Ces mecs aiment se tripoter le manche

Ces mecs aiment se tripoter le manche




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Ces mecs aiment se tripoter le manche
Archivé de: Lettres Gay – Numéro 68
Date de parution originale: Janvier 1995

Date de publication/archivage: 2015-01-18

Auteur: Grégory
Titre: Je soulage les routiers
Rubrique: Je te mate, tu me mates...
Note: Le magazine Lettres Gay ayant disparu, nous archivons sur Gai-Éros des textes y ayant été publiés au fil des ans, à titre d'archive, notre but premier étant que la littérature homo-érotique se préserve au fil du temps. Si vous êtes l'auteur de ce texte ou si vous détenez des droits légaux sur ce texte, veuillez communiquer avec nous sans délais.
Ce texte a été lu 10459 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)


J e m’appelle Grégory et j’ai trente-deux ans. Je suis plutôt beau gosse, à en croire les petites connes de mon bureau (qui ne savent pas que je suis gay) et les nombreux mecs que je me fais. Mais ce qui me plaît vraiment chez moi, c’est ma bite. Il suffit que je pense à elle, et elle gonfle dans les dix secondes. C’est pas une bite que j’ai, c’est un pieu en acier trempé. En la mesurant par-dessus du bout du gland jusqu’à la racine (et non par en-dessous comme la plupart des vantards qui veulent frimer), j’ai relevé vingt bons centimètres, et plus de six centimètres de diamètre. Elle est bien droite, noueuse, avec un gland large rose foncé qui s’évase un peu autour de la couronne. Un vrai bonheur pour les pompeurs et les culs voraces. J’avoue, je suis amoureux de ma bite, et je suis tout le temps en train de me la tripoter par-dessus la braguette.

Depuis quelques années, me faire admirer la queue par les mecs que je nique, ou me branler devant les miroirs ne me suffit plus. Mon gros pieu, il faut que je le montre à plus de mecs. Je suis devenu exhib’. Par exemple, sur l’autoroute, j’aime bien doubler très lentement les camions, la queue à l’air en me branlant, mater la gueule des routiers (j’adore les routiers) complètement ahuris ou excités, et puis accélérer brutalement. Comme ils ne peuvent pas me rattraper... Pourtant, dernièrement, je suis allé plus loin dans l’exhib’, et ça aurait pu mal tourner.

Cette nuit-là, j’étais sur l’A7, pas très loin de Montélimar, et j’avais, comme souvent, ma grosse queue bien raide et une sacrée envie de tirer un coup. Je me suis débraguetté et j’ai commencé à me palucher. J’ai aperçu un gros cul devant moi et je me suis dit que j’allais lui faire voir la taille de mon outil. J’ai allumé le plafonnier et j’ai doublé sans me presser le semi-remorque, la bite hyper-visible. J’ai pas osé regarder le camionneur. Comme un con derrière voulait me doubler, j’ai dû accélérer et abréger le show. Quand le routier, derrière, a klaxonné et m’a fait des appels de phares, j’étais tellement chaud que j’ai bien cru décharger. À cent trente, dangereux, ça! Il fallait que je m’arrête sur une aire tranquillos pour me foutre une pognée.

Peu avant Bollène, je me suis arrêté sur l’aire de Bois-des-Lots, au bord du canal de Donzère-Mondragon. Près de minuit, pas une seule bagnole stationnée; j’allais pouvoir me bricoler à l’aise. Je suis sorti la queue à l’air et j’ai commencé à me manipuler en me triturant un téton. C’est à ce moment-là que j’ai vu un camion s’engager sur la petite bretelle de l’aire de repos. Merde! M’avait-il vu, ou pas? Je suis remonté vite tait dans ma caisse et j’ai attendu. Pour voir. C'était un énorme semi-remorque qui ressemblait étrangement à celui de toute à l’heure... Il s’est arrêté dans un concert de grincements et de soupirs... et il a éteint ses phares. Et plus rien n’a bougé, plus un bruit. J’étais sûr que c’était le même à qui j’avais exhibé mon manche. Il avait reconnu ma Mazda rouge. Ou alors, je me montais le ciboulot, et c’était simplement un routier qui voulait dormir un peu. La situation commençait à salement m’exciter. Je suis

sorti, la bite à l’air, hyper-excité mais pas trop rassuré. Le lampadaire le plus proche de nous ne fonctionnait pas, et c’était quasiment la nuit. J’ai commencé à me branler doucement. Et puis, peu à peu, je me suis rapproché de l’avant du camion, à quatre ou cinq mètres. Aucune réaction. Le mec devait dormir, mais l’idée que peut-être il me matait me labourait l’estomac de plaisir. J’ai écarté las jambes face au Volvo et je me suis mis à m’astiquer le pieu franchement. Je remuais du cul, comme si j’enculais un mec, je me tirais sur les couilles, je me tripotais les tétons. Dans la cabine, c’était le noir total. Ça m’a encouragé à en faire encore plus. J’ai commencé à gémir, à haleter. Je me suis mis de profil pour qu’il voit bien la longueur de mon outil. Et je me suis rapproché encore du semi-remorque. Même le camion m’excitait, me semblait aussi viril que le routier imaginé à l’intérieur. J’ai déboutonné mon jean, et il est tombé à mes pieds. Si ça tournait mal, je ne pourrais même pas m’enfuir. Ça m’a survolté encore plus. J’ai repris mon branle, doucement, parce que j’étais continuellement sur le point de jouir. Je me suis mouillé deux doigts et je me les suis enfoncés dans le cul. On pouvait pas faire plus vicelard!

J’allais juter quand soudain, la portière passager du camion s’est ouverte. J’ai le cœur qui s’est arrêté de battre et je suis resté pétrifié. J’avais été bien trop loin et j’allais payer ça au prix fort! Le routier allait certainement me traiter de pédé et me casser la gueule! Mais personne n’est descendu. Il a fait trois appels de phares qui m’ont ébloui, et puis plus rien: que cette portière ouverte. Je pouvais foutre le camp... je me suis approché de la portière. Là, j’ai vu le routier qui attendait derrière son volant... avec lui aussi le manche à l’air en train de se palucher. Il m’a dit d’une voix grave: «Monte!» Je suis monté.

— T’es une salope, c’est toi que j’ai vu tout à l’heure, hein? J’ai reconnu ta bagnole. Tu m’as assez excité pour ne pas finir le boulot maintenant! Allez, ma pute, pompe-moi le nœud, dégorge-moi le poireau!

Quel mâle! En treillis et rangers, une gueule de brute, une barbe de trois jours. J’ai pas attendu qu’il m’y oblige pour me jeter sur son manche, pas exceptionnel comme le mien, mais un beau pieu quand même. Il sentait fort et j’ai aimé ça; je me suis appliqué. J’ai sucé las grosses burnes poilues et poivrées, j’ai bien salivé le long de la hampe, j’ai tournicoté ma langue autour de la couronne, sous le gland, là où c’est hyper-sensible, avant de la pointer dans le méat. Il a commencé à délirer, à me traiter de sale pute, d’enculé, de bouffeur de foutre... Je me suis enfoncé l’engin le plus loin possible dans la gorge et j’ai commencé à aller et venir en me servant de ma main droite en même temps que ma bouche, et de ma gauche pour lui flatter les couilles. Plus il me traitait de tous les noms, plus je savais que je lui faisais un bien fou à mon beau routier. Au bout d’un moment, il m’a saisi la tête et a rythmé le va-et-vient à sa guise, de plus en plus vite. J'ai senti les couilles se gonfler, le pieu se durcir encore, et j'ai reçu tout son foutre chaud au fond de la gorge alors qu'il geignait. Ça n'arrêtait pas de gicler, c'était dément. Je n'ai pas pu déglutir toute sa jute et ça m'a dégouliné sur le menton.

— C’est bon, t’es une bonne pompeuse, ma salope! Tu peux devenir une professionnelle si ça te dit. Maintenant, tire-toi!

Je suis descendu, j’ai fermé la portière, et je me suis foutu devant le camion pour me finir. Il a rallumé ses phares et j’ai déchargé ma jute en gueulant dans la lumière. Et mon beau routier est parti dans la nuit. J’avais toujours le goût de son foutre dans la bouche...





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Philippe Michaud est membre de l'Association des critiques et journalistes de bande dessinée (ACBD). En 2016, il a été membre du Comité de sélection du Prix de la critique ACBD de la bande dessinée québécoise. 
Cumulant plus de 10 ans d'expérience en rédaction, il est également un grand passionné de technologie et de jeux vidéo.




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