Ces deux filles ado aiment bien le sexe anal

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Ces deux filles ado aiment bien le sexe anal

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Leurs premières interrogations sur la sexualité nous laissent parfois perplexes… Répondre, ne pas répondre et, si oui, comment ? C’est tout le problème ! Les conseils d’Alexandre Chevalier, éducateur sexologue et formateur en éducation à la sexualité.
– Est-ce qu'on est obligé de faire comme dans les films X ? Les images que renvoient les films pornographiques sont essentiellement destinées à exciter ceux qui les regardent. D’où l’importance de les replacer dans leur contexte. « Non, ce n’est pas ce qui se passe dans la réalité. Tout est orchestré, mis en scène, exagéré, voire choquant, car c’est du cinéma » , insiste l’éducateur. Le rôle des parents est avant tout de relativiser ces scénarios racoleurs. « Certes, poursuit-il, il s’agit bien de deux personnes ayant un rapport sexuel. Mais, dans la vraie vie, chacun est un individu à part entière avec sa propre intimité, ses propres désirs. Et, dans ce domaine, il n’y a pas un modèle à suivre. » Problème, quand la question est posée, elle révèle souvent une angoisse bien présente : « Vais-je y arriver ? » Et ce doute s’applique notamment en ce qui concerne les pratiques observées à l’écran. « Sans pour autant rentrer dans les détails, les parents doivent rappeler à leur ado anxieux que, dans ce type d’ébats, manquent la communication, la tendresse et la complicité. Tout ce qui participe en fait à une sexualité épanouie » , précise Alexandre Chevalier. Etre à son écoute et à celle du partenaire, tel est le message à leur transmettre. En termes de pratiques surtout, ils ne sont pas obligés de copier ces acteurs expérimentés. « Comme dans tout apprentissage, il faut apprendre à mieux se connaître l’un l’autre. Et des pratiques telles que la fellation ou la sodomie demandent de grandir, d’être à l’aise avec son corps, afin de savoir si on est prêt et si on a vraiment envie de s’y adonner » , souligne-t-il.
– Pourquoi le sperme colle ? A priori anodine, cette question traduit en réalité une inquiétude. En général, les jeunes garçons ont peur que leur sperme ne soit pas comme celui des autres. « L’essentiel, dans un premier temps, est de les rassurer. De leur expliquer que, sur le plan physiologique, l’éjaculat est composé de spermatozoïdes, de liquide séminal et prostatique. Sa mission : féconder. Voilà pourquoi il est collant, pour adhérer aux muqueuses » , explique l’éducateur. Libre ensuite aux ados d’aller se renseigner plus avant sur des sites sérieux et documentés qui leur sont réservés (tasante.com, filsantejeunes.com).
– Peut-on tomber enceinte quand on avale du sperme ? Non, il n’y a aucun risque, car il n’existe pas de passage entre le système digestif et les organes reproducteurs de la femme. « Mais la vraie question, sous-jacente, c’est : suis-je obligée de le faire ? », précise Alexandre Chevalier. Et le formateur d’expliquer une fois encore que, en matière de sexualité, rien n’est obligatoire. « C’est à la jeune fille d’en décider. De savoir si elle en a envie. Les parents sont là pour lui faire passer un seul et unique message : ces pratiques ne regardent qu’elle et, surtout, il est primordial de ne pas accepter uniquement pour le plaisir de l’autre. »
– Les besoins des garçons sont-ils supérieurs à ceux des filles ? Rien sur le plan biologique ne l’indique. Mais, aujourd’hui encore, c’est une idée largement véhiculée par la société. « Il est plus facile pour un garçon de revendiquer une sexualité active. Les jeunes filles sont dans une forme de contrôle, refrènent leurs envies et n’osent pas exprimer leurs désirs. A contrario, si elles s’y emploient, elles sont vite cataloguées comme des filles faciles » , précise Alexandre Chevalier.
– C'est comment, la première fois ? Pour les jeunes filles, la question serait plutôt : « Vais-je avoir mal ? » et, pour les garçons : « Serai-je à la hauteur ? » « Mais la première fois n’est pas forcément synonyme de douleurs et de saignements abondants et ce, même quand l’hymen est rompu, insiste l’éducateur. C’est une membrane qui n’est pas innervée et peu vascularisée. La douleur et le sang, s’ils sont présents, sont dus aux contractions du vagin, liées à un stress bien réel. » Ce qui n’arrive pas quand les jeunes gens sont détendus et confiants. Néanmoins, chacun aborde cette première expérience à sa façon. « Je conseillerais donc aux parents, une fois encore, de relativiser et de rassurer leur enfant. Toute première expérience peut, bien sûr, se solder par une déception ou, au contraire, s’avérer très agréable. Mais c’est un moment de sa vie où l’on se découvre. Quand l’acte sexuel est empreint de tendresse et de complicité, la sensualité va faire son chemin toute seule et les jeunes amants vont progressivement apprendre à mieux se connaître » , assure le spécialiste.
– Y a-t-il des astuces pour mettre un préservatif ? « Les adolescents s’en font généralement tout un monde et redoutent le jour où ils auront à l’utiliser », souligne Alexandre Chevalier. Toutefois, c’est le seul moyen efficace de se protéger contre les IST et les grossesses non désirées. « Le rôle des parents est avant tout de leur transmettre ce message de protection. C’est essentiel » , martèle l’éducateur. Comment procéder ? « S’ils sont plutôt à l’aise avec le sujet, ils peuvent parfaitement expliquer à leur fiston que ce n’est ni contraignant ni compliqué. A condition de s’entraîner avant, seul, dans sa chambre, puis de savoir en jouer pendant les préliminaires. » En revanche, il est important qu’il aille les acheter lui-même, sans l’aide de papa ou de maman. C’est une façon de le responsabiliser. Et la preuve aussi qu’il a vraiment envie de passer à l’acte, en toute sécurité et avec un minimum de maîtrise. « Et puis, là encore, je conseillerais aux parents de diriger leur ado vers un site d’information, afin qu’il puisse y trouver des réponses. Car ces questions ne sont pas toujours faciles à aborder avec des adultes et leur intimité ne regarde qu’eux. »
– Comment font les homos ? La norme prépondérante en matière de relations sexuelles étant l’hétérosexualité, l’idée que deux personnes du même sexe s’attirent les intrigue. « Dans l’immédiat, mieux vaut leur dire qu’il n’y a pas un modèle unique. Hétéros et homos font l’amour avec la même diversité, les mêmes positions et les mêmes émotions. Quand deux personnes s’aiment, elles savent naturellement comment procéder », ajoute le formateur. Ainsi, sans condamner, ni juger ni aller dans les détails, ces jeunes adultes en devenir avanceront selon leurs préférences et trouveront d’eux-mêmes la réponse à cette question.
– Comment sait-on quand les filles ont envie de faire l'amour ? « Le meilleur moyen de le savoir – et c’est simple –, c’est de leur poser la question » , explique Alexandre Chevalier. Et de rappeler qu’il n’existe pas de signes apparents et clairs non seulement chez la fille, mais aussi chez le garçon qui peut avoir une érection mécanique, sans réel désir derrière. « A la moindre gêne, au moindre refus et ce, jusqu’à la dernière minute, tout le monde a le droit de renoncer. Aucun acte sexuel ne doit être dicté ou consenti par la force », rappelle l’éducateur.
– Est-il vrai que, la toute première fois, les filles ne risquent rien ? C’est on ne peut plus faux. Pourtant, bon nombre de jeunes filles pensent encore que seules les mamans peuvent avoir des enfants. « Il est primordial de les mettre en garde contre le risque de grossesse, mais aussi d’ IST » , explique Alexandre Chevalier. Trouver les mots pour le dire n’est pas toujours aisé. « Le discours doit être porteur, sans être alarmiste. Il est alors bon de leur rappeler que, dès la puberté, elles sont fécondables et que se protéger est indispensable. Mais que faire l’amour la première fois doit rester un moment de plaisir. » Toutefois, l’éducateur conseille, quand cette question est posée, de diriger l’ado vers un centre de planning familial, l’infirmière de son établissement scolaire ou encore un médecin pour en parler. A elle de choisir l’interlocuteur de son choix.
– C'est quoi, la virginité ? « D’un point de vue médical, on parle de virginité lorsqu’une personne n’a jamais eu de rapport sexuel, qu’il soit vaginal, anal ou buccal. Sur un plan social, culturel et religieux, en revanche, la définition change : la virginité repose sur des valeurs de croyances liées à chaque famille. A charge pour les parents d’en faire part à leur enfant sans pour autant les lui imposer. » Et l’éducateur de conclure que le message doit être le même pour les garçons et pour les filles.

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Deux jeunes très belles lesbiennes sont allongées dans leur lit, dans la chambre à coucher. Concept d'amour et de relation.
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