Ce qui se passe en mer reste en mer

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Ce qui se passe en mer reste en mer

AFP , publié le 05 août 2022 à 07h26
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Une nuit en pleine mer, coincé sous son bateau renversé : le skipper français Laurent Camprubi a été secouru in extremis au large des côtes du nord de l'Espagne après avoir passé 16 heures sous la coque de son voilier, dans une poche d'air de 30 centimètres. "Un sauvetage à la limite de l'impossible" . Voilà comment "Salvamento Maritimo" , le service espagnol de secours en mer, a décrit sur Facebook le sauvetage mardi du navigateur, dont le bateau a chaviré dans l'Atlantique en plein parcours qualificatif pour la Route du Rhum 2022.
Le Marseillais de 62 ans, habitué des grandes courses au large, se trouvait à 14 milles (22 kilomètres) du petit archipel des Sisargas, au large de la Galice (nord-ouest de l'Espagne), quand il a déclenché sa balise de détresse lundi à 20H30 (18H30 GMT). "La mer était agitée, difficile, avec un vent d'une trentaine de nœuds, mais le bateau marchait bien. J'étais au repos dans le cockpit quand j'ai tapé violemment sur l'eau: le bateau a commencé à s'incliner et j'ai compris que j'avais perdu la quille" , a-t-il raconté à l'AFP. "En quelques secondes, je me suis retrouvé à l'envers. Le bateau a commencé à s'enfoncer et l'eau rentrait. Je me suis dit: 'là on n'est pas bien'" , a poursuivi le navigateur, qui dit s'être "mis dans un coin, accroupi" , en attendant les secours. "Mes heures étaient comptées" car l'espace libre "diminuait petit à petit" .
Mobilisés à bord d'un navire, épaulé par trois hélicoptères, les secours espagnols parviennent à localiser le voilier deux heures environ après son accident : il était "la quille à l'envers" dans l'obscurité, ballotté par de hautes vagues, explique le Salvamento Maritimo.
Déposé à l'aide d'un hélicoptère sur le bateau, l'un des secouristes frappe alors sur la coque. Il perçoit des "coups en retour" qui lui font comprendre "qu'il y a une personne coincée à l'intérieur" , raconte le service de secours en mer, qui assure que l'émotion est alors "montée en flèche" .
A cet instant, la mer est houleuse. Et l'accès au cockpit, quasiment impossible. Les secouristes décident donc d'installer des bouées de renflouement pour empêcher le bateau de couler. Il a fallu travailler de façon "frénétique" pour sécuriser le navire, assure le patron du navire de secours, Rodrigo Piñeiro.
Au petit matin, des plongeurs munis de lampes torche parviennent finalement à pénétrer sous la coque, où ils aperçoivent une botte rouge. "La réaction immédiate a été de la toucher et le pied s'est retiré instantanément" , expliquent les sauveteurs, qui ont alors tendu une perche que Laurent Camprubi a aussitôt attrapée.
Pour ce dernier, c'est la délivrance. "Je savais qu'ils étaient là, mais il fallait tenir" , confie le navigateur, qui s'est alors jeté à l'eau: "j'ai pris ma respiration et je suis sorti en apnée: il y avait deux mètres à faire pour passer sous la porte, puis quatre pour sortir du cockpit" .
Il est alors 12H00 (10h00 GMT) et Laurent Camprubi vient de passer près de 16 heures "dans à peine 30 centimètres d'air" , selon les sauveteurs espagnols. En état de choc, mais indemne, le navigateur est évacué par hélicoptère vers un hôpital de La Corogne, en Galice.
Là-bas, "j'ai passé une série d'examens: j'étais à 34,5 degrés et très déshydraté, mais ça va mieux maintenant" , confie le skipper, resté à La Corogne pour superviser le renflouage de son bateau, mais qui s'apprête à rentrer en France pour retrouver sa femme et ses enfants.
"Je vais mettre en pause mon projet de Route du Rhum (...) Je vais continuer à naviguer" mais "j'ai eu peur pour mes proches et je ne veux plus que cela arrive" , confie le navigateur, qui possède à son palmarès plusieurs victoires à des régates, notamment sur la Rolex Giraglia, en Méditerranée.
Dans un communiqué, les services de secours espagnols ont salué le courage du navigateur ainsi que ses "connaissances", "qui lui ont permis d'attendre calmement" l'arrivée des secours. " Chaque vie sauvée est notre plus belle récompense" , ont-ils tweeté.
Le Marseillais a rendu hommage de son côté aux plongeurs qui l'ont sauvé: "ce sont des moments que je ne vais jamais oublier" , assure-t-il.
Le skippeur français Laurent Camprubi à droite. © BELGA IMAGE 
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Razzia chinoise sur le calamar en mer d’Arabie




Des chalutiers au long cours (dont les Fu Yuan Yu 705 et 706) en cale sèche sur un chantier naval de Gantang, à Ningde (Fujian), en Chine, le 20 juillet 2021. Au-dessus du poste de pilotage, une inscription peinte : « Le rêve
chinois ».
Gilles Sabrie pour « Le Monde »



La plupart des marins n’ont jamais vécu en mer. Ils ont été convaincus par la perspective de gagner deux fois plus qu’un ouvrier



Deux membres d’équipage d’un chalutier de pêche au long cours dans leur dortoir après une journée de travail sur le bateau, dans un chantier naval de Ningde (Fujian), en Chine, le 20 juillet 2021. Gilles
Sabrie pour « Le Monde »





Des membres d’équipage d’un chalutier de pêche en haute mer devant leur baraquement, dans un chantier naval de Ningde (Fujian), en Chine, le 20 juillet 2021. Gilles Sabrie pour
« Le Monde »



Méthode 2 : par chalutage pélagique
En journée


Méthode 1 : « jiggers », avec lignes et lumières
La nuit

Exemple de prise accessoire : le thon
Exemple de prise accessoire : le thon
20 à 25 jigs attachés à chaque ligne
20 à 25 jigs attachés à chaque ligne
Pêche dans les eaux du plateau continental entre 60 et 120
mètres dde profondeur
Voile stabilisatrice pour empêcher la dérive sous le vent

Trois types de bateau sont principalement concernés


Quelles sont les deux méthodes de pêche au calamar ?


Comment les calamars arrivent-ils en Chine ?




A bord d’un chalutier chinois réfugié dans les eaux indiennes lors d'un cyclone, le 12 juin 2019. Ganesh Nakhawa / Purse Seine





Une cabine de couchage à bord d’un chalutier chinois réfugié dans les eaux indiennes lors d'un cyclone, le 12 juin 2019.
Ganesh Nakhawa / Purse Seine





A bord du même chalutier, un autel en l'honneur de Matsu, la déesse protectrice des marins, entouré d'offrandes et de vœux demandant richesse et protection, le 12 juin 2019. Ganesh Nakhawa / Purse Seine



« L'avenir compromis des ressources naturelles oblige partout les Etats à se mettre autour de la table. Ce n’est pas le cas ici », observe Julia Tasse, chercheuse à l’IRIS



Un chalutier chinois dans le nord-ouest de l’océan Indien en mai 2021. Fernanda Ligabue / Greenpeace / Avec l’autorisation de l’opération conjointe entre TM-Tracking et Greenpeace


« Notre avenir de pêcheurs s’annonce très incertain », s’inquiète Usman, 55 ans dont trente passés sur son bateau, au Pakistan

Trajet du bateau de pêche au calamar Fu Yuan Yu 706, en février 2022...

... avec système d’identification automatique (AIS) en fonctionnement (soit 87 heures sur une période de 13 jours)
... avec AIS éteint (soit 208 heures)
Radiofréquences détectées de l’espace par l’entreprise Unseenlabs, laissant supposer une présence non déclarée du navire
Zone possible de pêche non déclarée



Des pêcheurs locaux vident leurs filets à Gwadar, au Pakistan, le 24 mai 2022. Adnan Aamir pour « Le Monde »


« Pour la Chine, cette surpêche s’inscrit dans une stratégie visant à conquérir ce qu’elle n’a pas à domicile », commente Sébastien Abis, expert français de l’alimentation



Des membres de l’équipage d’un chalutier de pêche au long cours attendent leur repas après une journée de travail sur le bateau au chantier naval de Ningde (Fujian), en Chine, le 20 juillet 2021. Gilles
Sabrie pour « Le Monde »





Des membres d’équipage d’un chalutier de pêche en haute mer dans leur baraquement après une journée de travail, dans un chantier naval de Ningde (Fujian), en Chine, le 20 juillet 2021. Gilles Sabrie pour
« Le Monde »


« Le Monde » a suivi durant neuf mois une flottille de quatorze bateaux de pêche industrielle chinois, grâce aux données satellites analysées par l’ONG Global Fishing Watch...
Une enquête qui dévoile le pillage des ressources halieutiques de la haute mer
Dans les eaux chaudes de la mer d’Arabie s’ouvre chaque année une chasse sans merci. La saison prédatrice débute au cœur de l’été quand, de la Chine, s’élancent des centaines de navires vers le
nord de l’océan Indien. Ils s’en vont traquer le calamar, dans une ruée effrénée vers l’or blanc protéiné, à 10 000 kilomètres de leurs ports d’attache – Ningde, Fuzhou ou Zhoushan. Les marins partent pour une
odyssée sans
escale, ni à l’aller ni au retour. Pendant neuf mois, les cales seront remplies nuit et jour, sans repos pour les hommes, sans répit pour leurs proies.
Tout au long de cette saison, d’août 2021 à mai 2022, Le Monde a suivi à la trace, semaine après semaine, une flottille chinoise de quatorze navires originaires de la province
du Fujian, grâce aux données satellites analysées par l’ONG Global Fishing Watch (GFW). Les jiggers – « turluttes »,
ou
hameçons « calamarettes » – désignent par extension ces bateaux qui attirent les céphalopodes grâce à des lumières capables d’illuminer l’équivalent d’un stade de football, puis les attrapent avec des leurres. La nuit,
observés
depuis l’espace, ils forment une tache scintillante comparable à celle d’une grande ville. Les calamars qui remontent à la surface pour se nourrir n’ont aucune chance d’échapper aux halos fatals.
Ces pratiques, à la frontière de la légalité, relèvent de la pêche dite « non régulée » et « non déclarée » . La surpêche industrielle, dont la Chine est devenue le premier
acteur sur tous les océans, menace les ressources halieutiques. La proie – l’encornet à bande violette ( Sthenoteuthis oualaniensis ) – est victime de l’engouement croissant des consommateurs pour les céphalopodes, poulpes
et
seiches compris. Autour du globe, il s’en débarque dix fois plus qu’en 1950 : 3,6 millions de tonnes par an en moyenne, avec un pic de près de 4,9 millions de tonnes en 2014 , selon l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) de l’Organisation des Nations
unies.
Le
marché mondial du seul calamar pèse 12 milliards de dollars. La Chine compte pour 50 % à 70 % des prises dans les eaux internationales.
Dans la mer d’Arabie, les rassemblements de jiggers ont commencé à être repérés en 2015, par GFW. La chasse au calamar, à laquelle se livrent aussi l’Iran, la Corée du Sud et le
Vietnam, y connaît depuis une progression fulgurante. Le nombre des bateaux concernés y est passé de 55 en 2016, à 164 en 2018, et 279 en 2019, selon un rapport publié, fin 2021, par l’ONG basée en Norvège TM-Tracking
(TMT).
Battant pavillon chinois pour la majorité d’entre eux, ils ont ratissé ces eaux en 2020 durant plus de 250 000 heures cumulées. Après la pandémie de Covid-19, l’année 2022 devrait s’achever sur un volume comparable.
Dans le bourg maritime de Gantang, au nord du Fujian, des navires patientent dans les chantiers avant le grand départ. Visage hâlé et cheveux en brosse, M. Zhang (un pseudonyme) embarque
depuis seize ans pour nourrir ses deux enfants restés dans son village de la province côtière du Jiangsu, au nord de Shanghaï. « Notre région est très pauvre, alors beaucoup de gens émigrent illégalement ou deviennent
marins ,
confie
l’homme de 39 ans. Chez nous aussi, on pêche, sur de petits bateaux, le long des côtes, mais les restrictions nous mettent au chômage la moitié de l’année. » Après avoir décimé ses propres ressources, la Chine cherche à
préserver ce qu’il en reste tout en poussant sa flotte toujours plus loin sur les océans. M. Zhang se souvient des quarante interminables journées nécessaires pour rejoindre le large de l’Argentine, autre région écumée par les
jiggers
chinois. « En haute mer, on travaille l’essentiel de l’année » , se réjouit-il. Depuis quelques années, il part au large de l’Inde.
Le Fujian, face à Taïwan, est réputé pour ses montagnes, ses dialectes et ses marins. A Gantang, la pêche est partie intégrante de la culture. Sur les rives du fleuve Jiaoxi, à côté des retraités
qui conversent sur des chaises en plastique, poissons et crevettes sèchent sur des treillis. Sur le marché, les vendeurs d’encens et d’offrandes proposent des représentations de Matsu, la déesse protectrice des marins, dont le poster
côtoie, dans
les maisons, ceux de Mao Zedong ou du président Xi Jinping.
Situé au nord de Ningde, l’un des points de départ des flottilles, Gantang s’est spécialisé dans la maintenance. Adossés aux collines, les chantiers retapent les grands navires usés par un an de
tempêtes. Au bord d’un chenal, l’un d’eux souhaite « 10 000 ans pour le grand Parti communiste chinois » sur une large banderole. L’entrée est interdite. Il faut monter sur une colline de théiers vert tendre
pour
observer ce qu’il s’y passe.
Des coques rouges et blanches, couvertes de rouille, reposent à l’arrière-plan. Devant, trois navires fraîchement repeints, lie de vin pour le fond de cale, bleu marine au-dessus, arborent sur
leurs frontons les mêmes sinogrammes : « Zhongguo meng » (« le rêve chinois »), slogan du président Xi. Sur les flancs figure l’identifiant de bateaux que nous allons pister : les
« Fuyuanyu »
(FYY) 705, 706 et 702. « Fu » fait référence à la province du Fujian, « yuan » signifie « loin », et « yu » « poisson ». En 2020, la région en
comptait 481, pour un total de 2 700 bâtiments hauturiers chinois. Ces chiffres du ministère de l’agriculture sont jugés très inférieurs à la réalité par les organisations de défense de l’environnement.

Après quelque temps passé auprès de leurs familles, les hommes sont arrivés à Gantang un mois et demi avant de prendre la mer : les ouvriers sont aussi des marins. Les travailleurs sont
logés dans une bâtisse de béton brut. La pièce principale ne contient qu’une table ronde, quelques tabourets et un petit autel dédié à une divinité dont l’image est collée sur le mur. « On attend la permission des autorités pour
partir » : le capitaine, un quadragénaire à la mâchoire carrée sous un crâne dégarni, répond par bribes entre deux coups de téléphone passés dans un dialecte du Fujian. Lui est originaire de Pingtan, une île située en
face
de
Taïwan, où sont basées plusieurs grandes pêcheries chinoises. « Tous les ans, on part neuf à dix mois avec quelques dizaines de navires. On surgèle chaque jour le poisson que des bateaux spécialisés récupèrent environ une fois
par
mois,
en même temps qu’ils nous ravitaillent. Comme ça, on n’a pas besoin de mettre pied à terre. On peut pêcher sans s’arrêter. »
Son équipage s’entasse dans une maison encore plus spartiate, équipée de simples nattes en guise de couches, de bassines et des indispensables multiprises pour recharger les smartphones. En
tongs et shorts, torse nu pour supporter la moiteur tropicale, une vingtaine de jeunes marins défilent, gamelles à la main, devant un cuisinier qui puise le dîner dans une marmite. Ils avalent leurs rations, assis sur leurs talons ou à
même
le
sol. Beaucoup ont un visage encore adolescent sur un corp frêle. Ils viennent des régions pauvres de l’Ouest chinois, qui fournissent aux usines et chantiers du pays une main-d’œuvre bon marché.
Pour tous, le jeu en vaudra la chandelle. Le capitaine reçoit un salaire mensuel de « plus de 10 000 yuans » (1 400 euros). Les autres, qui pour la plupart n’ont
jamais vécu en mer, ont été convaincus par la perspective d’empocher 7 000 à 8 000 yuans par mois – deux fois plus qu’un ouvrier. Jiaxin, 27 ans, originaire de la province montagneuse du Sichuan, sort du lot avec sa
peau
plus
blanche et ses lunettes à épaisse monture noire. Lui aussi a déjà navigué au large de l’Argentine, avant de rejoindre l’usine de son père dans la province du Zhejiang, au sud de Shanghaï. L’entreprise est aujourd’hui criblée de dettes et
le
fils
espère gagner 100 000 yuans en repartant en mer : « L’été prochain, je rentrerai à la maison avec mon pactole et je pourrai relancer l’affaire. »
Les premiers navires sont arrivés la première semaine de septembre sur leur zone de pêche. En chemin, le FYY 702 a prélevé du poisson dans les eaux indonésiennes durant plus de cinquante heures –
une aubaine –, avant de filer vers la mer d’Arabie. Il s’est mis à l’ouvrage, le 24 septembre, à quelque 325 milles nautiques (1 mille nautique équivaut à 1,8 kilomètre) des côtes indiennes, et 270 milles nautiques des
rivages
désertiques du sultanat d’Oman. Les derniers venus de Chine rejoignent, fin octobre, ces eaux internationales qu’ils sillonnent en tous sens, parcourant des centaines de milles chaque semaine.
Les bateaux explorent d’abord le nord-est de cette étendue poissonneuse de 3,8 millions de kilomètres carrés. A chacun sa tâche : ligneurs, palangres dérivantes et jiggers amateurs de
calamar entremêlent leurs sillages, telle une immense pelote rendue visible grâce aux outils de GFW. La flotte chinoise compte aussi des « navires de recherche » chargés de repérer les espèces non réglementées qui feront, à leur
tour,
l’objet d’un prélèvement intensif à l’avenir. Leur tracé en espalier se distingue de celui des jiggers.
Fuzhou (province du Fujian) et Zhoushan (province du Zhejiang) sont les principaux ports chinois de la pêche hauturière
Alanah Rae se fait prendre
Épi de maïs une bouteille et une citrouille
Petit beauté branle avec ses pieds

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