Ce touriste fait des ravages dans la ville

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Miguel Angel Blanca a suivi des habitants de cette station balnéaire low cost, dépendant d’un tourisme de masse ravageur et aliénant.
Les touristes britanniques l’ont rebaptisée « Shagaluf » en allusion à leurs escapades sexuelles. Petite station balnéaire de l’île de Majorque, aux Baléares, Magaluf est devenue, en quelques années, un lieu de perdition où le tourisme low cost a fait des ravages. Sur Punta Ballena, la rue principale, boîtes de nuit, bars et pubs se succèdent. Des concours de fellation sont organisés pour obtenir des verres gratuits. Au petit matin, les services de nettoyage de la ville découvrent des fêtards qui dorment à même le sol, nus et encore ivres. A l’ouverture de la saison, une radio locale lance le « concours du plus mauvais goût de tout Majorque ». Les paris sont ouverts : combien de touristes vont succomber cet été au « balconing » (sauter dans la piscine depuis le balcon d’un hôtel). Chaque année, de nombreux jeunes trouvent la mort en se jetant du 4e ou du 5e étage.
Voilà qui pourrait ressembler à un numéro d’« Enquête exclusive ». Nous en sommes pourtant loin. Miguel Angel Blanca a pris le parti de sonder, caméra à l’épaule, l’état d’esprit des locaux. En s’affranchissant du moindre commentaire, il capte des instants de vie de ces honnêtes citoyens devenus esclaves du tourisme de masse. A quelques encablures du barouf estival, des ados désœuvrés traînent dans les sous-sols d’un immeuble désaffecté. L’un d’eux veut devenir mannequin, ou acteur, il hésite encore. « Etudier ici, pour quoi faire ? Tu ne peux apprendre qu’une chose : comment rendre les touristes heureux. »
Face au petit autel dressé dans son salon, une vieille femme demande à son mari décédé de lui pardonner car elle doit vider les placards de ses affaires. Elle n’a plus d’argent et va devoir louer une chambre à un saisonnier. Ce sera Cheikne, un jeune Malien qui travaille dans les toilettes d’une boîte de nuit. Un autre jeune tente de résister à la pression de son père qui souhaite le voir reprendre son restaurant-boîte de nuit. « La vie, c’est : tu nais, tu étudies, tu es au service des étrangers et puis tu meurs » , lâche-t-il.
Pour enrayer ce « tourisme de l’ivresse », le parlement régional a approuvé, début 2020, un décret extrêmement restrictif, avec des amendes pouvant aller jusqu’à 600 000 euros en cas d’infractions.



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Le tourisme de masse, on le visualise plus généralement en Thaïlande ou sur une île un peu sauvage du Pacifique. Il fait des ravages sur la nature, mais a aussi de nombreux impacts dans les zones urbaines.
Gaspard Gantzer, candidat indépendant à la Mairie de Paris, a dénoncé mercredi sur RMC un trop-plein de touristes dans la capitale et proposé d’y remédier en interdisant les cars touristiques et en limitant davantage les nuitées Airbnb. Si l’une des raisons de ce coup de gueule prête à sourire – l’homme politique regrette que Paris perde « son âme de village » – il soulève un vrai débat : celui du tourisme de masse.
Le tourisme est l’industrie la plus grosse du monde. Elle représente 10 % du PIB de la planète. Et ça n’est pas prêt de baisser puisque l’Organisation mondiale du tourisme anticipe une croissance annuelle de 3,3%, des touristes internationaux. Ce qui aboutirait à 1,8 milliards de touristes dans le monde en 2030 , contre 25 millions au début des années 50. Paris en a accueilli le double l’année dernière. En 2018, 50 millions de voyageurs ont visité la capitale. Un nouveau record qui représente près de 140 000 touristes qui arrivent à Paris chaque jour, soit l’équivalent de 7 % des Parisiens.
A priori, pour les professionnel(le)s du secteur et pour le rayonnement de la ville à l’international, c’est une bonne nouvelle. En effet, en 2018 le tourisme en Ile-de-France a rapporté 21,5 milliards d’euros de recettes ; soit 1 milliard d’euros de plus que l’année passée. Par ailleurs, il représente 500.000 emplois , directs ou indirects. Mais à coté de ça, il y a les nuisances sonores, la pollution, l’impact sur les prix, sur le paysage parisien, la congestion des transports, la saturation des lieux culturels…
Interviewé l’année dernière par Le Monde, Christian Mantei, directeur général d’Atout France ( chargé de la promotion du pays à l’étranger ) s’inquiétait : « La France n’est pas encore dans le sur-tourisme, mais, si on ne bouge pas, on y sera dans trois ou quatre ans. » Récemment, également dans Le Monde, la présidente de l’Ile-de-France Valéry Pécresse se montrait optimiste. Pour elle, il n’y a pas de « sur-tourisme » dans sa région.
L’élue LR compte sur les villes autour de Paris pour attirer vers elles ces flux incessants de touristes : « Des destinations comme Vaulx-le-Vicomte (77950), la maison de Van Gogh à Auvers-sur-Oise (95) ou celle de Cocteau à Milly-la-Forêt (91) ne sont pas assez mises en valeur. Donc il faut y aller à fond ».
Mais des questions se posent. Les Parisiens en ont-ils assez des touristes ? Comment réguler le tourisme à Paris ? Quid d’un tourisme durable et participatif ? 

Si chaque arrondissement a ses mauvais côtés, ils sont surtout tous bourrés de qualités ! Alors on vous embarque pour un petit tour d’horizon de ce que l’on aime chez chacun d’entre eux. Souvent décrié - plan-plan, trop cher, trop familial, déserté par les jeunes, infesté par les rats (mais n’est-ce pas le cas de toute la ville ?) et on en passe des vertes et des pas mûres - […]
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Cet article date de plus de quatre ans.



Publié le 05/10/2017 11:31


Mis à jour le 05/10/2017 11:40





























Une banderole dénonçant l'exode forcé des Vénitiens face au tourisme de masse, déployée sur le pont du Rialto, le 12 novembre 2016, à Venise (Italie). (MANUEL SILVESTRI / REUTERS)




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Selfies qui mettent des animaux sauvages en danger, pollution, villes invivables qui se vident… Franceinfo liste cinq nuisances du tourisme de masse.
Bénédiction ou malédiction ? Le tourisme de masse est une importante manne financière dans certaines régions du monde. Une arrivée d'argent qui bénéficie à toute l'économie locale. Mais il y a un revers à cette médaille.
Des militants écologistes ont tiré l'alarme, mercredi 4 octobre. Ils signalent que de plus en plus de touristes se prennent photo avec des animaux sauvages et que cette pratique met en danger des espèces de la forêt amazonienne. Franceinfo liste cinq nuisances du tourisme de masse.   
Un rapport de l'ONG World Animal Protection a constaté une augmentation de 292% du nombre de selfies avec des animaux sauvages publiés sur Instagram ces trois dernières années.
Selon l'organisation, plus de 40% des clichés analysés montrent des personnes "se comportant de façon inappropriée avec les animaux" . Elle explique que nombre de ces selfies sont en fait des mises en scène avec des animaux capturés et traités avec cruauté pour des poses avec des touristes qui ignorent tout de ces méfaits. "A l'abri des regards, ces animaux sont souvent frappés pour être soumis, séparés de leurs mères ou de leurs enfants et maintenus secrètement en captivité" , affirme l'ONG.
Cette pratique est répandue dans la région amazonienne. Par exemple, dans la ville brésilienne de Manaus , 18 agences de tourisme mentionnées dans le rapport offrent la possibilité de "toucher des animaux et prendre des photos avec eux" dans 94% de leurs excursions, écrit l'ONG. "Nous avons des raisons de croire que la plupart ne survivent pas plus de six mois à ces maltraitances", condamne l'association.
Un paquebot de croisière, lorsqu'il fait escale dans le port d'un lieu touristique, pollue autant qu'un million de voitures, a affirmé , en 2015, une étude de la fédération France nature environnement (FNE). En effet, même à quai, les moteurs des navires continuent de tourner pour alimenter en électricité les cuisines, les restaurants, les salles de loisirs ou l'air conditionné. "Le fioul lourd des navires est très polluant et possède une teneur en soufre plus de 3 500 fois supérieure à celle du diesel des voitures" , a indiqué Adrien Brunetti, chargé de mission santé au sein de FNE.
Mais les paquebots ne sont pas les seuls concernés. Prendre l'avion est également très polluant. "Un avion rejette en moyenne 360 g équivalents CO2 lors d’un déplacement d’un kilomètre, contre 150 g pour une voiture et 11 g pour un train" , explique Géo . Le magazine rapporte que Jean-Marc Jancovici, ingénieur conseil en énergie-climat, recommande de ne pas prendre l’avion plus d’une fois par an pour ne pas dépasser le "droit maximal à émettre du CO2 sur une année" .
Le tourisme représente la première source de revenus de la Croatie. Certaines villes, comme Dubrovnik, attirent beaucoup de monde. Peut-être même trop. En plein mois d'août, c'est la foire d'empoigne pour entrer dans la vieille ville, comme l'a montré France 2 . "C'est la jungle, il n'y a aucune loi" , lance un habitant.
Le maire de Dubrovnik souhaite limiter la visite de la ville à quelques heures, car l'Unesco a menacé de retirer la mention "patrimoine mondial de l’humanité" à la cité.
A Florence, en Italie, le maire a demandé aux employés municiaux d'arroser les parvis des églises et les trottoirs devant certains monuments à l'heure du déjeuner. Objectif : dissuader les touristes de s'y installer pour avaler leur repas et minimiser les déchets à ces endroits stratégiques.
Dans les grandes villes touristiques, les logements transformés en locations meublées saisonnières pour touristes ne cessent de se multiplier . Paris est ainsi pour Airbnb l'un des premiers marchés du monde avec 65 000 logements revendiqués. Mais de nombreuses autres plateformes proposent des locations.
Dans la capitale, ce type de location est un "phénomène galopant" et "on approche les 100 000 annonces toutes plateformes confondues" , s'alarme Ian Brossat, adjoint au logement de la maire de Paris, Anne Hidalgo. La mairie de Paris estime que 20 000 logements ont ainsi été perdus en cinq ans, notamment dans le centre historique, en particulier à cause de l'essor de ces meublés touristiques. Ce phénomène contribue "à une augmentation des prix" et à "une baisse de la population" , dénonce Ian Brossat.
Paris, comme Berlin, Londres ou Amsterdam, multiplie les initiatives pour lutter contre ces locations meublées touristiques qui se développent au détriment du secteur hôtelier, favorisent la spéculation immobilière et vident certains quartiers de leurs habitants, explique Télérama . D epuis 2016, Berlin n'autorise la location que d'une seule pièce de son logement, et de tout le logement uniquement si celui-ci est un pied-à-terre. Barcelone a choisi la voie la plus sévère et imposé en 2016 une amende de 600 000 euros aux plateformes Airbnb et HomeAway, en les accusant de louer des appartements sans la licence touristique exigée par la ville.
Avec ses eaux turquoise, ses plages de sable blanc et ses coraux multicolores, l'archipel de Raja Ampat attire des visiteurs du monde entier. Mais ce coin de paradis perdu en Indonésie est menacé par le tourisme de masse.
Ce chapelet de 1 500 îles, entre océans Indien et Pacifique, est une destination prisée des amateurs de plongée sous-marine, car il abrite 1 400 espèces de poissons et 600 variétés de coraux, soit l'une des plus grandes biodiversités marines de la planète.
Difficile d'accès, l'archipel compte pour le moment un nombre limité d'hôtels et de bungalows. Mais le gouvernement indonésien veut en faire un nouveau Bali. Pour attirer davantage de visiteurs, les autorités veulent notamment accroître les liaisons aériennes et aménager un plus grand port pouvant accueillir des paquebots. E t les habitants s'inquiètent pour leur environnement et leurs fragiles récifs coralliens.
Venise, l'île de Pâques, les temples d'Angkor, les Galapagos, les Maldives, Petra, les pyramides d'Egypte, le Machu Picchu, l'Everest, le Kilimandjaro ou le Mont Blanc... L'Organisation mondiale du tourisme s'inquiète de la menace que représente le flux incessant de visiteurs pour la préservation des grands sites touristiques internationaux, rapporte L'Obs dans un diaporama.
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» La guerre contre la drogue au Mexique fait des ravages dans une ville touristique
ROSARITO BEACH, Mexique — Le maire Hugo Torres a toujours présenté sa ville balnéaire comme un paradis à prix réduit.
ROSARITO BEACH, Mexique - Le maire Hugo Torres a toujours présenté sa ville balnéaire comme un paradis à prix réduit. Mais même ce rappel implacable de sa ville natale est perplexe ces jours-ci : comment vendez-vous la belle vie mexicaine au milieu d'une guerre contre la drogue ?
La rue principale animée de la ville, le boulevard Benito Juarez, a été le théâtre de deux fusillades depuis septembre, l'une d'un meurtre au volant d'un garçon de 15 ans et l'autre, de trois personnes dans une animalerie.
Des hommes armés ont abattu un flic qui gardait un parc. Deux autres flics ont été tués après avoir terminé leur quart de travail, deux autres alors qu'ils patrouillaient. Après le septième meurtre de flics en un mois, des officiers ont marché en octobre sur l'hôtel de ville pour demander à Torres des gilets pare-balles et plus d'armes. Une trentaine de policiers ont démissionné ces dernières semaines.
Torres, un homme mince de 72 ans qui surfe ici devant sa maison en bord de mer très surveillée, se rendait régulièrement en Californie pour promouvoir Rosarito Beach. Ça ne sert plus à rien maintenant, dit-il. "J'ai besoin de quelque chose à dire au peuple américain, ce que nous avons accompli", a déclaré Torres dans son bureau magnifiquement aménagé. "Nous devons réparer la guerre contre la drogue."
Alors que l'offensive mexicaine contre le crime organisé a poussé le nombre de morts dans les crimes liés à la drogue à environ 4,000 XNUMX cette année, les autorités américaines ont mis en garde les citoyens contre les déplacements dans les zones frontalières, en raison de la «lutte de plus en plus violente pour le contrôle des itinéraires de trafic de stupéfiants».
Les responsables mexicains, cependant, affirment que les stations balnéaires du pays sont sûres, et l'office du tourisme du Mexique a déclaré que le nombre de voyageurs dans le pays avait augmenté d'environ 5% au cours des sept premiers mois de cette année par rapport à la même période l'année dernière. Ces voyageurs ne semblent pas se présenter beaucoup à Rosarito Beach.
Autrefois moteur économique de cette ville de 140,000 XNUMX habitants, le tourisme a tellement décliné que certains hôtels envisagent de fermer pour l'hiver. Des dizaines de boutiques de souvenirs et de restaurants sont déjà fermés. Et les méga clubs de plage qui attiraient autrefois des hordes d'étudiants sont vides.
«C'est aussi calme qu'une ville balnéaire de l'Oregon. C'est comme : Où sont tous les gens ? a déclaré Margaret Barr, une visiteuse de Portland.
Torres répond invariablement aux préoccupations avec une statistique rarement mentionnée dans les gros titres sensationnels : aucun touriste n'a été tué ou ciblé à Rosarito Beach, a-t-il déclaré. Et à moins que les gens ne viennent vendre ou consommer de la drogue, ils ne devraient pas rencontrer de problèmes.
Le maire admet qu'il est difficile de façonner les perceptions à un moment où des agents fédéraux au visage sinistre patrouillent dans la ville en Hummers et où les touristes sont arrêtés aux points de contrôle par des Marines mexicains avec des mitrailleuses.
Torres, propriétaire du célèbre Rosarito Beach Hotel, a depuis longtemps lié sa fortune à la ville, qu'il a aidé à incorporer en 1995. Après avoir été le premier maire de la ville, Torres est retourné à son hôtel.
Torres a déclaré qu'il avait décidé l'année dernière de sortir de sa retraite pour nettoyer la corruption. « Si j'étais propriétaire d'un stand de hot-dogs, je déménagerais probablement. Mais je ne peux pas déplacer mon hôtel, alors je dois changer de ville », a-t-il déclaré.
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