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Paroles de passionnés : Saint-Symphorien, leur seconde maison

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Par
Pierre Théobald


sur
22 août 2022



L'autre cathédrale Société , Sport



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Ils le frĂ©quentent depuis toujours ou ont succombĂ© au coup de foudre. S’y retrouvent en famille, entre potes, en couple. En transe, toujours. À la rencontre de ces inconditionnels de Saint-Symphorien ayant fait du stade le refuge de leurs plus belles Ă©motions.
Philippe Marque, entourĂ© de ses fils Gabin, Oscar et Baptiste (de g. Ă  d.). Une mĂȘme passion grenat. Photo DR
Originaire de Dax, il est supporter des Girondins de Bordeaux. Depuis plus de vingt ans, c’est pourtant Ă  Saint-Symphorien que Philippe Marque, prĂ©sident du Club de la presse de Metz, entraĂźne ses quatre enfants, tous nĂ©s en territoire grenat. Une histoire de filiation.
La voix tremble. Normal, les souvenirs, la nostalgie, ça secoue toujours un peu. Et puis Philippe Marque, c’est un Ă©motif, un passionnĂ©, Ă  fleur de peau ; dans tout ce qu’il fait et dans tout ce qu’il est, il n’est jamais du genre Ă  faire semblant. On connaĂźt son nom, sa signature. Journaliste, il est prĂ©sident du Club de la presse de Metz, l’association qui rassemble tout ce que la profession compte d’ambassadeurs par ici. Il est polyvalent, touche-Ă -tout. D’une bonne humeur virale. On sait moins, en revanche, que c’est un fou de foot. Authentique. Un zinzin. Et comme d’habitude, dans ce genre d’histoire-lĂ , tout renvoie Ă  l’enfance.
Dans son cas, c’est Ă  Dax que ça se dĂ©roule. Dax, c’est pas exactement Metz, on en conviendra. LĂ -bas, on soutient les Girondins de Bordeaux. Gamin, Philippe se rend au Parc Lescure – le stade d’alors – avec son pĂšre et ses frĂšres. Et c’est tout un cĂ©rĂ©monial. « Trois ou quatre fois dans la saison, on partait avec nos petits coussins sur lesquels s’asseoir dans la butte que dessinait le vĂ©lodrome que comportait le stade. » On est entre mecs. On est en famille. On est bien. Ça fait des traces dans la tĂȘte, ça imprime des images que l’on n’efface pas. Les Girondins, Philippe les a tatouĂ©s au cƓur. Mais on n’a pas que des attaches dans la vie. On a aussi tout un parcours Ă  construire.
Alors Philippe taille la route, en diagonale. Nous sommes en 1999. Il dĂ©niche un poste au RĂ©publicain Lorrain, qui l’emploie toujours. S’installe Ă  Metz. S’y plaĂźt. S’y projette. En frĂ©quente le stade, forcĂ©ment. On est en plein mois de septembre. Quelques semaines auparavant, les Girondins ont obtenu le dernier de leurs six titres de champions de France. Suspense monstre jusqu’au bout, Philippe en a eu le palpitant qui a fait mal. DĂ©licieusement mal. À Metz, il sait bien que les Ă©motions seront diffĂ©rentes. Mais, car il y a un « mais » : « Je dĂ©couvre Saint-Symphorien et j’adore. » Ça tient Ă  la gĂ©ographie des lieux, « ce stade Ă  l’anglaise, proche du terrain. À Lescure, le public Ă©tait bien plus loin ». Ça tient Ă  l’effervescence ici, Ă  l’attachement d’une ville, d’un dĂ©partement, d’une rĂ©gion – allons-y –, au maillot grenat. « J’ai dĂ©couvert une culture foot supĂ©rieure Ă  celle prĂ©sente Ă  Bordeaux. » Et voilĂ . C’était parti.
LĂ -dessus, un clan qui Ă©clĂŽt, l’existence qui s’enrichit. Philippe Marque a deux boulots au quotidien : plumitif et pĂšre de famille. Nombreuse, la famille. Quatre enfants, aujourd’hui ĂągĂ©s de 9 Ă  14 ans. Baptiste est arrivĂ© le premier, suivi de Charlotte, Oscar et Gabin. Point commun de ce carrĂ© magique : une mĂȘme passion pour le sport. Qu’on partage entre Metz Handball et le FC Metz, donc. Dont la tribu ne loupe aucun rendez-vous. Chaque saison, Philippe achĂšte plusieurs abonnements. Le club fait bien les choses, il y a des tarifs proposant aux moins de 16 ans un billet Ă  3 euros seulement. Avantageux. Aussi l’habitude est prise. En fonction des saisons, des annĂ©es, des soubresauts en matiĂšre de rĂ©sultats, on y va en rangs serrĂ©s ou on s’organise Ă  tour de rĂŽle. Pendant longtemps, la famille Marque en a mĂȘme fait profiter les autres. À titre de cadeau pour l’anniversaire des copains et copines des enfants qui les invitaient Ă  leur fĂȘte, on offrait une place de match. « L’occasion d’un moment ensemble. Ensuite, on allait manger un morceau au restaurant, au McDo ou Ă  la maison. Avant le retour chez les parents le lendemain matin. » Du all inclusive en somme. Et beaucoup de sourires. Beaucoup d’entrain.
Pour Philippe, il n’y a plus le cĂ©rĂ©monial des coussins. En revanche, ses garçons – Charlotte, elle, est un peu plus branchĂ©e Metz Handball, Ă  ce qu’on en a compris – s’en font tout un monde en amont de chaque match Ă  Saint-Symph’. Et vas-y que je te bricole une pancarte avec le nom d’un joueur dans l’espoir de rĂ©cupĂ©rer son maillot aprĂšs le coup de sifflet final. « Toute une prĂ©paration
 » Il en sourit. Jusqu’ici, ça a fonctionnĂ© moyen-moyen. Aucun butin Ă  dĂ©clarer. Mais la famille est irrĂ©prochable question maillots. Chacun possĂšde le sien. Et comme on le voit Ă  l’image, tous les modĂšles sont reprĂ©sentĂ©s. Une annĂ©e, l’épouse de Philippe a mĂȘme disposĂ© de son propre abonnement. À cause d’un match. Un unique match dans le calendrier. Celui contre le PSG. À tout prix, elle voulait observer de ses propres yeux le phĂ©nomĂšne Zlatan. Elle n’a rien vu d’autre de la partie que le gĂ©ant suĂ©dois Ă  queue-de-cheval. Pour l’anecdote, elle a Ă©tĂ© déçue. « Il ne court pas. Elle disait : “Ce n’est pas ça, un sportif !” » Car oui : aprĂšs le match, on refait le match chez les Marque. Et avant le match, on l’imagine. C’est comme ça. Ça se perpĂ©tue. Ça ne s’arrĂȘtera pas. De Bordeaux Ă  Metz, le petit mĂŽme de Dax s’en Ă©meut, des Ă©toiles dans la voix : « Ce sont des moments en famille qui n’existeraient pas autrement. Des instants magiques Ă  vivre. »
Thierry et Reine Jungmann : Saint-Symph’, c’est chez eux ! Photo DR
Ils ne se sont pas rencontrĂ©s au stade, mais presque. Reine et Thierry Jungmann partagent un mĂȘme amour des tribunes et du FC Metz, dont ils sont devenus intimes.
« Des anecdotes, il y en a tant. Ce serait impossible de toutes les raconter
 » Des anecdotes amassĂ©es au grĂ© d’une histoire d’amour intimement tressĂ©e Ă  celle qu’écrit le FC Metz, saison aprĂšs saison. Originaires du pays bouzonvillois, Reine et Thierry Jungmann se sont rencontrĂ©s « il y a vingt-sept ans ». Ce n’est pas ça qui a fait tilt entre eux, mais rapidement ils se dĂ©couvrent un point commun : les matches Ă  Saint-Symphorien. « Notre deuxiĂšme chez-nous », rĂ©sume le couple. Quand c’était encore possible, Reine et Thierry Jungmann se pointaient une demi-heure avant le coup d’envoi, afin d’assister Ă  l’échauffement et d’accompagner les joueurs sur le chemin des vestiaires. Un jour d’averses, Franck RibĂ©ry a trouvĂ© refuge sous leur parapluie. « Ce que l’on a toujours apprĂ©ciĂ©, c’est le cĂŽtĂ© familial, la convivialitĂ©, mĂȘme si celle-ci a malheureusement tendance Ă  disparaĂźtre », les rĂšgles ayant changĂ©.
Peu Ă  peu, Saint-Symphorien prend de la place dans leur vie. De plus en plus de place. MĂšre au foyer (elle a quatre enfants), Reine se dĂ©brouille pour assister, chaque jour, aux entraĂźnements. « Qu’il vente, qu’il neige, qu’il pleuve
 » Quand le boulot empĂȘche son mari de l’accompagner, elle lui envoie des photos sur le smartphone. « Lorsqu’on n’y est pas, il y a un manque. C’est comme une drogue. » On repĂšre aisĂ©ment leurs silhouettes au bord du terrain. « Carlo Molinari nous appelait “Les fidĂšles”. Venant de sa part, c’était un bel hommage. » Des amitiĂ©s se nouent. Avec d’autres supporters. Avec des joueurs Ă©galement. StĂ©phane Borbiconi, GrĂ©gory Proment
 Au point de s’investir dans l’association des Anciens du FC Metz. Reine est la photographe officielle de l’équipe, Thierry s’occupe de l’arbitrage quand le besoin s’en fait ressentir.
« Les fidĂšles » mĂ©ritent leur surnom. « Si on a ratĂ© deux matches depuis la saison en National, en 2012-2013, c’est beaucoup
 » Ils n’ont jamais rien demandĂ©. Jamais rien rĂ©clamĂ©. Les gestes sont venus d’eux-mĂȘmes. Des maillots offerts, des souvenirs laissĂ©s. « C’est ainsi qu’Albert Cartier nous a donnĂ© son costume d’entraĂźneur du FC Metz lorsque le club Ă©voluait en National. » Le jour de notre appel, Reine et Thierry avaient d’ailleurs prĂ©vu de dĂ©laisser Saint-Symphorien pour le stade
 Marcel-Picot. Match Nancy – Bourg-en-Bresse. En National. Invitation signĂ©e Albert Cartier. Le coach de l’ASNL ayant eu la dĂ©licatesse de leur offrir deux billets.
Thom Antoniazzi, trente ans de fidélité au stade. Photo La Semaine
Libraire à Metz, Thom Antoniazzi, 40 ans, raconte trois décennies de fréquentation assidue des tribunes, entre nostalgie et enthousiasme jamais démenti.
« La premiĂšre fois, au dĂ©but des annĂ©es 1990, c’est avec mon pĂšre. NĂ© en 1936, il a jouĂ© au foot jusqu’à ses 58 ans. Pas un supporter, mais un authentique passionnĂ©. Quand le FC Metz encaisse une dĂ©faite, ça lui plombe le week-end. J’avais hĂąte de dĂ©couvrir l’ambiance du stade. Mes deux frĂšres aĂźnĂ©s, Nico et Vincent, m’en parlaient. J’avais une dizaine ou une douzaine d’annĂ©es. À l’occasion, mon pĂšre rĂ©cupĂ©rait des billets auprĂšs d’un ami qui travaillait au conseil rĂ©gional. Cela ne nous garantissait pas les meilleures affiches mais l’important n’était pas lĂ . Je suis nostalgique de cette pĂ©riode-lĂ . Surtout l’accĂšs au terrain rouge, lĂ  oĂč les joueurs s’échauffaient. Il y avait une telle proximitĂ©. Un jour, mon pĂšre Ă©tait avec un ami qui avait ses entrĂ©es. Il interpelle un joueur : “François ! Viens signer un autographe au gamin ! Viens !” Le joueur est venu, il m’a signĂ© un autographe. C’était François Calderaro (le buteur qui a Ă©voluĂ© Ă  Metz de 1990 Ă  1992, ndlr). Je n’en revenais pas. Je suis fan de l’OM aussi. J’ai pu voir Papin, Boli
 Pas rien.
Plus tard, je suis retournĂ© au stade avec les copains. C’était lĂ  qu’on se retrouvait. DĂ©but de soirĂ©e au stade et ensuite, comme c’était samedi, on sortait. On s’installait toujours en “secondes” (l’actuelle tribune Nord, situĂ©e cĂŽtĂ© canal, ndlr). Ça coĂ»tait quoi ? 10 francs ? On Ă©tait debout. Sans toit au-dessus de nos tĂȘtes. Quand il y avait du soleil, on crevait de chaud. Quand il pleuvait, on prenait tout. La tribune populaire par excellence
 »
« Je suis abonnĂ© depuis une dizaine d’annĂ©es. Tribune Est basse. On a un groupe WhatsApp dĂ©diĂ©, entre personnes situĂ©es dans le mĂȘme secteur. Je ne rate pratiquement aucun match, sauf en plein mois de fĂ©vrier lorsqu’il fait -10 °C et que je quitte le boulot trop tard pour ne pas avoir Ă  sprinter en direction du stade. Avant le coup d’envoi, je rejoins parfois mon frĂšre Nico, je dĂ©pose mon vĂ©lo chez lui, il habite juste Ă  cĂŽtĂ©. AprĂšs la rencontre, on dĂ©briefe ensemble. Vincent, mon second frĂšre, est moins dans la boucle. Mais le foot, ça le tient toujours. Le week-end dernier, il est allĂ© se faire un match Ă  BrĂȘme. Il cherche des Ă©motions comme ça. Mais c’est toujours aussi dĂ©primant quand Metz perd
 »
« Je vais rester abonnĂ© bien sĂ»r. Cette annĂ©e, la descente, ça ne m’a pas empĂȘché  Je cours derriĂšre l’enfance ? Oui et non. Le regard, il a changĂ©. Avant je regardais mes idoles. Maintenant je regarde le foot. Je me dis que si un jour j’étais amenĂ© Ă  quitter Metz, je pourrais parfaitement prendre un abonnement dans un autre stade. Sauf Ă  Paris ou Ă  Nancy bien sĂ»r ! (sourire). J’aime trop le foot, c’est pour ça. Mais je sais qu’évidemment, il n’y aurait pas la mĂȘme passion. »
Il s’appelait Carmelo. Enfin non, on l’appelait Carmelo. Pas compliquĂ© de dĂ©duire de quel joueur* il tirait son surnom. Originaire de Moselle-Est, Carmelo – de son vrai nom ArsĂšne Roth – a quittĂ© Saint-Symphorien en avril dernier. Au lendemain de ses 66 ans. C’était une figure de Saint-Symph’. Un type, habitĂ©, que l’on ne pouvait pas manquer. Toujours vĂȘtu en short-maillot, les mains jointes comme pour une supplique, il sprintait d’un bout Ă  l’autre de la tribune de ses longues jambes infatigables, accompagnant le dĂ©roulement des actions. L’existence lui avait collĂ© une maladie dans les dents. Il s’était Ă©pris du FC Metz Ă  la fin des annĂ©es 1970. Collectionneur de maillots, de reliques. Et inlassable voyageur, dans les pas de son Ă©quipe fĂ©tiche, sa raison de vivre. Des comme lui, on n’en fera plus.
Dans le cƓur des supporters, sa disparition a rĂ©veillĂ© une autre douleur. Celle du dĂ©part de Manolo. L’homme au tambour. L’homme au poncho et au sombrero. Il animait les avant-matches. Il Ă©tait lĂ , tout le temps. Les soirs de rencontre comme aux entraĂźnements. « Il faisait partie intĂ©grante du fonctionnement du club au quotidien », saluera Carlo Molinari, aprĂšs son dĂ©cĂšs accidentel en septembre 2006. Manolo – de son vĂ©ritable patronyme FĂ©lix Atlan – incarnait une Ă©poque. Toute une ambiance. Saint-Symphorien, c’était alors un stade abonnĂ© Ă  la PremiĂšre division, on ne se posait mĂȘme pas la question de la reconduction du bail.
Carmelo, Manolo
 Deux visages, deux figures. Hisse et haut. Deux porte-drapeaux.
(*) Spoiler : l’ancien attaquant Carmelo Micciche, briùvement international.


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meilleurs du monde

unpeupluspresdesetoiles le 20/08/2022 Ă  21:27
Gabrielle Marie le 20/08/2022 Ă  20:18
meme avis que vous! le 20/08/2022 Ă  17:53
Ex Précisions le 20/08/2022 à 17:33
Ex Précisions le 20/08/2022 à 16:57


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L’objectif de ce magazine, c’est de rester utilise aux utilisateurs : “non seulement aux patients et aux familles qui recherchent les meilleurs soins [
], mais aussi aux hĂŽpitaux qui se comparent Ă  leurs pairs pendant une pĂ©riode de changement sans prĂ©cĂ©dent.“
Parmi ces 3 hĂŽpitaux sĂ©lectionnĂ©s, Ă  la 107e place l’hĂŽpital Lyon Sud qui se situe Ă  Pierre-BĂ©nite. C’est le premier site cancĂ©rologie des HCL. Ensuite, Ă  la 139e place il y a l’hĂŽpital Louis Pradel Ă  Bron. Il est le premier centre cardiologie de la rĂ©gion Auvergne-RhĂŽne-Alpes.
Et pour fini, entre la 151e et la 250e place (nous n’avons pas le numĂ©ro prĂ©cis) se trouve l’hĂŽpital Edouard Herriot, dans le 3e arrondissement de Lyon.
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Euh alors pour la gastronomie en clinique, on repassera.
J'ai été opéré à HEH et à la clinique Mermoz. La bouffe est bien meilleure à HEH

Oui un professeur est plus connaisseur qu un chirurgien de clinique Mais parfois ces pontes de la médecine ne sont pas toujours accessibles malheureusement bn

Edouard Herriot !! Ils sont fous!!! À Lyon on l'appelle la boucherie.
En tout cas ma mĂšre est rentrĂ©e au mois de juin en Ă©tant gravement malade et est ressorti deux semaines aprĂšs soi disant guĂ©rie, alors qu'elle Ă©tait dans le mĂȘme Ă©tat quand arrivant et le soir mĂȘme elle dĂ©cĂ©dait.

oui c est sur il y a de supers services mais pour la partie rĂ©servĂ©e au mĂšres enfants c est une vraie usine, Ă  force de vouloir concentrer les services on en a fermĂ© d autres et on a dĂ©shumanisĂ© cet hĂŽpital, mĂȘme le personnel ne le supporte pas
une question Ă  vous lyonnais==) qui est le patron des HCL de Lyon?
Edouard Herriot ,c est un hĂŽpital universitaire mĂȘme si il ne paie pas de mine il est au top , plusieurs accidents ils m ont toujours rĂ©parer alors que d autres Ă©tablissements avec de belles chambres m ont refusĂ©s l accĂšs " cas inintĂ©ressant pas assez lucratif " ou voulaient m amputer .
La différence est énorme entre un professeur a Edouard Herriot et un docteur dans une clinique l un vous soigne l autre vous prend un max de pognon avec des résultats plus que discutables voir catastrophiques mais bon tant que la chambre et la nourriture est bonne ....................... Chacun ses priorités ............

Un professeur des universités, praticien hospitalier ou non, c'est un professeur d'université, il ne peut excercer sa fonction de professeur que dans un établissement universitaire type CHU.

Donc vous ne verrez pas de professeur dans les cliniques privées.

Mais cela n'empĂȘche pas un chirurgien d'ĂȘtre excellent sans ĂȘtre professeur.

Quelque soit votre expĂ©rience personnelle, vous ne pouvez pas prĂ©tendre qu'il vaud mieux ĂȘtre soignĂ© par un professeur qu'un docteur.
Edouard Herriot, c'est certainement pas pour les clients, dans les chambres on se croiraient revenus 100 ans en arriĂšre, avec les mĂȘme commoditĂ©s qu'Ă  l'Ă©poque...
La bouffe c'est ce que mangeaient les bidasses dans la guerre des tranchées.

On voit bien que vous ĂȘtes trop jeune pour vous permettre de comparer avec l'hĂŽpital d'il y a 100 ans Vous n'avez pas connu!!
De plus votre affirmation est mensongĂšre et grossiĂšre.
Ex personnel hospitalier des Hcl
Edouard Herrio
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