Ces filles s'y connaissent en matières de vagin

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Ces filles s'y connaissent en matières de vagin
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par Anais Moine
Créé le 05/07/2017 à 16:25 , modifié le 05/07/2017 à 16:25


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De plus en plus de jeunes filles manifestent leur envie d’avoir recours à une labiaplastie. Les gynécologues s’alarment car le phénomène prend de l’ampleur et touche désormais des fillettes d'à peine 9 ans.
Naomi Crouch, gynécologue pour adolescentes reconnue, était dernièrement reçue sur le plateau de Victoria Derbyshire, présentatrice vedette de la BBC pour témoigner du nombre croissant de jeunes filles qui souhaiteraient une réduction de leurs lèvres intimes.
Si l’opération ne devrait pas être effectuée sur des patientes de moins de 18 ans et uniquement en cas d’handicap, en 2015 et 2016, plus de 200 mineures y auraient eu recours en Angleterre. De plus, elles ne concernaient pas uniquement des adolescentes proches de la majorité puisque plus de 150 cas concernaient des filles qui n’avaient pas encore 15 ans.
Naomi Chourch, qui préside la société pédiatrique et gynécologique des adolescents de Grande Bretagne, déclare qu’il y a quelques années elle ne rencontrait qu’une ou deux patientes sur quelques mois pour ce problème. Pourtant, c’est désormais chaque semaine qu’elle reçoit des " adolescentes de 14-15 ans, mais elle a vu des filles plus jeunes puisqu'une patiente avait 9 ans ".
Egalement interrogée, le docteur de Zulueta, qui exerce depuis 30 ans, s’inquiète tout comme ses confrères de l'inquiétante augmentation du nombre de jeunes filles réclamant une labiaplastie. Selon elle, ce phénomène est notamment dû aux réseaux sociaux qui prônent une image de la beauté irréaliste et pour le combattre, il suffirait d’une meilleure éducation. En effet, elle pense que les fillettes sont amenées à demander cette opération car elles ne connaissent pas leur corps. Elles ignorent que leur vagin est parfaitement normal et s’étonnent, voire s’écœurent, à sa vue.
Ce qui surprend le plus le docteur c’est le dégoût que les fillettes éprouvent pour leur propre corps. Elle se souvient qu’une fois " une fille a pointé son vagin , dégoûtée et a dit "C’est quoi ça ? "" Le problème c’est qu' elles ne connaissent par leur anatomie et pensent " que les petites lèvres devraient être invisibles, un peu comme une Barbie , mais la réalité c’est qu’il y a une grande variation de tailles de lèvres ".
D’ailleurs, le docteur Zulueta ne mâche pas ses mots en ce qui concerne le recours à la labiaplastie pour des raisons esthétiques, " les lèvres sont normales, saines et érogènes. Pourquoi est-ce que quelqu’un voudrait les retirer ? C’est une amputation . " Très controversée, la labiaplastie n’a pas fini de faire couler de l’encre !
A lire aussi : En Colombie, vous pouvez subir une opération de chirurgie esthétique dès 14 ans
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Publié le 14/09/2018 à 09h00
- Modifié le 16/08/2019 à 19h57




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Par lafayette21 le 17/08/2019 à 18:47




Par guy bernard le 17/08/2019 à 10:51




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«Q uatre-vingt-quinze fois sur cent, la femme s'emmerde en baisant », chantait Georges Brassens de sa voix pateline. Le poète avait le constat cruel, mais la réalité est à peine plus réjouissante. Selon une étude menée par l'Institut Kinsey en 2017, si 95 fois sur cent l'homme s'envoie en l'air en baisant, ce n'est le cas que de 65 % de leurs partenaires féminines. Soit, si l'on préfère regarder le verre au tiers vide : 35 % des femmes jouissent rarement ou… pas du tout. Ce que Maïa Mazaurette, chroniqueuse au M le magazine du Monde , appelle « le fossé aux orgasmes » (1).
Rien de bien neuf. Les chiffres sont même étonnamment constants ; une étude menée par le site Aufeminin.com auprès de 27 000 femmes arrivait au même constat : 25 % des femmes jouissent rarement, 13 % jamais, soit 38 % d'insatisfaites chroniques. Des données qui ont nourri le mythe d'une sexualité féminine supposée mystérieuse. Ah le plaisir féminin ! Ce continent noir où l'on s'aventure sans boussole ni certitude ! Un mythe qui a largement résisté à la révolution des mœurs des années 1970. Dans « Les valseuses » , Dewaere et Depardieu s'épuisent à comprendre ce qui a pu permettre à Miou-Miou d'enfin « prendre son pied » . En 1978, dans « Préparez vos mouchoirs » , les deux mêmes sont encore en échec cette fois devant la très frigide Carole Laure…
Ras-le-bol. Il a bon dos le mystère féminin. Un autre chiffre peut donner à réfléchir, pour peu que l'on soit de bonne foi : dans un rapport homosexuel, la satisfaction des femmes monte en flèche : 86 % des femmes déclarent atteindre le nirvana. Et si la clé du mystère était sous nos yeux (ou presque) ? Une autre étude publiée dans Journal of Sex & Marital Therapy a interrogé 1 000 femmes anonymement. « Moins d'une femme sur cinq atteint l'orgasme par la pénétration seule. (…) Pour les trois quarts des femmes interrogées, toucher le clitoris est soit une condition absolue de la jouissance, soit la condition d'une meilleure jouissance », résume Maïa Mazaurette. Dans une autre chronique intitulée « Clitoridiennes de tous les pays, unissez-vous » , elle prévoyait que les femmes allaient bientôt, dans la foulée de MeToo « vider leur sac » : « Le prochain déferlement va tomber sur nos pratiques sexuelles concrètes - celles du couple, celles qui se déroulent dans le consentement mais pas forcément dans l'égalité. »
C'est chose faite. Dora Moutot, une journaliste trentenaire, a créé un compte Instagram intitulé « T'as joui ? » Les femmes y racontent crûment leur insatisfaction et surtout leur ras-le-bol : « Merci pour ce compte ! Je me sens moins seule ! peut-on y lire parmi des centaines de témoignages . J'ai eu quatre mecs dans ma vie et je n'ai jamais joui avec les trois premiers. A tel point que j'ai cru que c'était moi le problème et que j'étais frigide ! » Après « Balance ton porc », c'est « Balance ton mauvais coup » . Le succès est fulgurant : en trois semaines, le compte a attiré plus de 130 000 abonnées.
Egalité orgasmique. Elle ne veulent plus simuler, elles veulent leur part de plaisir. Mais réclamer l'égalité orgasmique, est-ce bien raisonnable ? Et consacrer un article au clitoris, est-ce bien sérieux ? N'y a-t-il pas pour lutter contre l'inégalité des sexes d'autres causes plus nobles : les violences domestiques, l'inégalité salariale ou même la répartition des tâches ménagères ? Et si c'était l'inverse ? Si la méconnaissance du clitoris était le symbole le plus flagrant de la domination masculine ? Car la longue et incroyable histoire de la découverte de cet organe vaut à elle seule d'être narrée et montre bien que l'enjeu est fondamental. Pensez donc que sa juste représentation vient à peine d'entrer dans les manuels scolaires de SVT. Ce fut l'un des événements de 2017 ! Interrogée à propos de cette question, Julie Azan (2), l'enseignante qui a rédigé pour Magnard les chapitres dédiés à la reproduction, confesse : « J'ai découvert à quoi ressemblait vraiment le clitoris il y a deux ans » . Vincent Guili, son collègue qui a réalisé les schémas, a connu la même expérience : il y a deux ans, lui aussi pensait que le clitoris était un « bouton » . Le médecin et sexologue Yves Ferroul, désormais à la retraite, se souvient : dans les années 1980, l'organe du plaisir féminin était à peine mentionné dans les facultés et les manuels de médecine. Des générations de gynécologues ont donc été formées sans pratiquement jamais en entendre parler ! Pourtant, le clitoris n'a jamais complètement disparu des manuels d'anatomie, explique la chercheuse en sociologie des sciences Odile Fillod, qui s'est très minutieusement penchée sur la question

. En France , Rouvière en 1943, Testud et Latarjet en 1949, le décrivent correctement. En réalité, le clitoris n'est pas « inconnu », il est délaissé…
Sa grande « redécouverte » date de 1998. Vous avez bien lu. Le chirurgien Pierre Foldes, pionnier de la reconstruction du clitoris, s'en amuse : « C'était la même année que le Viagra. On inventait une pilule pour remédier au problème d'érection des hommes et on en était tout juste à décrire le clitoris des femmes. » En 1998 donc, l'urologue Helen O'Connell s'agace de voir que, lorsque l'on opère les hommes dans cette zone, un luxe de précautions est pris : « Comme stagiaire en chirurgie, vous devez étudier ces connaissances anatomiques encore et encore. Je savais que tout était détaillé concernant les hommes et qu'il n'existait pratiquement rien lorsqu'il s'agissait des femmes », confie-t-elle au Huffington Post . Elle et ses trois coauteurs veulent en avoir le cœur net. Ils pratiquent des dissections et publient une description complète du clitoris : un gland (la partie externe) qui se prolonge à l'intérieur par un corps formant d'abord un coude puis qui se dédouble en deux piliers symétriques, des corps caverneux qui adhèrent aux os du bassin. S'y ajoute deux bulbes dits « du vestibule », situés autour de l'entrée du vagin. Le tout mesure de 8 à 12 centimètres environ. Au repos.
Décrit ainsi, le clitoris retrouve toutes ses potentialités. Car ces termes de gland et de corps caverneux sont familiers. On les retrouve pour décrire le pénis. La grande différence, c'est que le clitoris ne joue aucun rôle fonctionnel dans la reproduction. Lui ne sert qu'au plaisir. Cette similarité est bien naturelle : chez l'embryon jusqu'à la 7 e semaine, l'organe urogénital est indifférencié. A sept semaines environ de gestation, les testicules apparaissent si l'embryon est porteur d'un chromosome Y, les ovaires dans le cas contraire : Et, poursuit Odile Fillod, « c'est autour de la 10 e semaine de développement que les organes génitaux externes commencent à se différencier soit dans un sens masculin, sous l'action des androgènes en principe produits par les testicules, soit dans un sens féminin en l'absence d'androgènes » .
Gêne. En classe, la découverte par les élèves de la réalité anatomique du clitoris est, selon l'enseignant Vincent Guili, de l'ordre de la révélation. Et elle correspond en tous points à ce que veut officiellement promouvoir l'éducation à la sexualité : l'égalité tout d'abord. Ainsi de ce garçon qui s'écrie : « Mais alors Monsieur, le pénis, c'est le clito des hommes ! » Si l'on ajoute à la découverte de la fonction érectile du clitoris celui de la mobilité de l'ovule (qui n'attend pas qu'un spermatozoïde plus gaillard que les autres la féconde, mais va à sa rencontre), la supposée « passivité féminine » a déjà du plomb dans l'aile. Plus encore, selon lui, le clitoris pose d'emblée que la sexualité et la reproduction, ce n'est pas la même chose, ce qui permet d'aborder la dimension culturelle des rapports entre les sexes, celle de l'homosexualité et le cas des personnes intersexuées qui possèdent des organes de formes intermédiaires.
Au lieu de cela, pendant des siècles, le clitoris a été caché, oublié, pire, mutilé. Car il est impossible de s'intéresser à cet organe sans buter sur ces chiffres : selon l' Unicef , en 2017, 200 millions de femmes ont subi une mutilation sexuelle, dont 44 millions de jeunes filles de moins de 14 ans. Chaque année, dans le monde, entre 1 et 3 millions de filles sont excisées et/ou infibulées. Pierre Foldes a cofondé Woman Safe, une association d'aide aux enfants et aux femmes victimes de violence. A Saint -Germain-en-Laye où il opère, il a réparé des milliers de ces clitoris suppliciés. Il ne parviendra jamais à s'y faire : « C'est quand même incroyable d'avoir à écrire sur le plaisir féminin et de se retrouver immédiatement confronté au crime. »
« Osez le clito ». L'unique organe exclusivement dédié au plaisir gêne. Car il ruine ce que Françoise Héritier appelait la « valence différentielle des sexes » , ces différences érigées toujours, partout, en inégalités. Pour l'anthropologue récemment décédée, c'est parce que les femmes portent leurs enfants - et notamment leurs garçons - que les hommes ont cherché à s'accaparer leur corps. La sexualité des femmes, et leur prétendu « mystérieux » clitoris, avaient tout pour les effrayer : à l'origine d'une jouissance qui peut indéfiniment se renouveler - point de date de péremption à la ménopause, point de repos obligatoire après le coït. Il a donc été considéré comme digne d'étude par la science tant que celle-ci lui a prêté un rôle dans la fécondation. « Dès lors qu'on a acquis la certitude qu'il n'en n'était rien, au cours de la seconde moitié du XIX e siècle, la médecine et la biologie ont plus ou moins délaissé tant son étude que la transmission des connaissances qui avaient été acquises à son sujet », explique Odile Fillod, qui, découvrant tardivement (en 2004) la véritable anatomie du clitoris, a mis en 2016 à disposition sur Internet un modèle à l'échelle, imprimable en 3 D. Un outil précieux dans les salles de classe.
Le clitoris s'affiche désormais. Osez le féminisme le placardait en rouge vif dans les rues de nos villes sous le slogan « Osez le clito » , une campagne qui a déclenché beaucoup de ricanements gênés ou de réactions outrées, se souvient Raphaëlle Rémy-Leleu (3), porte-parole de l'association. Mais le but semble atteint : nul n'ignore plus que l'orgasme des femmes est essentiellement clitoridien. Les spécialistes s'accordent presque pour dire que le fameux « point G » - que, dans un article de 2017, Helen O'Connell dit avoir cherché sans le trouver - résulte très probablement de la stimulation du clitoris qui est en contact avec la paroi vaginale. Aucun homme ne peut plus faire semblant de croire ce que le porno - fait par des hommes pour les hommes - n'a de cesse de représenter : des femmes en extase grâce à des pénis plus gros que le Ritz. « Les études sur le plaisir sont là depuis longtemps, constate Maïa Mazaurette. Ces données ne sont pas invisibles. On en parle, la presse relaie. Les gens sont parfaitement au courant et répondent qu'évidemment le clitoris est le centre du plaisir féminin. Mais la plupart refusent d'en tirer les conséquences dans leur vie privée. » Pourquoi un tel refus ? « Soyons honnête, répond la chroniqueuse. Les hommes ont beaucoup à perdre à admettre que les femmes sont clitoridiennes. Ils sont d'accord avec le fait que les AUTRES femmes sont clitoridiennes, mais pas leur amantes. Le prendre en compte, c'est accepter de perdre des privilèges. »
Partage. Clitoridienne et frustrée, la femme pourrait-elle prendre sa revanche ? Se passer des hommes - de leur maladresse, de leur indifférence à l'égard de ses propres besoins - et s'en remettre au vibromasseur ? On le sait : les ventes de sextoys explosent. Un petit documentaire de la série « Bref », diffusé sur Netflix, explique aussi en une quinzaine de minutes le prétendu « mystère » de l'orgasme féminin. En vedette, une jolie jeune femme narre ses mésaventures de femme anorgasmique. Epilogue : la demoiselle raconte son expédition au septième ciel avec un lubrifiant et un vibro. Quelle tristesse ! Certes, le plaisir s'expérimente presque toujours d'abord seul et dès l'enfance - ce qui permet d'augmenter la sensibilité de la zone. La pratique peut se poursuivre, c'est même recommandé par les sexologues, mais l'orgasme partagé a ses délices. Seulement, la pratique n'a rien d'inné, même chez les mammifères. Isolé des adultes, un jeune rat mis en présence d'une femelle est incapable de s'accoupler. La sexualité s'apprend, certes, mais comment ?
« Les hommes ne connaissent rien à l'anatomie féminine ! », s'exclame Dora Moutot. Côté jeunes filles, c'est à peine mieux. Sur ce sujet aussi, la parole se libère, secouant une longue histoire de déni, de frustration et de souffrance. Dans « Le secret des femmes » (Odile Jacob), un livre très complet sur le plaisir féminin, Yves Ferroul préconisait qu'elles n'attendent pas le prince charmant et prennent les c
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