C'est bon même si t'es mon frère

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C'est bon même si t'es mon frère
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Création : 27/02/2008 à 16:52
Mise à jour : 18/06/2010 à 23:11
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_ */ Chapitre 28 _ « Même si t'es mon frère ... Je t'aime quand même ! » _

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POV TOM : - Au suivant ... Bonjour, vous désirez ? Bill : Bonjour, hmm un Big Mac, une boite de nuggets ... et ... et un milk shake ... à la fraise ... ho non, à la vanille ! - Sur place ou à emporter ? Bill : Sur place ! - Ce sera tout ? Bill : Non non, va z'y Tom commande ! Tom : Hein ? Heu non c'est bon, j'pourrais le faire après ! Bill : Mais non fait le tout de suite, y'a du monde derrière nous ! ___ J e ne cherche même pas à comprendre, et passe ma commande. En ce 31 décembre, le Mac Do de notre petite ville est blindé. Bill me devance, et paye nos deux repas. Nous nous faisons éjecté un peu rapidement, avant que je ne rattrape Bill, qui cherche une table du regard. Tom : Pourquoi t'as payé les deux repas Bill ? Bill : On vient de toucher notre paye Tomi ... Tom : C'est pas une raison pour tout dépenser comme ça ! Ma voix n'est pas très dure, mais pourtant Bill le prend comme une remarque. Son visage se décompose, avant que ses yeux ne me fuient. Bill : J'voulais juste ... te faire plaisir ... ___ A vant que son murmure me parvienne aux oreilles, à travers le brouhaha de la salle, il a déjà tourné les talons, surement blessé par ma remarque. Je souffle un bon coup, cherche dans ma mémoire un moyen de me faire pardonner, et m'élance en direction de mon frère ... de mon jumeau ... Cela fait maintenant une semaine que Bill et moi avons appris notre gémellité. Papa croyait surement nous en mettre plein la vue en nous lançant cette phrase si dure ... Mais de toute façon, nous étions déjà à moitié au courant ... Nos ressemblances, aussi bien physiques que mentales, nous avez déjà mis sur la voie. C'est maman qui nous a tout expliqué, après que papa est pris la poudre d'escampette. Cet homme fait preuve d'une lâcheté horriblement exaspérante ... Heureusement que je ne lui ressemble pas ... ___ U ne fois que maman est tombé enceinte, papa a commencé à péter un plomb ... Les psychologues vous le diront, c'est pendant la grossesse de leurs femmes que les hommes tombent en dépression, certainement soucieux de ne pas être un bon père ... Il a commencé à fréquenter les bars, buvant de plus en plus chaque jours ... Avant de prendre Anna comme maitresse ... Comment peut-on tomber amoureuse d'un homme pareil ? Je ne sais pas ... Et je ne vais certainement pas demander à Anna des explications à ce sujet ... ___ A nna ne pouvait pas avoir d'enfant ... Elle s'était inscrite pour pouvoir adopter, mais jusqu'à ce jour, elle n'avait eu aucune demande ... Une maison trop petite, un salaire pas très élevé, une femme célibataire ... Ce n'est pas vraiment le genre de critère que l'on recherche pour un placement d'enfant ! Alors ce premier septembre, quand maman a accouché de nous deux ... Quand papa s'est aperçu que nous étions jumeau ... Ça a été la goutte d'eau ... Sans doute revoyait-il son frère et lui, à travers Bill et moi ... Sans doute avait-il trop souffert en voyant son jumeau mourir lentement ... Il ne voulait peut être pas revivre ce même cauchemar ... ___ Il a alors fait la plus grosse erreur de sa vie ... Séparer deux frères, deux jumeaux ... Séparer une même âme, un même cœur ... Qui n'a plus jamais battu de la même façon après ... Il a prit celui qui pleurait le plus ... Manque de pot pour Bill ... Et l'a déposé devant l'orphelinat ... Avec une lettre dans le couffin, juste quelques mots ... Juste une demande ... Que ce soit Anna qui adopte cet être pur, qui venait tout juste de naitre ... Même si dès lors, papa n'a plus jamais approché la maison d'Anna, le fait qu'il ai demandé à ce qu'elle garde son fils montre bien qu'il l'a aimé ... Un tant soit peu ... ___ Q uand maman s'est réveillé, papa a commencé son double jeu ... Il lui a menti ... Comment peut-on dire à sa femme, à la femme qu'on est censé aimer de tout son être, que son deuxième fils était mort ? Maman était tellement attristé, qu'elle n'a pas vu son manège ... Elle croyait avoir perdu son fils ... Fils qu'elle avait bien reconnu il y a 4 mois, en cette belle journée d'août, là ou un bel androgyne avait sonné à sa porte pour la première fois ... A t-elle demandé des explications à son ex-mari ? Je ne le crois pas ... Maman a toujours été dépendante de ce beau salopard ... et aujourd'hui encore ... Il pourrait très bien tuer tout le monde, que maman le pardonnerait encore et toujours ... C'est un amour qui l'a tue à petit feu ... ___ U n peu compliqué me direz-vous. Je vous l'accorde ! Il m'a bien fallu deux heures pour tout assimiler ... Quoi que dans le fond, je m'en moque un peu ... Non, je m'en moque éperdument ! Bill est avant tout mon amant, et mon Ange, avant d'être mon frère et mon jumeau. Bill a été légèrement déboussolé par cette nouvelle. Il ne savait plus qui appeler maman, ou est-ce qu'il devait aller, s'il devait me quitter ou non ... Je lui ai laissé le temps d'une journée pour qu'il puisse mettre ses idées en place. Il n'a tenu que quelques heures, avant de venir me rejoindre, en courant ... " T'es mon frère Tom ... Mais je t'aime pas comme un frère ! Je t'aime comme ... comme un garçon ... aime un garçon ! Comme un amant ! ... Après tout, les frères s'aiment de différentes manières ... Nous on s'aime aussi ... Et c'est pas interdit d'aimer son frère pas vrai ? " Ses mots ont longtemps tourné en boucle dans ma tête, avant que je ne lui réponde. " Même si t'es mon frère ... Je t'aime quand même ... Et de la même façon ! " " On ... On reste ensemble hein ? " , m'avait-il demandé, d'une voix presque suppliante. Je lui avait juste murmuré un " Oui ", avant de poser mes lèvres sur les siennes. Nos mères n'ont rien dit ... De toute façon je crois qu'elles n'avaient rien à dire ... Mais nous avons convenu avec elles de ne rien dire ... Il est vrai que ce n'est pas moi qui irait clamer sur tous les toits que je couche avec mon frère jumeau ... ___ C e n'est que lorsque quelqu'un me bouscule, que je sors de ma léthargie. Bill est déjà assis à une table, le regard perdu dans le vide. Je viens m'assoir à côté de lui, lui pique une fritte avant de me retourner vers lui. Tom : T'es fâché bébé ? Bill : Non mais ... j'croyais que ça te ferrait plaisir si je te payais ton repas ... Toi tu me payes toujours tout ... ___ L a moue triste, et la voix faible de Bill me serre un instant le cœur. Je pose ma main sur le haut de sa cuisse, et vient l'embrasser le plus doucement possible sur la joue. Tom : Si j'te payes des choses, c'est parce que ca m'fait plaisir Bill ... Et ca m'fait plaisir aussi que t'ai payé ... Merci mon Ange, ca me touche. Ce simple contact, ces quelques mots lui arrachent un magnifique sourire, avant que nous ne commencions à manger. Tom : J'suis bien content d'en avoir fini avec ce travail ! T'avais raison, c'était un boulot pour les blaireaux ! Bill rigole à travers ses frittes, avant d'en mettre partout sur la table, comme un gamin qui n'aurait jamais appris à manger correctement. Bill : Oui mais au moins, les blaireaux ont gagné 80€ chacun ! ___ Il danse gaiement sur son fauteuil, surement très heureux d'avoir un peu d'argent en poche. Même si ce job de vacances était naze, il faut avouer qu'une petite rentrée d'argent est la bienvenue. Tom : Qu'est-ce que tu vas faire avec cette petite fortune ? Je capte son regard, qu'il vient d'ancrer dans son jean troué. Il bafouille un " J'sais pas trop ", avant de rougir faiblement. Tom : Y'a un grand magasin de fringues en ville si tu veux ... Il m'en faut des nouveaux aussi ! Comme on est invité chez Georg ce soir, faut se faire beau ! ___ N ous rigolons comme deux crétins sur nos sièges, avant que le regard profond de Bill s'ancre dans le mien. Il me sourit timidement, comme pour me remercier, avant de se replonger dans la boite de Nuggets. ___ P our fêter la fin de cette année, et le début de la nouvelle, Georg nous a invité chez lui. Il a son propre appartement, plus facile pour inviter ses copains ... Même si je préférais rester en tête à tête avec Bill, sortir un peu de la maison nous ferra le plus grand bien. Même si Bill et moi ne nous sommes pas séparés suite à l'aveu de notre gémellité, nos mères sont moins enchanté. Anna s'est complètement plongé dans le travail, comme si elle cherchait à fuir ... Quand à maman, elle passe ses journées au téléphone, surement en train de supplier son ex-mari de revenir ... Alors même si à cette fête, il y aura pratiquement toute notre classe, peut m'importe ! Un soupire sortant de la gorge de Bill me fait revenir sur Terre. Il a à peine touché à son hamburger, et il ne parle pas ... Lui qui pourtant est une vraie pipelette ... Tom : Qu'est-ce qu'il y a mon cœur ? Bill : Je ... Rien je ... Il pousse un soupire plus fort, avant d'essuyer ses mains sur une serviette. Bill : Ça fait juste bizarre de se dire ... que maman ... c'est pas vraiment maman ... J'essuie mes mains à l'aide d'une serviette, avant de passer mon bras autour de ses épaules, et de l'attirer vers moi. Tom : Bill, maman sera toujours maman ... Même si Simone est ta mère biologique, elle ne pourra jamais remplacer Anna ... J'vais te poser des questions, et tu vas y répondre, d'accord ? Je joue tendrement avec une mèche de ses cheveux, tandis qu'il me murmure un " D'accord ". Tom : Qui t'as élevé Bill ? Avec qui tu as fais tes premiers pas ? Qui t'as appris à marcher ? A parler ? Bill : C'est ... c'est A ... Anna ... ___ J 'entends comme des sanglots dans ses paroles ... Il n'est jamais facile pour une personne d'entendre qu'elle a été adopté ... Et même si les secondes qui vont suivre vont être dures, nous sommes obligé d'en parler. Tom : Qui te consoler quand tu étais triste ? Quand tu faisais des cauchemars ? ___ A nna sort une deuxième fois de la liste. Je resserre mon étreinte, laissant Bill s'accrocher à mon T-Shirt. Il enfouie son visage dans mon cou, avant que je ne continue. Tom : Qui te punissais quand tu faisais une bêtise ? Ou te récompensais lorsque tu avais une bonne note ? Bill : A-A-Anna ... ___ S on corps tremble davantage, avant que je ne sente mon cou devenir humide. Ce trop plein de tristesse qu'il contient depuis une semaine ne se déverse que maintenant. Au fur et à mesure de mes questions, seul le nom d'Anna me parvient aux oreilles. Tom : Tu vois mon cœur, il ne suffit pas de porter un enfant dans son ventre pour devenir mère ! Anna est, et restera ta mère ... Elle t'as tout enseigné, tout appris ... La rejette pas Bill ... Tu sais elle n'y est pour rien ! Elle t'aime mon cœur ... Elle te considère comme son propre fils ... Bill : Mais je ... j-je lui en veux pas ... c'est elle ... e-elle qui me parle plus ! Depuis u-une semaine, e-elle ... elle me regarde même plus ! ... T-Tu crois qu'elle ... qu'elle veut plus être ma mère ? Je resserre mon étreinte, et lui embrasse tendrement les cheveux, sentant les sanglots redoubler davantage. Tom : Non Bill, non. Elle veut toujours être ta mère ... Seulement ce n'est pas facile pour elle non plus ... Elle croit surement que tu ne vas plus l'aimer ... Faut que vous parliez Bill ... faut que tu lui parles ... D'accord ? ___ A travers un sanglot, je distingue un " Oui ", avant qu'il ne sanglote encore davantage. Vous trouvez qu'il pleure beaucoup ? Aujourd'hui je comprends tout à fait son comportement. Comment réagiriez-vous si vous apprenez que votre mère n'est pas votre mère, que votre petit copain est votre frère jumeau, et que votre père vous déteste plus que tout ? Personnellement, je serais déjà au fond du lac ... Même en plein milieu du Mac Do, je berce Bill comme un enfant, laissant une de mes mains lui caresser tendrement ses cheveux noirs corbeau, comme pour l'apaiser, tandis que je lui murmure des " Shhh " à l'oreille. Pourquoi le sort s'acharne t-il autant sur nous ? Et plus principalement sur Bill ? Bill : Pardon Tom ! Pardon d'être ton frère ! Pardon de pleurer tout le temps ! Pardon d'être un bébé ! ___ U n sanglot plus fort sort de sa gorge, avant qu'il n'arrête sa respiration, comme s'il espérait s'arrêter de pleurer ... Quelques secondes plus tard, il prend une grande respiration, le corps toujours parcouru de spasmes, son visage niché dans mon cou, sanglotant comme un enfant. Tom : Arrête Bill ... T'es pas un bébé ... T'es juste mon bébé ... Mon bébé à moi ... T'excuse pas de pleurer mon cœur ... C'est normal ... T'as le droit d'être triste, t'as le droit d'être en colère ... Tu retiens tout depuis une semaine ... Ca fait trop mal de se retenir Bill ... Pleure un bon coup ça ira mieux ... ___ E t puis, comme s'il attendait mon accord, il déverse tout son flot de larmes dans le creux de mon cou, mouillant de col de mon T-Shirt. Je lui frotte le dos d'un geste doux, et lui murmure des choses à l'oreille, censé l'apaiser. Ce qui fonctionne ... Après quelques minutes, son corps cesse de trembler, et son visage quitte mon cou, afin qu'il puisse ancrer son regard dans le mien. Il rigole nerveusement, se frotte les yeux, en essuyant les dernières larmes sur ses joues humides. Je passe mon pouce sous un de ses magnifiques yeux, et enlève un peu le noir. Tom : Ton maquillage a coulé ma puce. Lorsque mon murmure l'atteint, il sourit avant de remettre quelques mèches de ses cheveux, collés à ses joues. Bill : J'dois ressembler à rien alors ... ___ J e rigole, avant de frotter le bout de mon nez contre le sien, le faisant doucement glousser. Je ferme les yeux, voulant profiter de ce moment de tendresse, quand la voix de Bill me sort de mes pensées. Bill : Hein Tom ? ___ J e ne sais pas de quoi il parle, mais j'hoche la tête ... Visiblement, c'était la chose à ne pas faire ! Je me reçois une claque sur le torse, avant que sa voix ne me fasse des reproches. Bill : J'dis que je ressemble à rien et toi tu approuves ! Malgré l'air grave qu'il essaye de prendre, il se mord la lèvre inférieure, avant d'éclater de rire. Je le rejoints dans son rire, avant de lui murmurer : Tom : Même avec le maquillage parti, tu restes magnifique mon Ange ... ___ Il cesse de rigoler, avant que ses joues ne prennent une couleur rouge. Il baisse le regard, regarde ses doigts toujours accrochés à mon T-Shirt. Du bout des doigts, je lui relève la tête, approche tout doucement mon visage, avant de sceller nos lèvres. Nos langues se trouvent automatiquement, et s'est suit un baiser mouillé par les larmes de mon amour. Je donne une légère pression, avant de nous enfoncer davantage dans le fauteuil. Le baiser s'intensifie, et je surprends même mes mains à s'insinuer à l'intérieur de son T-Shirt, et caresse tendrement son ventre, avant d'aller titiller ses tétons. Je reprends contact avec la réalité quand Bill pose sa main sur mon entre jambe ... Je cesse le baiser, avant de décoller légèrement mon visage de celui de Bill. Nous continuons de jouer quelques secondes, à sentir le souffle de l'autre sur notre peau, à aspirer cet air devenu si vital pour chacun d'entre nous deux, avant de détourner nos regards, avec un large sourire sur nos deux lèvres. Nous sommes dans un Mc Do, plein à craquer, il ne faut pas l'oublier ... D'ailleurs les deux personnes âgées assis en face de nous ne vont pas certainement pas nous oublier ... Les joues légèrement rosies, Bill remet en place son T-Shirt, avant de me planter un bisou sonore sur la joue. Le cœur battant désormais mieux, il retrouve son appétit, et avale ses frittes, tandis que nos voisins sortent de ce lieu public, que nous venons maintenant de profaner ... selon leurs paroles ! Je n'ai pas l'impression d'avoir été choquant pour la nouvelle génération, ni même d'avoir été " dégueulasse ", comme l'homme d'un certain âge a dit ... J'ai juste embrassé la personne qui compte le plus à mes yeux, la personne que j'aime ... Est-ce mal ? POV BILL : ___ N ous marchons dans la rue, main dans la main, en direction du centre commercial. Et pourtant, malgré le fait que je me sois libéré de toute ma tristesse et de ma colère, que toute la vérité a éclaté ... Je sens Tom absent ... Comme s'il s'ennuyait. Bill : Ça va pas Tomi ? ___ J e lui caresse la peau à l'aide de mon pouce, avant de le regarder tendrement. J'évite de justesse un poteau, laissant Tom se foutre légèrement de ma tronche. Je reporte mon regard sur la route, tandis que Tom s'explique. Tom : Si si ça va ... T'inquiètes pas ... p'tit frère. A l'annonce de sa phrase, je ne peux retenir un immense sourire de parcourir mes lèvres. Tom : T'aimes quand je t'appelles comme ça, n'est-ce pas ? Tom porte sur moi un regard horriblement affectueux. Bill : J'ai toujours voulu avoir un frère Tom ! Alors maintenant que j'en ai un ... J'suis heureux Tomi ! ___ J 'ancre mon regard dans le lointain de la ville, comme si je voulais regarder notre avenir à tout les deux. Faute de voir la pollution et les tonnes de voiture, je m'arrête devant une vitrine de magasin de jouet. Je sens Tom venir m'enlacer par derrière, posant sa tête sur mon épaule, tandis que ses deux mains se posent sur mon ventre. Tom : Maintenant t'as un frère Bill ... Un frère jumeau, qui te sers aussi d'amant ... Tu trouves ça normal ?... ___ S a voix se casse dans un murmure, et même si sa phrase ne sonne pas comme un reproche, elle sonne comme une question ... Comme s'il voulait savoir ce que j'en pense. Je pose une main sur les siennes, et prends une grande inspiration avant de répondre. Bill : C'est pas normal non ... Mais de toute façon, nous ne sommes pas des personnes normales Tom ! ___ Il rigole dans mon cou, avant d'y soupirer de plaisir. Pourquoi se prendre la tête, sur des choses que l'on a déjà dites ? Nous sommes frères ... Oui et alors ? Ce n'est pas la fin du monde ... Deux personnes qui s'aiment, ce n'est pas interdit ... Tom : Je t'aime petit frère ... Bill : Idem ... Je t'aime mon frère ... ___ S es simples mots, susurrés à son oreille le font légèrement frissonner. Il me sert plus fort contre lui, tandis que mon regard s'ancre dans un petit train, qui parcours la vitrine du magasin. Je pose mes deux mains sur la vitre, et regarde comme un enfant qui attendrait le père Noël le chemin du train téléguidé. D'autres personnes viennent nous entourer ... Principalement des mères de famille, avec leurs enfants, qui regardent le même spectacle. J'ai environ quinze ans de plus que leurs enfants ... et pourtant je suis dans le même état ... Tom a le même regard posé sur moi, que les mères posent sur leurs enfants, il est attendri ... Il pose ses mains sur mes hanches, me retourne pour que je sois face à lui, et pose ses lèvres sur les miennes ... Pour un baiser, un simple contact, mais qui pourtant nous réchauffe le cœur à tout les deux. POV TOM : Bill : Ho regarde ce T-Shirt Tom ... et lui et lui ! Regarde celui-là ! ... Ho non il est moche ! Et regarde la casquette, elle irait bien avec ton T-Shirt rouge ! ___ U ne heure s'est écoulé depuis notre entrée dans le centre commercial. Et Bill est tout simplement surexcité ! Il regarde tout
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