C'est dehors qu'il va lui tailler une pipe
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C'est dehors qu'il va lui tailler une pipe
I'm an exception It's hard to accept Because I try to be happy But then I forget They tell me I need to chill Man, it's all in your head Maybe I'm paranoid I don't wanna be myself It's making me so unwell
Mon téléphone vibre dans ma poche, et si je le regarde pas tout de suite c'est simplement parce que je suis entrain de servir une tournée de shot à un charmant client qui m'offre un grand sourire en plus du tips qu'il glisse dans la chope de bière prévue à cet effet. Je lui souris en retour alors que je lui tend le plateau où s'alignent la dizaine de petits verres remplis à ras bord, et ses doigts se posent sur les miens et y restent bien plus longtemps que nécessaire avant de récupérer enfin sa commande et de s'éloigner après un clin d'œil dans ma direction. Eh ben dis donc, il a faim lui! Un petit rire quitte mes lèvres alors que je le vois me balancer un regard par dessus son épaule alors qu'il descend les shorts avec ses potes. Il fait pas le poids, il croit quoi ! Par contre, j'me demande s'il me dit pas quelque chose, à bien y penser. J'ai vraiment un putain de problème de mémoire quand il s'agit des visages, c'est abusé, et un jour ça finira par me foutre dans la merde. Après avoir rangé les billets dans la caisse, je fais un pas en arrière pour m’écarter du comptoir et sors mon téléphone où un message de Raziel m’attends sagement, sur l’écran verrouillé. Y’a un sourire qui chasse le précédent, un vrai, un beau, rien qu’à l’idée de recevoir de ses nouvelles, et qui n’est comparable à aucun de ceux que j’ai pu donner ce soir. Sauf qu’il s’évanouit rapidement, et se mue en une vague grimace en lisant ce qu’il me dit, me demande. Pourquoi chez moi? Doit bien y avoir une raison, c’est évident, mais elle me saute pas aux yeux. Un frisson désagréable me tombe de la nuque, et je commence à lui demander pourquoi pas chez lui plutôt, quand un grand groupe de soiffards hèle Remington et c’est certain qu’il va avoir besoin de mon aide pour les servir, alors j’efface mes questions et répond rapidement que je le rejoins en sortant, sans entrain, sans envie. Oh c’est pas lui que j’ai pas envie de voir, c’est de remettre les pieds chez moi, et il le sait. J'ai pas réussi à y retourner depuis ce qu’il s'est passé, c'est tout bonnement au-dessus de mes forces. Ça n'a rien d'anormal, beaucoup de gens refuseraient de remettre des pieds chez eux après un événement pareil, mais je crois que mes raisons sont différentes de celles qui seraient logiques, de celles qu’on attend. Bien sûr, pour commencer, j'ai pas le courage d'affronter les souvenirs que j'imagine être bien plus vivaces sur place qu'ils le sont déjà dans ma tête, mais je crois que c'est plutôt de faire face à mon propre équilibre mental qui me terrifie, et de retourner là-bas me mettrait sans doute au devant de la précarité terrible de celui-ci, ainsi qu'une vérité incontournable : ce déséquilibre vient d'avant, vient d’ailleurs. Ce déséquilibre qui m'a donné envie que ce mec meurt, le souhaiter, le menacer, d'apprécier ce sentiment de puissance, de supériorité, de besoin de lui faire mal, de le faire taire, d’écarter le danger, comme avec le type du hangar en début d’année que j’ai tant regretté de pas avoir tué. Y’a quelque chose qui va pas chez moi, ça fait un moment que je l’ai remarqué, et je sais pas quoi en faire, à part craindre ce changement. Craindre de me perdre, d’être ce quelqu’un que je reconnais pas, que j’aime pas, et plus je reste ici, plus je change et plus j’ai peur de changer. Comme si à chaque événement, cette ville m’arrachait un bout, une partie, un morceau de moi pour me tailler en un mec différent. Et j’essaye, j’essaye de m’accrocher à qui je suis, à garder mon innocence comme me l’a dit bien dit Miles, m’harnacher au gamin que je suis censé être, mais j’ai de moins en moins d’emprise dessus,et j’ai le sentiment que le Caleb d’avant m’a glissé entre les doigts depuis un moment déjà. Non, en fait c’est pas une impression, c’est le cas, et il paraît que c’est normal, qu’après tout ce que j’ai vécu c’est humain que je perde pied, que j’ai la tête sous l’eau, yada yada , mais alors pourquoi ils ont tous l’air d’attendre de moi que je redevienne comme avant, que je me retrouve, que je me reconstruise ? Ok, moi aussi, j’ai cherché ça, j’ai voulu ça, mais j’y arrive pas. Il va se passer quoi, quand tout le monde comprendra que c’est pas possible, que je serais plus jamais le même ? Il va se passer quoi, quand tout le monde verra que je m’étiole, je m’effrite, me disperse dans cet océan de merde dans lequel je semble tomber un matin sur deux? Il va se passer quoi, quand il restera plus rien de moi ? Putain, j’en sais rien, et c’est seulement parce que Rem me met un coup de coude pour me sortir de ma tête que j’arrête de me poser autant de questions et que je me remet la tête dans le taff. Et ces questions reviennent une fois le bar fermé, une fois qu’on s’est souhaité une bonne nuit Mimi et moi, et que je me retrouve tout seul sur ma moto, la clé dans le contact, le moteur qui ronronne entre mes jambes. Je vais trouver quoi, là-bas, dans mon appartement, en plus de Raziel qui m’y attend ? Des réponses à mes interrogations, ou toujours plus de questions sans réponse ? Le reflet d’un moi qui me ressemble à la fois pas du tout, et beaucoup trop ? Ma noirceur qui n’a pas voulu me répondre mais qui tapisse pourtant le fond de mon âme ? Ou peut-être que je vais rien trouver à part les beaux yeux bleus de l’homme que je vais épouser, et rien de plus. Mais dans ce cas, pourquoi j’ai si peur ? Et si c’était dans ses yeux à lui, que je voyais de la peur, face à ce que je peux devenir ? Rah, vas-y ça me gave de me casser la tête comme ça, je coupe le moteur, glisse ma main dans la poche de ma veste et en sort un pochon d’où j’en tire une moitié de cachet que j’écrase déjà sur l’arrière de mon téléphone avec une de mes bagues. Après m’être penché, je sniffe la trace et me masse la narine tout en tentant de me rassurer : Raziel, je lui fais confiance. S’il me dit de le rejoindre chez moi malgré tout, c’est pour une bonne raison, et qu’importe ce que je vais affronter là-bas, si je le fais avec lui, je n’ai rien à craindre, pas vrai ? C’est évident, je lui confierais ma vie. Je l’ai déjà fait. Après avoir attendu quelques minutes que les premiers effets se fassent ressentir, je redémarre le moteur et élance mon deux roues pour vraiment pas longtemps et vu que j’habite pas bien loin, je n’ai même pas pris soin de mettre mon casque. En moins de deux minutes, je me gare en bas devant la porte de mon immeuble, porte que j’ouvre déjà d’un geste un peu trop brusque, alors que dans un réflexe, je porte ma main au pansement qui couvre encore la plaie de mon cou. J’ai pas envie de prendre l’ascenseur, alors je monte les étages à pied et arrivé au 6ème étage, je ralentis le pas, inspire profondément, expire, inspire de nouveau en traînant un peu avant d’arriver devant ma porte d’où émane une odeur d’herbes que je crois reconnaître. J’ai les sourcils légèrement froncés quand je toque doucement à ma propre porte avant d’entrer. Mon appart est plongé dans le noir, à peine éclairé par quelques bougies et si je m’étonne un instant de pas pouvoir discerner ce qu’il y a autour, perdu dans les ombres, l’interrogation s’enfuit de mes traits quand mes yeux se posent sur Raziel, sur son visage baigné des lumières mordorées qui dansent sur sa peau. Je reste un instant comme ça, la main sur la poignée, la porte grande ouverte, et je souris comme un con face à la vision qu’il m’est donné de voir. « Hey. » que je souffle avant de pousser du pied le battant pour qu’il se claque derrière moi. « J’aurais choisi un meilleur endroit pour une soirée romantique... » je m’avance dans le salon, retirant une chaussure avec mon autre pied, puis la seconde, et glisse ma main sur sa hanche. « Mais j’vais pas m’en plaindre. » ah ça non, je vais jamais me plaindre de passer un moment ensemble, encore moins ce genre de moment, et je peux déjà sentir une certaine chaleur m’emplir autant le cœur que mon bas ventre. Ma joue s’écrase contre son torse dans lequel je me fond alors que mes bras entourent son dos, et les paupières closes, j’inspire son odeur, et celle de weed, de tabac, et de sauge qu’il me semblait bien avoir reconnu depuis le couloir. « S’tu fais brûler d’ton herbe chez moi pour une histoire d’bad juju or some shit, j’te promet que j’vais m’foutre d’toi, Raz. » je décolle mon visage de sa poitrine pour relever les yeux vers lui, et dans un sourire, je me hisse sur la pointe de mes pieds pour l’embrasser tendrement alors que mes mains glissent sous son t-shirt dans des caresses amoureuses entre ses omoplates et le creux de ses reins.
There's something inside that fucking hurts me every time I've tried every single pill to help me chill, and I'm not satisfied One minute, I'll be fucked, and the next minute I'm fine I can't believe myself, I'm overwhelmed, I think I've lost my mind Don't romanticize my life, I need a redesign.
I'm an exception It's hard to accept Because I try to be happy But then I forget They tell me I need to chill Man, it's all in your head Maybe I'm paranoid I don't wanna be myself It's making me so unwell
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Traduction lui tailler une pipe | Dictionnaire Français-Italien
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tailler vt tagliare , (arbre, plante)
potare , (crayon)
temperare se tailler vr (ongles, barbe)
tagliarsi , (victoire)
ottenere , (fig, réputation)
farsi fam, s'enfuir tagliare la corda tailler dans la chair/le bois incidere nella carne/nel legno tailler grand/petit (suj, vêtement)
avere una foggia ampia/stretta
Traduction Dictionnaire Collins Français - Italien
alla kamikaze; al macello; a morte sicura
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se tailler , tailleur , taillé , taillader
Il la fait venir dans le bureau et lui demande de lui tailler une pipe .
L'ha portata nel retrobottega dicendole di fargli un pompino .
À un autre niveau, c'est une orgie, une orgie gratuite, un genre de conte, en particulier dans l'histoire de ce père qui demande à sa fille de lui tailler une pipe .
A un altro livello si tratta di una fantasia orgiastica auto-indulgente. E la fantasia, in questa storia... è quella di un padre... che comanda alla propria figlia di fargli un pompino .
Jimmy était bourré et a laissé Russell lui tailler une pipe .
È davvero fantastico, Jimmy era ubriaco e si è fatto fare una pompa da Russell, che ora è innamoratissimo .
Adriana s'est fait prendre en train de lui tailler une pipe .
Adriana è stata beccata che gli faceva un pompino .
Il était mignon et chaque fois qu'il arrivait dans un monastère, un moine lui proposait de lui tailler une pipe .
Lui era molto bello, e ogni volta che andava in uno di quei monasteri un monaco si offriva di succhiargli l'uccello .
Ce que j'ai fait, c'est lui tailler une pipe .
Quello che ho fatto a Tim McManus è stato succhiargli il cazzo .
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Elle lui montre comment tailler une vraie pipe Dite moi si vous avez aimez mon site merci. Tell me if you liked my site thank you. Sag mir, ob dir meine Seite gefallen hat, danke. info@fabienne10.be Le Navigateur que vous utilisez ne prend pas en charge les fonctions requises pour afficher ce site. Play Mute Fullscreen Fluid Player 3.5.0 Pour laisser un commentaire vous devez vous connecter ! Cliquez ici pour vous inscrire 2 24 cimerrrrrrrrr ! rien a foutre ici.. 0 0 0 12 Pierre-13 a écrit: Avant de venir pleurer ici, tu devrais peut être essayer de sensibiliser ta soeur ou ton frère au fait qu'un gamin de 10 ans ne doit pas se retrouver seul et sans surveillance sur internet. Je ne suis pas là pour faire l'éducation de ton neveu et encore moins le boulot de ses parents. Je t'invite donc à les sensibiliser sur ce point là, mais honnêtement j'ai du mal à imaginer des adultes saints d'esprit laissant sans surveillance leurs progénitures ... ça honnêtement je ne comprends pas !! Cela étant dit, j'ai tout de même pris compte du fond de vos remarques et vais réfléchir à un moyen de corriger cela. Pour corriger c'est simple, il existe une section interdite aux mineurs. En une semaine ça fait quand même 3 vidéos du genre. 1 9 elisachanterelle a écrit: Mon neveu de 10 ans passe ses soirées ici Avant de venir pleurer ici, tu devrais peut être essayer de sensibiliser ta soeur ou ton frère au fait qu'un gamin de 10 ans ne doit pas se retrouver seul et sans surveillance sur internet. Je ne suis pas là pour faire l'éducation de ton neveu et encore moins le boulot de ses parents. Je t'invite donc à les sensibiliser sur ce point là, mais honnêtement j'ai du mal à imaginer des adultes saints d'esprit laissant sans surveillance leurs progénitures ... ça honnêtement je ne comprends pas !! Cela étant dit, j'ai tout de même pris compte du fond de vos remarques et vais réfléchir à un moyen de corriger cela. 0 8 ivre , pas sur...bourrée, maintenant c est une certitude 0 17 elisachanterelle a écrit: Mon neveu de 10 ans passe ses soirées ici dans le meme bar qu eux ? il est pas un peu jeune ? 1 1 Mon neveu de 10 ans passe ses soirées ici 0 3 Faut vraiment être crade pour faire ça dans des chiottes déjà dans les miennes ça me viendrais pas a l'idée, mais la en plus dans les chiottes a tous le monde bref beurk 0 6 Surtout qu'il y a rien de débile ni d'insolite... C'est vraiment nul a chier.. 0 8 En ce moment on a plus l'impression d'être sur youporn, va falloir arrêter les conneries là, y'a des enfants qui regardent les vidéos. 0 18 Boro a écrit: cimerrrrrrrrr ! rien a foutre ici.. Effectivement apres l'avoir regarder 3 fois je confirme ça n'a rien à faire ici !!!! Les meilleurs contributeurs du mois mansail : passage à niveau avec composants chinois...... Mongolito : Plouf la pouf mansail : et merde le portail ;il est fichu maintenant ,fallait sacrifier la tète mansail : Beau geste....des 2 madmac : Le chapeau me semble vrai… PHILOU77340 : Ha une R8 compressé . Mongolito : Problème technique entre le siège et le volant madmac : il s'en sort. On le voit ressortir de l'eau et s'envoler sur la fin du clip. polux68 : video nul p'tit zef : c'est vraiment un sport de con Brune avec un corps incroyable Ces deux salopes en veulent plus Deux étalons baise deux bombes
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