Ce n'est plus une soirée étudiante mais une vraie

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Globalement, quand on est étudiant on picole . Et on picole plutôt beaucoup. Un passe-temps qui coûte cher et ce d'autant plus que passé une certaine heure on a tendance à sortir sa carte bleue un peu trop facilement. Voici les étapes d'une soirée étudiante que l'on a tous connues. Et n'oubliez pas : trop picoler, c'est mal !
Apéro chez Maxou jeudi prochain ? Ok, mais mollo quand même.
Sinon, en vrai, l'abus d'alcool est dangereux pour la santé. Très même. Et INTERDIT si tu conduis. Alors là on en sourit, mais si tu veux t'en convaincre, tu peux aller faire un tour ici avec des gens qui savent . On aime bien nos lecteurs topiteurs, alors faut prendre soin de vous: faisez pas les cons.
T'as quelque chose à dire, une réaction ? C'est ici. Oui, c'est bien fait hein ?
Si tu aimes ce Top,
tu aimeras ça aussi. Puisqu'on te le dit.
On sait bien que t'as encore 5 minutes...




Vie étudiante


Faut-il aller aux soirées d’intégration ?




Mathilde Trg

12 sep 2019


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madmoizelle



Jobs et études



Vie étudiante



Avec la rentrée universitaire arrivent les classiques soirées, week-end et semaines d’intégration. Est-ce un passage obligatoire ? Que s’y passe-t-il réellement ? Et si tu le loupes ? Mathilde t’explique.
Et toi, les soirées/week-ends d'intégration...
Tu ne sais pas tellement qu'en penser
Publié le 12 septembre 2019 à 11h10

mouais....
entre passer un bon moment, et risquer des actes de violences avec possibilité que tout soit étouffé, j'en déduis que ça vaut absolument pas le coup d'y aller.
Le risque est trop grand, et des bons moments, y'en aura plein d'autres.

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Article initialement publié le 12 septembre 2018
Les prénoms ont été modifiés
Avec la rentrée universitaire arrivent les classiques soirées, week-ends voire semaines d’intégration .
Ok, mais en quoi ça consiste ? Faut-il y aller, ou au contraire les éviter ?
Voici quelques conseils pour t’en sortir le mieux possible !
Le début de l’année universitaire voit souvent fleurir les soirées d’intégration comme les spots sur ma tronche lorsque le soleil se fait plus timide.
Concrètement, il s’agit de moments de rassemblement généralement organisés par les étudiant·es d’une même promotion afin de faire connaissance, et de festoyer dignement en début d’année.
Selon l’ambiance, les traditions, le lieu et les organisateurs et organisatrices, lesdites soirées peuvent prendre une forme tout à fait différente.
Certaines, à l’instar des Grosses Teufs madmoiZelle , peuvent être à thème et déguisées. D’autres seront animées par des challenges sportifs et autres défis, le plus souvent en équipe.
Il est aussi fréquent de voir des rencontres entre parrains/marraines et fillot·es lorsque le parrainage est mis en place dans la filière qui organise la soirée.
La soirée d’intégration porte bien son nom, et naît d’une volonté de permettre aux premières années de rencontrer les plus « anciens » , pour ne pas se sentir largués dans ce tout nouvel environnement.
C’est aussi l’occasion pour ceux et celles qui se connaissent déjà de se retrouver après les vacances — et puis, de toutes manières, il y a peu de mauvais prétextes pour faire la fête !
Les week-ends et semaines d’intégration suivent les mêmes principe et objectif : permettre aux étudiant·es de se rencontrer et de nouer des liens.
Simplement, la durée, plus longue, permet d’organiser cela d’une manière différente et de créer des relations plus profondes.
Ceux que j’ai pu voir se déroulaient à une distance suffisante de la ville d’études pour permettre de créer une vraie « bulle » dans laquelle faire connaissance réellement.
Des dortoirs étaient mobilisés, des bâtiments privatisés, dans une ambiance qui rappelle les colonies de vacances.
« Bonjour et bienvenue aux nouveaux et nouvelles étudiant·es en communication. »
Le principe des défis et activités diverses y est souvent exploité, et le séjour est ponctué de soirées festives.
Généralement, ces événements sont adressés principalement aux étudiant·es d’une seule et même filière , mais il arrive parfois qu’ils soient ouverts à d’autres, ce que je trouve très chouette.
Bref, c’est une belle occasion de rencontrer du monde, puisqu’il y a plein de nouveaux et nouvelles, comme de plus ancien·nes prêt·es à ouvrir leurs bras, tout en s’amusant et en se fabriquant tout un tas de beaux souvenirs.
Ces soirées ont tout de même mauvaise presse, pas toujours à tort.
« Intégration étudiante » évoque chez beaucoup d’entre nous des termes comme « débordements », « alcool » ou « bizutage ». Et oui, il est certain que cela arrive parfois.
Comme beaucoup d’autres fêtes, les soirées étudiantes, d’autant plus lors des intégrations, sont un moment où l’alcool coule à flots, pas toujours pour le meilleur.
D’un autre côté, il faut parfois se plier à des « défis » pas chouettes pour « s’intégrer » — c’est du moins ce que la pression du groupe veut bien faire croire aux nouveaux et nouvelles.
Combine tout cela avec un tas de personnes prêtes à rattraper tout un été sans réjouissances partagées avec leurs camarades, et tu peux imaginer quelles sortes de « débordements » peuvent potentiellement avoir lieu…
J’insiste sur leur potentialité, car ce n’est pas quelque chose à généraliser non plus. De nombreuses périodes d’intégration ont offert plus de bons souvenirs que de mauvais à ceux et celles qui s’y sont rendues.
« Le week-end d’inté (WEI) m’a aidée à briser la glace avec des personnes que je ne connaissais pas dans ma promo.
Cela soudé des liens que j’avais développés avant le WEI avec quelques copines, devenues aujourd’hui des personnes très importantes de ma vie. »
« Le week-end d’inté a contribué à sceller des amitiés que je n’aurais souhaité manquer pour rien au monde !
D’ailleurs, les moments — bons ou mauvais — qu’on a vécus lors de ce week-end sont quelques-uns de nos souvenirs marquants, même si bien sûr on en a fabriqué plein d’autres depuis. »
Les deux jeunes femmes ont tout de même nuancé en relatant des moments plus embarrassants, comme a expliqué Melina :
« Peut-être qu’on n’a pas tout apprécié non plus (je vous cache pas que le quizz sur nos positions sexuelles favorites dans le bus, par exemple, fait partie des moments de gêne, mais bon ça m’a pas traumatisée pour autant). »
Axelle raconte de son côté avoir vécu une expérience similaire, mais durant laquelle les personnes responsables du week-end d’intégration n’ont pas insisté.
« Il y a eu la soirée club super nulle, il a fallu boire de l’alcool à fond pour « profiter ». Les gars et les meufs étaient en chien, bourrés et chiants. […]
Le lendemain il y a eu une réunion chelou où il fallait que les gens qui s’étaient chopés viennent et racontent devant tout le monde. Immense moment de gêne .
Cela dit, une meuf a refusé et les intégrateurs l’ont laissée tranquille . »
Un des conseils que j’aurais à te donner, si tu t’apprêtes à te rendre en week-end d’intégration, est de savoir que cela peut exister , et t’y préparer.
Si c’est ton truc, profites-en ! Simplement, essaie de veiller à ce que personne ne soit forcée ou mise mal à l’aise.
Et si tu préfères éviter, prépare-toi à exprimer ton refus : personne ne peut t’obliger à faire quoi que ce soit .
Pour te rassurer, tu peux aussi y aller en duo avec une personne de confiance, avec laquelle tu auras évoqué tes craintes, et qui pourra te soutenir si les autres se montrent un peu trop relou.
Peut-être avec un peu plus de tact.
« Hors les cas de violences, de menaces ou d’atteintes sexuelles, le fait pour une personne d’amener autrui, contre son gré ou non, à subir ou à commettre des actes humiliants ou dégradants ou à consommer de l’alcool de manière excessive, lors de manifestations ou de réunions liées aux milieux scolaire, sportif et socio-éducatif est puni de six mois d’emprisonnement et de 7500€ d’amende. »
Si tu penses avoir été victime ou témoin de bizutage , je t’invite à te référer à la page Que faire face à un bizutage ? , sur le site du service public. Tu y retrouveras les ressources légales nécessaires.
Cette page indique entre autres que « le bizutage est un délit qui consiste à amener une personne à subir ou à commettre des actes humiliants ou dégradants ou à consommer de l’alcool de façon excessive et ceci même si elle est consentante ».
Rappelle-toi que si tu participes à des séjours d’intégration, c’est pour kiffer ; pas pour te faire violence ! D’ailleurs, Axelle m’a parlé de tout plein d’activités qui lui ont plu et l’ont fait marrer.
« Il y avait des combats de sumo sur un château gonflable , une course au flan (du flan dans la bouche, sans avaler, traverser des obstacles et éviter les pièges, arriver le premier cracher le flan à l’arrivée dans une bassine).
Il y avait même des combats de Pokémon : un gars faisait Bulbizarre et s’est mis à jeter des feuilles et des bâtons face à la meuf Carapuce qui, elle, crachait de l’eau.
Salamèche a tenté de faire un chalumeau avec du déo et un briquet mais heureusement une intégratrice de 2è année l’a stoppé . J’ai beaucoup ri. »
Car les intégrations étudiantes n’ont pas forcément beaucoup de moyens, mais toujours de l’imagination à revendre !
Melina m’a aussi expliqué que son week-end d’intégration lui a ouvert des perspectives nouvelles, qu’elle n’aurait pas découvertes sans cela :
« Autre gros avantage que je garde en tête de ce week-end d’inté : j’y ai rencontré des gens engagés dans des assos dans lesquelles j’ai pu m’investir par la suite, et avec lesquelles j’ai beaucoup appris.
Honnêtement, sans ce week-end là, je pense que ça n’aurait pas été aussi « simple », c’étaient des premières rencontres fructueuses ! »
« Seul·e on va plus vite, ensemble on va plus loin », toussa.
Il est vrai que les intégrations sont souvent organisées par des associations de filières , et attirent les associatifs et associatives.
Moi-même, durant mon engagement étudiant , j’ai participé à beaucoup d’événements d’intégration qui n’étaient pas nécessairement ceux de ma filière.
https://www.instagram.com/p/BMyoInggxdn/
Là, par exemple, c’était un week-end de formation multi-filières.
Je ne partageais pas le domaine d’études des participant·es, mais mon envie d’ouverture, de rencontres, et de permettre aux nouveaux et nouvelles de s’intégrer était la même !
C’est une bonne manière d’ entrer en contact avec des bénévoles aux multiples projets, qui peuvent sembler plus « inaccessibles » par la suite, préoccupé·es par leurs travaux en cours.
Le fait qu’une intégration soit organisée par des associations étudiantes peut être un bon signe. Les plus souvent, celles-ci sont tenues de respecter des engagements envers l’université ou l’établissement auquel elles sont rattachées.
De plus, les responsables associatifs sont généralement bien connu·es des services de l’établissement, et ont une conscience de ce qu’est le bizutage, de ce à quoi ils et elles doivent être attentives durant de tels événements.
Ce n’est cependant pas une science exacte : il arrive que des BDE soient à l’origine d’événements douteux. Mais d’autres solutions existent. Par exemple, à titre personnel, je ne suis pas une grosse fêtarde et ai plutôt tendance à éviter ces ambiances.
J’ai toutefois découvert au cours de mes années licence un système mis en place par la FAGE qui m’a permis de me rendre à certaines soirées plus sereinement : la Charte des Soirées Étudiantes Responsables .
Il s’agit d’un document que les associations volontaires peuvent signer, et voir ainsi leurs événements labellisés « soirée responsable ».
En contrepartie, les structures s’engagent à respecter certains points
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