C'est ce qu'il se passe dans le vestiaire des filles

🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

C'est ce qu'il se passe dans le vestiaire des filles

Shortcuts zu anderen Sites, um außerhalb von DuckDuckGo zu suchen Mehr erfahren
Le garçon dans le vestiaire des filles Est- ce que vous êtes déjà allés dans les toilettes ou les vestiaires du sexe opposé ? Quand on est transgenre, tout change. Des petites choses, qu'on faisait sans penser, deviennent lourdes de sens. Depuis que je suis adolescent, je vais dans les toilettes des garçons.
Ce qui se passe dans le vestiaire est donc forcément en lien avec ce qui se passe dans l'enceinte de l'établissement scolaire et au-delà. Réfléchir sur le vestiaire , c'est donc aussi prendre en compte les sociabilités adolescentes en général, selon un angle spécifique.
En effet, il est propre au vestiaire de pouvoir y célébrer de grandes victoires, y pleurer de frustrantes défaites, mais aussi de pouvoir y récolter les anecdotes les plus divertissantes. En voici quelques-unes pour vous. Du côté des filles : la curiosité et la diversité des corps
C'est un moment d'interactions entre filles qui vont émettre des jugements sur les autres. Floriane, mince, grande et blonde est critiquée pour sa proximité avec les garçons et est mise à part, traitée « d'allumeuse ». Les vestiaires sont aussi un lieu secret, dans lequel les jeunes filles sont cachées. C'est dans les vestiaires
Le maillot de bain deux pièces s'est imposé dans le vestiaire des petites filles . Si certains n'y voient aucun mal, pour d'autres ce vêtement est loin d'être anodin. À la plage, à la piscine et...
Si ce syndrome du vestiaire a tendance à être plus masculin que féminin, des exemples de moqueries ou d'injures blessantes ont lieu aussi chez les dames, en particulier chez les jeunes filles .
Dans le vestiaire , la nudité n'est pas hypersexualisée. C'est la nudité du bien-être, dissociée de tout exhibitionnisme et voyeurisme.» Aux Etats Unis par exemple, pays pourtant pudique, ce témoignage montre une certaine liberté:
On alterne constament entre le vestiaire du gymnase (En forme de U) et celui du terrain de volley (un simple rectangle). Au volley, rien ne se passe réellement, on est entre potes, en boxer, rien de plus. Pour le gymnase, comme un cloison sépare la salle, d'un coté ou de l'autre, y a déjà plus d'ambiance, mais ça reste amical et on reste en boxer.
Plein phare sur un incontournable du vestiaire féminin au summum du sexy et de l'érotique… Le corset ou l'incarnation mode de l'antiféminisme ? 1/9 Le corset : un come-back mode des plus remarqués...
Le vestiaire des filles Alors voila c'était un mardi apres-midi, moi et ma nu dans du sur les forums de weebly Y'a aucun autre endroit sur Terre où tu peux voir autant de gens nus ton poil de jambe puis tes vergetures d'anciennes ados rondelettes. La fille seule dans le vestiaire des garçons. BEN KEMOUN Hubert Marion est une adolescente ...
Hilf deinen Freunden und Verwandten, der Seite der Enten beizutreten!
Schütze Deine Daten, egal auf welchem Gerät.
Bleibe geschützt und informiert mit unseren Privatsphäre-Newslettern.
Wechsel zu DuckDuckGo und hole dir deine Privatsphäre zurück!
Benutze unsere Seite, die nie solche Nachrichten anzeigt:
Über $3,650,000 an Spenden für Datenschutz durch DuckDuckGo.
Erfahre, wie wir uns dafür einsetzen, dass du online sicher sind.
Wir speichern weder deinen Suchverlauf, noch verfolgen wir dich im Internet.
Wir zeigen Ihnen, wie du deine Privatsphäre online besser schützen kannst.

Le respect de vos données est notre priorité Nous et nos partenaires pouvons stocker et/ou accéder à des informations stockées sur votre terminal (telles que données d'identification, de navigation, de géolocalisation) au moyen de cookies ou technologies similaires. Avec votre accord, nous et nos partenaires utilisons des traceurs afin de produire des statistiques d'usage ou personnaliser votre expérience (identification par analyse du terminal, publicités et contenus personnalisés, mesure de performance des publicités et contenus, production de données d'audience et développement de produit) sur internet ou par communication directe (email, sms...). Vous pouvez consentir à ces utilisations en cliquant sur le bouton «Accepter & Fermer», «Continuer sans accepter» dans le cas contraire, ou obtenir plus de détails et/ou en refuser tout ou partie en cliquant sur «En savoir plus →». En cas de refus, vous continuerez à recevoir des publicités mais ces dernières ne seront pas personnalisées en fonction de vos centres d'intérêts. Vos choix seront appliqués sur l'ensemble du portail BFMTV (*.bfmtv.com) et conservés au maximum pendant 13 mois. Vous pouvez à tout moment modifier vos choix en utilisant le lien "cookies" figurant en bas de page sur ce site. Pour en savoir plus, vous pouvez également consulter notre politique de protection des données personnelles .
Newsletters Actualité Inscrivez-vous gratuitement !
Les bikinis pour fillettes, "une sexualisation dès le plus jeune âge"?
https://twitter.com/chussonnois Céline Hussonnois-Alaya Journaliste BFMTV
Le maillot de bain deux pièces s'est imposé dans le vestiaire des petites filles. Si certains n'y voient aucun mal, pour d'autres ce vêtement est loin d'être anodin.
https://twitter.com/chussonnois Céline Hussonnois-Alaya Journaliste BFMTV
Les bikinis pour fillettes, "une sexualisation dès le plus jeune âge"?
Une fillette sur une plage d'Old Greenwich (États-Unis), le 18 mai 2017. - TIMOTHY A. CLARY / AFP
À la plage, à la piscine et même dès les cours de bébés nageurs, il n'est pas rare de croiser des fillettes en bikini. Dans les magasins de vêtements, au rayon enfant, des maillots de bain deux pièces - y compris des hauts de maillot triangle - sont disponibles dès la taille 24 mois. Si l'on souhaite se tourner vers un maillot moins genré, comme un slip de bain, il faudra se rendre au rayon garçon.
"Dans les années 1980, un grand nombre de femmes et de petites filles étaient torse nu à la plage et cela ne posait de problème à personne", rappelle-t-elle. "Aujourd'hui, c'est quasiment inenvisageable."
Un incident illustre cette tendance: en 2014, au Canada, une fillette de 3 ans sans haut de maillot de bain avait été expulsée d'une pataugeoire, rappelle Radio Canada. Un phénomène que la chercheuse explique par le retour en force d'un certain conservatisme en parallèle d'une érotisation du corps féminin:
Sur les réseaux sociaux, certains internautes s'en émeuvent. "Aux bébés nageurs, à partir de 6 mois, je voyais des petites filles avec des bikinis absolument pas adaptés à un corps de bébé", écrit par exemple une utilisatrice de Twitter. "Les parents passaient plus de temps à réajuster le haut du maillot qu'à profiter de la séance."
Pour d'autres internautes, le sujet ne fait pas débat. "C'est mignon", "ça fait petit bout de femme", "les filles jouent et imitent leurs mères", objectent-ils. Mais pour Elsa Labouret, porte-parole de l'association Osez le féminisme, affubler une enfant d'un bikini n'a rien de "mignon". Au contraire, le message latent est même particulièrement explicite.
"Dans un bikini il y a un soutien-gorge qui est censé soutenir la poitrine", déclare-t-elle à BFMTV.com. "Or, une petite fille prépubère n'a pas de poitrine. Son torse est le même que celui d'un garçon."
"Cela sous-entend qu'il faut soustraire au regard du monde une partie de leur corps", abonde Catherine Monnot-Berranger, également cheffe de projets à l'égalité femmes-hommes pour le Conseil départemental de la Haute-Garonne. "Et les pousse à se construire par ce regard social érotisant posé sur elles. C'est une forme de pression qui ne les encourage pas à se développer mais à plaire et à se soumettre à ce regard."
Il y a dix ans, la sénatrice UMP Chantal Jouanno avait publié un rapport parlementaire sur l'hypersexualisation des enfants. "Beaucoup de parents voient comme un déguisement temporaire ce qui, en réalité, s'apparente à l'intégration d'une norme d'apparence, et ont tendance à trouver 'mignon' le comportement de leurs petites filles", déclarait-elle devant la délégation aux droits des femmes.
Qu'il s'agisse d'un haut de maillot triangle ou d'un maillot une pièce couvrant le torse, le problème est le même, considère Elsa Labouret, de l'association Osez le féminisme.
En plus de participer à l'hypersexualisation des petites filles, elle estime que le maillot deux pièces contraint les petites filles dans leurs mouvements. "En portant un bikini, elles sont constamment dans la surveillance de leur corps, vérifier que le maillot ne glisse pas, cache ce qu'il faut cacher. Un petit garçon ne se pose pas toutes ces questions."
Des contraintes renforcées par certains motifs de ces maillots réservés aux fillettes: souvent très "girly", à grand renfort de rose, de froufrous et de paillettes.
"Il y a souvent des messages ou des images d' empowerment sur les maillots et les vêtements pour garçons", pointe encore Catherine Monnot-Berranger, auteure de Petites filles d'aujourd'hui: l'apprentissage de la féminité. "Comme des animaux puissants ou des slogans de conquête. Alors que pour les filles, il s'agit de faire joli. Le problème, c'est qu'elles finissent par intégrer ces normes."
Il y a quelques années, la marque Abercrombie avait même proposé un bikini rembourré pour petites filles, dès 7 ans. Face au tollé, le vêtement avait finalement été retiré de la vente.
© Copyright 2006-2021 BFMTV.com. Tous droits réservés. Site édité par NextInteractive


La réalité du syndrome du vestiaire

Dans cet article
Afficher


Mis à jour par Quentin le : 13/10/2021

5
/
5
(
1

vote
)

[Top 10] : Comment améliorer sa mémoire...
Notre vie quotidienne sollicite de plus en plus notre...
Quels sont les effets du cannabis sur le...
Il peut sembler étrange de faire le lien entre le monde du...
Faut il mettre des défibrillateurs en...
Je suis passé par pas mal de salles de sport, et à chaque...
Sport et calvitie : une corrélation...
Nous le savons tous, faire du sport est bénéfique pour...
Proprioception : matériel et exercices...
Certains scientifiques qualifient la proprioception comme un...
Avec environ 50 000 coureurs au marathon de Paris, nul doute...
Les assurances pour les métiers du sport
Les métiers du sport exposent leurs pratiquants à de...
On entend souvent dire que les personnes les plus à risques...
Chez le sportif, l’oxygénation des cellules est...
Santé La réalité du syndrome du vestiaire
Il y a des situations cocasses dans la vie où, malgré soi, on est obligé de se mettre à nu sous le regard des autres. Cocasse, car cela amène souvent de drôles de comparaisons sur la taille ou les formes de nos parties intimes entre camarades.
Si cela se passe souvent dans des vestiaires, au moment de se changer pour pratiquer un sport ou une activité physique, il existe aussi bon nombre d’exemples qui se déroulent dans les toilettes pour hommes : je veux parler du moment où tu te soulages tranquillement au-dessus d’un urinoir, quand soudain tu sens le regard de ton voisin reluquer ton engin !
Tout le monde tombe donc un jour ou l’autre sur ce que l’on nomme « le syndrome du vestiaire ».
Gros index grosse quéqué*** ? Une étude sud coréenne(1) s’est penché sur la corrélation taille des mains / taille du sexe en 2011. 144 volontaires se sont alors laissés prendre au jeu en se faisant mesurer la “zigoune” alors qu’ils étaient endormis sur une table d’opération. La science a conclut qu’il n’existe pas de corrélation entre la taille des mains et celle du pénis. Ceci étant dit, si l’index est plus court que l’annuaire, l’homme aura tendance à avoir une verge plus grande ! C’est ce qu’on appelle Indice de Manning, voilà de quoi briller en soirée !
On le sait, les hommes se valent tous. Qu’ils soient grands ou petits, maigres ou costauds, qu’ils aient les pieds plats ou plutôt palmés, ils sont tous aptes à vivre au mieux leur destinée, même si les plus intelligents et débrouillards d’entre eux s’en sortiront bien entendu mieux que les autres.
Si ce n’est donc pas une histoire de physique qui fait que l’on réussit plus ou moins bien sa vie et que c’est plus un rapport au degré de quotient intellectuel, comment se fait-il que l’on en revienne toujours à se juger soi-même par rapport à l’image que l’on renvoie aux autres ?
Et pourquoi sommes-nous jugés par les autres pour un délit de sale gueule ou, au contraire, adulés pour avoir la chance d’être nés avec une belle frimousse et des dents d’un blanc parfait ?
Et pour aller dans le vif du sujet, pour quelles raisons pensons-nous toujours, consciemment ou pas, que nous ne sommes pas à la hauteur physiquement parlant ? Et que notre voisin serait mieux foutu que nous-mêmes ?
Car, le fait est que nous lorgnons tous nos congénères à outrance, surtout pendant l’âge de la découverte du corps qu’est l’adolescence. « Mon Dieu, comment peut-il en avoir une plus grosse que moi ? » est la question sous-jacente posée à tue-tête le plus souvent dans les vestiaires, d’où l’expression « syndrome du vestiaire ».
C’est donc à la fin de l’enfance, lorsque nos hormones commencent à se faire entendre au sein de notre organisme, que nous voyons, garçons et filles, nos anatomies se développer.
Et pendant que ce changement physique intervient, notre cerveau travaille lui aussi à cent à l’heure et les questions les plus bêtes ou primordiales se mettent à fuser, au point de nous en faire chauffer la caboche.
Les filles comme les garçons, même si la gent masculine est certainement plus complexée encore que ces dames face à ce qui lui pousse entre les jambes.
Entre nous, avez-vous déjà vu des filles pratiquer des concours pour voir laquelle d’entre elles auraient les plus gros seins ?
Bien sûr que non, non pas qu’elles soient plus pudiques, mais justement qu’elles sont un peu moins complexées lorsqu’elles se retrouvent entre elles.
Alors que les gars s’en donnent à cœur joie pour satisfaire leur curiosité : concours de celui qui pisse le plus loin, de celui qui a le plus grand pénis au repos, voire de l’éjaculation la plus puissante chez les ados plus âgés, tout y passe donc puisque les hommes sont omnibulés par leur outil tout au long de leur vie.
À croire que ce fameux syndrome du vestiaire leur est dédié, mais l’on va voir que les filles aussi sont tout de même concernées.
Nous sommes devenus pudiques ces derniers siècles, car quand on y regarde de plus près, nos ancêtres d’il y a plus de 2000 ans étaient bien moins habillés que nous autres.
Il n’y a qu’à observer les Romains, Égyptiens ou Indiens de l’époque, on ne peut que constater qu’ils vivaient à moitié dénudés la plupart du temps. Cela ne veut pas dire qu’ils se baladaient à poil, mais qu’ils portaient beaucoup moins de vêtements et qu’ils se couvraient bien moins le corps.
Il faut croire que c’est la religion, en particulier le christianisme et l’islam, qui a inversé la situation, car quelques siècles plus tard, nous ne laissions que le visage et les mains à découvert, le reste n’était visible que par notre partenaire lors de relations très intimes.
Et cela n’a guère évolué au fil du temps, à part peut-être durant une dizaine d’années où les hippies se sont libérés sexuellement durant les seventies et où les corps dénudés se sont exposés au cinéma puis à la télévision.
Mais ce fut de courte durée et de nos jours, une femme se baignant seins nus à la plage est de nouveau montrée du doigt. Il n’y a qu’à voir les réactions suscitées par des photos montrant des hommes ou des femmes nues sur les réseaux sociaux, où en 2021, des gens dénoncent ces dernières aux administrateurs pour étalage de nudité sur la voie publique !
Alors, même si les murs de nos villes et nos écrans TV font la part belle au corps humain dans toutes ses formes et détails, nous sommes donc redevenus extrêmement pudiques.
On assiste, depuis quelques décennies, à des transformations physiques de notre corps humain et en particulier de notre anatomie.
Ainsi, certaines personnes, qu’elles soient hommes ou femmes, décident en partenariat avec des médecins chirurgiens spécialistes de se faire refaire une partie de leur corps, afin qu’il se transforme en leur souhait.
Si ces opérations concernent souvent les seins, pour les réduire ou les faire se gonfler, à l’aide de pose d’implants ou de lipofilling, il y a de plus en plus d’opérations accessibles à celles et ceux désireux de pouvoir modifier ou carrément changer leur sexe.
Cela à un certain coût, mais cela se pratique très facilement aujourd’hui. Et cela sauve des âmes qui ne se supportaient plus avec leur propre appareil génital.
Et que dire des hommes qui s’obstinent à ingurgiter quantité de pilules pour être certes plus performant au lit, mais aussi pour tenter de faire grandir ou grossir leur penis en erection ?
Ceux qui dépensent des fortunes dans des gélules et des crèmes pour essayer, souvent en vain, de gagner quelques centimètres de plus au bout de leur arbalète ? Tout cela pour dire que l’on est souvent complexé(e) avec notre propre appareil génital, que l’on souhaiterait tout autre, tel que celui du voisin par exemple.
Mais c’est un peu pour tout pareil quand on y pense : celui ou celle qui a les cheveux lisses ferait tout pour les avoir bouclés ou simplement ondulés, tandis qu’une personne avec des cheveux frisés se sert de plaques afin les rendre les plus lisses possible !
Il est donc très délicat d’appréhender son corps, surtout à l’âge difficile de l’adolescence, où tout se met à pousser soudainement. Entre les formes qui apparaissent, les poils qui surgissent et les sensations liées au plaisir qui titillent, les filles et les gars de cet âge ont bien du mal à s’y retrouver.
C’est la peur du regard des autres qui nous conditionne dans ce dilemme avec notre corps. C’est le jugement des autres sur nos formes et détails anatomiques qui nous rendent légèrement paranos avec nos parties les plus intimes.
Du reste, lors d’un tout premier ébat sexuel, c’est le fait de dévoiler son intimité à une personne qui est le plus gênant. Même si cet exemple se vérifie plus chez les jeunes filles, il existe de nombreux cas de jeunes garçons qui n’ont pas réussi à obtenir une érection de peur d’être jugé sur la taille de leur pénis lors de leur premier rapport sexuel.
Même si ce problème est plus cérébral, il n’en est pas moins causé par un souci d’exhibition de son corps. Problème qui se crée durant l’éducation, qui est souvent lié aux méthodes et pratiques parentales. Ainsi, un enfant qui a été habitué dès son plus jeune âge à se baigner en compagnie de ses frères et sœurs aura déjà bien moins de soucis avec son corps plus tard et plus précisément son anatomie génitale.
Pour en revenir à la peur ressentie dans le regard des autres, elle n’est créée que par notre subconscient et c’est donc notre esprit qui lui donne vie et qui l’entretient, selon les dires d’éminents spécialistes qui ont étudié longuement la question.
D’après Sigmund Freud, qui est justement l’un des plus talentueux neurologues à s’être intéressé au sujet, cette peur est dans la plupart des cas entièrement fabriquée par nos neurones, puisque la plupart des gens de notre entourage n’ont que faire des détails de notre anatomie.
Même s’il précise que dans le cas d’adolescents, il n’est aucunement inventé par notre cerveau, mais qu’il ne s’agit là que de moqueries et méchancetés à l’égard de l’autre. On l’aura donc compris, le corps fonctionne en lien très étroit avec notre activité cérébrale.
D’ailleurs, ne dit-on pas que certains maux que nous ressentons sont fictifs et entièrement imaginés par notre esprit ?
Il paraît donc logique que nous soyons tous
Eve se branle avec des fruits et légumes
La beauté asiatique Charmane Star se fait enculer
Surpris en train de baiser une poupée gonflable