Celeste s'amuse avec deux machines
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Celeste s'amuse avec deux machines
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Actualité
Société
Publié le
19/10/2013 Ă 16:36
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La chronique de Marion Van Renterghem
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« Des partouzes célestes et sectaires »
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La gouroue d'une secte a été condamnée à 5 ans de prison ferme.
Le 16 octobre, la gouroue Françoise Dercle a Ă©tĂ© condamnĂ©e Ă cinq ans de prison ferme pour avoir imposĂ© Ă ses adeptes des relations sexuelles en groupe et leur avoir soutirĂ© 400 000 euros. La Cour d'appel de Caen a rajoutĂ© un an de prison Ă la condamnation dĂ©cidĂ©e le 22 janvier dernier par le Tribunal correctionnel de Lisieux (Calvados).Â
Cette affaire exceptionnelle caractĂ©rise une micro-secte hyper-dangereuse. Le "Parc d'accueil" de Françoise Dercle a sĂ©vi le 2002 Ă 2007 et la prise de conscience des adeptes manipulĂ©s a Ă©tĂ© telle que la grande majoritĂ© d'entre eux se sont retrouvĂ©s sur les bancs des parties civiles, 21 personnes.Â
François Dercle a Ă©tĂ© condamnĂ©e pour abus de faiblesse aggravĂ© , une qualification qui comprend des faits de complicitĂ© de viols et d'agressions sexuelle s, mais aussi de violences volontaires sur personnes vulnĂ©rables.Â
Cinq ans de cauchemar, un couple dans l'enfer des sectes
La gouroue avait inventĂ© les " mĂȘlĂ©es cĂ©lestes " ou les sĂ©ances de " navigation " pour contraindre ses adeptes de lui offrir le spectacle de mĂ©ga-partouzes... en prĂ©tendant qu'il ne s'agissait pas de relations sexuelles mais d'"effusions du Saint-Esprit ". Elle-mĂȘme affirmait qu'elle prĂȘchait en tant qu'Ă©pouse de JĂ©sus et que Dieu parlait Ă travers elle.Â
Le 23 octobre, Eric et Julie Martin, deux anciens adeptes de la secte de Françoise Dercle, publient le rĂ©cit bouleversant de " Cinq ans de cauchemar " (City Editions), avec l'aide du journaliste Manuel Sanson.Â
"Le sexe s'impose au fur et Ă mesure. Comme Ă son habitude, Françoise Dercle procĂšde par Ă©tapes. Pas question de nous braquer. Il faut y aller par petites touches... Nous glissons d'un enseignement spirituel classique Ă des rapports plus charnels. (...)Â
AprĂšs ces frottements de dos, on passe aux guili-guili. Comme avec des gosses. Ă tour de rĂŽle, nous devons chatouiller nos acolytes en effleurant de plus en plus les parties intimes de chacun. Peu Ă peu, l'obÂjectif se prĂ©cise : tous les prĂ©textes sont bons pour Ă©voquer la libĂ©ration des corps. Notre "mĂšre" revient emballĂ©e d'un voyage en Finlande.Â
Elle y a observĂ© les gens se rendant au sauna et au hammam. Quel que soit leur sexe, ils n'ont aucun problĂšme Ă se mettre nus, selon elle.Â
Elle loue ce supposĂ© dĂ©tachement. Et sa nouvelle consigne tombe : dĂ©sormais, nous devons nous embrasÂser, nous faire plein de bisous. Notre guide rĂ©oriente sa doctrine. Elle choisit des binĂŽmes en fonction de ses rĂ©vĂ©lations. (...)Â
Ă travers nos vĂȘtements, les attouchements se multiplient sur les organes gĂ©nitaux. Françoise Dercle nous suggĂšre Ă©galement de nous caresser les seins.Â
Ă chacune des sĂ©ances, elle nous fait changer de partenaire. Homme ou femme, pas de distinction. C'est Françoise Dercle seule qui, Ă sa guise, forme et dĂ©fait les couples. (...)Â
Une fois qu'elle en a terminĂ© avec ses "priĂšres", tout le monde se retrouve en duo sur de vieux matelas de gymnastique rĂ©cupĂ©rĂ©s par l'un de nos acolytes. Les travaux pratiques se dĂ©roulent maintenant en sous-vĂȘtements. Chacun doit se dĂ©nuder et personne n'y Ă©chappe, y compris les femmes les plus ĂągĂ©es qui font partie intĂ©grante du groupe. Ma mĂšre et Lucile sont de la partie. Et gare Ă ceux qui refuseraient de s'y plier.Â
Que vous soyez malade ou dĂ©rangĂ©, rien ne peut vous empĂȘcher de participer aux sĂ©ances. Si elle perçoit la moindre rĂ©ticence, elle se lĂšve en sursaut et assĂšne de violentes gifles aux contrevenants. Je ne suis pas de ceux-lĂ , du moins au dĂ©part.Â
Je me lance dans ces sĂ©ances de "navigation" - le terme employĂ© par Françoise Dercle pour qualifier ces sĂ©ances orgiaques. Je suis inquiet, mais d'une obĂ©issance absolue, faisant taire toutes les pensĂ©es qui m'assaillent et me prĂ©viennent qu'il s'agit d'une folie. Je reste convaincu: il faut chasser les dĂ©mons. En mon for intĂ©rieur, je suis captif, "accrochĂ©" par son enseiÂgnement. (...)Â
Les premiers actes sexuels collectifs commencent au dĂ©but de l'annĂ©e 2003. Dans les premiers temps, il s'agit de palper les seins, puis de masturbation, de fellation, de cunnilingus...Â
C'est un moment dĂ©chirant et dĂ©lirant. Nous sommes dĂ©goĂ»tĂ©s, mais, en mĂȘme temps, il faut satisÂfaire aux dĂ©sirs du guide. Il en va de notre salut. (...)Â
Ces sĂ©ances de sexe collectives sont parfois rythÂmĂ©es par le son d'un vieux djembĂ©. Françoise Dercle le confie Ă Patrice Berger, son nouvel amant. Il doit frapper dessus pendant des heures. La piĂšce est plongĂ©e dans une atmosphĂšre dĂ©lirante. On entend les grosses basses de l'instrument et, derriĂšre, les plaintes, les cris et les pleurs des fidĂšles. En y repenÂsant aujourd'hui, mon sang se glace. Au final, ce sont ces moments qui nous font le plus de mal. Ceux qui laisseront le plus de sĂ©quelles, y compris aujourd'hui. (...)Â
Parfois, je me retrouve Ă "naviguer" avec certains partenaires pour lesquels je ressens un dĂ©goĂ»t profond : leur hygiĂšne laisse Ă dĂ©sirer. C'est tout sauf une partie de plaisir. Pour ajouter Ă l'horreur, au mĂȘme moment, je vois Julie subir les assauts d'un autre homme. Je ne peux dĂ©tourner mon regard. Françoise Dercle ne l'autorise pas et me gifle violemment :Â
- Ne regarde pas! Concentre-toi! me crie-t-elle.Â
J'Ă©clate en sanglots. Parfois, comble de la torture, elle m'ordonne de sortir de la salle. (...)Â
Françoise Dercle a accompli son dernier fantasme : prendre le contrĂŽle de nos corps. Tous sont dĂ©sormais sous son emprise.Â
Pour certains, cela ne pose pas de problĂšme. Tout au moins en apparence. J'apprendrai par la suite qu'en rĂ©alitĂ©, tout le monde craignait ces sĂ©ances sexuelles. Pour d'autres, pas besoin d'ĂȘtre grand clerc pour deviÂner que le moment n'a rien d'agrĂ©able. Principalement pour ceux qui subissent leur initiation. (...)Â
Avec Julie, je me retrouve Ă tenir Marie Bordes, une jeune femme arrivĂ©e dans le groupe rĂ©cemment. Cela s'apparente Ă un viol. Pourtant, Ă ce moment prĂ©cis, nous n'en avons aucune conscience. Comme si nous n'Ă©tions plus nous-mĂȘmes. (...)Â
Depuis dĂ©jĂ plusieurs annĂ©es, la justice des hommes ne nous concerne plus. Avec Julie, je l'ai fait pour plusieurs jeunes femmes du groupe. J'entends encore les ordres trĂšs explicites :Â
- Touche-lui les seins, enlĂšve-lui sa culotte...Â
Et moi de m'exĂ©cuter sans sourciller. Je suis persuadĂ© d'accomplir la volontĂ© de Dieu, de participer Ă la libĂ©ration des personnes.Â
Pendant ces interminables sĂ©ances, les "pĂ©tages de plomb" se multiplient. Certains vont jusqu'Ă vomir pendant les actes sexuels. Jeanne, l'ancienne SDF, crache mĂȘme du sang sans que Françoise Dercle s'en Ă©meuve outre mesure. Je me revois en train de passer la serpilliĂšre tellement l'hĂ©moglobine est abondante. En rĂ©alitĂ©, ce sont probablement les stigmates de ses multiples tumeurs cancĂ©reuses.Â
Notre leader n'y accorde aucune importance. Au contraire, elle s'empare avec jubilation de ces maniÂfestations divines. "Ce sont des dĂ©mons", ne cesse-t-elle de rĂ©pĂ©ter. (...)Â
Tout le monde doit "naviguer" avec tout le monde. Ainsi sont les rĂšgles Ă l'intĂ©rieur du "royaume cĂ©leste". J'en suis persuadĂ©: elle aurait bien aimĂ© nous entraĂźÂner vers des relations homosexuelles masculines. Ăa n'aura pas lieu. En revanche, entre femmes, pas de problĂšme... Les "navigations" fĂ©minines la ravissent. Et qu'importent d'Ă©ventuels liens de sang. Toutes ces considĂ©rations n'ont plus aucune importance. Il s'agit de se libĂ©rer de nos dĂ©mons par le sexe.Â
Avant chaque sĂ©ance, je suis en Ă©tat d'extrĂȘme souffrance. J'angoisse dĂ©jĂ Ă l'idĂ©e de devoir remettre ça. Lorsque je sais que je devrai passer aux choses sĂ©rieuses, j'ai une Ă©norme boule au ventre.Â
Un stress aigu m'envahit dĂšs les premiĂšres heures de la matinĂ©e. Au fur et Ă mesure que l'instant fatiÂdique se rapproche, je me liquĂ©fie intĂ©rieurement.Â
Il ne faut pourtant rien montrer, ne surtout pas donner le bĂąton pour se faire battre. Si Françoise Dercle perçoit le moindre doute sur notre visage, elle pourrait nous baffer, ajouter toujours plus de souffrance Ă la souffrance. (...)Â
De gigantesques partouzes, des femmes dispoÂnibles, des moeurs libĂ©rĂ©es... Vu de l'extĂ©rieur, le tableau pourrait paraĂźtre allĂ©chant. En rĂ©alitĂ©, c'est tout l'inverse : il s'agit d'un vĂ©ritable supplice.Â
Peu Ă peu, Françoise Dercle laisse libre cours Ă ses ultimes fantasmes. DĂ©sormais, ce ne sont plus seuleÂment des couples qui sont formĂ©s.Â
Elle peut aussi nous mettre en trio. Chacun doit donner du plaisir Ă ses deux autres partenaires. Deux hommes et une femme, une femme et deux hommes... (...)Â
Autre but de ces orgies? AnĂ©antir notre "pauvre moi", autre expression utilisĂ©e par Françoise Dercle. Tous les sentiments humains classiques, au premier rang celui de la jalousie, doivent s'Ă©vaporer.Â
D'oĂč la formation de couples improbables au vu et au su de leurs partenaires rĂ©guliers. Françoise Dercle, de son cĂŽtĂ©, ne se mĂ©lange pas. C'est bien la seule.Â
Elle reste avec Patrice Berger. ExceptĂ© une fois : son "rĂ©gulier" est Ă l'hĂŽpital. C'est donc Ă moi, le fidĂšle soldat, que revient cet "honneur". Enfin, si je peux parler ainsi...Â
Convaincu qu'elle peut lire dans mes pensĂ©es, je suis pĂ©trifiĂ© Ă l'idĂ©e de devoir "naviguer" avec mon guide. Je suis devenu paranoĂŻaque. Dans le trĂ©fonds de mon Ăąme, elle pourrait apercevoir un gros dĂ©mon. J'apprĂ©hende qu'elle entre dans une colĂšre noire dont elle est coutumiĂšre.Â
Occupe-toi de mon sexe, me dit-elle d'un ton pĂ©remptoire.Â
Je m'exĂ©cute sans rechigner. Pendant tout ce temps, Julie observe la scĂšne depuis un des coins de la piĂšce commune. Je suis rempli de sentiments contradicÂtoires. Ă la fois pĂ©trifiĂ©, chamboulĂ© et honorĂ©. Je suis l'Ă©lu. Le seul qui puisse s'adonner aux plaisirs cĂ©lestes avec notre reine. (...)Â
Elle est trĂšs portĂ©e sur la chose et prend du plaisir Ă observer des couples en plein Ă©bat. Françoise Dercle est tordue. Aujourd'hui, ça me saute aux yeux. Elle a un rapport au sexe particuliĂšrement dĂ©viant. Et bouliÂmique. Pendant tout notre sĂ©jour, elle ne cessera jamais d'avoir plusieurs amants. Elle les reçoit plusieurs fois par jour dans sa garçonniĂšre du moment. L'abstinence ne fait pas partie de son vocabulaire. (...)Â
En plus du sexe cĂ©leste, les coups vont aussi pleuÂvoir. Mon coeur bat de plus en plus fort. La nervositĂ© me gagne. Je tremble de tout mon corps en imaginant ce qui va se passer dans les minutes suivantes. Avec qui vais-je devoir passer la sĂ©ance ? Nous ne savons jamais Ă quoi nous attendre. Les murs autour de nous suintent la peur. Le plus souvent, j'essaie de me mettre dans un petit coin de la piĂšce, histoire d'ĂȘtre le plus Ă l'abri de son regard inquisiteur. Ă tout prix, je cherche Ă me faire oublier. "Â
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