrêter une seconde ", raconte le chef de chantier, Oleg Pechionkine. 
Pour ne pas perdre de temps, les différentes opérations sont menées de front - le gros œuvre en même temps que les finitions. Si la plupart des ouvriers sont russes, des habitants de la ville ont également été embauchés. " Il faut avoir du travail, on n'est pas des fainéants. La ville se reconstruit. Le premier jour, quand on est sortis dans la rue, c'était terrifiant ", témoigne une femme en train de peindre une façade.
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Le conseil de défense énergétique, les livraisons réduites de gaz russes, l'été 2022 le plus chaud depuis 2003... Les informés du mardi 30 août
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Louis Delvinquière -


franceinfo: sport




Publié le 23/07/2022 08:27


Mis à jour le 23/07/2022 11:17





























La directrice du Tour de France femmes, Marion Rousse, le 20 mai 2022, à Paris. (ANNE-CHRISTINE POUJOULAT / AFP)




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Avant le Tour de France femmes, qui s'élance dimanche, la directrice de course Marion Rousse est revenue sur la construction du parcours, ses attentes, ses espoirs.
La Grande Boucle va avoir ses héroïnes. Du dimanche 24 juillet au dimanche 31 juillet, alors que le Tour de France masculin se termine, va se dérouler le premier Tour de France femmes. Un renouveau après la disparition de l'épreuve, courue sous d'autres noms par le passé, jusqu'en 2009. Marion Rousse a été choisie par Amaury sport organisation (ASO), l'organisateur, pour être la directrice de course de cette grande première .
Avant le départ au pied de la tour Eiffel, dimanche, l'ancienne coureuse professionnelle et aujourd'hui consultante France Télévisions a livré un grand entretien à franceinfo: sport sur ce grand défi, et les huit étapes de sa Grande Boucle .
Franceinfo: sport : Même si vous avez de l'expérience dans ce métier, ce rôle de directrice du Tour de France femmes vous fait changer de dimension. Comment le vivez-vous ?
Marion Rousse : C'est vrai que ça a été un nouveau rôle pour moi. Dans l'organisation de courses, je ne suis pas novice : je suis déjà directrice adjointe du Tour de la Provence. Organiser une course de A à Z, je sais comment ça se passe et il n'y a rien de simple (rires) . Je pense que peu de personnes connaissent vraiment les contraintes d'organiser une course de vélo à l'heure actuelle. Aujourd'hui, j'ai plusieurs casquettes : je connais le monde des médias grâce à mon métier de consultante et j'ai été sportive de haut niveau, donc l'appréhension du métier ne me faisait pas peur.
Mais ce qu'il représentait, évidemment, c'était quelque chose d'énorme. Pour moi, c'était une grande fierté. Toute ma vie, ça a été du vélo. Quand on me propose ce poste à responsabilités, il faut avoir les épaules solides. Mais il faut y aller et en être super fière. C'est un bonheur d'avoir ce rôle.
La fierté doit aussi résider dans le fait que c'est une nouvelle édition appelée à perdurer...
Oui. Après, il y a déjà eu des éditions dans les années 1980 qui se sont arrêtés et dont on parlait beaucoup moins. Là, on va en parler plus sur cette première édition du Tour de France femmes avec Zwift qui sera retransmise dans plus de 190 pays dans le monde avec 2h30 de direct par jour. C'est du jamais-vu !
"Il y a l'aura du Tour de France. Chez les hommes ou chez les femmes, c'est la plus belle course. Désormais on peut se dire que l'on enchaîne avec une quatrième semaine de Tour."
Les gens vont pouvoir découvrir des coureuses qu'ils ne connaissent pas forcément. L'idée de ce Tour de France femmes est-elle aussi de faire de ces championnes des figures, tout en développant la discipline ?
Bien sûr, on veut faire découvrir le plus de monde possible. C'est pour ça que l'on a tracé ce parcours de cette manière. Chaque étape ou presque correspond à un profil de coureuse différente : il y a des étapes de plaine pour les sprinteuses et les baroudeuses, et d'autres pour les grimpeuses, évidemment. On a envie de faire découvrir au grand public ces championnes qui le méritent. Le Tour de France femmes, s'il a lieu, ce n'est pas un cadeau qu'on fait aux cyclistes féminines. Ce n'est pas parce que c'est dans l'air du temps de voir du sport féminin à la télé qu'il faut le faire. C'est une vraie cohérence sportive.
Je m'éclate autant à commenter les hommes que les femmes. Le cyclisme féminin a évolué, il a aussi plus de budget, donc le niveau s'est resserré. Plus de filles sont capables de gagner des courses et le spectacle est génial. Il était temps, on est là et ASO le considère vraiment comme un Tour de France. En fait, on ne bosse pas différemment que sur le Tour de France des hommes.
ASO, qui organisait déjà le Tour de France et d'autres grandes courses, a dû être un soutien précieux pour ce Tour de France femmes…
Bien sûr, il faut être armé. Quand tu fais une course de ce standing, ASO c'est une machine de guerre. Ils savent organiser comme personne. C'est un gage de qualité. Heureusement, j'ai des équipes autour de moi, ce n'est pas moi qui fais tout. Ce que j'apporte, c'est peut-être mon regard, mon œil, mes convictions. J'ai aussi mon caractère, ferme, et je le fais bien savoir s'il y a des choses qui ne me plaisent pas. Mais je leur fais confiance, et en termes d'organisation, je sais qu'on choisira toujours les meilleures options pour les coureuses.
Dans ce parcours assez atypique, quelles seront les étapes clés qui pourraient dessiner le classement général final ?
Déjà, la première étape parce qu'on part de Paris, alors que les hommes arrivent le même jour. C'était important pour nous de partir de la capitale pour la première étape et pour cette première édition, parce que c'est un peu symbolique, comme un passage de témoin. Mais en partant de Paris sur des étapes qui font, en moyenne, 130 k
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Un gros cul et un plan à trois

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