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Plutôt que de se départager, deux athlètes olympiques choisissent de se partager la médaille d’or - ©DAVID RAMOSGETTY IMAGES ASIAPACGetty Images via AFP
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Une façon de célébrer le sport et leur amitié.
Une double médaille d’or. Dimanche 1er août, Mutaz Barshim, double champion du monde de saut en hauteur, est devenu le premier Qatari champion olympique. Mais le véritable exploit n’est pas là. L’épreuve a été particulièrement impressionnante : Mutaz Barshim s’est retrouvé face à l’Italien Gianmarco Tamberi, un de ses amis dans la vie. Après avoir franchi 2,37 mètres, ils étaient à égalité parfaite.
Deux options s’offraient alors à eux : ils pouvaient soit désigner un vainqueur après une ultime confrontation, ou se partager l’or. C’est ce pour quoi ils ont finalement opté. « Personne n’a décidé. Je l’ai regardé, il m’a regardé, on avait compris, a décrit Mutaz Barshim. Le gars [de l’organisation] essayait de nous expliquer nos options, mais à quoi bon ? » L’athlète lui a alors demandé s’ils pouvaient se partager la médaille, avant de sauter de joie devant la réponse affirmative de l’arbitre. « [Gianmarco] est un de mes meilleurs amis, nous sommes tout le temps ensemble. »
Après l’argent en 2012 et 2016, la première place à Tokyo est le troisième podium olympique pour le Qatari de 30 ans. Gianmarco Tamberi décroche quant à lui ainsi son premier titre international en plein air. Le bonheur était de mise après cette double récompense, d’autant que l’Italien a connu des années sombres suite à une grave blessure à la cheville. « J'ai simplement voulu revenir au plus haut niveau après mes blessures, mais décrocher l'or c'est incroyable, j'en ai tellement rêvé, a-t-il déclaré. On m'avait dit en 2016 juste avant Rio qu'il y avait un risque que je ne sois plus capable de sauter. La route a été longue. »
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Des internautes du Monde.fr témoignent de leurs difficultés à parvenir à un partage équitable des tâches domestiques et parentales.
Nous avons demandé aux internautes du Monde.fr de témoigner de leurs difficultés à parvenir à un partage équitable des tâches domestiques et parentales – encore assumées à 80 % par les femmes – au sein de leur couple. De nombreuses femmes – combatives, découragées ou très gâtées – ont répondu à notre appel. Du côté des hommes, seuls les époux exemplaires se sont manifestés.
Trente ans de guerre des tâches ménagères sans victoire notable. J'ai tout essayé : la complicité, la grève totale, le travail d'équipe avec tableau noir. Rien n'y fait et c'est encore pire avec une aide ménagère : sa présence permet à mon mari de se donner bonne conscience et d'en faire encore moins.
Je ne me résigne pas, mais l'inertie d'un quinquagénaire éduqué par une mère au foyer et deux sœurs aînées pleines de sollicitude est désespérante. Surtout quand dans son job, il y a toujours des gens autour de lui pour l'assister...
En reprise d'études tardives, je pensais susciter une petite solidarité conjugale : peine perdue. Maintenant, j'espère juste retrouver une situation qui me permette de "m'offrir" quelques heures d'aide en plus. Surtout, je mise sur l'éducation : j'ai appris à mon fils adolescent à prendre en charge sa part des tâches domestiques et à valoriser cette corvée comme un signe de modernité et d'émancipation. D'ailleurs, c'est souvent lui qui proteste quand mon mari est vautré sur le canapé tandis que nous nous activons. Les tâches domestiques sont le sujet numéro un des tensions à la maison...
C'est vraiment LA tâche non partagée : la prise en charge du linge. Nous sommes cinq à la maison, dont trois ados de 15, 17, et 19 ans – cela fait du volume. Pourtant, bien que tout le monde salisse, une seule personne lave, sèche et repasse : moi. En vingt ans, je suis juste parvenue à ce que mon mari donne le repassage de ses chemises au pressing, et à ce que les enfants rangent leur pile repassée chacun dans leur placard. Et, bien sûr, je travaille à temps complet à l'extérieur... Je suis l'elfe de maison !
J'ai quitté mon mari il y a six ans. J'ai la garde de nos deux enfants âgés de 12 et 14 ans. Le père ne verse aucune pension alimentaire. J'ai un poste à plein temps, très prenant. Je n'ai pas de femme de ménage ou de nounou. Je n'ai jamais eu de compagnon après la rupture d'avec mon mari. Je fais tout, toute seule. Le soir, je suis morte de fatigue dès 21 heures. Le matin, je suis debout à 5 heures. J'ai choisi cette vie, si on peut dire. Mais mon Dieu, que c'est difficile...
Ayant eu une expérience de vie de couple durant dix ans, je peux dire que les tâches ménagères multiples (ménage, courses, papiers, cuisine) ont toujours été à ma charge malgré le fait que je travaille à temps plein. Pour que mon compagnon en prenne conscience, j'ai entamé une grève de "madame à tout faire" : rien n'y a fait, rien ne se lavait ou ne se rangeait par magie... malheureusement !
N'ayant que trente ans, je me suis rendue compte que le modèle de vie familiale de mes parents est encore le même à mon époque bien que je sois une femme libérée ! La chose la plus frappante est que tout ce que je pouvais effectuer était considéré comme normal comme si nous, les femmes, étions génétiquement prédestinées à être des hôtesses de maison parfaites, soumises et surtout ravies de l'être !
Nous venons d'avoir un bébé et travaillons tous les deux. Je suis très à cheval sur les droits des femmes, l'égalité. Toutes les injustices faites aux femmes m'énervent. J'ai une belle carrière et nous sommes tous les deux très diplômés, milieu de trentaine. Pourtant, je me retrouve chez moi avec un mari qui ne fait absolument rien en ce qui concerne notre fils (se lever la nuit, donner un biberon, changer une couche, aller faire une course ou participer aux interrogations sur les poussettes, etc.).
Simplement, il s'occupe de cuisiner. Il joue de sa force d'inertie. Je fais tout et pense à tout, parce qu'il s'en fiche si la maison est en désordre. Et si notre fils n'a pas de couche, c'est mon problème parce que je me préoccupe des détails. Du coup, il n'a pas besoin de s'en soucier, il sait que j'y veillerai, et se détache totalement de ces sujets pour se reposer sur moi.
Depuis cinq ans, nous alternons la responsabilité de la maison. Chacun sa semaine. Celui (ou celle) qui est "en charge" s'occupe de tout organiser : les menus, les courses, les déplacements des enfants, les autorisations de sorties, etc. L'autre contribue à ce qu'on lui demande, dans la mesure du possible. Et quand ça coince, c'est celui qui est "en charge" qui se débrouille.
Cette organisation exclut : les poubelles et le recyclage (c'est lui) et le linge (c'est elle). Au début, j'étais obligée de partir de la maison pour le laisser patauger, demander des recettes à sa mère, se mettre en cuisine à 13 heures (pour un repas servi à 15, forcément), etc. Depuis, j'en ai pris mon parti, et je me repose, tout simplement.
Je tiens à apporter un témoignage contraire à la "normale". A la maison, à part la cuisine et le nettoyage des sanitaires, tout est fait par mon mari. C'est notre accord : la personne la plus présente à la maison fait le plus. Il est professeur, je suis documentaliste. Il travaille à la maison, je pars à 8 heures et ne reviens qu'à 19 heures. Pendant l'année de chômage que j'ai vécue avant de prendre mon poste actuel, je me suis occupée de la maison en grande partie. Maintenant, entre deux copies à corriger ou des cours à préparer, c'est lui qui fait l'essentiel du ménage. Je me fais même réprimander de temps à autre sur mon manque de participation. Il faut dire que j'ai horreur de ces tâches ménagères, à part la préparation des repas.
Le mari : – Tu as envoyé la lettre comme je te l'ai demandé, chérie ? L'ado : – Tu ne m'accompagnes pas à l'aéroport, maman ? Mais qui va porter mes valises ? Le jeune adulte : – Y a plus rien à manger dans cette maison... Joséphine (la chatte) : – Miaou...
Après des années de lutte quotidienne pour un partage égalitaire couronnées par des succès éphémères et de nombreux moments de résignation, la seule solution, au moins porteuse d'étonnement et d'incompréhension, qui vaille pour ces messieurs : l'inertie !
Pour inciter mon homme à participer aux tâches domestiques, j'adopte la méthode des machos : je me révèle absolument incompétente en matière de repassage (une brûlure de chemise suffit à le prouver), de ménage (vider un sac d'aspirateur engorgé de divers petits objets est dissuasif...) ou de cuisine (rater un plat est à la portée de tout le monde !). Résultat : après une journée de travail, lorsque je rentre à la maison, je mets les pieds sous la table et me fait servir :-). Il me reste suffisamment à faire : vérifier les devoirs des enfants, surveiller le choix de leurs vêtements, organiser leurs différentes activités, etc...
Le problème du partage des tâches ménagères s'est toujours posé très vivement chez moi. Mon père, fils unique, trouvait tout naturel que le travail soit fait chez lui, sans lui, comme il l'était chez ses parents. Aujourd'hui encore, il vit en irresponsable sans se rendre compte des heures de travail qui sont nécessaires à son confort. J'ai compris très tôt ce fonctionnement et je me suis promis que cela ne m'arriverait pas.
Quand j'ai commencé à fréquenter mon copain, fils unique lui aussi, nous habitions chacun chez nos parents. Quand il a pris un appartement et m'a proposé de vivre avec lui, j'ai refusé : je voulais qu'il gagne son autonomie et qu'il voit ce que c'était de vivre en adulte. Ensuite, il a évidemment commencé par exiger que tout soit propre et parfait. Je lui ai fait remarquer qu'il fallait du travail pour cela et je lui ai demandé comment il comptait le répartir (nous travaillons tous les deux). Il a établi une règle : l'un faisait la cuisine, l'autre la vaisselle. J'ai accepté et fait la vaisselle aussi longtemps qu'il a fait la cuisine. Le jour où j'ai fait la cuisine, il a essayé d'échapper à la vaisselle, mais j'ai été ferme.
Je lui demande de faire des choses et il les fait parce qu'il a compris que c'est important pour moi. Aujourd'hui, il a fait des progrès, et moi des compromis. Je pense que je me suis fait entendre et j'ai appris moi aussi à l'écouter. Le ménage ne doit pas être un point de friction, mais d'entente.
Dans mon couple (on vit ensemble depuis un an), les tâches sont très bien partagées : les courses ensemble (quand c'est possible), la cuisine en alternance (un repas sur deux), il s'occupe des poubelles (je n'aime pas ça), je fais plus la vaisselle des gros ustensiles de cuisines (pour le reste, on a une machine) et on fait le ménage à deux, le linge à deux, etc. Je crois que c'est aussi une histoire de génération : il a vécu seul longtemps, a appris seul. Je n'ai rien eu ni à dire ni à faire, et ça m'a plu chez lui . C'était quelque chose d'important pour moi, d'autant plus que mon père a toujours beaucoup participé. Et c'est le cas de beaucoup de mes amis hommes. Je crois que la génération des moins de 30 ans sera plus égalitaire que celle d'avant, et moins que celle d'après !... Enfin, j'espère.
Je partage avec ma femme depuis notre mariage (et même avant) les tâches ménagères, et le moins que l'on puisse dire, c'est que cela n'est pas particulièrement bien considéré par mon entourage social et professionnel. Les hommes qui ont l'habitude de tout laisser faire à leur compagne déconsidèrent totalement ceux qui réduisent leur temps libre ou leur temps de travail à faire les courses, le ménage, la lessive et à s'occuper d'un enfant. Chose encore plus étrange : les femmes réagissent exactement de la même façon.
C'est bien simple : pas une "tâche domestique et parentale" ne m'échappe. Pas une seule. C'est mon combat pour une meilleure condition de la femme dans notre société. C'est ma façon d'être féministe. A l'instar de mon épouse, j'amène les enfants à l'école et à la crèche, je vais les chercher ; je leur donne le bain et leur lis des histoires le soir ; j'assiste ma fille dans ses devoirs... Voilà, parmi d'autres, les tâches partagées. Et puis il y a ce que je suis le seul à faire : les plats sucrés, les repas dans la semaine, amener les enfants à leurs activités extra-ceci ou extra-cela, l'organisation des anniversaires...
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